Une grosse tâche brillante entre ses cuisses
Récit érotique écrit par lepetitprincesalace [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2023 dans la catégorie En solitaire
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Une grosse tâche brillante entre ses cuisses
Je me sentais d'aller faire un tour au Musée ce jour là. Ça n'était pourtant pas dans mes habitudes, ma simplicité d'esprit ne m'encourageant pas à ce genre de choses. C'était plus le calme qu'on pouvait trouver là-bas qui m'attirait. Un peu comme dans les bibliothèques. Le brouhaha constant des rues me faisait siffler les oreilles et me donnait d'innombrables acouphènes de jour comme de nuit.
Je suis allé me chercher un Irish Coffee dans une espèce de foodtruck garé non loin du Musée et ai tété la moitié d'un cigarillo avant de partir faire mon pseudo-intellectuel.
Je n'avais aucune idée de ce que je regardais d'un air blafard tout en me tordant le cou d'un mur à l'autre de la galerie. Tableaux, sculptures, objets. Rien ne me parlait. J'étais juste venu me dégourdir les jambes dans le silence absolu. C'était ça le pied, le vrai. Parfois il m'arrivait de regarder d'avantage les gens qui eux, regardaient avec intérêt ces choses qui m'étaient indifférentes. J'ai finis par me faire un torticolis. Comme toujours ce genre de choses arrivaient sans prévenir. Ça vous clouait sur place, d'un coup d'un seul. Sec ! Pour ma part c'est arrivé devant l'immense portrait d'une femme entièrement nue. C'était écrit. Je ris et mon rire me fit un mal de chien dans la nuque. Je soupirais et allais m'asseoir sur le banc qui lui faisait face de l'autre côté du couloir. Nous n'étions pas nombreux aujourd'hui. Juste quelques couples de tout âges et un groupe d'étudiants universitaires. Je profitais du vide acoustique tout en me massant le cou quand je l'ai vu bougée. J'ai aussitôt interpellé un couple de vieux propres sur eux qui passait devant pour rendre ma folie réelle ou non.
- Vous aussi vous l'avez vue bougée ? m'écriais-je
Le mari répondit d'un ton surpris.
- Pardon ?
- La femme du tableau, là ! Juste là ! Elle a bougée !
Lui et sa femme jetèrent un regard ahurit sur le tableau en question avant d'en faire autant sur moi.
- Vous êtes timbré mon pauvre, c'est pas un endroit pour les cinglés comme vous !
Il prit la main de sa bonne femme et s'éloignèrent rapidement de moi alors que je feintais la démence en agitant mes mains et grommelais dans ma moustache. Je gloussais puis grimaçais en gémissant de douleur la seconde d'après à cause de mon cou. Puis j'ai à nouveau fixé le tableau. Je me forçais à cligner des yeux le moins possible pour ne pas louper le coche. Là ! Elle avait encore bougée ! J'ai bondis du banc et l'ai pointée du doigt avec toute l'impolitesse que ça impliquait quand le sien se mit à bouger au même moment, me faisant signe d'approcher. Ce que je fis étrangement de manière presque naturelle.
- Qu'est-ce que tu fais ici ? fit-elle
- Comment ça ?
- T'es pas le genre de visiteurs qui traînent habituellement ici.
- Parce qu'il y a un genre ?
- Oui. On reconnaît un amateur d'art comme on reconnaît un poivrot, et de loin.
- Y a un début à tout. Et toi, comment ça se fait que tu parles ?
- C'est vraiment important ?
- Pas vraiment.
- Dis.
- Quoi ?
- Pourquoi les gens compliquent tout ?
(Elle jouait avec ses longs cheveux bruns épais et bouclés)
- J'en sais rien. Mais la question semble déjà bien compliquée en elle même.
- Regarde moi. Je suis une femme, à poil, offerte aux regards pervers de charognards comme toi et pourtant, ils arrivent toujours à chercher plus loin. L'essence du peintre qu'ils appellent ça. La barbe !
Elle a décroisée les jambes en soupirant et écartée ses cuisses. Elle y cachait un beau buisson brun bien taillé qui surplombait sa fente.
- Con ! Au Diable l'essence du peintre ! m'écriais-je
- C'est ça que t'es venu chercher mon cochon ?
- Pas vraiment, mais c'est pas plus mal !
- J'adore m'exhiber, il faudrait plus de visiteurs comme toi ici.
J'enjambais le ruban en velours rouge qui imposait la distance d'interdiction et j'ai commencé à la caresser. Un pied, un mollet, un genoux. Elle accompagnait ma main en bougeant sur sa toile. J'ai finis sur l'intérieur de sa cuisse pulpeuse. Puis j'ai posé ma main sur sa chatte et ai commencé à doucement la frotter dessus, de haut en bas en appuyant avec la base de ma paume. Elle se tortillait en malaxant ses seins flasques. J'ai alors sentis ma main devenir moite. Elle fondait littéralement sur mes doigts quand le gardien arrivait pour tout gâcher.
- Eh ! Vous là ! Vous savez pas lire !? Défense de s'approcher pour toucher aux œuvres !
- Désolé, je suis simple d'esprit.
- Eh bien j'vous l'dis ! Bah les pattes ! Et que j'vous y r'prenne plus !
Impossible de détourner le regard de sa chatte alors que je répondais au gardien dans l'indifférence totale, si bien qu'en m’éloignant j'eus failli me prendre les jambes dans la rambarde. Ça n'était plus qu'une grosse tâche brillante entre ses cuisses. J'ai alors jeté un œil à ma main. Elle brillait, collait et était pleine de peinture. Je l'ai reniflée. Ça sentait la peinture ET la mouille. Le genre de truc qui pouvait facilement remplacer l'addiction à la colle à sniffer ou aux feutres qu'utilisait l'éducation nationale pour nous bourrer le crâne de programmes scolaires. Je lui lançais un clin d’œil et parti faire un tour, histoire de me débarrasser du morpion en uniforme qui me collait aux basques.
Comment pouvait-on être aussi impliqué dans un boulot, quel qu'il soit et aussi merdique puisse-t-il être ? Semer ce gars se révélait définitivement être une cause perdue et donc, une perte de temps. Alors autant tenter le Diable. Je me suis trouvé un coin à l'écart et ai roupillé jusqu'à la fermeture. Qu'est-ce que je ferais pas pour une chatte, même fausse, pensais-je. J'étais bel et bien fou. À mon réveil, le musée avait déjà fermé ses portes depuis un moment et j'étais toujours là. Personne ne m'arrivait à la cheville quand il s'agissait de se planquer. Plus petit, j'étais le roi du cache-cache. Cette sieste avait grandement atténuée mon torticolis et j'avais retrouvé ma liberté de mouvement au niveau du cou. Je baillais, m'étirais et parti à sa rencontre illico. Il faisait sombre. Les couloirs n'étaient éclairés que par les panneaux de sortie de secours, mais c'était largement suffisant pour distinguer ce qu'il fallait.
- T'es encore là toi ? fit-elle sans être surprise mais non sans un sourire de sanctification
- Je peux partir si tu veux.
- Tu bluff très mal.
- Je fais c'que j'peux.
Elle sortit de la toile une jambe après l'autre et nous nous retrouvâmes face à face au beau milieu du couloir désert. Elle était plus grosse et plus grande que ce que le tableau laissait imaginer, et bien plus que moi d'une bonne tête. Elle avait de belles hanches larges et la peau très blanche, d'une douceur qu'on pouvait presque sentir avec les yeux. Quelques grains de beauté parsemaient son corps par ci par là. Son visage était rond, avec les pommettes un peu rouges et contrastait avec son petit nez fin, lui aussi un peu rouge. Son ventre était plat mais embourbé par un voile de graisse, tout comme son gros cul plat. Ses seins, eux, étaient juste parfaits. Bien ronds, un peu laiteux et avec deux beau tétons tout rose. Son regard, lui, était fatigué et ses paupières semblaient peser trois fois leur poids. Elle dégageait cet air serein que dégagent les gens heureux mais fatigués de vivre.
Nous nous collâmes finalement l'un contre l'autre. J'ai commencé à la caresser un peu partout, puis j'ai rapidement glissé ma main pleine de peinture sèche entre ses cuisses. C'était l'Enfer là dessous. Il faisait une chaleur à se brûler les doigts et sa chatte ruisselait déjà comme le Styx. La peinture sur ma main s'est à nouveau liquéfiée. J'ai sortis ma queue sans plus attendre et me suis frotté contre sa cuisse tout en avalant ses seins l'un après l'autre. Puis nous nous allongeâmes. Je calais ma tête entre ses cuisses et commençais à lui béqueter la vulve. Son bouton rose avait déjà montré le bout de son nez comme l’œil vaseux d'un escargot. Je le piégeais entre ma lèvre supérieur et mes dents du haut comme un sachet de snus et l'essorai avec de puissantes contractions de la lèvre tout en la remuant de droite à gauche en tirant vers moi. Son jus s’agglutinait en masse sous ma langue et j'y trempais le pouce avant de venir lui caresser l'anus avec. J'ai tiré sur son buisson et doucement enfoncé mon pouce en le tournant. J'ai remis ça avec deux doigts dans son con fiévreux. Elle grognait. J'avais un mal de chien à respirer, mais c'était bon.
Elle a finit par empoigner mes longs cheveux avant de me tirer vers elle avec une force SURHUMAINE. J'aimais les chattes, mais pas au point d'y perdre la tête et l'ai donc laissée faire sans imposer quelconque résistance. J'ai finis en cuillère dans son dos et la queue pleine de peinture dans son ventre. Ça n'a pas duré bien longtemps, mais c'était suffisant pour nous mettre minable tous le deux. J'avais bien travaillé le terrain et de mon côté, j'étais plus tendu qu'un cerf entre septembre et octobre. Quant à elle, elle n'avait probablement pas baisée depuis je ne sais quand.
Nous nous finîmes à l'unisson. Elle sur ma queue et moi, dans son ventre. Puis elle se mit à ramper de fatigue vers son tableau. Ma queue a doucement glissée hors de son ventre comme un intestin et j'ai commencé à avoir des flashs dans les yeux alors que mon gland vomissait un reste de foutre en convulsant entre ses lèvres grasses.
- EH ! TOI LÀ ! BOUGE PLUS !
C'était le morpion. Il était accompagnés de policiers en civils et venaient de me tomber dessus au plus mauvais moment. Les flashs dans mes yeux n'étaient rien d'autre que les faisceau de leurs lampes torches, qu'ils braquaient sur moi comme des armes à feu. Ça devait sûrement être l'une de leur alarme silencieuse ou je ne sais quel détecteur de mouvements qui m'avait trahit, pensais-je. Je n'eus pas le temps de comprendre ce qu'il se passait qu'ils étaient déjà en train de traîner ma carcasse jusqu'à leur fourgon, la queue à l'air et le pantalon aux chevilles. Je tournais une dernière fois la tête vers elle. Elle avait disparue.
J'ai passé la nuit en cellule. Ils voulaient me coffrer pour atteinte à la pudeur ou quelque chose du genre, ce qui n'avait aucun sens puisque le Musée était fermé au public et que j'étais le seul individu présent au moment des faits. J'étais mal rasé, mal habillé et mon haleine sentais un peu l'alcool. Je tentais de leur servir la soupe du SDF venu voler quelques heures de sommeil à Morphée dans un endroit peinard au chaud et ça leur avait suffit. Je m'en tirais donc avec une simple interdiction à vie de remettre les pieds là bas où dans tout autre musée du pays. J'avais fait d'une pierre deux coups.
Je n'avais pas encore assez de recul pour être sûr de savoir ce qu'il c'était passé la nuit dernière. Avais-je rêvé pendant ma sieste et agis dans mon sommeil ? J'avais un passif de somnambule, alors l'hypothèse semblait plausible. Petit il m'arrivait de me réveiller en pleine nuit et d'aller ouvrir la porte d'entrée pour sortir faire un tour, ou encore de pisser dans les placards.
Je décidais donc de braver l'interdiction à peine sortis de cellule et d'y retourner, priant pour que le morpion soit en repos. Le tableau existait bel et bien. La femme dessus aussi. Mais ça ne voulait rien dire. Puis j'ai croisé son regard et l'ai discrètement vue sourire. Son regard s'est abaissé. Je l'ai suivis du mien et l'ai vue ouvrir ses cuisses discrètement.
Sa chatte bavait encore mon foutre. Je lui montrais ma main tâchée en retour et me mis à rire à plein poumons, me disant que peu de gens pouvaient se vanter de s'être tapé une œuvre d'art, avant d'entendre une voix familière gueuler dans mon dos.
- Encore toi ?!
Le morpion était toujours là.
Je suis allé me chercher un Irish Coffee dans une espèce de foodtruck garé non loin du Musée et ai tété la moitié d'un cigarillo avant de partir faire mon pseudo-intellectuel.
Je n'avais aucune idée de ce que je regardais d'un air blafard tout en me tordant le cou d'un mur à l'autre de la galerie. Tableaux, sculptures, objets. Rien ne me parlait. J'étais juste venu me dégourdir les jambes dans le silence absolu. C'était ça le pied, le vrai. Parfois il m'arrivait de regarder d'avantage les gens qui eux, regardaient avec intérêt ces choses qui m'étaient indifférentes. J'ai finis par me faire un torticolis. Comme toujours ce genre de choses arrivaient sans prévenir. Ça vous clouait sur place, d'un coup d'un seul. Sec ! Pour ma part c'est arrivé devant l'immense portrait d'une femme entièrement nue. C'était écrit. Je ris et mon rire me fit un mal de chien dans la nuque. Je soupirais et allais m'asseoir sur le banc qui lui faisait face de l'autre côté du couloir. Nous n'étions pas nombreux aujourd'hui. Juste quelques couples de tout âges et un groupe d'étudiants universitaires. Je profitais du vide acoustique tout en me massant le cou quand je l'ai vu bougée. J'ai aussitôt interpellé un couple de vieux propres sur eux qui passait devant pour rendre ma folie réelle ou non.
- Vous aussi vous l'avez vue bougée ? m'écriais-je
Le mari répondit d'un ton surpris.
- Pardon ?
- La femme du tableau, là ! Juste là ! Elle a bougée !
Lui et sa femme jetèrent un regard ahurit sur le tableau en question avant d'en faire autant sur moi.
- Vous êtes timbré mon pauvre, c'est pas un endroit pour les cinglés comme vous !
Il prit la main de sa bonne femme et s'éloignèrent rapidement de moi alors que je feintais la démence en agitant mes mains et grommelais dans ma moustache. Je gloussais puis grimaçais en gémissant de douleur la seconde d'après à cause de mon cou. Puis j'ai à nouveau fixé le tableau. Je me forçais à cligner des yeux le moins possible pour ne pas louper le coche. Là ! Elle avait encore bougée ! J'ai bondis du banc et l'ai pointée du doigt avec toute l'impolitesse que ça impliquait quand le sien se mit à bouger au même moment, me faisant signe d'approcher. Ce que je fis étrangement de manière presque naturelle.
- Qu'est-ce que tu fais ici ? fit-elle
- Comment ça ?
- T'es pas le genre de visiteurs qui traînent habituellement ici.
- Parce qu'il y a un genre ?
- Oui. On reconnaît un amateur d'art comme on reconnaît un poivrot, et de loin.
- Y a un début à tout. Et toi, comment ça se fait que tu parles ?
- C'est vraiment important ?
- Pas vraiment.
- Dis.
- Quoi ?
- Pourquoi les gens compliquent tout ?
(Elle jouait avec ses longs cheveux bruns épais et bouclés)
- J'en sais rien. Mais la question semble déjà bien compliquée en elle même.
- Regarde moi. Je suis une femme, à poil, offerte aux regards pervers de charognards comme toi et pourtant, ils arrivent toujours à chercher plus loin. L'essence du peintre qu'ils appellent ça. La barbe !
Elle a décroisée les jambes en soupirant et écartée ses cuisses. Elle y cachait un beau buisson brun bien taillé qui surplombait sa fente.
- Con ! Au Diable l'essence du peintre ! m'écriais-je
- C'est ça que t'es venu chercher mon cochon ?
- Pas vraiment, mais c'est pas plus mal !
- J'adore m'exhiber, il faudrait plus de visiteurs comme toi ici.
J'enjambais le ruban en velours rouge qui imposait la distance d'interdiction et j'ai commencé à la caresser. Un pied, un mollet, un genoux. Elle accompagnait ma main en bougeant sur sa toile. J'ai finis sur l'intérieur de sa cuisse pulpeuse. Puis j'ai posé ma main sur sa chatte et ai commencé à doucement la frotter dessus, de haut en bas en appuyant avec la base de ma paume. Elle se tortillait en malaxant ses seins flasques. J'ai alors sentis ma main devenir moite. Elle fondait littéralement sur mes doigts quand le gardien arrivait pour tout gâcher.
- Eh ! Vous là ! Vous savez pas lire !? Défense de s'approcher pour toucher aux œuvres !
- Désolé, je suis simple d'esprit.
- Eh bien j'vous l'dis ! Bah les pattes ! Et que j'vous y r'prenne plus !
Impossible de détourner le regard de sa chatte alors que je répondais au gardien dans l'indifférence totale, si bien qu'en m’éloignant j'eus failli me prendre les jambes dans la rambarde. Ça n'était plus qu'une grosse tâche brillante entre ses cuisses. J'ai alors jeté un œil à ma main. Elle brillait, collait et était pleine de peinture. Je l'ai reniflée. Ça sentait la peinture ET la mouille. Le genre de truc qui pouvait facilement remplacer l'addiction à la colle à sniffer ou aux feutres qu'utilisait l'éducation nationale pour nous bourrer le crâne de programmes scolaires. Je lui lançais un clin d’œil et parti faire un tour, histoire de me débarrasser du morpion en uniforme qui me collait aux basques.
Comment pouvait-on être aussi impliqué dans un boulot, quel qu'il soit et aussi merdique puisse-t-il être ? Semer ce gars se révélait définitivement être une cause perdue et donc, une perte de temps. Alors autant tenter le Diable. Je me suis trouvé un coin à l'écart et ai roupillé jusqu'à la fermeture. Qu'est-ce que je ferais pas pour une chatte, même fausse, pensais-je. J'étais bel et bien fou. À mon réveil, le musée avait déjà fermé ses portes depuis un moment et j'étais toujours là. Personne ne m'arrivait à la cheville quand il s'agissait de se planquer. Plus petit, j'étais le roi du cache-cache. Cette sieste avait grandement atténuée mon torticolis et j'avais retrouvé ma liberté de mouvement au niveau du cou. Je baillais, m'étirais et parti à sa rencontre illico. Il faisait sombre. Les couloirs n'étaient éclairés que par les panneaux de sortie de secours, mais c'était largement suffisant pour distinguer ce qu'il fallait.
- T'es encore là toi ? fit-elle sans être surprise mais non sans un sourire de sanctification
- Je peux partir si tu veux.
- Tu bluff très mal.
- Je fais c'que j'peux.
Elle sortit de la toile une jambe après l'autre et nous nous retrouvâmes face à face au beau milieu du couloir désert. Elle était plus grosse et plus grande que ce que le tableau laissait imaginer, et bien plus que moi d'une bonne tête. Elle avait de belles hanches larges et la peau très blanche, d'une douceur qu'on pouvait presque sentir avec les yeux. Quelques grains de beauté parsemaient son corps par ci par là. Son visage était rond, avec les pommettes un peu rouges et contrastait avec son petit nez fin, lui aussi un peu rouge. Son ventre était plat mais embourbé par un voile de graisse, tout comme son gros cul plat. Ses seins, eux, étaient juste parfaits. Bien ronds, un peu laiteux et avec deux beau tétons tout rose. Son regard, lui, était fatigué et ses paupières semblaient peser trois fois leur poids. Elle dégageait cet air serein que dégagent les gens heureux mais fatigués de vivre.
Nous nous collâmes finalement l'un contre l'autre. J'ai commencé à la caresser un peu partout, puis j'ai rapidement glissé ma main pleine de peinture sèche entre ses cuisses. C'était l'Enfer là dessous. Il faisait une chaleur à se brûler les doigts et sa chatte ruisselait déjà comme le Styx. La peinture sur ma main s'est à nouveau liquéfiée. J'ai sortis ma queue sans plus attendre et me suis frotté contre sa cuisse tout en avalant ses seins l'un après l'autre. Puis nous nous allongeâmes. Je calais ma tête entre ses cuisses et commençais à lui béqueter la vulve. Son bouton rose avait déjà montré le bout de son nez comme l’œil vaseux d'un escargot. Je le piégeais entre ma lèvre supérieur et mes dents du haut comme un sachet de snus et l'essorai avec de puissantes contractions de la lèvre tout en la remuant de droite à gauche en tirant vers moi. Son jus s’agglutinait en masse sous ma langue et j'y trempais le pouce avant de venir lui caresser l'anus avec. J'ai tiré sur son buisson et doucement enfoncé mon pouce en le tournant. J'ai remis ça avec deux doigts dans son con fiévreux. Elle grognait. J'avais un mal de chien à respirer, mais c'était bon.
Elle a finit par empoigner mes longs cheveux avant de me tirer vers elle avec une force SURHUMAINE. J'aimais les chattes, mais pas au point d'y perdre la tête et l'ai donc laissée faire sans imposer quelconque résistance. J'ai finis en cuillère dans son dos et la queue pleine de peinture dans son ventre. Ça n'a pas duré bien longtemps, mais c'était suffisant pour nous mettre minable tous le deux. J'avais bien travaillé le terrain et de mon côté, j'étais plus tendu qu'un cerf entre septembre et octobre. Quant à elle, elle n'avait probablement pas baisée depuis je ne sais quand.
Nous nous finîmes à l'unisson. Elle sur ma queue et moi, dans son ventre. Puis elle se mit à ramper de fatigue vers son tableau. Ma queue a doucement glissée hors de son ventre comme un intestin et j'ai commencé à avoir des flashs dans les yeux alors que mon gland vomissait un reste de foutre en convulsant entre ses lèvres grasses.
- EH ! TOI LÀ ! BOUGE PLUS !
C'était le morpion. Il était accompagnés de policiers en civils et venaient de me tomber dessus au plus mauvais moment. Les flashs dans mes yeux n'étaient rien d'autre que les faisceau de leurs lampes torches, qu'ils braquaient sur moi comme des armes à feu. Ça devait sûrement être l'une de leur alarme silencieuse ou je ne sais quel détecteur de mouvements qui m'avait trahit, pensais-je. Je n'eus pas le temps de comprendre ce qu'il se passait qu'ils étaient déjà en train de traîner ma carcasse jusqu'à leur fourgon, la queue à l'air et le pantalon aux chevilles. Je tournais une dernière fois la tête vers elle. Elle avait disparue.
J'ai passé la nuit en cellule. Ils voulaient me coffrer pour atteinte à la pudeur ou quelque chose du genre, ce qui n'avait aucun sens puisque le Musée était fermé au public et que j'étais le seul individu présent au moment des faits. J'étais mal rasé, mal habillé et mon haleine sentais un peu l'alcool. Je tentais de leur servir la soupe du SDF venu voler quelques heures de sommeil à Morphée dans un endroit peinard au chaud et ça leur avait suffit. Je m'en tirais donc avec une simple interdiction à vie de remettre les pieds là bas où dans tout autre musée du pays. J'avais fait d'une pierre deux coups.
Je n'avais pas encore assez de recul pour être sûr de savoir ce qu'il c'était passé la nuit dernière. Avais-je rêvé pendant ma sieste et agis dans mon sommeil ? J'avais un passif de somnambule, alors l'hypothèse semblait plausible. Petit il m'arrivait de me réveiller en pleine nuit et d'aller ouvrir la porte d'entrée pour sortir faire un tour, ou encore de pisser dans les placards.
Je décidais donc de braver l'interdiction à peine sortis de cellule et d'y retourner, priant pour que le morpion soit en repos. Le tableau existait bel et bien. La femme dessus aussi. Mais ça ne voulait rien dire. Puis j'ai croisé son regard et l'ai discrètement vue sourire. Son regard s'est abaissé. Je l'ai suivis du mien et l'ai vue ouvrir ses cuisses discrètement.
Sa chatte bavait encore mon foutre. Je lui montrais ma main tâchée en retour et me mis à rire à plein poumons, me disant que peu de gens pouvaient se vanter de s'être tapé une œuvre d'art, avant d'entendre une voix familière gueuler dans mon dos.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire, très rigolote !
Génial ! C’est très bien écrit ! Bravo!
Super chouette! Originale et bien écrite ! Merci!