Un vendredi après-midi
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un vendredi après-midi
Apres une longue semaine de travail, ou les ennuis n'ont pas cessés d'affluer. L'hiver qui n'en finit pas. Les routes glissantes et dangereuses. Cathy profite de son vendredi après- midi.
Elle est allongée dans le jacuzzi de son centre de remise en forme. Elle savoure les yeux fermés, les centaines de petites bulles qui lui massent le corps. Elle pense qu'elle serait bien mieux si elle pouvait se mettre complètement nue, et s'arranger pour que certains jets, viennent directement lui caresser le sexe. Elle est surprise, qu'il n'y ait presque personne.
Mais ça lui convient parfaitement ce calme.
Elle ouvre les yeux, tirée de ses pensées, quelqu'un vient de rentrer dans le jacuzzi. C'est un jeune homme, moins de 30 ans, blond, un corps musclé de sportif. Avec un sourire de publicité pour dentifrice il l'a salue.
Maxime : Bonjour, excusez-moi de vous déranger, mais je peux profiter moi aussi du bain bouillonnant ?
Cathy (troublée) : oui bien sûre.
Elle se pousse légèrement, par politesse, mais c'est un bassin qui peut recevoir au moins 8 personnes, donc ils ne vont pas se gêner.
Elle le regarde s'installer, puis repart dans ses pensées, de plus en plus érotiques. Elle s'imagine avec le jeune homme qui est juste à côté d'elle. Elle en rougit. Se dit qu'il pourrait être son fils. Que même si pour son âge (52 ans), elle n'est pas encore trop mal conservée (elle voit bien le regard des hommes, et de certaines femmes, quand elle passe dans la rue).
Son mari, lui dit souvent qu'avec son corps, le galbe de ses jambes, et son visage, aux lèvres bien dessinées, et ses grands yeux bleus, < tous les hommes jeunes ou vieux ont envie de la sauter.
Elle a de plus en plus envie de se caresser, elle ouvre les yeux, voit son jeune voisin, les bras en croix, les yeux fermés, savourer le bien être du bain à remous. Le voyant dans cette position, elle décide de se faire du bien.Se sentant protégée par les bulles, qui troublent l'eau, elle ferme les yeux, et tout doucement, elle se caresse les seins à travers son maillot de bain. Très vite ses tétons durcissent. Elle les pince et se mord les lèvres pour ne pas gémir.
Elle sursaute, un doigt vient d'effleurer sa cuisse, il remonte sur sa hanche. Elle stoppe sa caresse, ouvre les yeux, et repousse la main baladeuse.Prise par son plaisir, elle ne s'était pas aperçu que son voisin, c'était fortement rapproché, et la regardait avec un sourire coquin.
Cathy : (s'écartant prestement) mais ça ne va pas ? vous me prenez pour qui ? vous vous croyez ou ?
Le jeune homme (toujours souriant) : je m'appelle, Maxime, je vous trouve ravissante, et j'ai envie de vous toucher.
Cathy (un peu décontenancée) : mais, mais, vous avez vu ou nous sommes, et puis je pourrais être votre mère.
Maxime (se rapprochant de nouveau) : je vous ai observé, vous vous êtes caressé les seins, les yeux fermés, les lèvres serrée, pour ne pas gémir. Si je n'avais pas été là vous vous seriez masturbée.
Cathy (rouge de confusion) vous dites n'importe quoi jeune homme.
Elle essaie de se lever pour sortir du bain, mais il la retient par la main, et l'oblige à se rasseoir. Il est collé à elle.
Maxime : (collant sa bouche à son oreille) laissez-vous faire, vous en avez envie.
Et personne ne va nous surprendre, vous voyez bien il n'y a personne.
Il desserre légèrement son emprise, passe son bras droit derrière sa tête et pose sa main gauche sur sa cuisse qu'il masse doucement. On pourrait penser à un couple discutant tranquillement. Elle essaie de nouveau de lui échapper, mais il la retient, son bras droit passe sur son épaule, sa main à la hauteur du sein droit, et la main gauche passe de la cuisse au ventre. Il a la bouche à la hauteur de son oreille, leurs corps collés, ils donnent vraiment l'impression d'être un couple, d'amoureux.
Cathy (sans beaucoup de conviction) laissez-moi partir ou je crieMaxime : (sans lâcher sa prise, il lui parle doucement a l'oreille) allez y crier, débattez-vous.
Puis il dépose un baiser appuyé dans son cou. Elle soupir, elle a des frissons partout.
Sans le vouloir elle tourne légèrement la tête, en faisant ça, elle indique, au jeune homme, que ses défenses sont en train de tomber. Il sourit, il sait qu'il a gagné. Toujours très doucement, il lui refait un bisou sous le lobe, qu'il mordille. Dans le même, temps, sa main droite, se pose sur son sein, et sa main gauche descend et remonte du nombril à l'élastique de son maillot de bain.
Maxime (la sentant encore quelques résistances) laisses toi aller, tu vas adorer Cathy (ouvrant les yeux, et retenant la main sur son ventre) : mais si quelqu'un arrive ?
Maxime : personne ne va venir, et au pire ce sera un adulte, et nous nous séparerons comme si de rien n'était. Tu n'as jamais fait l'amour dans un lieu public ?
Cathy : si, dans la nature, mais jamais dans un endroit comme celui là.
Maxime : tu verras après, y avoir goûté tu ne pourras plus t'en passer.
Et sans lui laisser le temps de répondre, sa main gauche vient se poser sur son sexe.
Immédiatement son majeur trouve et masse son clitoris. Sous la caresse, elle se cambre, écarte les cuisses, renverse sa tête sur son épaule.et gémit sentant son plaisir monter.
Elle en avait tellement envie. Maxime a passé la main dans le soutient gorge et lui titille le téton durcit d'envie. L'autre main descend et monte lentement le long de la vulve.
Délicatement il écarte l'élastique, passe deux doigts, qu'il introduit dans la chatte en feu. Tout en massant avec la paume de sa main, son pubis, il commence un va et vient de plus en plus rapide dans son vagin. La sensation pour Cathy est merveilleuse. Cette main qui appuie sur son petit bouton, et ses doigts qui la liment doucement, sont en train de la rendre folle.
Sa respiration s'accélère, en même temps que les doigts. Elle ouvre les cuisses encore plus, pour s'empaler encore plus. Elle tourne la tête, elle cherche la bouche de son amant. Au moment où leurs lèvres se touchent, il se dérobe.
Cathy (entre 2 soupirs) embrasses moi, j'ai envie de sentir ta langue sur la mienne.
Maxime (enfonçant 3 doigts dans sa chatte) non je n'ai pas envie.
Il se glisse sur le côté, se place devant sa proie, qui ne réagit presque pas à ce changement de position. Elle ouvre les yeux, et les cuisses, écarte les bras, qu'elle pose sur le rebord pour se tenir. Il enfonce un 4eme doigt, elle se cambre, pousse un petit cri. Pousse son bassin à sa rencontre. Il glisse la gauche sur son corps, lui arrache son soutien-gorge, et lui malaxe les seins. Elle est sur un nuage, jouit de plus en plus fort. Jamais elle n'a ressenti cette sensation. L'orgasme arrive. Elle a envie d'un sexe, de sentir du sperme asperger ses parois intimes, une bouche contre sa bouche. elle sursaute, il vient de d'arrêter de retirer ses doigts.
Cathy : oooohhhh non.
Maxime : laisses moi un instant.
Elle va répondre, quand elle sent qu'il agrippe sa culotte et la déchire dans un mouvement brusque Cathy (ouvrant grand les yeux) mais tu es fou ?
Maxime : elle me gênait Et sans attendre il replante, sa main entière dans le sexe. Un fist, c'est la première fois que Cathy subit cette pénétration. Elle se mord les lèvres pour ne pas hurler, surtout quand il se retire pour replonger de plus belles. Tout à coup un orgasme fulgurant la terrasse.
Elle jouit complétement écartelée, dans un râle rauque et puissant. Elle se cambre une dernière fois, et retombe, à moitié évanouie.
Après quelques instants, elle sort de sa somnolence, ouvre les yeux. Maxime n'est plus là, mais deux dames âgées, la regarde bizarrement. Elle leur sourit, un peu gênée, récupère maladroitement les restes de son maillot de bain. Elle sort en titubant, et sort de la pièce en s'enroulant dans sa serviette.
Elle n'ose pas s'arrêter aux douches. En marchant lentement elle se dirige vers les vestiaires.
Elle repense à ce qui vient de lui arriver, ce plaisir immense qu'elle a ressenti, en même temps qu'un goût d'inachevé. Elle récupère ses affaires dans son casier, va rentrer dans une cabine, quand elle se sent happée, par un bras puissant, qui l'oblige à pénétrer dans le vestiaire le plus proche. Sa serviette est tombée, elle se retrouve nue, plaquée contre la paroi, et Maxime, nu aussi, collé à elle. Il lui tient les bras en crois au-dessus de sa tête, et a passé un genou entre ses jambes, qui appui sur son pubis. Il cherche à l'embrasser, mais elle tourne la tête cherche à se dérober.
Cathy (parlant doucement) : mais tu es fou, tu m'as fait peur Maxime : désolé, mais j'avais envie de sentir ton corps contre le mien, tu m'as bien excité tout à l'heure, je ne pensais pas que tu te laisserais faire aussi facilement.
Cathy (rougissante) : ok merci, tu me laisses partir maintenant Maxime (s'écartant un peu) : tu ne vas pas me laisser comme ça Elle remarque son érection. Un sexe d'une quinzaine de centimètres sur 6 de large.
Maxime (souriant en voyant sa surprise) tu vas l'adorerAvant qu'elle ne réponde, il pose ses lèvres sur les siennes, elles sont chaudes, sa langue la pénètre, à la recherche de la sienne. Elle cherche à esquiver. Mais très vite sa tête est trahie par son corps. Elle s'offre complètement. Leurs langues et leurs salives se mélangent.
Les mains de Maxime explorent son corps. Passent sur ses seins, son dos, ses fesses qu'il écarte pour y glisser un doigt.
Maxime (toujours chuchotant) tournes toi, Elle a tellement envie que sans se poser de question elle se retourne, se penche en avant,prend appui, sur le petit siège de l'étroite cabine. Elle lui présente sa croupe comme une chienne en chaleur. Il approche son sexe tendu, le frotte sur son petit trou. Descend sur les grandes lèvres. Revient. Il fait ainsi plusieurs allers-retours . Elle retient sa respiration, elle le veut en elle. Quand il s'enfonce d'un violent coup de reins, la sensation est si forte qu'elle jouit. Il la lime très fort en la tenant par la taille. Elle jouit en se mordant les lèvres pour ne pas hurler son plaisir.
Maxime (se penchant à son oreille, sans cesser son pilonnage) tu aimes ça ma salope Cathy (dans un souffle) oooohhh ouiiiiiiiiiiiiii, fais moi du bien, prends moi fort fort., je suis ta chose vas y vas yyyyyyyyyyyyyyy.
Il se redresse, et repart de plus belle. Il va jouir, elle jouit déjà de puis, quelques instants. Il sent que l'orgasme lui fait perdre ses forces, elle est en train de s'affaisser.
Alors il la pose sur le sol, la tête et les épaules contre la paroi, les jambes repliées sous elle. Il n'a pas jouit, il lui prend la tète à deux mains, la tourne vers lui. Au moment ou elle ouvre la bouche pour parler, il lui met sa bite entre les lèvres et éjacule à grands jets chauds, qui lui remplissent la bouche. Elle s'étouffe à moitié, il se retire, le sperme qu'elle n'a pas avalé,coule sur son menton, et sa poitrine Il l'aide à s'asseoir sur la tablette. Il l'a regarde avec un léger sourire.
Maxime : merci pour cet agréable moment, j'espère que tu en garderas un bon souvenirCathy (au moment ou il sort) oui merci.
Et elle se retrouve seule dans cette cabine, ses affaires étalées sur le sol. S'essuie se rhabille, en se demandant si elle n'a pas rêvé. Mais son sexe meurtri, et ses souvenirs de forte jouissance lui rappellent la réalité.
Elle est allongée dans le jacuzzi de son centre de remise en forme. Elle savoure les yeux fermés, les centaines de petites bulles qui lui massent le corps. Elle pense qu'elle serait bien mieux si elle pouvait se mettre complètement nue, et s'arranger pour que certains jets, viennent directement lui caresser le sexe. Elle est surprise, qu'il n'y ait presque personne.
Mais ça lui convient parfaitement ce calme.
Elle ouvre les yeux, tirée de ses pensées, quelqu'un vient de rentrer dans le jacuzzi. C'est un jeune homme, moins de 30 ans, blond, un corps musclé de sportif. Avec un sourire de publicité pour dentifrice il l'a salue.
Maxime : Bonjour, excusez-moi de vous déranger, mais je peux profiter moi aussi du bain bouillonnant ?
Cathy (troublée) : oui bien sûre.
Elle se pousse légèrement, par politesse, mais c'est un bassin qui peut recevoir au moins 8 personnes, donc ils ne vont pas se gêner.
Elle le regarde s'installer, puis repart dans ses pensées, de plus en plus érotiques. Elle s'imagine avec le jeune homme qui est juste à côté d'elle. Elle en rougit. Se dit qu'il pourrait être son fils. Que même si pour son âge (52 ans), elle n'est pas encore trop mal conservée (elle voit bien le regard des hommes, et de certaines femmes, quand elle passe dans la rue).
Son mari, lui dit souvent qu'avec son corps, le galbe de ses jambes, et son visage, aux lèvres bien dessinées, et ses grands yeux bleus, < tous les hommes jeunes ou vieux ont envie de la sauter.
Elle a de plus en plus envie de se caresser, elle ouvre les yeux, voit son jeune voisin, les bras en croix, les yeux fermés, savourer le bien être du bain à remous. Le voyant dans cette position, elle décide de se faire du bien.Se sentant protégée par les bulles, qui troublent l'eau, elle ferme les yeux, et tout doucement, elle se caresse les seins à travers son maillot de bain. Très vite ses tétons durcissent. Elle les pince et se mord les lèvres pour ne pas gémir.
Elle sursaute, un doigt vient d'effleurer sa cuisse, il remonte sur sa hanche. Elle stoppe sa caresse, ouvre les yeux, et repousse la main baladeuse.Prise par son plaisir, elle ne s'était pas aperçu que son voisin, c'était fortement rapproché, et la regardait avec un sourire coquin.
Cathy : (s'écartant prestement) mais ça ne va pas ? vous me prenez pour qui ? vous vous croyez ou ?
Le jeune homme (toujours souriant) : je m'appelle, Maxime, je vous trouve ravissante, et j'ai envie de vous toucher.
Cathy (un peu décontenancée) : mais, mais, vous avez vu ou nous sommes, et puis je pourrais être votre mère.
Maxime (se rapprochant de nouveau) : je vous ai observé, vous vous êtes caressé les seins, les yeux fermés, les lèvres serrée, pour ne pas gémir. Si je n'avais pas été là vous vous seriez masturbée.
Cathy (rouge de confusion) vous dites n'importe quoi jeune homme.
Elle essaie de se lever pour sortir du bain, mais il la retient par la main, et l'oblige à se rasseoir. Il est collé à elle.
Maxime : (collant sa bouche à son oreille) laissez-vous faire, vous en avez envie.
Et personne ne va nous surprendre, vous voyez bien il n'y a personne.
Il desserre légèrement son emprise, passe son bras droit derrière sa tête et pose sa main gauche sur sa cuisse qu'il masse doucement. On pourrait penser à un couple discutant tranquillement. Elle essaie de nouveau de lui échapper, mais il la retient, son bras droit passe sur son épaule, sa main à la hauteur du sein droit, et la main gauche passe de la cuisse au ventre. Il a la bouche à la hauteur de son oreille, leurs corps collés, ils donnent vraiment l'impression d'être un couple, d'amoureux.
Cathy (sans beaucoup de conviction) laissez-moi partir ou je crieMaxime : (sans lâcher sa prise, il lui parle doucement a l'oreille) allez y crier, débattez-vous.
Puis il dépose un baiser appuyé dans son cou. Elle soupir, elle a des frissons partout.
Sans le vouloir elle tourne légèrement la tête, en faisant ça, elle indique, au jeune homme, que ses défenses sont en train de tomber. Il sourit, il sait qu'il a gagné. Toujours très doucement, il lui refait un bisou sous le lobe, qu'il mordille. Dans le même, temps, sa main droite, se pose sur son sein, et sa main gauche descend et remonte du nombril à l'élastique de son maillot de bain.
Maxime (la sentant encore quelques résistances) laisses toi aller, tu vas adorer Cathy (ouvrant les yeux, et retenant la main sur son ventre) : mais si quelqu'un arrive ?
Maxime : personne ne va venir, et au pire ce sera un adulte, et nous nous séparerons comme si de rien n'était. Tu n'as jamais fait l'amour dans un lieu public ?
Cathy : si, dans la nature, mais jamais dans un endroit comme celui là.
Maxime : tu verras après, y avoir goûté tu ne pourras plus t'en passer.
Et sans lui laisser le temps de répondre, sa main gauche vient se poser sur son sexe.
Immédiatement son majeur trouve et masse son clitoris. Sous la caresse, elle se cambre, écarte les cuisses, renverse sa tête sur son épaule.et gémit sentant son plaisir monter.
Elle en avait tellement envie. Maxime a passé la main dans le soutient gorge et lui titille le téton durcit d'envie. L'autre main descend et monte lentement le long de la vulve.
Délicatement il écarte l'élastique, passe deux doigts, qu'il introduit dans la chatte en feu. Tout en massant avec la paume de sa main, son pubis, il commence un va et vient de plus en plus rapide dans son vagin. La sensation pour Cathy est merveilleuse. Cette main qui appuie sur son petit bouton, et ses doigts qui la liment doucement, sont en train de la rendre folle.
Sa respiration s'accélère, en même temps que les doigts. Elle ouvre les cuisses encore plus, pour s'empaler encore plus. Elle tourne la tête, elle cherche la bouche de son amant. Au moment où leurs lèvres se touchent, il se dérobe.
Cathy (entre 2 soupirs) embrasses moi, j'ai envie de sentir ta langue sur la mienne.
Maxime (enfonçant 3 doigts dans sa chatte) non je n'ai pas envie.
Il se glisse sur le côté, se place devant sa proie, qui ne réagit presque pas à ce changement de position. Elle ouvre les yeux, et les cuisses, écarte les bras, qu'elle pose sur le rebord pour se tenir. Il enfonce un 4eme doigt, elle se cambre, pousse un petit cri. Pousse son bassin à sa rencontre. Il glisse la gauche sur son corps, lui arrache son soutien-gorge, et lui malaxe les seins. Elle est sur un nuage, jouit de plus en plus fort. Jamais elle n'a ressenti cette sensation. L'orgasme arrive. Elle a envie d'un sexe, de sentir du sperme asperger ses parois intimes, une bouche contre sa bouche. elle sursaute, il vient de d'arrêter de retirer ses doigts.
Cathy : oooohhhh non.
Maxime : laisses moi un instant.
Elle va répondre, quand elle sent qu'il agrippe sa culotte et la déchire dans un mouvement brusque Cathy (ouvrant grand les yeux) mais tu es fou ?
Maxime : elle me gênait Et sans attendre il replante, sa main entière dans le sexe. Un fist, c'est la première fois que Cathy subit cette pénétration. Elle se mord les lèvres pour ne pas hurler, surtout quand il se retire pour replonger de plus belles. Tout à coup un orgasme fulgurant la terrasse.
Elle jouit complétement écartelée, dans un râle rauque et puissant. Elle se cambre une dernière fois, et retombe, à moitié évanouie.
Après quelques instants, elle sort de sa somnolence, ouvre les yeux. Maxime n'est plus là, mais deux dames âgées, la regarde bizarrement. Elle leur sourit, un peu gênée, récupère maladroitement les restes de son maillot de bain. Elle sort en titubant, et sort de la pièce en s'enroulant dans sa serviette.
Elle n'ose pas s'arrêter aux douches. En marchant lentement elle se dirige vers les vestiaires.
Elle repense à ce qui vient de lui arriver, ce plaisir immense qu'elle a ressenti, en même temps qu'un goût d'inachevé. Elle récupère ses affaires dans son casier, va rentrer dans une cabine, quand elle se sent happée, par un bras puissant, qui l'oblige à pénétrer dans le vestiaire le plus proche. Sa serviette est tombée, elle se retrouve nue, plaquée contre la paroi, et Maxime, nu aussi, collé à elle. Il lui tient les bras en crois au-dessus de sa tête, et a passé un genou entre ses jambes, qui appui sur son pubis. Il cherche à l'embrasser, mais elle tourne la tête cherche à se dérober.
Cathy (parlant doucement) : mais tu es fou, tu m'as fait peur Maxime : désolé, mais j'avais envie de sentir ton corps contre le mien, tu m'as bien excité tout à l'heure, je ne pensais pas que tu te laisserais faire aussi facilement.
Cathy (rougissante) : ok merci, tu me laisses partir maintenant Maxime (s'écartant un peu) : tu ne vas pas me laisser comme ça Elle remarque son érection. Un sexe d'une quinzaine de centimètres sur 6 de large.
Maxime (souriant en voyant sa surprise) tu vas l'adorerAvant qu'elle ne réponde, il pose ses lèvres sur les siennes, elles sont chaudes, sa langue la pénètre, à la recherche de la sienne. Elle cherche à esquiver. Mais très vite sa tête est trahie par son corps. Elle s'offre complètement. Leurs langues et leurs salives se mélangent.
Les mains de Maxime explorent son corps. Passent sur ses seins, son dos, ses fesses qu'il écarte pour y glisser un doigt.
Maxime (toujours chuchotant) tournes toi, Elle a tellement envie que sans se poser de question elle se retourne, se penche en avant,prend appui, sur le petit siège de l'étroite cabine. Elle lui présente sa croupe comme une chienne en chaleur. Il approche son sexe tendu, le frotte sur son petit trou. Descend sur les grandes lèvres. Revient. Il fait ainsi plusieurs allers-retours . Elle retient sa respiration, elle le veut en elle. Quand il s'enfonce d'un violent coup de reins, la sensation est si forte qu'elle jouit. Il la lime très fort en la tenant par la taille. Elle jouit en se mordant les lèvres pour ne pas hurler son plaisir.
Maxime (se penchant à son oreille, sans cesser son pilonnage) tu aimes ça ma salope Cathy (dans un souffle) oooohhh ouiiiiiiiiiiiiii, fais moi du bien, prends moi fort fort., je suis ta chose vas y vas yyyyyyyyyyyyyyy.
Il se redresse, et repart de plus belle. Il va jouir, elle jouit déjà de puis, quelques instants. Il sent que l'orgasme lui fait perdre ses forces, elle est en train de s'affaisser.
Alors il la pose sur le sol, la tête et les épaules contre la paroi, les jambes repliées sous elle. Il n'a pas jouit, il lui prend la tète à deux mains, la tourne vers lui. Au moment ou elle ouvre la bouche pour parler, il lui met sa bite entre les lèvres et éjacule à grands jets chauds, qui lui remplissent la bouche. Elle s'étouffe à moitié, il se retire, le sperme qu'elle n'a pas avalé,coule sur son menton, et sa poitrine Il l'aide à s'asseoir sur la tablette. Il l'a regarde avec un léger sourire.
Maxime : merci pour cet agréable moment, j'espère que tu en garderas un bon souvenirCathy (au moment ou il sort) oui merci.
Et elle se retrouve seule dans cette cabine, ses affaires étalées sur le sol. S'essuie se rhabille, en se demandant si elle n'a pas rêvé. Mais son sexe meurtri, et ses souvenirs de forte jouissance lui rappellent la réalité.
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