Une femme qui croit être dominatrice
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une femme qui croit être dominatrice
Je la croise en revenant du magasin du coin,et sans faire attention, j'ai buté contre elle qui a laisser son sac par terre. Galamment je l`aide et je m`excuse. Sans vouloir, étant penché, j'ai pu remarqué son décolleté entrouvert. Sa jolie poitrine m`apparut comme une révélation. Je fus hypnotisé, me semble avoir resté là 10 min. à regarder. Mais elle se leva et me dit merci avec une voix rassurante. Son regard sensuel savait ce que j`avais aperçu, son décolleté, mais elle se rajusta d'une main, elle me sourit et entreprit la conversation. Qu'elle audace! Toute femme serait parti en courant. Nous avons discuté quelques minutes, je me surpris à lui demander de venir prendre un café à la maison un jour. Je lui ai donc donné mon adresse, qui se trouvais qu'à quelques pas de chez elle. Le lendemain à ma grande surprise, elle cogna à ma porte, je fut stupéfait par sa beauté encore une fois: une femme de rêve interdit par les tabous des déesses de la beauté. Son audace, encore une fois me révèle qu'elle doit être très dominante dans un couple.
Je lui offre un café cognac, question de nous ou de me mettre à l`aise. Assis devant elle, je pouvais admirer ses jambes, sa jupe montait au dessus des genoux, et elle décroisait pour les recroiser de l'autre coté. À ma nature un peu voyeur, je me permettais d` essayer de voir la couleur de la petite culotte, sans me faire remarquer bien sur. Mais sans succès, je ne voyais pas vraiment. Notre conversation se déroula avec un charme.
Je cru même apercevoir qu'elle ralentissait le mouvement de jambes, à cause du cognac ou est-ce pour me laisser voir un peu plus? Après plus d'une heure ainsi et quelques verres de boissons je sentais l'atmosphère se réchauffer. Elle commençait à me parler de sexe, encore une fois l` audace de cette femme me troublait. Je la voulais mais elle prenait de l` avance sur moi. Tout en parlant de sa vie de couple qui était rendu à un stade sans piquant, sans nouveauté elle se rassit adroitement me laissant voir complètement qu'elle était sans culotte féminine. La réaction ne fut longue à venir, je me sentais devenir dur comme un étalon en manque, j` étais même gêné par la situation. Elle me dit carrément: est ce que je te plaît ? Sans dire quoi que ce soit, je m`avançai vers elle, elle me sauta pratiquement dessus, ce baiser passionnel me fît chavirer pour cette déesse. Elle me domine, elle domine la situation: je me sens transporté dans son monde intérieur, son monde de charme, de plaisir, de sensualité. Que je la désirai !!
Je me mis à la caresser doucement, je sentais ses pointes durcies au travers de sa robe encore sur son corps. Je chavirais, mon souffle était court, je la sentais aussi haletante. Son corps me parlait, m`attirait comme une aimant. Je me sentais contrôlé, j`aimais cette situation. C'est alors qu'une idée m'est venu, je l`attirais vers la chambre à coucher, où je la déshabillais avec une lenteur à la faire frissonner. Elle me disait, tu m`excites continue. Sentant sa préférence à prendre les devant, j`essayais de contrôler aussi la situation. Je la mis à nue devant moi, je pris quelques instant pour admirer ce corps d'une beauté quasi parfaite, elle m`attira vers elle et défît mon pantalon, le baissa un peu, jusqu'à découvrir mon érection complète. Elle m'engouffra jusqu'au fond de sa gorge. Ma stupéfaction me fît gémi. Elle me pompa quelques instants, n'étant qu`un homme, la réaction fut vive, je lui pris la tête pour l`enlever de là, par respect, car la jouissance montait rapidement, elle força le va et viens et me fît jouir dans sa bouche. Je faillis tomber par terre! Elle leva les yeux comme pour me dire "je te voulais je t`ai eu". Je repris mes esprits, je continuais à me déshabiller, je lui demandais de fermer les yeux et de s`étendre, je sortsi quatre cravates en soie, je pus contempler son corps encore une fois, j`entrepris de l`attacher au lit " elle me dominait trop" je ne pouvais rien faire par moi-même, un homme se faisant dominer, non pas moi, malgré son charme irrésistible, je la voulais, la désirais. La soie était douce sur sa peau, elle était un peu réticente mais la surprise de la situation la figea sur place,elle me regarda avec méfiance et avec des yeux qui brûleraient le même titan sur place.
Je commencais donc à lui lécher partout, partant des orteils en remontant vers ses cuisses, je caressais doucement cette peau d'une féminité extrême, ses mollets, ses genoux bien dessinés, ses cuisses, quel délice à regarder, encore mieux à donner de petits baiser partout, je profitais de cette déesse encore une fois. Je rêvais de faire l`amour à un ange du ciel, c'était ce qui se passait. Elle retomba dans son petit monde de plaisir, de fantasme. Alors je remontais vers son sexe pour la sentir seulement au passage, la chaleur de ma respiration lui fît bouger du bassin comme pour se donner à moi, maintenant je contrôlais la situation, je continuais à monter, son mont de Vénus me semblait comme un volcan prêt à une éruption, je lui mordais doucement, profitant pour sentir sa féminité, l'odeur me faiait capoter, je caressais encore ses cuisses, ne pouvant me délasser de la forme de celles-ci. Je l`entendais gémir de plaisi, elle savoure elle aussi ce moment de tendresse et de lenteur, elle me supplie de la prendre tout de suite.
Mais non, aimant faire languir, continuais à remonter vers ses seins qui pointe vers le haut comme pour crier leurs manquent d`attention, je caressais du bout de la langue la pointe de l'un d'eux et prenais à pleine main l'autre sein, caressant avec un plaisir fou ce corps plein de désir pour moi. Elle à l'air de perdre la tête, elle délire de plaisir, ce semble être nouveau ce petit jeu de se faire attacher, elle se laisse faire, elle n'a pas le choix. Je remontais vers son visage, lui caressais les lèvres avec mes doigts, je lui chuchotais à l`oreille de petits mots coquins, d`apréciation, d`amour. elle est en extase, elle me supplie de la prendre. Je prends le temps de lui faire sentir mon odeur d`homme viril, elle sait et me sourit de désir. Je la désire aussi, je la violerai d`impatience, mais mon petit jeu dois continuer, sa dominance s`atténue, elle se soumet maintenant, je le ressens. Je commençais à lui mordre le cou et le lobe d`oreille doucement, je sentais les frissons sur son corps car mes mains continuaient d`apprécier ce corps. J`aimais lui respirer à l`oreille et dire de petit mots secret. J`entrepris de descendre encore vers son sexe béant, ouvert, mouillé de désir. Je flattais doucement l'intérieur des cuisses pour remonter lentement vers ses lèvres vaginale, elle se crispait de plaisir, les baisers allait bientôt remplacer la main, je commença à lécher avec une lenteur pour pouvoir goûter chaque partie de son intimité. Je me délectais, je buvais un nectar. Je me sentais devenir comme un colosse qui domine. Elle voulais se faire prendre, mais je continuis ainsi jusqu'à l`orgasme clitoridien que j'aime tant faire éclater. Je monta a son visage pour lui faire goûter ce nectar, elle me mordit la lèvre, non moins tendrement, comme pour se venger de sa perte de domination, j`apprécia ce geste de rudesse, de passion et de volupté sensuelle. Je lui retournais un baiser langoureux qui goûtait aussi un peu le sang. Quel sensation de partage complet entre deux corps que de se donner à fond. J'ai même eu l`audace de lui presenté mon pénis qui dégoulinait de désir, la peur de me faire mordre là aussi me tourmentais: je voulais savoir jusqu'où elle irait, alors frôlant ses lèvres elle me lapa le gland comme pour me dévorer encore une fois. Je m`enfonçais profondément pour savourer la chaleur qu'elle pouvait me procurer.
Ne voulant pas venir encore une fois je soratis, je m`agenouillais devant elle entre ses jambes ouvertes, offertes. Je pris mon pénis et frottais l'intérieur de ses lèvres vaginales. Elle soupirait encore et haletait fortement, me disant d`arrêter de la faire languir, et de la pénétrer. Ce que je fis avec délice, centimètre par centimètre, jusqu'au fond. Un lent va et viens commençait, car j'étais très excité aussi. Je me sentais des plus sensuel sur cette déesse. Je voulais performer, je la désirais. Je m`étendis sur elle pour sentir encore plus la pénétration complète. Elle me regardait dans les yeux, c`était fatidique, je me sentais intégré dans son corps. Je la sentis se crisper encore une fois, elle fût secoué violemment par un orgasme, se contractant le vagin comme pour m`aspirer le sexe au complet. Je jouissais autant qu'elle, le savourais cette instant que je voulais dominer à mon tour, la regardant dans les yeux en lui disant, je te voulais, je t`ai eu.
Femme fatale qu`aucun homme ne peut résister. Je la détachais, elle se sentait affaiblie, mais elle reprit de l`énergie assez rapidement. N`étant pas venu encore, elle me fit coucher sur le dos et me disait laisse toi faire. Elle s`assit sur mon sexe pour entreprendre un rapide va et viens qui butais le fond de son vagin. Ce fût très pénible de tenir cinq minutes à ce train d`enfer, comme si Lucifer s'était déchaîné. Je fût aussi secoué d`un violent orgasme, je me vidais en elle comme un torrent, elle me criait, mais d'une manière sensuelle, t`as voulu me faire souffrir de plaisir, tiens à ton tour. Elle s`abaissa sur moi pour me mordre le cou et l`oreille aussi. Je pouvais lui caresser les fesses à pleine main, lui caresser aussi le dos, ses épaules, sa figure, ses cheveux . Je la virais sur le coté, levant une jambe de ma main libre et reprit la pénétration avant de ramollir. Elle se masturbait le clitoris d'une main caressant au passage mon pénis qui entrait et ressortait de son sexe dégoulinant de notre plaisir commun. Me serrant les testicules parfois comme par vengeance. Je pouvais voir son visage qui appréciait ce moment intime. Je pouvais prendre mon rythme, contrôlant le va et viens, ce fût long à ravoir l`orgasme, mais l'on appréciaient ces longues minutes interminables. Nous avons fini cet après-midi là sous la douche à se laver avec un sensualisme extrême et d'une délicatesse pour découvrir la forme de nos corps. Nous reprîmes de long baiser langoureux comme si personne maintenant ne voulait dominer, seulement se respecter avec ce corps à corps voluptueux et chaleureux. Nous entrepris de baiser sous la douche, sentant l'eau couler sur nos corps, je me mis à la sucer avec délice, l'eau me remplissait la bouche, à la lumière, ce corps luisait, je ne suis pas long à rebander comme ce titan avec le feu et le pouvoir dans le corps.
Elle se laissa aller à ses désirs et ses fantasmes. Elle souleva la jambe contre le mur pour me permettre une pénétration par devant, je la pénétrais avec souplesse, me laissant aussi aller à mes fantasmes moi-aussi.
Je lui offre un café cognac, question de nous ou de me mettre à l`aise. Assis devant elle, je pouvais admirer ses jambes, sa jupe montait au dessus des genoux, et elle décroisait pour les recroiser de l'autre coté. À ma nature un peu voyeur, je me permettais d` essayer de voir la couleur de la petite culotte, sans me faire remarquer bien sur. Mais sans succès, je ne voyais pas vraiment. Notre conversation se déroula avec un charme.
Je cru même apercevoir qu'elle ralentissait le mouvement de jambes, à cause du cognac ou est-ce pour me laisser voir un peu plus? Après plus d'une heure ainsi et quelques verres de boissons je sentais l'atmosphère se réchauffer. Elle commençait à me parler de sexe, encore une fois l` audace de cette femme me troublait. Je la voulais mais elle prenait de l` avance sur moi. Tout en parlant de sa vie de couple qui était rendu à un stade sans piquant, sans nouveauté elle se rassit adroitement me laissant voir complètement qu'elle était sans culotte féminine. La réaction ne fut longue à venir, je me sentais devenir dur comme un étalon en manque, j` étais même gêné par la situation. Elle me dit carrément: est ce que je te plaît ? Sans dire quoi que ce soit, je m`avançai vers elle, elle me sauta pratiquement dessus, ce baiser passionnel me fît chavirer pour cette déesse. Elle me domine, elle domine la situation: je me sens transporté dans son monde intérieur, son monde de charme, de plaisir, de sensualité. Que je la désirai !!
Je me mis à la caresser doucement, je sentais ses pointes durcies au travers de sa robe encore sur son corps. Je chavirais, mon souffle était court, je la sentais aussi haletante. Son corps me parlait, m`attirait comme une aimant. Je me sentais contrôlé, j`aimais cette situation. C'est alors qu'une idée m'est venu, je l`attirais vers la chambre à coucher, où je la déshabillais avec une lenteur à la faire frissonner. Elle me disait, tu m`excites continue. Sentant sa préférence à prendre les devant, j`essayais de contrôler aussi la situation. Je la mis à nue devant moi, je pris quelques instant pour admirer ce corps d'une beauté quasi parfaite, elle m`attira vers elle et défît mon pantalon, le baissa un peu, jusqu'à découvrir mon érection complète. Elle m'engouffra jusqu'au fond de sa gorge. Ma stupéfaction me fît gémi. Elle me pompa quelques instants, n'étant qu`un homme, la réaction fut vive, je lui pris la tête pour l`enlever de là, par respect, car la jouissance montait rapidement, elle força le va et viens et me fît jouir dans sa bouche. Je faillis tomber par terre! Elle leva les yeux comme pour me dire "je te voulais je t`ai eu". Je repris mes esprits, je continuais à me déshabiller, je lui demandais de fermer les yeux et de s`étendre, je sortsi quatre cravates en soie, je pus contempler son corps encore une fois, j`entrepris de l`attacher au lit " elle me dominait trop" je ne pouvais rien faire par moi-même, un homme se faisant dominer, non pas moi, malgré son charme irrésistible, je la voulais, la désirais. La soie était douce sur sa peau, elle était un peu réticente mais la surprise de la situation la figea sur place,elle me regarda avec méfiance et avec des yeux qui brûleraient le même titan sur place.
Je commencais donc à lui lécher partout, partant des orteils en remontant vers ses cuisses, je caressais doucement cette peau d'une féminité extrême, ses mollets, ses genoux bien dessinés, ses cuisses, quel délice à regarder, encore mieux à donner de petits baiser partout, je profitais de cette déesse encore une fois. Je rêvais de faire l`amour à un ange du ciel, c'était ce qui se passait. Elle retomba dans son petit monde de plaisir, de fantasme. Alors je remontais vers son sexe pour la sentir seulement au passage, la chaleur de ma respiration lui fît bouger du bassin comme pour se donner à moi, maintenant je contrôlais la situation, je continuais à monter, son mont de Vénus me semblait comme un volcan prêt à une éruption, je lui mordais doucement, profitant pour sentir sa féminité, l'odeur me faiait capoter, je caressais encore ses cuisses, ne pouvant me délasser de la forme de celles-ci. Je l`entendais gémir de plaisi, elle savoure elle aussi ce moment de tendresse et de lenteur, elle me supplie de la prendre tout de suite.
Mais non, aimant faire languir, continuais à remonter vers ses seins qui pointe vers le haut comme pour crier leurs manquent d`attention, je caressais du bout de la langue la pointe de l'un d'eux et prenais à pleine main l'autre sein, caressant avec un plaisir fou ce corps plein de désir pour moi. Elle à l'air de perdre la tête, elle délire de plaisir, ce semble être nouveau ce petit jeu de se faire attacher, elle se laisse faire, elle n'a pas le choix. Je remontais vers son visage, lui caressais les lèvres avec mes doigts, je lui chuchotais à l`oreille de petits mots coquins, d`apréciation, d`amour. elle est en extase, elle me supplie de la prendre. Je prends le temps de lui faire sentir mon odeur d`homme viril, elle sait et me sourit de désir. Je la désire aussi, je la violerai d`impatience, mais mon petit jeu dois continuer, sa dominance s`atténue, elle se soumet maintenant, je le ressens. Je commençais à lui mordre le cou et le lobe d`oreille doucement, je sentais les frissons sur son corps car mes mains continuaient d`apprécier ce corps. J`aimais lui respirer à l`oreille et dire de petit mots secret. J`entrepris de descendre encore vers son sexe béant, ouvert, mouillé de désir. Je flattais doucement l'intérieur des cuisses pour remonter lentement vers ses lèvres vaginale, elle se crispait de plaisir, les baisers allait bientôt remplacer la main, je commença à lécher avec une lenteur pour pouvoir goûter chaque partie de son intimité. Je me délectais, je buvais un nectar. Je me sentais devenir comme un colosse qui domine. Elle voulais se faire prendre, mais je continuis ainsi jusqu'à l`orgasme clitoridien que j'aime tant faire éclater. Je monta a son visage pour lui faire goûter ce nectar, elle me mordit la lèvre, non moins tendrement, comme pour se venger de sa perte de domination, j`apprécia ce geste de rudesse, de passion et de volupté sensuelle. Je lui retournais un baiser langoureux qui goûtait aussi un peu le sang. Quel sensation de partage complet entre deux corps que de se donner à fond. J'ai même eu l`audace de lui presenté mon pénis qui dégoulinait de désir, la peur de me faire mordre là aussi me tourmentais: je voulais savoir jusqu'où elle irait, alors frôlant ses lèvres elle me lapa le gland comme pour me dévorer encore une fois. Je m`enfonçais profondément pour savourer la chaleur qu'elle pouvait me procurer.
Ne voulant pas venir encore une fois je soratis, je m`agenouillais devant elle entre ses jambes ouvertes, offertes. Je pris mon pénis et frottais l'intérieur de ses lèvres vaginales. Elle soupirait encore et haletait fortement, me disant d`arrêter de la faire languir, et de la pénétrer. Ce que je fis avec délice, centimètre par centimètre, jusqu'au fond. Un lent va et viens commençait, car j'étais très excité aussi. Je me sentais des plus sensuel sur cette déesse. Je voulais performer, je la désirais. Je m`étendis sur elle pour sentir encore plus la pénétration complète. Elle me regardait dans les yeux, c`était fatidique, je me sentais intégré dans son corps. Je la sentis se crisper encore une fois, elle fût secoué violemment par un orgasme, se contractant le vagin comme pour m`aspirer le sexe au complet. Je jouissais autant qu'elle, le savourais cette instant que je voulais dominer à mon tour, la regardant dans les yeux en lui disant, je te voulais, je t`ai eu.
Femme fatale qu`aucun homme ne peut résister. Je la détachais, elle se sentait affaiblie, mais elle reprit de l`énergie assez rapidement. N`étant pas venu encore, elle me fit coucher sur le dos et me disait laisse toi faire. Elle s`assit sur mon sexe pour entreprendre un rapide va et viens qui butais le fond de son vagin. Ce fût très pénible de tenir cinq minutes à ce train d`enfer, comme si Lucifer s'était déchaîné. Je fût aussi secoué d`un violent orgasme, je me vidais en elle comme un torrent, elle me criait, mais d'une manière sensuelle, t`as voulu me faire souffrir de plaisir, tiens à ton tour. Elle s`abaissa sur moi pour me mordre le cou et l`oreille aussi. Je pouvais lui caresser les fesses à pleine main, lui caresser aussi le dos, ses épaules, sa figure, ses cheveux . Je la virais sur le coté, levant une jambe de ma main libre et reprit la pénétration avant de ramollir. Elle se masturbait le clitoris d'une main caressant au passage mon pénis qui entrait et ressortait de son sexe dégoulinant de notre plaisir commun. Me serrant les testicules parfois comme par vengeance. Je pouvais voir son visage qui appréciait ce moment intime. Je pouvais prendre mon rythme, contrôlant le va et viens, ce fût long à ravoir l`orgasme, mais l'on appréciaient ces longues minutes interminables. Nous avons fini cet après-midi là sous la douche à se laver avec un sensualisme extrême et d'une délicatesse pour découvrir la forme de nos corps. Nous reprîmes de long baiser langoureux comme si personne maintenant ne voulait dominer, seulement se respecter avec ce corps à corps voluptueux et chaleureux. Nous entrepris de baiser sous la douche, sentant l'eau couler sur nos corps, je me mis à la sucer avec délice, l'eau me remplissait la bouche, à la lumière, ce corps luisait, je ne suis pas long à rebander comme ce titan avec le feu et le pouvoir dans le corps.
Elle se laissa aller à ses désirs et ses fantasmes. Elle souleva la jambe contre le mur pour me permettre une pénétration par devant, je la pénétrais avec souplesse, me laissant aussi aller à mes fantasmes moi-aussi.
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