Vacances avec Caline 3/4

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Vacances avec Caline 3/4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances avec Caline 3/4
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))


Résumé :
Après une partie à 4 mémorable. Julie et ses amis sont décidés à remettre ça.


Chapitre 3 : on remet ça

10.07.99

Le moment "fatidique" (si je puis dire) en début de soirée, est arrivé. Nous nous étions réunis tous les quatre dans la chambre de notre lieu de séjour, car notre chambre et avec un grand lit, pour rebaiser ensemble. Quoi que même sans un grand lit, le résultat sera kif-kif.
Le côté préparé et non spontané comme cela été le cas la dernière fois fait qu'il régne ici une toute autre ambiance et surtout le fait que cette nouvelle rencontre est moins sponsorisée (nous sommes tous sobres) du moins, moins pétés que la fois précedenante.
Nous étions néanmoins tous très excités et déshinibés grâce à un petit verre (non pas plus) et un petit... Oui je sais, c'est un produit illégal mais assez inoffensif... Toujours est-il que je ne le conseille pas.
Bref,
Nous nous sommes déshabillés après quelques blagues et un fou-rire entre bons amis pour détendre l'ambiance, Caline commence par nous sucer.
Elle nous pompe comme une affamée et fait rouler sa langue experte sur nos glands.
Émric l'allonge ensuite sur le dos et l'encule direct sans préavis. Fabien et moi nous avons pris place de part et d'autre pour qu'elle continue à nous pomper, à nous branler.
On alterne chacun à notre tour, lui baisant sa chatte et son cul. Ça commence bien... Un pur régal !
Maintenant qu'on savait à quel point Caline est une chaudasse, on la bourre sans aucune retenue.
On se sert d'elle pour se faire, nous faire, du bien sans penser à autre chose ou du moins, juste lui pêter la rondelle.
On n'a aucun scrupule, sachant que c'est exactement ce qu'elle veut. Elle n'hésite d'ailleurs pas à nous le rappeler :

— Allez ! Baisez-moi ! Je suis votre poupée ! Votre jouet ! Donnez-moi vos bites... Et crachez votre vénin qui donne vie !

On la prend dans toutes les positions :
En missionnaire, en levrette, nous chevauchant aussi bien de face que de dos...
Caline fait entendre son bonheur sur nos queues comme une chienne en chaleur prise par un clebs. Elle est étonnamment resplendissante. Nous sommes tout simplement emporté par notre luxure.
Lorsque Fabien et moi la pénétrant ensemble, elle explose de bonheur :

— Putain ! Ce n'est pas trop tôt ! Vous auriez dû commencer par ça !

On la ramonne par tous les trous pour la rendre complètement dingue, hystérique, demandeuse.
À un moment, Fabien la prend debout par devant en la portant à bout de bras. Émric et moi échangions nos places pour lui remplir le cul.
On la faisait monter et descendre sur nos bites pendant qu'elle s'accroche désespérément à nous.

— Ahhh... Bande de salauds ! Vous me faites jouir ! Aaaaah ! Encore ! Encore !

Quand je laisse ma place et que je me retrouve à admirer la prise de Caline, je me suis surpris à prendre plus de plaisir à la regarder et en me branlant, que de planter mon zob dans son corps.
C'est comme si j'assistais à un film porno en direct dont la star n'était autre que la future mère de mes enfants.
Cela me donne sur le coup une idée perverse. Je sors mon caméscope pour filmer cette scène.
Caline, cette demoiselle farouche, bien qu'elle ne soit pas aussi farouche qu'elle le laisse voir, est complètement soumise à nos vers à deux boules, entrain de se faire défoncer par deux brutes (oui... moi chui entrain d'immortaliser !).
Elle se laisse totalement faire, tout ce qu'on veut, ce qu'on lui ordonne, ce qu'elle veut et ce qu'elle nous supplie de lui faire.
Émric prend le relais en tant que caméraman lorsqu'il voit que j'en peux plus de les voir. Ainsi on a réussi à enregistraer tout le reste de nos ébats. Caline ne pouvait faire aucune objection (cette peur de se retrouver sur des sites X... N'existait pas encore).
Cela restera pour toujours entre nous de toute façon.
On a même inventé une nouvelle position, du moins c'était ľidée de Fabien. Il a eu l'idée d'une position complètements saugrenue, du moins, une position que je ne me rappel pas d'avoir vu dans un film de cul.
Il nous demande à Émric et moi de croiser nos mains, pour pouvoir porter Caline qui a ses bras autour de nos épaules pour se maintenir, tandis qu'elle écartait ses cuisses pour offrir sa chatte. Il la baise alors comme un dératé ainsi en suspension.
Elle a l'air... Non... J'en suis même certain... Qu'elle prend un pied d'enfer à ce faire éclater la moule ainsi. On essaye chacun à notre tour. Après cela, on la redépose sur le lit, et continons à lui ravager tous ses trous
Je ne sais plus combien de temps on a copulé ainsi, la baisant à deux alors que le troisième récupére ses forces après lui avoir jouis dessus.
C'est encore plus intense que notre première fois à 4.
On n'était pas pressé, on voulait surtout en profiter !
Mais au bout d'un moment, on avait mal à nos bites chacun ayant au moins jouis deux fois au minimum.
Mais Caline faisait preuve d'une endurance admirable.
Elle supporte nos assauts les plus diabolique et en demande même plus. Je n'avais jamais cru qu'il était possible que Caline aime se faire utiliser comme ça. Elle doit, peut-être, avoir un problème quelque part et nous aussi... Mais on prenait tous un plaisir psychiquement sans fin mais physiquement avec une limite.
Caline sent l'agonie de nos sexes... Que nos bites jettaient les armes.
Je suis mal placé (étant donné que je suis un mec) pour certifié cela, mais je crois qu'il est plus facile pour une nana de jouir autant qu'elle le veut, à la différence des mecs qui ne peuvent que difficilement jouir plus de 3 ou 4 fois de suite... Non ?

Surtout quand Caline ne cesse de répéter, de nous encourager durent nos ébats :

— Ne vous retenez pas, les garçons... Jouissez si vous en avez envie... Je suis là pour ça, pour vous aider à vider votre foutre... Alors videz-vous, sur mon corps, quand vous le voulez !

On se essayait de se retenir, malgré tout. Moi-même, je ne comprends pas vraiment pourquoi !
Peut-être avons nous chacun notre petite fierté de mec reproducteur et craignions de jouir en premier ?
Mais j'ai eu le plaisir d'entendre plusieurs fois :

— Aaah ! Sale pute ! Je vais jouir ! Allez ! Prends !

Peut-être pas la même phrase mais certainement avec les mêmes mots.

Surtout quand elle se fait limer par deux taureaux en rut, le troisième d'entre nous, lui agrippe les cheveux et se branle furieusement devant son visage. On lui explosa à la figure en l'éclaboussant de sperme. Elle essaye d'attraper certaines de nos giclées en vol avec sa bouche comme une bonne petite chienne qui saute sur un os qu'on lui jette.
Il s'installe ensuite dans un fauteuil ou reste debout pour capturer avec le caméscope quelques minutes de nos ébats.
Caline était devenue notre poupée de chair.

— Oh mes gros salauds... Je déborde de votre foutre que j'en suis totalement recouverte ! Hihihi !

Elle s'écroule, sur le lit, sur mon torse. Mes potes et moi-même étions bien trop faible, pour pouvoir bouger. C'est fou comment on peut ignorer la fatigue quand on est excité.

— Putain... C'était... Super... Commente-t-elle. Vous savez comment baiser une femme vous avez su me faire voir les étoiles !

Après cela, nous sommes passé sous la douche et nous nous séparâmes. L'ambiance était calme et détendue. Nos deux amis se rhabillent sans mots dire savourant le bonheur d'avoir bien jouis.
On été tous simplement heureu(se)x d'avoir pris du bon temps.

11.07.99

À la plage, nous agissons à nouveau comme si rien ne s'était passé. Nous étions juste quatre amis qui profitent du soleil et de la mer parmi un groupe d'étudiant. Sans sous-entendu, ni arrière-pensée... À vrai dire, je crois qu'on n'a jamais été aussi soudé (en dehors de nos jeux de moule-bite). Au moment où nous avons pris place tous les quatre sur des transats et qu'elle a vérifié qu'aucune oreille pouvait nous entendre, Caline se retourne vers nous et nous sort le plus simplement du monde :

— Les mecs, je m'ennuie un peu... Ça ne vous tente pas d'aller se faire un coup de bite ? Là tout de suite ?

Sa façon désinvolte de parler de ces choses-là me désarçonnait. Je m'attendais bien sûr à ce qu'on remette les couvets (ou les condoms) un jour ou l'autre avant la fin des vacances. En y repensant, j'étais con... On venait de copuler ensemble deux jours de suite, on y a eu beaucoip de plaisir, alors pourquoi s'en priver. La gêne, si gêne y avait, lors de la première fois où on s'était fait plaisir, était clairement jeté aux oubliettes. Parler, évoquer ce sujet n'était plus "tabou" entre nous ; on en avait tous envie, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit si vite ni comme ça.
Bien sûr que tout le monde est partant.. Deux fois plus qu'une !
Nous avons vite fait de prendre discrètement congé des autres afin de trouver (difficilement) un coin tranquille en plein air. C'est là que nous avons rebaiser tous les quatre. Cette façon qu'on a de passer de "personne normale" à personne en manque de sexe, est épatant...
Je vais pas faire ici une étude sociale, psycologique, comportementale... Car j'ai mieux à faire... Je crois ! Hihihiii.
Mais bon,
Je crois qu'à cet instant précis, on ne faisait rien de mal. On ne fait que profiter de notre jeunesse et nous nous faisions plaisir.
Sans un mot, on se déshabillent en s'échangeant quelques bisous, baisers et caresses avec elle. Je l'oblige à ce mettre à quatre patte et je lui bourre la chatte comme un prisonnier qui était pendant 10 ans en taule.

— Allez-y les garçons ! Allez-y ! Faites-moi sentir vos queues, vos lances à foutre !

Il n'y a plus besoin de préliminaire lors de nos rencontres câlins avec Caline, on veut tous juste tirer notre coup.
Émric et Fabien se font sucer pendant que je la ramonne, puis comme d'habitude, nous échangeons nos places à tour de rôle. Il n'y a pas à dire, on ne s'en lasse pas de fricoter avec la moule de ma chérie.
Le fait que ce n'était pas notre première fois nous rend plus détendu et moins timide.

— Elle est belle ta chatte ma Calinou ! Elle est bonne à bouffer et on prend un pied d'enfer à te sauter ! Hurle presque Fabien.
— On a tout de même de la chance que la plus belle fille de notre entourage soit aussi la plus salope. Notre salope rien qu'à nous... Si les autres mecs savaient, ils seraient jaloux ! Enchérit Émric qui la plaque contre un arbre et l'encule.

Il la défouraille en lui tirant les cheveux. Elle, elle gueula de toutes ses forces en nous crachant des saloperies pour nous exciter.

— Allez ! Pètes-moi le cul ! Soit pas si timide bordel de... Ahhhh !

Fabien et moi attendons impatiemment notre tour en nous branlant. Nous faisons littéralement la queue pour la prendre, pour jouir, se rejouir et la faire jouir.
J'ai eu le malheur de passer en dernier positionn. Car, et je les comprends bien, le plus dur, c'est de s'arrêter pour laisser sa place.

— Putain, vous en avez pas marre de faire la file ? Se plaint-elle au bout d'un moment. J'ai encore deux trous de libres, bordel ! Servez-vous en !

Cette petite pute réclame carrément qu'on la prenne par tous les trous que la nature lui a donner. Chui pas surpris que si nos queues pouvaient passer par ses oreilles, elle nous aurait demander de l'enfiler par cet orifice aussi.

— Rien que pour l'emmerder, on va ignorer sa demande ! Murmure ai-je à mon complice.
— Jt'ai entendu pauv-con !

Pris de remord, Fabien s'allonge et l'invite à le chevaucher de dos en s'empalant le cul sur sa bite, tandis que moi, je lui m'active à lui fourrer le nid à bites avec mon zob.

— Raah ! Bande de salauds ! C'est trop bon, c'est trop boooooon !
— T'aimes ça, être remplie de queues, salope ?! Grogne ai-je.
— Ouiii ! Ouiii ! Allez ! Plus fort ! Je suis toute à vous !
— Allez, suces, sale chienne ! La fait taire Émric, en lui enfonçant son gourdin dans la bouche.

Elle gémit de plus en plus fort... Tous les signes de sa jouissance sont là. Sa chatte mouille abondamment comme la fontaine de Milo. Et... Plus on la malmène, plus elle jouit. On s'en donne avec gaïté d'cœur.

— Allez salope, vocifére Fabien. Tu veux nos bites ? Va falloir les prendre toi-même !

Je comprends ce qu'il voulait dire et m'arrête de bouger. Elle remue alors du bassin pour se donner elle-même du plaisir.

— C'est bien... Enchérit-il. Tu obéis comme une vraie salope !

Nous la prenons dans toutes les positions possible et imaginable en la traitant de tous les noms, l'utilisant comme notre objet, en lui donnant des ordres qu'elle exécute sans tarder :

— Allez, suces... Suces, sac à foutre !
— Allez, dit-nous à quel point tu nous veux, salope, où on arrête !

Sur ce, elle se lâche :

— Non ! Pitié ! J'ai trop besoin que vous me baisiez ! Faites-moi encore jouir ! Je vous veux dans tous mes trous ! Remplissez-moi de vos bites et faites les déborder de foutre ! Je veux être souillée ! Aaaaaah !

Vu qu'on est en extérieur et en pleine journée, nous n'essayons pas de nous retenir cette fois. On cherche juste à l'utiliser pour décharger un coup. Fabien se vide dans son cul en premier. Je suis un peu réticent à l'enculer après ça, mais je marche sur ma fiérté tellement j'en ai envie. Ça me fais toujours bizarre de baiser une chatte déjà pleine de sperme d'un autre, mais cela rend Caline encore plus salope à mes yeux.
Émric est dans sa chatte pendant ce temps-là, juste en dessous d'elle. Mais ni lui ni moi n'avons envie d'éjaculer comme ça. Nous la mettons à genoux et lui ordonnons de nous sucer. Elle est heureuse de boire le jus de Fabien que son tuyau crache. Elle ne cache pas qu'elle se régalait comme un bébé qui réclame son biberon.
Elle passe de l'un à l'autre avec instruction de nous faire jouir. Elle nous branle et pompe comme une assoiffée de sperme. Elle sait s'y prendre, c'est une vraie déesse.

— Caline... T'arrêtes pas... C'est trop bon, je vais t'arroser ! L'avertis-je.

Je lui presse la tête contre ma queue en la tenant par la nuque, pour qu'elle engloutisse autant qu'elle le peut. Je me laisse complètement aller quand je sens que mes couilles vont éclater. J'explose dans sa bouche en la nourrissant de mon lait qu'elle boit par gorgée. Émric, qu'elle branle toujours, éjacule peu après. Il enléve ma main pour la remplacer par la sienne et dirige sa trique vers son visage. Il lui envoit son foutre alors qu'elle est toujours en train de m'avaler. Il lui en met sur la joue, le front et le nez. Il se vide complètement en grognant comme un animal tout en la traitant de tous les noms.
Elle recrache mon sexe ramollissant puis joue avec le jus d'Émric en l'étalant et en le léchant. Nous avons cru que notre escapade à pris fin quand Fabien nous écarte brusquement tous les deux, le sexe au garde à vous à nouveau, et se masturbe devant elle.

— Raah, putain de chienne ! Tu me fais craquer !

Il ne lui faut pas longtemps pour éclater en éjaculant sur ses seins. Il a encore de sacré réserve le salaud. Elle est recouverte de sperme. Du jus coule sur ses tétons et fait des trainées sur son ventre jusqu'à sa chatte. Je la trouve magnifique.
Repus et épuisé, nous renfilons nos maillots de bain. Puis Caline part se baigner dans la mer pour effacer les dégâts subits. Une fois présentable, nous nous pressons pour la rejoindre, prenant du bon temps comme des jeunes adultes normaux, avant de nous séparer, en se faisant des promesses coquinement coquines.

Les jours qu'ont suivit sont tout aussi fabuleux que ces trois journées (ce seront dans ma mémoire une des plus belles vacances de ma "carrière" de baiseur, il y aura d'autres qui suiveront, mais patience NDLR).
En apparence, nous passons notre temps à nous amuser comme tous les autres, mais dès que l'envie nous prend, nous nous éclipsons dans nos coins pour baiser avec Caline, encore et encore.
Nous n'en parlons jamais, mais nous savons tous que ce genre de relation ne durera que lors ces vacances, et que lorsque nous renterons à Paris, tout redeviendra normal et que devrons plus jamais en reparler.
Conscient des incroyables moments que ce qu'ils sont entrain de vivre, Émric et Fabien en profitent alors au maximum.
Caline et moi savons que se qu'on est entrain de vivre n'est qu'une étape dans notre... Comment dire... Vie de "débauche" comme la qualifera la société pudique qui nous entoure.
Bref, nous nous interdisons aucune envie, occasion pour copuler comme si c'était la dernière fois, comme si un lendemain, il n'y aura point.
Nous faisons tout pour nous créer des souvenirs indélébiles même si ont subissait un lavage de cerveau, en les gravant parfois dans des vidéos qui ne seront accésiblr que par nous quatre. Nous avons la certitude que nous sommes aux premières loges d'une phase de notre vie sera exceptionnelle et unique à tout point de vue et que notre seul regret sera de ne pas avoir tout essayer.
La fin de notre séjour approche gentillement mais sûrement et nos complices dépriment doucement à l'idée de retourner chez eux, à l'idée que tout sera fini.
Les voyons comme ça, Caline et moi nous leur proposons un deal : quand on sera à 3 jours de la date de notre départ, aucune partie à quatre ne sera autorisée, par contre, pour la veille de notre départ, nous passerons toute la journée ensemble dans notre chambre à baiser sans retenue jusqu'à ce qu'on en puisse plus.
L'idée semble insurmontable, mais la récompense a de quoi leur faire tourner la tête.
Bien entendu, Émric et Fabien ne peuvent pas, et ne veulent pas refuser une si jolie proposition.

Sauf que... L'attente fut très longue, mais...

À suivre...

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