Un séjour comme on aime 1/3 - histoire érotique

Moi c’est Hamed, 36 ans, marié à Caline. C’est une petite brune du même âge que moi qui plait beaucoup aux hommes. Elle devenue naturiste depuis son séjour dans chez mes parents et nous sommes devenu 100% libertins depuis... Boofffff, je crois depuis qu'elle a enfin assumé son coté naturiste, exhibitionniste.
Nous fréquentons régulièrement un sauna libertin pas très loin de chez nous. Ma femme y a découvert un goût prononcé pour l’exhibition : elle adore être nue devant d’autres hommes et sentir leurs envies pour sa personne. Caline est tout le temps nue à la maison, parfois même quand nous recevons des amis ou de la famille (car la majorité pensent que nous sommes juste naturistes et c'est tant mieux). En plus d’aimer se sentir regardée, elle aime le sentiment de liberté qu’elle a quand elle est nue.
Nous avons décidé de partir en vacances dans un camping naturiste dans le Sud de la France. L’idée de passer une dizaine de jours dans le plus simple appareil plaisait beaucoup à ma chérie.
Nous avons loué un petit mobil-home avec terrasse, qui avait l’air plutôt sympa d’après les photos sur internet. Nous sommes arrivés un vendredi vers 15 heures. Le cadre nous a séduit immédiatement : la nature et la beauté du paysage sont fidèles à ce que nous avons pu voir quand nous avons réservé.
Après avoir rangé nos affaires et pris possession des lieux, Caline s’est déshabillée. En plaisantant, je lui dis :

- On ne perds pas son temps !
- On est là pour ça...Non ?

Nous décidons d’aller faire quelques courses dans la supérette du camping. Nous y allons pieds et nus. Cela me fait bizarre de sortir sans rien porter. Ma femme, adore cette sensation de liberté. Nous croisons quelques personnes de tous âges.
Quand nous entrons dans le magasin, ma chérie me dit :

- C’est sympa de faire ses courses à poil, dommage qu’on ne puisse pas le faire plus souvent.

Je la sens très à l’aise et totalement dans son élément. Nous retournons ensuite au mobil-home pour ranger nos emplettes, puis nous prenons l’apéritif sur la terrasse. Des gens passent devant nous, certains nous disent bonjour. Il y a une majorité de couples et quelques hommes seuls.
Vers 18h30, nos "voisins" d’en face sortent, sont aussi assis sur leur terrasse. Ils nous saluent et nous demandent si nous sommes nouveaux.
Nous parlons un peu ensemble, le courant passe bien. Caline leur demande s’ils veulent venir boire un verre avec nous, une invitation qu'ils acceptent aussi vite. C’est un couple de jeunes retraités.
Nous parlons travail, naturisme, etc.
Ils sont très sympas. Je remarque à plusieurs reprises que l’homme regarde les seins de ma femme. Je pense qu’elle s’en est rendue compte vu certaines poses (coquine) qu’elle prend.
À plusieurs reprises, elle écarte largement les jambes.
Après un peu plus d’une heure de bavardage, ma chérie leur propose, sans me consulter, que l’on mange ensemble. Ils acceptent en disant :

- D’accord, mais demain soir, c’est nous qui vous invitons !
- Avec plaisir ! Qu'elle répond.

Nous passons notre première soirée avec eux dans une ambiance totalement détendue. Ils partent vers 22 heures. Aussitôt, nous rentrons dans le mobil-home et nous faisons l’amour deux fois de suite. Épuisés nous nous endormons rapidement.
Le lendemain, nous décidons d’aller dans le restaurant du camping pour le repas de midi. Ma chérie reste entièrement nue pour manger, au milieu de tout le monde. Elle adore cette sensation de liberté.
Elle aime aussi voir le corps des autres gens, qu’elle regarde sans gêne, aussi bien les hommes que les femmes.
L’après-midi, nous profitons de la piscine du camping. Il y a du monde. Ce n’est pas étonnant vu la chaleur.
Nous alternons entre bronzette sur les transats et baignades dans la piscine. Je remarque que Caline écarte largement les jambes à plusieurs reprises pendant qu’elle est sur son transat.
À un moment, je lui dis tout bas :

- C’est pour être à l’aise que tu écartes les jambes comme ça ou c’est pour montrer ta petite chatte à tout le monde ?
- Peut-être les deux...

Nous repartons vers 17h30 et pour rejoindrenotre mobil-home nous longeons les douches du camping. Ma douce colombe me dit :

- Dommage qu’on ait une cabine de douche dans le mobil-home...
- Pourquoi tu dis ça ?
- Biiiin... J'trouves que c’est plus sympa les douches communes !
- Rien ne t’empêche d’y aller !

Elle a dit ça en plaisantant mais je sais qu’il y avait un fond de vérité.
Bref, nous rentrons déposer nos affaires et nous lavons nos corps, avant d’aller prendre l’apéritif et manger avec le couple d’en face. Comme la veille, nous passons une soirée très agréable et détendue. L’homme regarde souvent le corps de ma princesse, qui s’amuse clairement à le provoquer sans en avoir l’air. Quand nous partons, elle fait la bise à nos hôtes en collant sa poitrine contre le torse de l’homme et aussi contre les seins de la femme, pour ne pas faire de jaloux. À peine le pas de porte franchi, je lui saute dessus et je lui fais l’amour tendrement, avec passion. Nous faisons ensuite une petite balade dans le camping, puis nous allons nous coucher, heureux, amoureux.
Dimanche matin, nous prenons le petit-déjeuner sur la terrasse. Je sens ma chérie d’humeur plutôt joueuse. Nous nous demandons ce que nous allons faire l’après-midi. Nous hésitons entre profiter de la piscine ou faire une petite randonnée dans la forêt. Nous choisissons finalement la randonnée.
Le midi, comme aucun de nous n’a envie de faire à manger, nous décidons d’aller au même restaurant que la veille. Comme c'est le cas, elle aime beaucoup manger nue au milieu des autres clients (qui sont pour la plupart nus aussi).
Après manger, nous passons chercher quelques affaires au mobil-home, puis nous commençons notre petite randonnée (qui est en réalité plutôt une balade en forêt). Ma chérie ne porte qu’une paire de baskets, tout comme moi d’ailleurs.
Que la fraîcheur de la forêt est agréable !
Je laisse Caline passer devant pour pouvoir zieuter, admirer, regarder ses fesses. Je regarde aussi ses seins balloter quand elle marche, cela m’excite énormément. Je ne résiste pas à l’envie de la toucher., de les toucher. Elle me dit :

- Tu as fini oui ? Je croyais qu’on devait marcher...
- Tu n’as qu’à pas être aussi bandante !
- Bandante moi ? Allez, viens !

Elle s’éloigne du sentier pour s’enfoncer un peu dans la forêt. Je la suis, bavant comme un chien... Nous nous caressons, je constate qu’elle est déjà bien humide. Alors que nous nous masturbons mutuellement, j’entends un craquement de branches. Je vois un homme d’environ soixante ans qui s’approche. Il est nu lui aussi et quand il nous aperçoit, il s’arrête et se cache plus ou moins derrière le tronc d'un arbre qui a du mal à l'extraire à nos regards quand il constate que nous l’avons vu. Imperturbable, ma chérie continue à me branler comme si de rien n'était, alors que moi, j’avais stoppé de lui malaxer ses obus. Sans trop de formalités, elle lance au mec :

- Tu peux venir si tu veux, pas besoin de te cacher !

L’homme, qui n'espérait pas mieux, s’approche lentement, il a l’air assez timide. Je remarque qu’il bande à moitié. Caline lui fait un sourire, il semble alors un peu plus rassuré et il me fait un signe avec son index pour demander l'autorisation de se rapprocher un peu plus. on joueur, moi aussi, j’acquiesce de la tête avec un petit sourire. Il vient alors derrière ma femme et lui caresse le dos.
Elle n'exprime aucune réaction négative à cette "prise en main". D'ailleurs cela aurai tété un comble... L'inviter, puis lui interdire de jouer.
Enhardi, il lui prend les seins à pleines mains en se collant à elle et en l’embrassant dans le cou. Elle semble surprise par son approche mais, joueuse qu'elle est, elle se laisse faire. Après quelques secondes, elle se retourne pour le branler en lui faisant face. Il continue à lui pétrir les seins. Le mec jouit en moins de deux minutes. Deux jets qui finissent leurs courses sur la cuisse et le ventre de ma belle. Surprise et amusée par cette éjaculation, elle dit :

- Eh behhh... T'es un rapide gros coquin !
- Pardon...
- Ne t’excuse pas. Tu es au camping ?
- Oui, jusqu’à mercredi !
- On se recroisera peut-être alors ?

L’homme repart. Ma chérie s’essuie avec un mouchoir, puis nous reprenons là où nous en étions avant l’arrivée du voyeur. Elle est encore plus humide. Elle jouit très vite alors que je la touche à peine, lui pétrissant doucement son 90C. Elle me suce ensuite comme elle sait si bien le faire, à savoir en enroulant, comme elle sait si bien le faire, sa langue sur mon gland et pressant mon frein. Je jouis dans sa bouche, elle avale mon nectar avec un plaisir à peine dissimulé.
En plaisantant, elle me demande :

- Ça va mieux mon petit cochon arabe adoré ? On peut continuer à marcher maintenant ?

Et nous retournons sur le chemin. Avant de reprendre notre excursion, Caline enlève ses chaussures.

- Qu’est-ce que tu fais ? Tu ne vas pas marcher pieds nus ? Que je lui dis.
- Si... J’ai envie de sentir l’herbe sous mes pieds !

Elle me rajoute qu’elle n’a pas la sensation d’être totalement nue quand elle porte ses chaussures. Nous finissons notre randonnée tranquillement, puis nous retournons au mobil-home pour poser le peu de nos affaires et laver rapidement notre sueur.
Nous allons ensuite à la piscine vers 17h30. Nous y croisons nos voisins avec qui nous avons passé deux belles soirées. La femme demande à ma gazelle si elle va les rejoindre pour la séance d’aquagym qui aura lieu à 18 heures. Puis elles discutent entre elles comme le font toutes les femelles bien dans leurs peaux. Ma chérie décide enfin de s’y rendre aussi. Le mari, quant à lui, me propose de me prendre pour faire une pétanque avec ses amis ce que j’accepte et le suis jusqu’au terrain. Nous jouons avec d’autres gens, le tout dans un climat franchement détendu.
Les femmes nous rejoignent vers 19 heures. Elles veulent faire une partie avec nous. Nous rentrons ensuite. Le couple nous propose de manger avec eux mais nous déclinons. Avant de manger, nous faisons l’amour intensément. Pendant le repas, nous discutons de nos premiers jours de vacances. Caline adore, elle dit :

- Franchement, c’est presque parfait !
- Pourquoi presque ?
- Bin... C’est un peu calme au niveau du sexe...

Elle me dit que l’épisode de l’après-midi, quand elle a branlé le voyeur, l’a beaucoup frustrée, qu’elle avait envie de plus. Je lui propose de chercher un club ou un sauna libertin pas trop loin. Nous en trouvons un, à un peu plus d’une heure de route qui a l’air sympa mais qui est fermé le lundi.
En plaisantant, je demande à ma femme :

- Tu pourras attendre une journée de plus ?
- Il le faudra bien ! Dit-elle en me faisant la tête d'un bébé capricieux.

Nous discutons un peu, je la taquine sur ses envies, qu’elle assume complètement. Nous faisons ensuite une petite balade dans le camping, puis nous faisons à nouveau l’amour en rentrant.
Le lendemain, nous profitons de la piscine et du soleil tout l’après-midi. Quand nous rentrons et que nous sommes près des douches du camping, je dis :

- Tu veux aller te laver ici ?
- Why not ?
- Alors quand tu auras fini on se retrouve au Mobil-home  !
- Tu ne viens pas ?
- Non, pourquoi... Tu veux que je vienne ?
- Non, c’est bon... À plus alors !

Nos chemins se séparent. Elle arrive au mobil-home une demi-heure plus tard. Je lui dis :

- Tu en as mis du temps !

Elle m’explique qu’il y avait un couple de notre âge et qu’elle a discuté avec eux. Elle a évidemment pris tout son temps, surtout quand elle a remarqué que l’homme la bouffait du regard assez souvent.
Nous prenons l’apéritif sur la terrasse. Nos voisins d’en face font la même chose. Mon épouse leur propose de venir se joindre à nous, ils accourent. Nous leur proposons ensuite d’aller au restaurant du camping mais ils déclinent l’invitation. Nous y allons donc seuls choupette et moi.
Quand nous rentrons, ma chérie a envie de sexe, mais je décline l'offre. Elle me dit :

- Tu es sérieux ?

Je lui réponds que j’ai envie qu’elle soit en manque pour demain Mardi. J’ai très envie de la voir avec un autre homme (ou plusieurs d’ailleurs). Je sens qu’elle est très frustrée, elle qui a des rapports tous les jours, au minimum une fois par 24h (et c’est vraiment le minimum).

À suivre...