Une drole d'envie - histoire érotique

Je suis seul à nouveau, elle m’a quitté sous prétexte que j’avais un trop gros appétit. C’est vrai que je lui faisais l’amour souvent, j’aimais la baiser, la sucer, surtout la sucer et l’enculer quelque fois. Je la surprenais souvent quand elle se branlait et je la laissais faire du moment qu’elle y prenait du plaisir. Je crois qu’elle est partie en trouver un autre. Après tout tant mieux, je pourrai vivre certainement plus libre. Et aussi, c’est important trouver d’autres plaisirs plus ou moins interdits. J’ai envie de vivre une expérience unique pour moi : j’ai envie de faire une fellation. Je pense y arriver sur le plan technique, qui mieux qu’un homme sait en sucer un autre. Mais voilà, dans ma petite ville je ne sais réellement pas comment faire. J’ai une idée qui vaut ce qu’elle vaut, je fait afficher dans le sex-shop ce texte :
«  Pour amateur, homme propre propose pipe à autre homme, appeler N°……. » Le gérant me dit que c’est interdit d’afficher ce genre de message. Mais comme il a peu de clients ou clientes il le laisse en place.
Il me tarde que quelqu’un réponde. Aussi je n’oublie plus mon portable, j’attends... Je pense de plus en plus à l’impression que j’aurai avec une bite dans la bouche et au gout du sperme. Il m’arrive souvent avant de m’endormir d’ouvrir la bouche comme si j’y avais un sexe bien développé à lécher.
Evidement rien que de m’imaginer avec un homme qui me surmonte, s’il est debout ou que je surmonte s’il est couché, je bande. Je ne connais qu’un seul moyen de débander : me branler.
J'aime bien me masturber devant une glace pour regarder ma main sur ma bite et l’autre caressant mes couilles, avant d’aller la loger entre mes fesses pour entrer dans mon cul. Pour moi, jouir avec deux doigts dans le cul pendant que je me fais du bien avec la bite c’est le nirvana.
Bien sur ça ne vaut pas le sexe d’une fille bien mouillée qui me transperce l’anus avec ses doigts ou un gode. Ca ne vaut par non plus quand je suis dans son cul pour une bonne sodomie.
Ma main sur la bite, parlons en : je commence toujours par cerner la queue avec tous mes doigts. Le pouce est contre mon ventre et les 4 autres doigts sont autour de ma pine. Je les positionne la plus part du temps juste en bas de la couronne du gland, quand le prépuce est remonté. Je peux bien sentir le prépuce descendre quand il est encore sec, lentement jusqu’à mes couilles. Je remonte le tout pour redescendre de plus en plus vite. Souvent je bloque mes mouvements de vas et viens quand je suis en bas, je tire au maximum jusqu’à avoir presque mal. Quand je remonte ma main, c’est à la fois un soulagement et un plaisir. Que dire quand je vais de plus en plus vite, que je sens le plaisir sur le point d’éclater et que je lâche mon manche. Je ne le lâche pas longtemps, juste pour retarder l’éjaculation qui arrive quelques minutes après que j’ai repris mes allers et venues. J’aime voir dans le miroir le sperme partir en hauteur, bien haut au début et presque plus quand je fini.
J’essaie d’imaginer ce qu’un jet de semence dans ma bouche pourrai me donner comme sensations. Depuis que j’ai pensé au gout, je n’hésite pas à me gouter. Je trouve le sperme gluant, pas très gouteux. Enfin ce n’est pas dégoutant comme je le croyais. J’arrive même à comprendre les filles qui avalent le sperme avec gourmandise.
Enfin un coup de fil. J’ai rendez vous à 3 kilomètres de la ville dans un petit bois. J’y trouve un homme à peu près de mon âge.
Nous nous touchons la main sans nous présenter, après tout nous ne sommes pas là pour faire des politesses. Il sort une couverture de sa voiture. Je précise bien que je ne vais que le sucer, pas autre chose. C’est justement ce qu’il cherche, un type comme moi, un inconnu pour jour ainsi. Il s’allonge après avoir retiré son pantalon et son slip. Il a une belle bite longue est surtout grosse. Je suis accroupi pour le masturber un peu, faire connaissance avec une bite étrangère.
Il me laisse faire un moment. Quand je me couche à plat ventre, à ses cotés, mes pieds vers sa tête, je peux lui prendre la bite d’abord avec la main. Je donne deux ou trois coups de masturbation et j’ouvre la bouche en grand pour avaler ce morceau. Je trouve qu’il a un gout prononcé, ça doit venir de l’urine. Ce n’est pas mortel. Quand je l’ai dans la bouche je me surprends à bander. Je baisse son prépuce avec ma main et l’avale en parti. C’est ma langue qui lèche son gland, je le sens se raidir. Il ne vas pas jouir si vite, je viens à peine de commencer. Non, fausse alerte. Mes lèvres l’entourent pour faire des vas et viens, je sens son bas ventre se porter vers le haut, pour que je le prenne d’avantage. Ma tête fait des allers et retours le long de sa queue qui finalement ne me parait pas plus grosse que la mienne. Celle que je suis obligé de sortir du pantalon tellement je bande.
Il se méprend sur mon geste. Il croit que je veux qu’il me suce aussi. Je suis étonné, alors que j’allais me branler devant lui quand il me prend dans sa bouche. Nous entamons un 69 que je n'avais pas prévu. Sa fellation est très agréable, il agit comme je fais. Je le laisse faire, après tout c’est gratuit pour lui, autant qu’il me paie ainsi.
Je sens dans ma bouche sa bite qui grossit, je pense que je ne vais pas tarder à recevoir mon du.
Je sens sur ma bite sa langue et ses lèvres ainsi qu’une main. Je sens que moi aussi je ne vais pas tarder à jouir.
D’un seul coup son premier jet de semence entre avec une certaine force dans le fond de ma bouche. Je pensais avoir la nausée en le recevant. Rien de cela, j’apprécie au contraire et je le garde jusqu’à ce qu’il ai craché sa dernière goutte. J’avale tout d’une seule gorgée. Ma bite aussi se déleste de ma semence. Il fait presque comme moi, il garde tout dans sa bouche mais le crache à la fin.
Par politesse je lui demande si ça lui a plus : il est près à recommencer.
Moi, j’en sais rien à dire vrai. J’ai tenté une expérience qui dans l’ensemble n’a pas été désagréable. Qu’il rappelle plus tard, je verrai.
Réflexions faites je préfère me remettre avec une fille que je baiserai. J’avais envie d’une nouvelle expérience, je l’ai faite.