Vacances avec Caline 4/4

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Vacances avec Caline 4/4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Vacances avec Caline 4/4
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger ma partenaire de vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))

Résumé :
Les 4 diaboltins se réunissent une dernière fois pour une journée magistrale.


Chapitre 4 : La dernière journée

Samedi 17.07.99

À peine le soleil a commencé à éclairer le ciel qu'on toque à la porte de la chambre.

— Hallo vous deux... Ils quel heur là ?
— Heuuu... j'crois 4h30 !
— Vous avez au moins dormi ?
— Deux jours qu'on se retient, alors que nous avons passé les meilleurs jours de nos vacances à baiser pour un oui, pour un non... Rien ni personne ne peut gâcher ce dernier rendez-vous ! Me chuchote Fabien en espérant être discret.
— C'est la pire torture qui existe... Nous goinfrer de sexe, puis nous l'interdire alors qu'elle est là, à rouler des hanches, à t'embrasser... BAISER... On veut BAISER ! Hurle presque Émric.

Ils sont sacrément en manque... Et heureusemrnt cela n'est qu'un manque de sexe !

— Ce n'est cependant pas une raison pour être si pressé ! Se fait entendre la principale interessée toujours dans son lit, avant de rajouter... On a la journée entière... Rien que pour baiser et cela jusqu'à minuit... Ok ?
— Raison de plus pour s'y mettre de suite ! Dit Fabien, qui a pris vraiment plus d'assurence grâce à nos jeux durant ces vacances peu catholiques (protestantes, musulmanes ou judaïques... Vous pouvez les qualifier comme bon vous semble !).

Je m'écarte pour laisser nos amis entrer. Les deux chauds lapins se dirigent comme hypnotisés vers le lit, où on peut voir Caline qui est cachée, emmitouflée sous le drap et commencent sans même dire bonjour les préliminaires.
Toujours protégée par le fin tissu, ils la caressent, l'embrassent, lui touchent les parties sensibles, intimes. Je peux voir dans leurs yeux, dans leurs gestes qu'ils ont faim de son corps.
Caline joue la fifille éffarouchée, qui ne veut pas ce laisser faire en tirant sur le drap de lit qu'elle enroule entre ses bras, ses jambes et son ventre, ce qui a, paradoxalement pour effet de livrer son corps aux mains exploratrices de ses amants.

— Ose dire que tu n'as pas faim... De nos bites ? Lui demande Émric.

Sans répondre elle se love encore plus à cette boule de tissu entre ces cuisses. Leurs mains baladeuses la font gémir.
Émric et Fabien, en pointant leurs nez à la porte de notre chambre, avaienr l'air de marcher sur de la braise ardante, pour cette dernière union et voilà qu'ils prennent tout leur temps pour retirer leurs habits, en lançant des regards, qui ne prédisent rien de bon (le contraire serait plus juste) pour ce corps qui est sur le lit, qui lui, par contre, les observe avec gourmandise. Malgré cette caméra en main, je suce un des mamelons de la généreuse poitrine de Caline, en faisant un grand plan sur Fabien qui s'occupe lui de l'autre et qu'il téte comme un bébé.
La victime, de nos jeux, se mord les lèvres quand des doigts, du troisième luron, glissent sur son mont de venus et s'enfoncent dans son vagin déjà plus qu'humide.
Émric entreprend, juste après, de lui lécher la moule. Caline ferme les yeux et se laisse immerger par cette douce onde de plaisirs. On peut voir sur son visage ce sourire heureux qu'un ange (ou plutôt une "diablesse"... D'ailleur pourquoi on ne peut pas dire "une" ange ?) peut exprimer se sachant qu'elle va être le centre d'attention de trois hommes désireux de la faire jouir.

— Hmm, les mecs... Fait-elle... Vous êtes mignons, mais mon corps a envie de vos queues... Mon âme a envie de jouir... Sentir cette extase d'être baiser... Démonter... Donnez-moi vos bites ! Dit-elle en les fixant avec des yeux d'une affamée.

Elle nous branle, Émric et moi, avant de nous sucer avec passion. Fabien soulève sa croupe et s'enfonce en elle pour lui rappeller que la troisième bite du groupe est là, pour lui apporter affection et douceur.
Me liberant de la prise de ma femelle, j'en profite pour lui peloter les seins et lui bouffer, encore les tétons. Ses nibards font tellement rêver les yeux qui se posent dessus (yeux des hommes aussi bien que ceux des femmes). Elle émet un gémissement bien qu'elle a la bouche remplie.

— Dis Caline... Ta maman ne t'a jamais dis qu'il ne faut pas parler la bouche pleine ? La taquine Fabien.
— Hummmm... Si... Mais chui une nana... Mal élevée !

Elle pompe nos amis comme le ferai la reine de Saba, passant de l'un à l'autre pour ne pas faire de jaloux. Elle les branle, leur léche le gland en prenant bien soin de leurs montrer le travail de sa langue. Elle est délicieusement érotique cette meuf avec qui je partage mon amour.

— Bon là... Il est temps de passer aux choses sérieuses ! Dis-je.

Émric lui bouffe son petit trou comme s'il mange un steak, lui bavant du mieux qu'il peut et l'invite ensuite à le chevaucher. Elle s'installe au dessus de cette tour de Pise, qu'elle redresse d'une main et la dirige vers la porte interdite des cieux, en connaisseur, Émric pose ses mains sur les hanche de la douce amie, l'aidant à enfoncer délicatement ce membre de chair entre les parois serrés de son cul.
Lâchant prise, il indique à Caline qu'elle est seule maîtresse à bord et qu'elle peut s'empaler sur son mehnir toute seule.

— Oh putain... Ouiiiii ! Fait-elle. J'aime avoir trop une bite dans le cul ! C'est troooooooop boooooon... !

Elle chevauche ce sexe comme si elle chevauchait un cheval au galop, un cheval qui veut la désarçonner. Comme une folle, Caline fait de son mieux pour ne pas tomber, pour garder ses fesses sur cette selle en cuire humain.
Ses seins ballotant, ne cessent de nous narguer, nous donnant qu'une seule envie, qu'une seule alternative : les soupeser et de les presser.
Je céde à cet appel et je prends une nouvelle fois ses tétons en bouche, pour les embrasser, les téter, les mordiller.
Fabien debout sur le lit et lui présente son dard pour se faire suçer. Je l'imite, toujours avide d'une nouvelle fellation. Elle s'occupe merveilleusement de nous. Nous sommes au comble du bonheur.

— Les garçons, j'ai la chatte en feu, nous dit-elle en s'arrêtant un instant. S'il vous plait, que l'un d'entre vous vienne me la remplir !

Fabien se dévoue et vient entre ses cuisses, les soulevant pour mieux pénétrer son vagin. Émric et Fabien la prennent ainsi en double pour son plus grand bonheur, la fouillant avec leurs bites. Depuis le début de nos orgies, Caline avait maintenant pris l'habitude à la chose, mais à chaque fois, on voit que cela lui procure toujours autant de plaisir.
L'excitation devient telle qu'il ne peut plus de se retenir à la baiser avec fougue. Émric s'excite trop avec son cul. Je vois ma charmante femelle qui se prend la tête :

— Aaah ! Se faire ramoner par deux mâles, il n'y a que ça de vrai !
— Tu aimes, petite salope ? Lui dis-je.
— J'adore ! Bourrez-moi comme votre pute !

Fabien l'empêche de continuer de parler en plaquant ses lèvres sur les siennes. Lui, qui est généralement d'une douceur maternelle, est devenu plus brutal dans ses gestes en lui donnant des coups de reins, comme s'il veut fracasser une porte blindée.

— Ah ! Putain ! Salope ! T'en as jamais assez, hein ? Déclare-t-il.
— Aaaaah ! Putaiiiiin ! Salauuuuuds ! Ouiiiiii... Nooooon !!

Sa lubricité n'a pas fini de m'étonner.
Le programme qu'on avait établi était net, clair et orécis : nous allons passer toute la journée ici sans sortir de cette chambre à baiser, à jouir.
Autrement dit, aucun d'entre nous n'avait envie de se retenir, d'éjaculer dans et sur cette femelle qui n'aura d'autre fonction que de vider nos couilles.
C'est alors qu'Émric explose en premier et grogne en lui remplissant les intestins de grosses giclées de sperme.

— Aaaah ! Putain ! Caliiiiine ! Prends mon fouuuuutre !

Cela déclenche chez elle un nouvel orgasme.
Un flot de jus s'échappe lorsque sa bite, ramollissante, sort de son cul. La basculant sur le coté, il se dégage et prend place le fauteuil pour récupérer. Fabien et moi avons "obligé" notre soumise à se mettre à quatre pattes. Il l'encule alors comme une chienne tandis que je me suis placé pour me faire sucer. Je n'en pouvais plus de la regarder comme ça... J'ai trop besoin de me soulager moi-aussi.
Quand j'ai ressenti que je ne vais pas tarder à jouir, je m'empresse de sortir ma queue de sa gorge et me branle devant son nez pour lui éclabousser le visage d'une quantité incroyable de foutre. Caline a grand-ouvert la bouche pour essayer d'en avaler le plus possible, mais je l'évitai. J'ai envie de la salir, de l'humilier. Je contemple mon œuvre une fois apaisé de la jouissance.

— Ahhhh... Mon bon pti serpent cracheur... Tu as fais du bon boulot ! Dis-je fier de moi.

Du sperme dégouline de son menton et de son front.
Je me éloigne et je vais rejoindre Émric qui de son fauteil filmait la scène. Fabien sans plus aucun complexe ou obligation de "resultat", l'encula de plus belle. Émric et moi le regardons défonçait le train arrière de Caline comme la pire des trainées. Elle crie et hurle son plaisir. Elle s'effondre le torse contre le lit, pour mieux s'offrir à lui.

— Oh oui... Fabien ! Fais de moi ta pute ! Èclates-toi dans le fion et remplis-le de sperme dès que tu en auras envie !
— Calinouuuuuu ! Grogne-t-il en lui donnant une fessée.
— Oui ! Ta petite salope soumise qui ne demande qu'à se faire baiser !

Je ne peux m'empêcher de trouver que ma meuf soit la plus magnifique des demoiselles sur terre avec se visage couvert de foutre, les yeux pétillants de luxure, et le corps tremblant de plaisir. Fabien la bourre sans retenue. Il essaye manifestement de se répande dans son cul. Son endurance m'épate. Je me branle le mat tout ramollit devant la scène qui dure encore plusieurs minutes. Caline balance des phrases toujours plus salaces, et il y répond tout autant :

— Refais-moi le trou de cul ! Je ne veux plus savoir marcher !
— Ah ça que oui ! Tu vas voir ! Je vais tellement te le ravager que tout le monde te verra boiter demain à l'aéroport ! Tout le monde comprendra à quel point tu t'es faite sautée la veille comme la dernière des salopes !
— Moi aussi je veux qu'ils le sachent ! Je porterais une jupe courte sans culotte pour que tout le monde voit votre sperme couler le long de mes cuisses !
— Sale pute ! S'emporte-t-il à nouveau en accompagnant ses mots d'une autre claque sur les fesses.

Il la baise encore un peu, puis finit par ne plus pouvoir se retenir. Dans un hurlement, ses couilles se déchargent dans son cul accueillant. Il lui remplit les entrailles de copieux jets de foutre chaud tandis qu'elle crie elle aussi son plaisir. Le bonheur se lit sur leurs visages.
Son anus fait des bruits de pets obscènes lorsqu'il se retire et que de l'air sort.
Du jus coule et fait une flaque sur les draps. Les femmes de ménage vont être surprises en nettoyant la chambre après notre départ.
Comme nous, Fabien est épuisé, mais Caline en veut plus. Elle tourne la tête vers nous en disant :

— Les garçons, ne dites pas que vous avez déjà fini. J'ai encore besoin de me faire sauter moi !
— Yooo Caline... Nous ne sommes pas des machines... Toi tu peux prendre des queues tant que tu veux, mais nous, il nous faut recharger le zbeb ! S'exclame Émric un peu irrité.
— Bon... On se fait livrer le petit déj. et on remet ça... Ok ?

N'ayant rien à dire, Caline approuve cette option, à notre grand bonheur, je dois dire.
En attendant de se faire sevir le petit déjeuner par le Room-service et alors que Caline est dans les toilettes entrain de se refaire un beauté, je propose à mes amis une idée et dis tout bas :

— Voilà ce qu'on va faire, toi Émric tu.... blablabla... et toi Fabien tu prends.... blablabla... et quand tout est en place je... blablabla...
— Et tu crois que...
— Je n'ai pas à croire, ça se fera comme ça et pas autrement ! Coupe ai-je la parole à Fabien.
— Ok pour moi ! Dis Émric.
— Et pourquoi c'est toujours Émric qui a le meilleur rôle ?
— Question de morphologie... Sa bite est plus fine que la tienne et comme cela sera la première fois qu'on le fait, mieux vaut y aller en douceur ! Répond ai-je.
— Ok... Je m'incline ! Approuve Fabien un peu déçu.

Non.... C'est pas ce que vous pouvez vous imaginez... Ou peut-être que si.
Bref,
Une fois le petit déjeuner servit et avalé et que nos force, la force de nos queues est de retour, voilà qu'Émric se léve, alors que Fabien se précipite pour mettre en marche le caméscope.
Sans un mot, Émric s’approche doucement de notre déesse, la regarde intensement dans les yeux, se penche un peu et prend ses lèvres dans un baiser suave.

— Hummmm... Retour des festivités ? Gémit-elle en passant une main derrière la tête de son amant pour mieux coller ses lèvres aux siennes et mieux sentir sa langue qui danse.

Quand il a reculé, j’ai vu dans le regard enflammé de notre petite souris, des flammes de désir et comme toujours, elle sera prête à tout. Il se met à genoux entre ses cuisses ouvertes, la tire vers lui sur le bord du fauteuil et introduit sa queue dans son con gluant.
Fabien et moi, ressentons le plaisir qui l'envahie quand on la voit fermer ses yeux et ouvrir sa bouche en un « oh » muet, quand cette fine queue franchit les lèvres intimes de son sexe.

— Fabien... Si tu as raté l'expression de son visage, je te découpe en mille morceaux !
— T'inquiéte mec... Chui un pro !

Émric est entré à fond, comme elle aime, elle doit le sentir bien au fin fond de son nid. Il pousse, se retire, pousse, se retire... Caline s'accroche à ses fesses, les tire vers elle pour avoir cette bite le plus profond possible, plantée en elle.
Ils restent un long moment ainsi, soudés ensemble, étroitement et profondément emboités l’un dans l’autre. Un mélange de sentiment de jalousie et d'envie me prend à la gorge à ce moment là. Je m'approche d’eux, la bite à la main. Elle me sourit, tendrement, amoureusement, j’aime ce regard qu’elle a pour moi quand un autre que moi est en elle. Regard mêlé de plaisir, de reconnaissance, d’amour... Et remerciement.

— Dis-moi Caline... Dis-nous que tu aimes ça... Dis... Que tu aimes te faire baiser !
— Ouiiiiiii...
— Avoues à Émric ce que tu sens quand il te prend... Chaudasse que tu es !

Plongeant ses yeux dans ceux de son amant, elle dit doucement :

— Oh mes baiseurs adorés... J'aime sentir vos zob bien durs dans ma chatte... J'aime quand vous me baisez comme une chienne... J'adore me sentir rempli et surtout quand tous mes trouuuuuus débordent de votre lait... Ohhhh... ouiiiii... Nous avoue-t-elle doucement en ce mordant les lèvres.

Je me rapproche, me mets à genou pour regarder cette verge tendue qui glisse si aisément dans la moule de la femelle en chaleur qui occupe avec moi cette chambre.
Je caresse cette chatte en même temps qu’elle se fait mettre, éprouvant sous mes doigts au passage toute la dureté de la bite d'Émric.
Je le sens coulisser dans ma main pendant qu’il entre et ressort de la chatte de ma copine. Je redécouvre cette agréable sensation en lui caressant un peu les couilles pour le pousser bien au fond de ce ventre accueillant, l’aidant en quelque sorte à la baiser.
Puis, me redressant, je me présente devant la bouche de ma petite salope adorée, pour qu’elle me suce, ce qu’elle fait avec application.
Juste devant le visage de celui qui la prend et, à chaque fois qu’il entre en elle, il se rapproche de son visage et donc de sa bouche et donc de....
Émric, d'un regard, ďune envie, que je n'avais jamais vu dans ses yeux, la fixe pendant qu’elle me pompe comme une reine du porno. Elle s’applique pour bien lui montrer de quoi elle est capable !
Elle aussi, le regarde droit dans les yeux… Puis, attirant la tête de son amant vers elle, elle lui fait comprendre qu’elle souhaite le voir me prendre, lui aussi.
Surpris qu'il est, surpris que je suis et inmanquablement étonné que Fabien l'est, on voit leurs langues entamer alors un ballet de folie autour de ma queue prête à exploser.
Zoomant du mieux qu'il le peut cette union insolite, avec le caméraman du jour, je les regarde se partager mon sexe, se l’échanger pour le prendre en bouche l’un après l’autre, se délectant des perles pré-séminales qui s’en écoulent. Je bloque, je fais fi, de mon envie de jouir et me retire avant qu’il ne soit trop tard.

— Ne te mets surtout pas en tête que j'aime la bite ! Me dit Émric... Je ne... comprends pas !
— Cool Raoul ! Allez venez vous mettre sur le lit et laisse nous baiser !

Émric se déboite de ce nid ďamour et vient s'allonger. Sans aucune directive, Caline vient s’empaler ďelle-même sur la queue dressée et toute brillante de sa mouille. Je la positionne de façon qu'elle me fait face. Intriguée qu'elle est, car elle veut se faire prendre par le cul, Caline se laisse toute fois guider.

— Je veux voir ton si beau visage se transformer au fur et à mesure de la progression de cette bite en toi, quand tu t’assieds lentement sur ce mat.

Une fois complètement assise, la tige de son amant-ami, doit être bien enfoui en elle. Ses yeux s’écarquillent sous l’étonnement de sentir cette bite aller aussi loin. La pointe de sa langue passe sur sa lèvre supérieure en une mimique gourmande, prouvant s’il en était encore besoin, tout le bien qu’elle retire de cette manœuvre.

— Ohhh putain Hamed... Comment tu as su que cela allait être si.... Me demande-t-elle d'une voix étranglée.

Je la regarde en lui souriant, heureux de la voir si bien embrochée et, m’agenouillant devant elle, je présente mon dard tendu, à son con, à ce puits pourtant déjà bien rempli par la queue de son amant, de mon ami, qui comble se trou mais pas vraiment ses envies.

— Non Hamed... C'est... C'est quoi se regard pervers que tu as là ? Non... Dit-elle en me regardant ďun air incrédule et peut-être même un peu inquièt.

Mon gland tout humide de sa salive, vient au contact de ces deux sexes étroitement emboités. Ma cible étant atteinte, je relève les yeux pour les planter dans les siens et suivre ainsi l’évolution de son plaisir futur. Je sens la queue ďÉmric contre la mienne, qui m’empêche d’entrer librement dans cet antre pourtant bien accueillant d’ordinaire !
Des sucs lubrifiants s’écoulaient de la chatte de ma chérie, je m’en badigeonne la queue. Les sensations inédites que je ressens me conduisent à un état d’excitation encore inconnu de moi, me procurant une érection phénoménale.
Je vais baiser ma chienne en double avec notre ami, le complice de nos débauches de vacances, et cela dans le même trou... Dans sa chatte !!!
Je force un peu pour entrer. Instinctivement, Caline se souléve un peu pour me laisser plus de place et ma queue est aussitôt, comme aspirée par cette chatte affamée de sensations fortes, par cette chatte grande dévoreuse de bites.
J’entre doucement, surveillant son plaisir dans son regard troublé et chaviré. Elle se mord la lèvre inférieure, et quand je me retrouve bien calé au fond de son nid, quand mes couilles sont plaquées contre les couilles de l’homme à qui je l’offre, elle se laiss retomber sur ces deux chibres qui l’éclatent en deux.
Un cri, qui est un mélange de surprise, de douleur et de plaisir sort de sa gorge. J'ai la sentation que ce vagin me serre la queue comme la première fois où je l’avais prise, quand elle n’était encore qu’une gentille jeune fille prude et innoncente.
Je retire ma queue doucement, sans sortir tout à fait, craignant de ne pouvoir entrer à nouveau… Puis brutalement, je m'enfonce en elle, sentant ma queue frotter tout contre celle ďun autre, cette autre tige de chair qui me masse de haut en bas et de bas en haut. Je prends alors un rythme régulier et puissant pour baiser ce conduit rendu étroit par la présence de deux tiges intruses mais pas si inconnues.
Les deux amants se mettent à geindre de concert des "ahh" et des "ohh" qui ne laissent aucun doute sur la force des impressions qui les parcourre. Ces sentations sont trop fortes pour pouvoir retenir assez sans jouir !
N'étant pas des "surhommes" je sais que nous n'allons pas pouvoir résister bien longtemps. J’accélére alors le rythme, en plantant mon sexe avec son sexe dans ce sexe, comme des forcenés. J’écrase le clito de cette salope et les couilles de ce salaud, à chaque fois que j’arrive au fond de la matrice.
J’encourage ma meuf à exprimer son plaisir.
Elle se met alors à crier, hurler :

— Salaud, vous me baises tous les deux !!! … Hooooooo ooouuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii j’aime çaaaaaaa… puuuuuutaiiiiinn que c’est booooon !!! Vos deux bites… Je veux vous sentir jouir à fond et au fond de mon puits... Allez-yyyyyy remplissez moiiiii je veux tout votre foutre dans mon ventre ooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh oooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiisssssssssssss

N’en pouvant plus, je lâche la purée dans le ventre de ma dulcinée, réduite à l’état de réceptacle à foutre, car en sentant les jets de mon foutre contre sa bite, au fond du ventre de ma déesse, Émric ne peut plus se retenir lui aussi et il lui injecte toute sa semence au fond de son préservatif, lui procurant des sensations inédites et offrant à Caline, une jouissance bien au-delà de tout ce qu’elle a connu jusqu'à-là.
Elle explose littéralement alors que nos queues sont agitées par une jouissance diabolique. La jouissance de Caline est si violente, elle est au maximum de sa puissance, l’emporte d’un coup, comme une forte vague qui te fait perdre pied. C'est comme si Caline coulait, la bouche ouverte, plus aucun son n’en sort, les yeux exorbités se ferment soudain et elle s’affale entre nous inconsciente.
Quand je me retire de son corps inerte, la queue ďÉmric est elle aussi éjectée de son ventre. Je porte mon bébé rassasié et l’allonge tendrement sur le lit.
Cinq voire dix minutes plus tard, elle reprend connaissance et dit :

— Ahhhh mes amours... Vous m'avez lessivé ! Il n'y a rien à dire... Chui devenue une bonne petite salope qui aime la queue !

La jeunesse de nos corps, fait que un peu moins de quinze minutes plus tard, Émric et moi, exposons une nouvelle érection alors que notre prisionnère est toujours affalée sur ce lit.
À mon tour de jouer au preneur ďimages alors que Fabien et Émric soulèvent tant bien que mal, le corps de cette salope qui fustigeait, à qui voulait l'entendre, qu'elle est insatiable. Ils la soulevent et la prennent debout en la portant tous les deux.
Caline est prisonnière, elle est coincée entre leurs deux corps, incapable de leur résister, de bouger, de s'évader. Ils se servenr de son corps pour se faire du bien comme avec une poupée gonflable. Cela se sent, cela se voit, qu'ils ont, comme toujours, faim d'elle, et bien qu'elle soit H.S, elle ne cesse de les encourager à la prendre plus fort :

— Aaah ! Putain ! Ravagez-moi les garçons ! Je suis affamée de vos bites ! Il m'en faut dans tous mes trous !
— On va te ramoner les trous jusqu'à ce que tu demandes grâce, sale pute !
— Plus vous me baisez et plus j'en demande... J'en veux toujours plus ! Prenez-moi plus fort !

Ses deux amis du lycée, lui font un cours magistral des posirions du Kamasutra et s'offrent le plaisir de changer de point de pénétration.
J'y crois pas mes oreilles... Voilà qu'elle réclame encore quelque chose à sucer, et bon joueur que je suis, je lui enfourne ma bite dans sa gorge. Elle la prend comme si c'était la plus précieuse des sucettes.
Émric éjacule alors qu'il est ancré dans sa chatte. En moins de temps qu'il faut pour le dire, je viens le remplacer.
Ahanant comme un bœuf, Fabien est alors secoué de tout part en se vidant de le petit sac protecteur.
Me la laissant seule, je décidae de me faire jouir aussi... Je la prends de toutes mes forces comme un animal en rut jusqu'à me laisser éjaculer dans son vagin... C'est trop bon !
Mon esprit est vide de toute pensée... raisonnable. Chui dans un autre univers. Je me vois près de Caline qui est à mes genoux... Je vois qu'Émric me tend une cruche que Fabien avait fini de remplir en éjaculant dedans. Et me voilà versant ce nectar, ses litres de sperme sur la tête de Caline.

BIIP-BIIIP-BIIIIP

— Caline... Caline... Vite, on va rater le départ ! Dis-je en écrasant mon poing sur le réveil.
— Waaaw calme toi Hamed... Il n'est que quatorze heure !
— Ohhh... Excuse !!! Alors où sont les autres ?
— T'es comme tombé dans les pommes mais on voyait que tu étais mort de... Disons... Fatigue... Alors je leur ai conseiller de rassembler leurs affaires, d'un... Comme cela ils seront fin prêts pour partir demain sans de problèmes et de deux... Ils auront une occasion de laisser reposer leurs boules avant la reprise de nos parties de pattes en l'air.
— Alors toi... Tu ne perds pas le nord !
— Dis Hamed... D'où t'es venue l'idée ?
— De quelle idée tu parles ma chérie ?
— De cette... Comment dire... Pénétration vaaaaa...ginale ?
— Ah ça !!!... Je l'avais vu dans un des films X du 1er samedi sur canal +... Mais je n'y avais plus pensé jusqu'au moment de te... D'étancher ta soif de sexe !
— Ahhh ça pour l'étancher... Tu l'as bien étancher...
— Chui heureux de te l'entendre dire ma cocotte !! Lui dis-je en lui pinçant un téton et en l'embrassant pour étouffer un cri.

Se serrant fort comme le font tous les amoureux, nous roulons sur le lit en s'échangeant des baisers tendres et bâveux, pendant... Je ne sais plus... Cinq, dix, trente minutes...
Bref,
On est là sur le dos, côte à côte, cherchant une malformation au plafond, quand...

Toc-Toc-Toc

— Vous n'avez qu'à pousser la porte ! Intime l'ordre Caline.

Comme ce matin, nos amis se sont jetés sur Caline, qui cette fois n'avait rien pour la couvrir sauf l'air ambiant de la chambre.
Plus vite qu'il ne le faut pour le dire, Caline est recouverte de mille baisers, de caresses plus appuyées les unes que les autres sur ses parties les plus désirées.
J'ai presque eu mal au cœur en réalisant que je laisse ainsi mes amis profiter du corps de ma chérie... Mais le plaisir de ma "lovely-girl" est plus fort que ma jalousie la plus primitive. Par chance, cela ne dure pas assez longtemps. Émric et Fabien se rejoingnent et ils la prennent en double à nouveau avant que je ne m'incruste.
Ce petit manège dure ainsi pendant plus d'une heure : nous la baisons, nous l'enculons, nous la léchons, nous la suçons... Et enfin nous éjaculons.
Mais elle nous supplie de continuer encore et encore... Je crois qu'elle n'a jamais autant jouit... (il n'y a aucun doute à cela car on a jamais passé autant de jours à baiser comme ça, hihihi).
On lui a donné ce qu'elle voulait : se faire ravager par trois hommes qui l'utilisent comme un jouet. Elle vit son fantasme le plus pervers. Celui qu'elle n'avait jamais osé prononcer tout haut, et elle en apprécit chaque secondes. Elle est comblée :

— Aaah oui ! Prenez-moi à tour de rôle ! Je suis une pute qui est ravi de passer de main en main ! Baisez-moi et jouissez !

Mais, nous étions complètement mous, vidés. Elle n'émet aucune plainte, bien qu'on note bien que c'est à contre cœur qu'elle doit se résoudre à faire une pose, bien qu'elle a aussi besoin de se reposer un peu. Je la regarde ébahis : ses orifices étaient béants à force de se faire remplir.

— Merde Calinou... On est pas allé avec le dos de la cuillère... Tes trous sont si... On crie dedans, on peut entendre un écho... Hahaha ! Tu crois qu'un jour ils vont arriver à se refermer ? Demande Fabien
— T'es con mec... La propiété d'un muscle est qu'il reprend toujours sa position initiale. Lui répond-t-elle.

Nue, souillée, sans se soucier du foutre qui coule sur son corps, elle prend le téléphone est commande 4 casse-croute. Aucun de nous se rhabille, ni ne va prendre de douche pour se débarbouiller un peu. À quoi bon ? Nous allons nous resalir d'ici peu. Silencieux, nous nous échangeons des sourires et des regards, en attendant d'être servie.
Le service d'étage est rapide et le serveur n'a pas été trop choqué on voyant nos tenues, ni par le groupe que nous formions. Il doit en avoir vu bien d'autres phénomènes dans ses services. J'aurai bien voulu qu'il nous en raconte quelques unes de ses anectodes.
La pause dure tout de même plus d'une heure et demie. Plus qu'assez pour nous remettre d'aplomb.
Le coup d'envoi de la seconde mi-temps est sifflé lorsque Caline nous allume en se caressant, cela a bien fait de nous faire bander aussitôt, et nous la rebaisons sur le champ.
On se la passe de bite en bite comme une pute esclave qu'on aurait acheté au rabais. L'un la prend violemment par derrière sur le lit. Un autre la plaque face au mur et l'encule. Le dernier assis sur une chaise, la force à s'empaler sur sa bite...
N.B : Tout homme le sait, plus les jouissances s'acumulent chez un mec et plus elles deviennent difficile à atteindre. Que j'explique aux nanas qui lisent ces mémoires : plus un mec jouis (d'ailleurs peu nombreux sont ceux qui arrivent à jouir plus de 3 fois de suite) il lui faudra plus de temps pour atteindre une 4ème jouissance. C'est à dire qu'il lui faut baiser plus longtemps pour arriver à une délivrance (perso cela m'est arrivé de vivre ça (j'ai réussi à jouir 5 fois avec ma nana en une seule nuit d'amour, qui avait durée 5h, pauses comprises : mon record :)) !), et les rares fois que nous l'avons vécu, ma meuf avait la chatte en feu, irritée tellement je l'avais défoncer... Tout comme mon zob !)

Alors que je filme notre insatiable Caline qui se fait labourer la moule et fion par nos complices, Caline dit en me regardant :

— Hamed... J'ai envie ďessayer un truc... J'ai kiffé grave comment Émric et toi m'avez prise la chatte... Et si on essaye avec l'autre trou ?
— Ton cul ?
— Non... Ma bouche... Bien sûr que j'te parle de mon cul... teubé va !
— Tu es sûre ? Demande Fabien qui avait stoppé, abasourdi qu'il était.
— Oh, ouais... Why not ! Allez... Chui ok moi ! S'esclame Émric, le fou furieux.

Moi, J'en reviens pas ! Elle se retourne dos à Fabien pour s'empaler sur lui, et Émric vient le rejoindre en lui enfourrant le cul de la seconde birouettes... Ils s'introduisent lentement, le temps qu'elle s'habitue et que son petit trou s'élargisse, puis ils la baisent, sans honte et sans la ménager.

— Ah ! Putain ! Oui ! C'est encore... Plus... Beaucoup... Meilleur que dans ma chatte !

Cette nouvelle action a eu bien vite raison de notre cher Émric qui n'a pas pu trop se etenir et a vidé les dernières réserves de foutre dans le petit réservoir situé au bout de son penis. En quittant le cul de Caline il emporte avec lui, dans son élan la tige du deuxième cavalier. Mais il n'a pas eu le temps de protester car en un éclair, j'ai eu le temps de jouer des coudes pour remplacer le dernier éjaculateur. Il me faut l'avouer ici, que je n'avais même pas pris le temps d'enrouler ma quequette dans ce fameux habit en plastique. Avec une autre fille je ne me le serai jamais autorisé, mais là avec Caline, je nous sais sains (ni MST, ni...) et il y a peu de risque qu'elle tombe enceinte si je me vide dans ses boyaux (et même si elle était tombé enceinte, nous ne l'aurions pas gardé... Car on sait qu'il sera un enfant de merde... Humour noir !).

— Yoooooo... Doucement mec... T'es trop gros pour mon cul !
— Ne dit-on pas : plus c'est gros, plus c'est interessant... Non ?
— Ahhh... Ta gueule et... Poussez... ohhhhh... C'est trop tooooop !

Il ne fallait pas nous le demander deux fois. Je ne sais toujours pas jusqu'à présent comment cela s'était fait, mais avec Fabien, nous avons su accorder nos violons... Euuuhhh... Nos bistouquettes.
Il entre, je sors, j'entre, il m'attend, nous entrons, nous sortons... Bref, on fait tout pour que notre chattouline ne puisse dire que : "ohh", "ahh", "ihh"... Même pas des "ouiiiiii" tellement qu'on la bourre.

— Aaah... Caliiine... Ouiiii... Je t'ééééém !
— Ahhhh... Ohhh... iiiiiiiiihhh
— Moi... Aussiiiiiiiii... Ahhhh... Sa mère !!!! Nous alerte Fabien.

À l'unisson, Fabien et moi donnons de la voix pour sonner le top départ de nos petits soldats ("petit" de tailles et non pas d'âge !) qui malheureusement seront vaincus avant même d'avoir débuté la guerre.
Cela déclenche un énième orgasme chez elle. Elle grogne, murmure son bonheur d'être ainsi démontée, baisée, traitée...
La vague de plaisir passé, nous nous sommes écroulés, affaissés, jetés sur le lit. Épuisés que nous sommes, tous les quatre.

— Je ne sais pas pour vous... Mais ce n'est pas d'une pause que j'ai besoin là... Mais bastaaaaa... Chui k.o. technique !

Caline est franchement dans un sale état. Les cheuveux ébouriffés, des larmes lui coulent des yeux, un regard vide fixant le plafond, ayant pris la pose d'une crucifiée tant bien que mal...
Mieux lotis, nous ne l'étions pas plus, sauf peut-être pour les cheuveux car moins longs. Et nous voilà tous tombés dans un profond sommeil les uns sur les autres, jusqu'à que le réveil prévienne qu'il est l'heure de rejoindre notre groupe pour quitter cet endroit qui était le témoin de toutes nos aventures, de nos orgies.
Heureusement qu'on a eu (surtout Caline) la présence d'esprit de tout préparer pour ne pas retarder notre départ. Les garçons se sont précipités dans leurs chambres pour s'habiller et prendre leurs sac. Moi je me précipite pour payer notre dû à notre hote.
En attendant dans le hall de l'hôtel, je n'en crois pas mes yeux en voyant à quel point Caline avait décidé de rester perverse jusqu'à la dernière minute : elle porte une jupe très courte, et manifestement sans culotte comme elle l'avait dit. Même celles et ceux qui ne sont pas très observateurs, peuvent comprendre que cette nana s'est faite démolir... Quoi que je doute fort qu'ils et elles, n'ont pas entendu les gémissements, les "ahh" et les "ohh" qui s'échappaient de notre chambre.
Mais, personne n'a fait la moindre réflexion, et même si quelqu'un aurait osé, il aurait eu de suite mes cinq doigts colés dans sa tranche... Je ne permets, et jamais je ne permetterai, à quiconque de faire une remarque déplacée à ma Caline.
Plusieurs heures plus tard, nous sommes enfin de retour chez nous, et reprenons le long fleuve tranquille de notre existence.
Enfin presque... Car cette expérience, ces expériences, nous ont profondément changé. Et moi, j'ai déjà en tête la résolution de tenter de vivre d'autres aventures, d'autres découvertes couvertes et surtout non-couvertes !

À suivre...

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Texte coquin : Vacances avec Caline 4/4
Histoire sexe : Une rose rouge
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