Un voyeurisme qui tourne en candaulisme forcé pour Bruno. - histoire érotique

Le voyeurisme de Bruno tourne au candaulisme forcé quand il se rend compte que le jeune étalon laboure Lucie, son ex femme. 1
Je m’appelle Bruno, je sais que c’est difficile à vivre pour ma femme Lucie, mais je ne peux m’empêcher de la tromper dès que c’est possible. D’ailleurs, mon mariage est en train de voler en éclat. (Pour ceux qui voudraient avoir plus de détails, il faudra lire ou relire les premiers épisodes de cette saga : Mon beau-père fait mon éducation sexuelle).

Jean, mon père, a été un peu comme moi mais s’est assagit. Je sais pourtant qu’il a gardé des connexions dans ce milieu. Je sais qu’il est toujours ami avec monsieur Paul qui tient un lieu d’échanges, et il court un bruit en ce moment sur un de ses poulains qui serait plutôt un véritable étalon. Sûrement encore un grand black... J’ai tellement tanné mon père que je vais pouvoir accéder à ce lieu de débauche, mais uniquement comme spectateur lors d’un des passages de son nouveau poulain.
Je suis donc reçu dans cette maison cossue au fond d’un grand parc isolé. (Chapitres 6 ;7 ;8 ;9). A mon coup de sonnette, on ouvre la porte. C’est un jeune homme malingre, de stature mince, presque délicat, qui me conduit après m’avoir demandé mon nom dans une pièce borgne.
-Vous êtes le premier arrivé monsieur. Suivez-moi, s’il vous plait.
Ce gamin boutonneux atteint péniblement le mètre 65 et je me demande ce qu’il fabrique là, c’est peut-être le petit-fils du proprio ? Il me dit qu’il se prénomme Claude et m’explique l’usage de cette pièce après une phrase bizarre:- Vous voyez ces deux boutons ? Le premier sert à transformer ce grand miroir en vitre sans tain, le second active ce haut-parleur pour entendre ce qui se passe dans la pièce d’à coté. Et ce joystick commande les caméras disséminées dans la pièce et leur zoom.
Puis il quitte la pièce, j’entends un clic, je vais voir à la porte, elle est bouclée, il m’a enfermé ce petit con ! Bon…puisque je suis là, autant en profiter puisque je suis venu pour ça, je m’approche du miroir et bascule les deux boutons. Dans la pièce d’à coté, une africaine, une vraie bombe, accompagnée d’une asiatique sont occupées à donner du plaisir à deux basketteurs vu leur taille, un blanc et un noir. La proportion de leur instrument est en conséquence, même un peu plus. Avec mon mètre 73 et ma bite d’à peine quinze centimètres, je ne fais pas le poids. Mais tout le monde ne peut pas être BOLT ou FEDERER… Je n’en éprouve donc pas de la jalousie ou de l’envie en regardant non pas un seul étalon comme je m’y attendais mais deux…
Une porte s’ouvre et je vois mon Cicérone entrer et venir s’asseoir dans un fauteuil, prendre une revue comme si rien d’exceptionnel ne se déroulait dans la pièce et se plonger dans la lecture. Qu’est-ce que ce petit con vient faire là-dedans ?
Le blanc s’occupe des seins volumineux de la négresse, sa bouche et ses mains s’activent sur la poitrine généreuse. La scène commence à m’exciter, j’observe les caresses sur le bout de ces seins tout dur. Le noir est positionné derrière l’asiatique qui sent son sexe gonflé coincé dans la raie de ses fesses. Elle passe une main dans son dos pour s’en saisir. J’entends tout ce qu’ils se disent, bien caché derrière le miroir :-Jaï, je t’ai bien préparée, ta chatte est toute mouillée… Tu as aimé ?
-Oui, tu m’as baisé la chatte avec tes doigts, gros vicieux.
-Et t’aimes-ça, hein, salope !
-Oh oui j’aime ça Ben…mais j’ai envie d’un bon coup de queue maintenant, de ta grosse queue...
-Petite vilaine, ironise Ben, viens t’asseoir sur moi, tu vas l’avoir ton coup de bite…Je découvre en gros plan la teub de très belle taille sur laquelle Jaï descend lentement, s’empalant dessus, en poussant un râle de plaisir. Pendant ce temps, le blanc qui se prénomme Hervé est encouragé par Ben :- Hervé, prends là en levrette, comme ça je pourrai mater ta queue qui s’active dans la chatte de Lani….
Lani se laisse tomber à genoux, sa tête repose au sol et son cul est relevé très haut pour faire saillir sa moule comme une invite pour le mâle, les lèvres ourlées baillent légèrement, son amant se positionne la queue à la main, il la frotte longuement du clitoris à son œillet palpitant en apostrophant son comparse :- Elle a un joli petit cul, hein Ben …- Oui … je crois qu’elle a aussi envie de se faire baiser par là. On s’en occupera plus tard.
Il y a déjà un moment que j’ai sorti ma teub du pantalon et que je m’astique le poireau. Sous mes yeux, cette queue de bonne taille disparait lentement dans la gaine vaginale, la chienne feule de plaisir, appréciant l’engin qui lui fait tant de bien. Elle passe une main sous son ventre et saisit les couilles imberbes, puis lentement accompagne le mouvement tel un métronome. A chaque aller/retour, ses lèvres intimes sont entrainées et un anneau de mousse se forme à la base de la mentule luisante de mouille. Hervé accélère le rythme et Lani s’arque boute pour résister aux assauts de l’homme, ses seins fermes ballotent comme deux flans démoulés.

J’entends un coup de sonnette, Le jeune spectateur se lève et va ouvrir la porte, il fait entrer une troisième femme, le visage voilé. Il l’amène vers son siège et lui retire sa robe. Je découvre une femme d’âge mûre, mais encore très bien conservée, ses sous-vêtements mettent en valeur sa belle poitrine et son string ridicule ne cache pas grand-chose du coté face. Bizarrement, ce corps me rappelle quelqu’un, mais qui ? Ah si ma femme s’était habillée comme ça au lieu de ces horribles culottes et de ses soutien-gorge qui cachent et gâchent tout !
Jaï a laissé tomber Ben et vient rejoindre ce nouveau couple, elle aide l’inconnue à dévêtir à son tour le petit con. Le physique de Claude ne paie pas de mine, mais quand après avoir retiré le haut, elles dénudent le bas de son corps, je découvre une énorme nouille, comme ces énormes pâtes des cantines par rapport à la petite coquillette de la cuisine de sa maman.
Je n’en reviens pas, ce petit con ne bande même pas et pourtant, il me fout déjà la honte…Les deux filles assises de chaque coté commencent à caresser sa bite distraitement en regardant le spectacle des deux géants qui prennent maintenant Lani en sandwich,
-Enfonce-toi dans sa chatte, Hervé, je vais la préparer.
Les mains de Ben écartent les deux lobes fessiers de Lani ouvrant de ce fait l’anneau brun qui se relâche, il crache un jet de salive et enfonce un pouce sans difficulté jusqu'à la fourche de sa main.
- Attention, j’arrive… …Son gland s’écrase sur le trou qui cède peu à peu, Lani est à peine crispée, elle miaule mais ce n’est sûrement pas la première fois qu’elle se fait enculer même s’il y a déjà du monde qui prend toute la place par devant. Un cri strident quand le gland est passé … La queue d’Hervé, est là sous la mince paroi, et je visualise celle de Ben qui glisse dessus.
- Tu y es Ben ?
- Oui ça va … je lui ai mis au moins dix centimètres.
- Très bien ! Bon, on la travaille chacun à notre tour, tu vas l’entendre gueuler quand on aura trouvé le bon rythme …
Pendant ce temps, profitant du spectacle d’un œil pervers et affamé de femelles avides de sexe, Jaï et l’inconnue continuent de branler doucement Claude qui reste passif. La grosse nouille a pris du volume et des centimètres, on dirait qu’il bande mou avec sa grosse queue le petit con car quant à un moment les deux filles relâchent sa teub, elle pend entre ses jambes jusqu’à mi-cuisses.
J’utilise le zoom pour mieux voir, les filles viennent de se mettre à genoux devant lui et s’appliquent avec un peu plus d’entrain. Je vois sur l’écran en gros plan croître et grossir ce pal. L’inconnue qui l’avait pris en bouche doit reculer son visage du bas-ventre du gamin, contrainte et forcée car son organe a atteint une taille considérable, elle peut même poser ses deux mains sur la hampe sans pour cela arrêter de la sucer. Quel chibre !!!

A suivre…