UNE BLONDE ALLUMEUSE 2
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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UNE BLONDE ALLUMEUSE 2
On va direct à sa chambre, sans perdre de temps. J’enlève le haut et l’invite à finir de me dévêtir. Je rebande et elle sait le joujou qui se cache dans mon slip. Elle s’agenouille pour me défaire. Trois mois qu’elle n’a pas baisé, elle est en manque, et ses mains fébriles s’en voient à me dégrafer la ceinture et la braguette. Elle y parvient enfin et baisse mon pantalon aux chevilles. Mon slip a du mal à contenir mon service trois pièces. Elle est fascinée par ce qu’elle devine, me caresse à travers le tissu, puis écarte l’élastique de la taille. Ma queue se libère alors comme un ressort et mon gland rouge et gonflé de désir lui présente ses hommages. Elle pose ses lèvres dessus pour un tendre baiser et me baisse le slip :
Elle est prête à me sucer à nouveau, mais je lui ai proposé de lui bouffer la chatte et en meurs d’envie :
- Déshabille toi salope, tu vas connaître les joies d’un bon cunni. Je vais te lécher mieux que ta petite gouine.
En une minute elle est entièrement nue et je reste scotché par sa beauté. Elle est parfaite, tout ce qu’il faut, où il faut. Jambes, cuisses, hanches, ventre, seins, rien à jeter. Je me demande où est le vice caché pour qu’une plante pareille soit seule.
Cerise sur le gâteau, sa petite chatte. Elle a dû se raser récemment et laisse repousser sa toison à l’approche de l’hiver. Son jeune gazon, blond comme les blés, me confirme que c’est une vraie blonde.
Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées, et s’offre à ma bouche affamée. J’ai envie de me jeter sur elle pour la dévorer comme un porc, mais retiens mes ardeurs. Une si belle et si jeune chatounette mérite toutes les attentions. Je passe mon nez sur ses poils renaissants et me délecte de son nectar. Elle a mouillé durant deux heures et je m’enivre de ses délicieux effluves. Je soude mes lèvres aux siennes et fouille sa fente étroite. Sa liqueur est délicieuse. J’écarte délicatement ses lèvres pour m’enfouir plus profondément.
Ma langue habile accomplît des prouesses et elle me remercie avec de fulgurants orgasmes qui s’enchaînent. A chaque fois elle frémit, vibre, tremble, ses muscles se raidissent, ses reins se cambrent pour mieux s’offrir, son petit volcan explose et sa lave s’écoule, abondante, succulente, délicieuse, onctueuse, savoureuse. Puis c’est le calme qui précède la prochaine éruption.
Je change de position et viens sur elle en 69. Je lui demande de ne pas bouger et me laisser faire. Je ne veux pas qu’elle me suce, je peux lui bouffer le clitoris, et c’est dans ma position préférée. Je passe une main sous sa cuisse pour la ramener sur sa vulve, l’autre main glisse sur son ventre et mes doigts se rejoignent autour de son petit gland. J’écarte ses lèvres pour le libérer, crache abondamment dessus pour le lubrifier et le caresse, le masse, le masturbe. Il sort de sa cachette, je le décapuchonne entièrement, recrache dessus et le prend entre mes lèvres. Je le suce, le tête et le sens durcir et grandir.
Elle gémit, râle, feule, Se cambre plus que jamais et jouis violemment ; Elle retombe, épuisée, et je la nettoie de ma langue câline.
Je sors de sur elle, et m’allonge à ses côtés. Elle est essoufflée.
- Ca va ?
- Je n’ai jamais autant joui. C’était merveilleux.
- On continue ?
- Vous me laisser quelques minutes pour récupérer, et je vais essayer de vous sucer aussi bien que vous m’avez léchée.
- Tu es gentille, mais je ne pensais à une pipe, du moins pas de suite. J’ai envie de baiser.
- Vous avez des préservatifs ?
- Non, et puis j’ai trop envie de connaître la chaleur, la douceur, le suintement de ta petite grotte.
- Je préférerais moi aussi sans capote, mais je ne tiens pas à tomber enceinte.
- Alors là je te jure que tu ne crains rien. Tu m’excites au maximum, mais je sais me contrôler. Je te promets de me retirer bien avant la fin. Et puis tu m’as donné envie d’une bonne turlutte, alors je vais me réserver pour ta bouche. Ca te va ?
- Ok, baiser moi, j’en ai envie.
Je me place entre ses cuisses, la lèche à nouveau, la doigte, pour bien l’ouvrir. Puis je remonte sur son corps, prend mon manche à pleine main et frotte mon gland entre ses petites lèvres. Je pousse lentement pour la pénétrer en douceur. Mon manche est plus gros que les deux qu’elle a connus, elle pousse des petits cris, de peur et non de mal, et m’encourage à la prendre. Je suis en elle et ne bouge plus pour savourer cet instant magique :
- Tu as une chatte merveilleuse chérie. Quel bonheur.
Je me mets en mouvement et la lime au ralenti. Le frottement de mon pieu dans son écrin est un pur régal partagé. Elle prend son pied autant que moi et ne fait rien pour cacher son plaisir.
Mon visage est au dessus du sien, je pose mes lèvres sur les siennes. Elle m’enlace et sa langue s’enfile dans ma bouche. Le baiser est l’acte que je préfère, le plus intime. Les putes n’embrassent pas, les salopes oui. Et à la façon dont on se roule maintenant des pelles voraces, c’est la reine des salopes. On se bouffe la poire, salive à volonté. Mes gentilles enfilades deviennent d’énormes coups de boutoirs qu’elle apprécie et redemande.
Elle ne se soucie plus du fait que je peux jouir en elle, et ne veut que se faire ramoner.
Heureusement je garde la tête froide et me retire :
- Salope, aucune fille ne m’a donné autant de plaisir. Tu as failli me faire décharger tellement tu es bonne. Mais tu es trop mignonne, et je ne veux pas abuser de toi
A mon tour je lui demande quelques instants de repos pour me calmer, avant de la prendre en levrette.
Elle est à quatre pattes au bord du lit :
- Ce cul, ce cul que tu as. Plus bandant tu meurs. Tu es sûre que tu ne veux pas te faire dépuceler la rondelle.
- Non, pas aujourd’hui, je ne suis pas encore prête.
Je m’engage alors dans son huître impatiente et la martèle de mon engin. Elle jouit, encore et toujours, et ma queue baigne dans son jus. Je me retire et veux sa bouche pour conclure.
Elle est allongée sur le lit, sur le dos, près du bord. J’ai un pied au sol, l’autre sur le lit qui enjambe sa tête, et j’enquille mon bâton jusque dans sa gorge. Je reste en elle jusqu’à ce qu’elle me repousse pour reprendre l’air. Elle crache de la salive qui dégouline sur ses joues, son cou, et embouche mon gland pour une autre gorge profonde. A plusieurs reprises ma queue entre et sort de sa cavité, alternant avec mes grosses couilles pendantes que je lui donne à brouter.
Je vais bientôt jouir. Je me retire, m’agenouille, et lèche, bois, avale ses coulées de salive avant de lui rouler un patin grandiose. Elle est maintenant à genoux devant moi pour une ultime pipe. Je m’abandonne, la laisse faire. Comme promis elle s’applique à une fellation que ne renieraient pas les plus grandes professionnelles, et obtient des giclées bien épaisses qu’elle déguste comme jeune amatrice. Je la relève, l’embrasse encore, et on s’allonge sur le lit. Elle est sur le côté, en chien de fusil, et je viens me coller à elle, passe un bras par-dessus, pour refermer ma main sur un de ses seins. On reste ainsi quelques instant à se reposer, échanger des mots gentils, se féliciter de nos performances.
Il est 13h, on prend une douche, et elle partage son repas avec moi.
Je voudrais passer l’après-midi avec elle, aimerait elle aussi, mais ne peut vraiment pas. Elle est désolée, mais doit bûcher ses cours, terminer un devoir.
Je vais l’abandonner, à regrets. On décide de se retrouver le dimanche suivant, à la gare, et de renouveler l’expérience. On échange nos numéros de portable et de fixe. J’ai du mal à la quitter, et peur de ne plus la revoir, et finis par partir après un énième baiser.
Je repars chez moi avec des souvenirs pleins la tête, mais aussi des souvenirs concrets. Elle a bien voulu m’offrir ses collants et sa petite culotte toute parfumée.
Je suis chez moi, à la fois heureux et inquiet de ne plus la voir. C’est comme un conte de fée, trop beau pour être vrai.
20h15’, le téléphone sonne.
A suivre
Elle est prête à me sucer à nouveau, mais je lui ai proposé de lui bouffer la chatte et en meurs d’envie :
- Déshabille toi salope, tu vas connaître les joies d’un bon cunni. Je vais te lécher mieux que ta petite gouine.
En une minute elle est entièrement nue et je reste scotché par sa beauté. Elle est parfaite, tout ce qu’il faut, où il faut. Jambes, cuisses, hanches, ventre, seins, rien à jeter. Je me demande où est le vice caché pour qu’une plante pareille soit seule.
Cerise sur le gâteau, sa petite chatte. Elle a dû se raser récemment et laisse repousser sa toison à l’approche de l’hiver. Son jeune gazon, blond comme les blés, me confirme que c’est une vraie blonde.
Elle s’allonge sur le lit, jambes écartées, et s’offre à ma bouche affamée. J’ai envie de me jeter sur elle pour la dévorer comme un porc, mais retiens mes ardeurs. Une si belle et si jeune chatounette mérite toutes les attentions. Je passe mon nez sur ses poils renaissants et me délecte de son nectar. Elle a mouillé durant deux heures et je m’enivre de ses délicieux effluves. Je soude mes lèvres aux siennes et fouille sa fente étroite. Sa liqueur est délicieuse. J’écarte délicatement ses lèvres pour m’enfouir plus profondément.
Ma langue habile accomplît des prouesses et elle me remercie avec de fulgurants orgasmes qui s’enchaînent. A chaque fois elle frémit, vibre, tremble, ses muscles se raidissent, ses reins se cambrent pour mieux s’offrir, son petit volcan explose et sa lave s’écoule, abondante, succulente, délicieuse, onctueuse, savoureuse. Puis c’est le calme qui précède la prochaine éruption.
Je change de position et viens sur elle en 69. Je lui demande de ne pas bouger et me laisser faire. Je ne veux pas qu’elle me suce, je peux lui bouffer le clitoris, et c’est dans ma position préférée. Je passe une main sous sa cuisse pour la ramener sur sa vulve, l’autre main glisse sur son ventre et mes doigts se rejoignent autour de son petit gland. J’écarte ses lèvres pour le libérer, crache abondamment dessus pour le lubrifier et le caresse, le masse, le masturbe. Il sort de sa cachette, je le décapuchonne entièrement, recrache dessus et le prend entre mes lèvres. Je le suce, le tête et le sens durcir et grandir.
Elle gémit, râle, feule, Se cambre plus que jamais et jouis violemment ; Elle retombe, épuisée, et je la nettoie de ma langue câline.
Je sors de sur elle, et m’allonge à ses côtés. Elle est essoufflée.
- Ca va ?
- Je n’ai jamais autant joui. C’était merveilleux.
- On continue ?
- Vous me laisser quelques minutes pour récupérer, et je vais essayer de vous sucer aussi bien que vous m’avez léchée.
- Tu es gentille, mais je ne pensais à une pipe, du moins pas de suite. J’ai envie de baiser.
- Vous avez des préservatifs ?
- Non, et puis j’ai trop envie de connaître la chaleur, la douceur, le suintement de ta petite grotte.
- Je préférerais moi aussi sans capote, mais je ne tiens pas à tomber enceinte.
- Alors là je te jure que tu ne crains rien. Tu m’excites au maximum, mais je sais me contrôler. Je te promets de me retirer bien avant la fin. Et puis tu m’as donné envie d’une bonne turlutte, alors je vais me réserver pour ta bouche. Ca te va ?
- Ok, baiser moi, j’en ai envie.
Je me place entre ses cuisses, la lèche à nouveau, la doigte, pour bien l’ouvrir. Puis je remonte sur son corps, prend mon manche à pleine main et frotte mon gland entre ses petites lèvres. Je pousse lentement pour la pénétrer en douceur. Mon manche est plus gros que les deux qu’elle a connus, elle pousse des petits cris, de peur et non de mal, et m’encourage à la prendre. Je suis en elle et ne bouge plus pour savourer cet instant magique :
- Tu as une chatte merveilleuse chérie. Quel bonheur.
Je me mets en mouvement et la lime au ralenti. Le frottement de mon pieu dans son écrin est un pur régal partagé. Elle prend son pied autant que moi et ne fait rien pour cacher son plaisir.
Mon visage est au dessus du sien, je pose mes lèvres sur les siennes. Elle m’enlace et sa langue s’enfile dans ma bouche. Le baiser est l’acte que je préfère, le plus intime. Les putes n’embrassent pas, les salopes oui. Et à la façon dont on se roule maintenant des pelles voraces, c’est la reine des salopes. On se bouffe la poire, salive à volonté. Mes gentilles enfilades deviennent d’énormes coups de boutoirs qu’elle apprécie et redemande.
Elle ne se soucie plus du fait que je peux jouir en elle, et ne veut que se faire ramoner.
Heureusement je garde la tête froide et me retire :
- Salope, aucune fille ne m’a donné autant de plaisir. Tu as failli me faire décharger tellement tu es bonne. Mais tu es trop mignonne, et je ne veux pas abuser de toi
A mon tour je lui demande quelques instants de repos pour me calmer, avant de la prendre en levrette.
Elle est à quatre pattes au bord du lit :
- Ce cul, ce cul que tu as. Plus bandant tu meurs. Tu es sûre que tu ne veux pas te faire dépuceler la rondelle.
- Non, pas aujourd’hui, je ne suis pas encore prête.
Je m’engage alors dans son huître impatiente et la martèle de mon engin. Elle jouit, encore et toujours, et ma queue baigne dans son jus. Je me retire et veux sa bouche pour conclure.
Elle est allongée sur le lit, sur le dos, près du bord. J’ai un pied au sol, l’autre sur le lit qui enjambe sa tête, et j’enquille mon bâton jusque dans sa gorge. Je reste en elle jusqu’à ce qu’elle me repousse pour reprendre l’air. Elle crache de la salive qui dégouline sur ses joues, son cou, et embouche mon gland pour une autre gorge profonde. A plusieurs reprises ma queue entre et sort de sa cavité, alternant avec mes grosses couilles pendantes que je lui donne à brouter.
Je vais bientôt jouir. Je me retire, m’agenouille, et lèche, bois, avale ses coulées de salive avant de lui rouler un patin grandiose. Elle est maintenant à genoux devant moi pour une ultime pipe. Je m’abandonne, la laisse faire. Comme promis elle s’applique à une fellation que ne renieraient pas les plus grandes professionnelles, et obtient des giclées bien épaisses qu’elle déguste comme jeune amatrice. Je la relève, l’embrasse encore, et on s’allonge sur le lit. Elle est sur le côté, en chien de fusil, et je viens me coller à elle, passe un bras par-dessus, pour refermer ma main sur un de ses seins. On reste ainsi quelques instant à se reposer, échanger des mots gentils, se féliciter de nos performances.
Il est 13h, on prend une douche, et elle partage son repas avec moi.
Je voudrais passer l’après-midi avec elle, aimerait elle aussi, mais ne peut vraiment pas. Elle est désolée, mais doit bûcher ses cours, terminer un devoir.
Je vais l’abandonner, à regrets. On décide de se retrouver le dimanche suivant, à la gare, et de renouveler l’expérience. On échange nos numéros de portable et de fixe. J’ai du mal à la quitter, et peur de ne plus la revoir, et finis par partir après un énième baiser.
Je repars chez moi avec des souvenirs pleins la tête, mais aussi des souvenirs concrets. Elle a bien voulu m’offrir ses collants et sa petite culotte toute parfumée.
Je suis chez moi, à la fois heureux et inquiet de ne plus la voir. C’est comme un conte de fée, trop beau pour être vrai.
20h15’, le téléphone sonne.
A suivre
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