Une jeune fille pas trop sage

- Par l'auteur HDS Lamiche31 -
Récit érotique écrit par Lamiche31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une jeune fille pas trop sage Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une jeune fille pas trop sage
J’allais avoir 18 ans dans quelques mois, j'avais passé mon bac l'été précédent avec mention bien et avec un an d'avance. Après Le divorce de mes parents, j'habitais chez ma mère mais je pouvais aller dormir chez mon père comme je voulais, les deux habitations étaient à 2 ou 3 km l'une de l'autre.
J'avais connu le sexe deux ans avant donc assez jeune avec Jean-François de cinq ans mon ainé ; j'ai eu un véritable coup de foudre, entre notre premier baiser et mon dépucelage il s'est passé le temps de se déshabiller, je voulais que ce soit lui et ce fut lui. Nous sommes resté ensemble plus de neuf mois avant que nos routes divergent pour un temps pour se retrouver plus tard. J'ai su dès le premier jour que c'était l'homme de ma vie, il a fallu plusieurs mois pour que la réciproque soit vraie. Mais bon, j'étais très jeune, j'avais le monde à découvrir et même mon immense amour ne pouvait m’empêcher d'essayer de le découvrir. Régulièrement, lorsqu'on se voyait, on refaisait l'amour ensemble, par envie et pour garder le contact, je ne voulais surtout pas le perdre.
Peu après leur divorce, mon père s'était mis avec une femme qui ne nous aimait pas ma sœur et moi et on le lui rendait bien. Lorsqu'il nous annonça son mariage en nous demandant de ne pas venir perturber la cérémonie, je lui en ai voulu énormément, ensuite lorsque la marâtre est tombée enceinte, ce fut l'apogée.
J'étais venu dormir un vendredi soir ou plutôt un samedi matin de bonne heure, la soirée en boîte s'était terminée sans conquête malgré de nombreux prétendants qui n'avait qu'une envie, me baiser plutôt que rentrer et se masturber. Je pouvais coucher le premier soir sans état d'âme , encore fallait-il qu'un gars me plaise suffisamment et sache éveiller mes envies, ce ne fut pas le cas ce soir-là. Je n'attendais pas de tomber amoureuse pour prendre un amant d'un soir ou plus, j’étais toujours amoureuse de celui qui m'avait dépucelée, j’avais des coups de cœur, c'était déjà beaucoup. J'étais souvent attirée par des hommes beaucoup plus vieux que moi, le dernier régulier avait vingt ans de plus que moi.
Lorsque je me suis réveillée, je pensais être seule, mon père médecin travaillait le samedi matin et sa femme faisait les courses pour le w.e., je suis arrivée dans la cuisine pour mon petit-déjeuner, un petit T-shirt pour le haut sans rien dessous et une petite culotte minimaliste sur les fesses. Je suis tombée nez à nez avec Riccardo, un ami brésilien de mon père. Il avait 50 ans environ , artiste peintre de son état et en France depuis 30 ans, je le connaissais depuis toujours et l'aimais beaucoup, un tonton qui n'en était pas un, je n'avais aucune famille proche vers chez nous, les copains de nos parents nous servaient d'oncles et de tantes de substitution. Je lui ai fait de grosses bises sur les deux joues et j'ai senti un gêne de sa part lorsque ma poitrine est venue se frotter contre la sienne. « tiou es dé plou en plou bella ma pétité Martine » je lui ai répondu que pour un vieux de 50 ans il était pas mal non plus et qu'il pourrait faire le bonheur de jeunes femmes, il n'aurait pas eu le teint brésilien, je l'aurais vu rougir. J'ai minaudé un moment, je voyait son regard passer de ma poitrine à peine cachée à mes fesses mises en valeur par ma minuscule culotte.
Je me suis approchée de lui, j'ai passé mes bras autour de son cou en lui couvrant le visage de chastes baisers pour finir sur sa bouche. Il était figé, j'ai repris mon baiser mais en appuyant et en mettant ma langue, sa bouche s'est ouverte et on a échangé notre premier vrai baiser. Il s'est écarté en me disant « il né faut pas ma pétité Martine, jé souis ouné ami dé toun padré, cé n'est pas bien ». Je me suis approchée à nouveau, mes seins contre sa poitrine et lorsque je l'ai embrassé, il m'a serré dans ses bras. Je l'ai attrapé par la main en lui disant « viens », il m'a suivi dans ma chambre que j'ai verrouillée aussitôt.
Là, je l'ai attiré sur mon lit, j'ai enlevé mon T-shirt, il ne me restait que ma petite culotte, il s’est mis aussi torse nu. Lorsque ses lèvres se sont posées sur mes tétons, je savais qu'il allait être mon amant. Sa bouche butinait mes seins pendant que sa main descendait sous ma culotte, elle est arrivé en contact avec mes poils, j'ai écarté les cuisses, un doigt est passé dans ma fente en même temps qu'une décharge électrique traversait mon corps. Ma culotte est venu rejoindre mon T-shirt et sa bouche a remplacé ses doigts. Sa langue est passée du clito jusqu'au bord de ma petite rondelle, elle a exploré tous les recoins de ma jeune chatte, elle a fait une intrusion dans mon vagin avant de s'attarder sur mon clito, j'ai eu un orgasme fulgurant. À ses gestes, j'ai compris qu'il finissait de se déshabiller, il est passé sur moi et innocemment il m'a demandé si j'étais vierge, je lui ai répondu « ne t'inquiète pas et en plus je prend la pilule ». Lorsque son gland s'est incrusté entre mes petites lèvres mes premières impressions étaient les bonnes, il était monté comme un bourricot. Quelle formidable sensation lorsque son phallus s'est enfoncé dans mon jeune vagin, je n'avais jamais ressenti un truc pareil et lorsque son sexe est entré au maximum, j'ai eu mon 2ème orgasme. À chacun de ses coups de bite je devenait folle de plaisir et lorsqu'il a éjaculé j'étais à deux doigts de m'évanouir.
Il y a eu un moment de gêne de sa part lorsqu'on s'est retrouvé nus et enlacés. Il a repris son couplet sur son amitié avec mon père, je n'ai pas osé lui dire que c'était cette amitié qui m'avait donné envie de coucher avec son pote de 5 ans plus vieux que lui. Je devinais que si mon père était au courant, il serait furieux et ça, ça m'excitait, en plus, Ricardo était un amant d'exception ne serait-ce que par la dimension de son sexe. Je savais déjà que je ferais tout pour refaire l'amour avec lui.
On a du se rhabiller de peur du retour de ma belle-mère. Pendant les repas durant ce w.e. on se souriait, la nuit aucun de nous deux n'avait osé venir rejoindre l'autre dans sa chambre, j'ai espéré sa venue sans y croire, toutes les chambres étaient occupées et les risques étaient grands d’être surpris.
Je connaissais son atelier de peinture pour y avoir été avec mes parents et le lundi en début d'après-midi je sonnais à sa porte sans aucune hésitation. Il a eu l'air surpris de me voir, je suis rentrée en lui faisant un bisou sur la bouche, là il m'a dit de ne pas passer à l'improviste que souvent il y avait des modèles qui posaient pour lui, il fallait que je le prévienne à l'avance, et bien, j'ai répondu, je te préviens, je passerai tous les après-midi du lundi au vendredi jusqu'à nouvel ordre.
Il s'est marré, m'a prise dans ses bras pour m'embrasser puis il m'amena derrière le paravent où il y avait un lit. Je pense qu'il ne lui servait pas qu'à dormir et que beaucoup de ses modèles avaient du finir la séance de pose dedans. Je lui ai dit de ne pas bouger, devant lui j'ai commencé un striptease et une fois nue, je l'ai déshabillé, lorsqu'il ne lui ait plus resté que son caleçon, je ne suis mise à genoux devant lui pour le baisser lentement. Lorsque brusquement son sexe s'est libéré, j'ai eu sous mes yeux la bête en érection qui m'avait fait jouir si fortement deux jours plus tôt. Le samedi, je l'avais vue mais uniquement au repos après s'être vidée dans mon minou. N'osant pas l'avaler, j'ai commencé à lui donner des bisous sur le gland et tout le long de la tige sans oublier les testicules aussi imposantes que le reste. Ensuite, j'ai commencé à agacer le gland par des petits coups de langue avant de tenter une première intrusion dans ma bouche.
Slup çà y était le gland était rentré mais je ne voyais pas comment faire avec tout le reste. Il me disait « né t'inquièté pas, vas-y doucément, habitiou toi c'est bien tiou mé sucé bien ma bella Martine, il me tenais la tête entre ses mains pour me montrer comment dompter sa bête. Au bout d'un moment , il m'a demandé de me coucher et est venu à son tout honorer mon minou. J'ai joui à nouveau à son premier coup de langue et je lui ai demandé de venir me baiser. À nouveau, j'ai retrouvé cette sensation extraordinaire lorsque son sexe s'est enfoncé dans mon vagin, j'écartai les cuisses au maximum pour lui permettre de me pénétrer encore plus. J'ai joui deux fois, la première sous ses coups puissants la seconde lorsque son jet m'a inondé le sexe. Après, plus de gêne, je me baladai nue dans son atelier, il me suivait du regard, je revenais à ses côtés lui faire des bisous de partout, j'aimais bien sucer sa verge au repos, la sensation était très différente et c'était fabuleux à la voir se redresser rapidement. Je me suis mise à cheval sur lui, j'ai attrapé son phallus à nouveau droit comme un I et je me suis empalée dessus. Je devenais rapidement accro ce sexe hors commun.
Couché à mes côtés, il m'a dit m'avoir toujours aimée comme la fille de son ami et jusqu'à samedi ne pensait pas avoir le bonheur de m'aimer physiquement. « Moi aussi je t'aime beaucoup mon tonton d'Amérique et maintenant j'adore ton gros truc ».
Cinq après-midi par semaine j'allais dans son atelier, on baisait comme des bêtes ses dimensions ne me faisait plus peur, j'adorais lorsqu'on se retrouvait en 69, moi sur lui, les jambes bien écartées et son sexe devant ma bouche, je l’embrassais de partout, suçais ce qui pouvait rentrer dans ma bouche, j’étais folle de ce concombre vivant, lui avec ses lèvres épaisses il embrassait ma vulve, j'avait la sensation d'une ventouse avec une langue qui en sortait pour lécher de partout. Dans cette position, il aimait mettre sa langue sur ma petite étoile puis la faire pénétrer dans mon conduit anal, avec lui, je je n’avais aucune pudeur, de toute manière il m'avait vu nue lorsque j'étais bébé puis gamine, enfant j'avais même fait la sieste dans ce lit qui accueillait maintenant nos balises torrides. Au bout d'un mois environ, il a même réussi avec d'infinis précautions et de la patience à m'enculer. Apres m'avoir bien préparée avec la langue et ses doigts, il m'a demandé s'il pouvait essayer et si mon cul était vierge. J'ai répondu oui à la première question et non à la seconde, quelques amants précédents avaient eu l'honneur de passer par là. Et bien, la petite Martine après beaucoup de temps a réussi à faire rentrer ce pieu énorme presque en entier. Je n'ai jamais joui de cette manière mais la sensation compensait le reste.
Un merctredi, nous venions de faire l'amour, j'étais encore toute tremblante dans ses bras lorsqu'il y eu des coups frappés sur la porte. À la manière dont ils étaient donnés Ricardo me dit « piounaise c'est toun padré. Il s'est rhabillé en vitesse pour aller ouvrir, moi j’ai pris mes vêtements pour les glisser sous le lit puis je me suis mise sous les draps. J'entendais mon père et sa femme discuter avec mon amant, il leur expliquait qu'une jeune modèle était dans son lit après avoir posé. Mon père tout haut à l'intention de ce modèle se marrait en lançant tout haut des réflexions très limites , « encore une oie blanche qui a succombé à ton charme brésilien ou à ta bête monstrueuse, je peux regarder à quoi elle ressemble, d'habitude tu aime bien me montrer la plastique de tes conquêtes à poil dans ton lit » « excusé moi, cé n'est pas possible cetté fois, c'est la prémièré fois qu'ellé vient, ellé est très timidé » j'ai deviné que mon père passait une tête derrière le paravent, Ricardo s'est mis en travers pour l'empêcher d'aller tirer sur les draps, j'étais recroquevillée, la tête cachée dans mes bras ; me voyant nue souvent, il m'aurait reconnu immédiatement avec ou sans la tête. Ils ont fait exprès de trainer, mon père espérant sans doute que la demoiselle finirait par se lasser et viendrait dire bonjour, enroulée dans le drap. Le dimanche suivant, pendant le repas mon père relatait l'anecdote à voie haute en rigolant, avec Ricardo on se regardait en se faisant des petits signes.
Un jour, alors qu'on faisait l'amour, j'avais mes jambes qui le bloquait au niveau de ses fesses, je le serrais très fort dans mes bras, son sexe me pénétrait très puissamment à chaque coup de rein, j'ai senti la jouissance arriver d’un seul coup, mes fesses se sont soulevées vers lui , il est parti en même temps que moi, je lui ai dit « je t'aime mon tonton d’Amour, continue, c'est trop bon » « je t'aime aussi ma touté bella ». Une fois rassasiés, Il m'a prise dans ses bras en me disant « on né s'aimé pas, ma touté bella, on a dit ça parcequ'oun baisé biene ensemblé. Tiou aimé ton copain, nous, c'est physique. Tiou aimé jouir avec moua , moi aussi, j'adore té faire l'amor, tiou es jeune, moa vieux. On sé dit des mots qu'oun dit pendant l'amor et qu'oun né pensé pas vraiment ». J'ai du le penser sincèrement tellement ma jouissance était forte avec lui; au bout d'un moment, mes sentiments s'emmêlaient, je l'aimais parce que je l'aimais depuis toute petite, parce que je commençais à en être amoureuse ou parce qu’il me baisait d'une manière divine, j'étais qu'en même lucide, je savais que cette parenthèse se refermerait un jour prochain, alors j'en profitais.
Effectivement, lorsque je faisais l'amour avec mon ex et futur, je prenais beaucoup de plaisir, mes orgasmes étaient moins violent mais je l'aimais vraiment.
En dehors de sa peinture, il s'intéressait à beaucoup de choses, la musique, grâce à un autre peintre ami de mon père également et pianiste à l'oreille, la cuisine, il arrivait à faire un plat délicieux aux saveurs de son pays d'origine avec trois fois riens, rapidement j'ai pris l'habitude de venir manger avec lui plutôt qu'au resto U. Je puisais dans mon argent de poche assez généreux pour ne pas venir â sa table les mains vides, je devins une bonne cliente de la petite épicerie arabe pas loin de chez lui. J'adorais manger nue devant Ricardo, lui sans doute gêné par son âge gardait quelques vêtements. Il s'intéressait aussi à tout ce qui touchait l'industrie et la mécanique. Mon amoureux de toujours que je voyais de temps en temps était dans une école d'aviation et Ricardo était béat de savoir que des gens « normaux » sachent conduire des avions, des trains ou des engins spéciaux, je lui disais que lui, il en maîtrisait un en permanence et d'une manière magistrale. Il s'intéressait à tout ce que je faisais, je lui racontais que parfois le w.e. Je finissais la nuit avec un gars de mon âge ou avec mon ex dont j'étais toujours amoureuse. Il me disait qu'à mon âge, j'avais raison de profiter de la vie en général et du sexe en particulier.
J'aimais Ricardo toujours comme un tonton mais j'aimais le Ricardo amant pour tous les après-midi de bonheur que j'ai eu dans ses bras, des dizaines d'années plus tard, alors qu'il est mort depuis longtemps, je pense souvent à lui comme l'homme gentil, doux et respectueux et comme l'amant unique de ma vie.
Le jour de mes 18 ans, je suis arrivée les bras chargés de champagne et victuailles, après avoir fêter copieusement cet événement, il m'a couché sur son lit et a dégusté tous les cm de mon corps. Ensuite, il m’a fait poser nueet a fait un tableau au corps ressemblant mais avec un visage différent et un autre vêtue avec ma tête. Ce dernier tableau a été son cadeau, il est toujours accroché en bonne place chez moi, je ne pourrais jamais le vendre bien que le prix de ses tableaux atteint des sommes intéressantes.
Avant de partir, je lui ai dit que j'allais être obligée d’espacer mes visites puis de les arrêter, mes partiels approchaient et j'avais accumulé énormément de retard du moins dans ces cours là.
Tiou é libré ma bellissima, tiou m'as fait passer des mois merveilleux, réussis té examens, sois heureuse , tiou restéras toujours ouna merveilleuse parenthèse dane ma vie.
J'ai diminué mes visites, un vendredi, alors que je n'étais pas venue de la semaine, on savait tous les deux que c'était notre dernière journée d'intimité. Je ne sais pas s'il avait pris des substances mais il n'a pas arrêté de la journée, c'était en quelque sorte le bouquet final. On était ému tous les deux au moment de se quitter. Le soir chez ma mère j'avais la bouche, la chatte et le cul en feu et très nostalgique.
En discutant avec ma sœur peu de temps après la fin de notre liaison, je lui ai raconté que j'avais été la maîtresse de Ricardo pendant 3 mois, elle s'est marré, elle avait couché avec lui 3 ou 4 fois quelques mois avant moi toujours pour faire chi.. notre père, même sans lui dire. Elle a rajouté qu'elle était persuadée que notre mère avait aussi couché avec lui après son divorce, Ricardo ne s'en est pas vanté.
La femme de mon père a réussi à le faire fâcher avec tous ses vieux amis, Ricardo en premier, ma mère lui est restée fidèle en amitié, régulièrement elle allait le voir dans le petit village des Alpes qui cachait sa vieillesse et sa déchéance physique.
Il était à mon mariage, on se souriait par moments, il est devenu copain avec mon mari. On s'est donné de nos nouvelles jusqu'à ce que son état de santé l'en empêche.
Par ma mère j'ai appris sa date de naissance, lorsque j'avais 18 ans, il en avait 53 mais même 60, je l'aurais fait, en premier contre mon père, ensuite pour ses performances au lit que j'ai découvertes dès le premier rapport.
j'avais eu avant lui quelques amants beaucoup plus vieux que moi, Ricardo n'a pas été le dernier, aujourd'hui à mon âge je ne pourrais plus avoir un amant de vingt ans où trente dans mon lit, il faudrait que je fasse les maisons de retraite.

Les avis des lecteurs

Merci pour ce nouveau récit .... toujours terriblement excitant !



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