Vacances sans frontières - 09 Arrêt surprenant

- Par l'auteur HDS Akisoh -
Récit érotique écrit par Akisoh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vacances sans frontières - 09 Arrêt surprenant Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2020 dans la catégorie Plus on est
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Vacances sans frontières - 09 Arrêt surprenant
Après que les deux jeunes gens eurent fait l'amour, Nicolas parti servir à nouveau leurs hôtes, déposant les verres et un choix impressionnant de boissons sur la table basse. Sabrina et Jean avait remis leurs vêtements et avaient repris place sur le canapé, restant silencieusement blottis l'un contre l'autre tandis que Eve et Chantal se réajustaient, s'étant largement satisfaite l'une de l'autre pendant que les ébats du jeune couple.
Sabrina était assez gênée de s'être ainsi offerte sans retenue aux regards des deux couples. Elle avait déjà souvent été témoin de ce genre de scène lorsqu'elle travaillait au club mais ne l'avait jamais envisagé pour elle. Bien sûr elle avait apprécié de prendre ces deux hommes dans sa bouche. Leur virilité lui avait plu, comme elle avait aimé coucher avec Pascal la nuit dernière. Le fait même d'avoir ainsi été dirigée avait été très plaisant. Elle ne s'était pas attendue à devoir offrir sa bouche aux deux hommes, mais sentir leur désir avait largement contribué à son plaisir. Plus encore, le regard de Jean, ce regard tendre, compréhensif, son assentiment, sa présence et la promesse de ses caresses avait levé ses dernières inhibitions. Ses paroles également l'avaient rassurée mais elle sentait tout de même que quelque chose n'allait pas. Blottie contre lui, le bras de son ami enroulé autour de ses épaules, la tête posée sur son torse, elle parvenait à ressentir son malaise. Elle prit son autre main et l'embrassa en plongeant son regard dans celui de son si doux ami.
Jean se sentait en effet anxieux pour une raison qu'il n'arrivait pas à déterminer. Il ne savait pas comment réagir et ne voulait surtout pas créer un nouveau malaise entre lui, Sabrina et leur couple d'ami.
• Hé bien, c'était une sacrée partie, dit Nicolas. Je pense que ces quelques jours vont être très agités. Pas vrai ma chérie.
• Oui, mais j'avoue être un peu jalouse, j'aurais aimé profiter aussi, répondait Chantal. Il avait l'air en forme le petit jeune.
• Oh, je me doute bien que tu aurais voulu t'amuser, répondit Eve, et je te confirme que tu aurais adoré. Mais cette nuit il n'est qu'à sa chérie. D'ailleurs, félicitation à tous les deux, vous avez été absolument parfaits. Dites-moi, ça vous a plu ? Saby, dis-moi s'il te plait.
• Oui, bien sûr, dit-elle en lui souriant pour ne rien laisser paraitre de son inquiétude. Je n'avais jamais fait ça mais c'était très bien.
• Oui, on l'a vu, dit Pascal. Tu avais l'air en feu. Jean a beaucoup de chance. Et toi Jean ? Ça t'a plu ?
• Oui, bien sûr dit-il d'un air songeur.
• On ne dirait pas pourtant, dit Nicolas. Il a pourtant bien profité de sa pet……• Stop, le coupa Jean d'un ton soudain froid. Ne dis surtout pas ce mot.
Jean avait réagi sans même y penser, et semblait lui-même étonné de sa réaction. Les regards s'étaient soudain braqués vers lui, des expressions d'incompréhension sur le visage des deux couples. En une fraction de seconde Sabrina avait, quant à elle, compris immédiatement d'où venait le malaise qu'elle sentait chez son ami, son cher Jean, si poli, si respectueux et lui lança un regard tendre, empli de compassion.
• Alors c'est ça qui te met si mal à l'aise, mon cœur ?
• Quoi, quel est le problème Jean ? demanda Eve.
• Je ne comprenais pas moi-même avant que Nicolas ne manque de le dire à l'instant. Disons que d'entendre appeler Saby de cette manière me dérange. Je me suis prêté au jeu lorsque tu m'y as incité mais, honnêtement ça gène qu'on puisse parler d'elle comme ça. Je reconnais que dans le feu de l'action je l'ai fait aussi, même pendant notre dernier baiser, ma chérie. Mais je l'ai juste fait parce que ça semblait te plaire. A mon sens c'est irrespectueux envers toi et je m'en veux d'avoir laissé Nicolas te dire ça.
• Ce cher Jean, si poli, dit tendrement Eve. Ça ne m'étonne qu'à moitié, que tu réagisses comme ça. Ça n'est qu'un jeu, tu sais. Souvent dans ces moments-là on aime bien utiliser des mots un peu crus. C'est comme un jeu de rôle. Il ne faut pas se contrarier pour ça. Demande à Sabrina ce qu'elle en pense.
• Elle a raison mon chéri. Ce n'est qu'un jeu, il ne faut pas t'inquiéter pour ça. Tu sais si cela m'avait gênée je l'aurais dit. Je l'ai bien dit hier à Pascal lorsqu'il avait tenté…. Tu vois de quoi je parle. Ça m'a beaucoup excité d'être comme ça à leurs yeux. Mais rien ne m'a plus excitée que le fait de te voir d'accord. C'est grâce à toi mon chéri que j'ai eu ce plaisir, c'est toi qui m'a prise et même si Pascal ou Nicolas l'avaient fait, c'aurait été uniquement parce que tu aurais accepté. Ce plaisir, c'est un cadeau, celui que TU me fais. Toi et personne d'autre.
• C'est très bien dit, intervint Pascal. Tu es rassuré Jean ?
• Je n'ai pas besoin d'être rassuré : j'ai confiance en elle. Je sais que ça parait très exagéré, presque puéril de dire ça puisque ça fait à peine 24 heures qu'on se connait elle et moi. Mais c'est un fait. Et puis …..ajouta-t-il en souriant, je vous rappelle quand même que j'étais encore vierge et innocent il y a trois jours. Un peu d'indulgence s'il vous plait.
• Pour ça mon chéri, sourit Sabrina, je t'assure que tu n'as pas à rougir. J'ai eu plusieurs amants avant toi et franchement ils ne tiennent pas la comparaison. L'amour sans doute.
• L'amour, l'amour ….plaisanta Eve. Il y a des hommes doués et d'autres moins doués aussi.
• Bon, mais en tout cas c'est vrai Jean, j'y suis allé un peu fort, s'excusa Nicolas. Mais Pascal m'a parlé de ton tempérament, alors j'ai pensé qu'il fallait te pousser dans tes retranchements.
• Au fait … Pardon mais j'aimerais bien prendre une douche, si ça ne vous ennuie pas trop, dit Sabrina.
• De toute façon on devrait tous aller se coucher, dit Chantal. On sera plus en forme pour demain. Dormez bien les amoureux ….. Enfin sauf si vous n'êtes pas trop fatigués.
• Un peu mais j'ai surtout envie de me faire une toilette avant de passer la nuit avec Jean, répliqua Sabrina. N'oublie pas que tu es à moi et rien qu'à moi ce soir. Mais je le prêterai de temps en temps promis, dit-elle à Chantal en riant.
• Et toi n'oublie pas que tu dois toujours avoir ton gage mon grand, dit Eve. Ce soir ne comptais que pour Sabrina.
• Allez, dormez bien les amoureux, dit Pascal en rejoignant Eve qui s'était levée et se dirigeait vers l'étage pour regagner sa chambre.
• Ça marche, dit Jean. Tu veux un coup de main, pour débarrasser, demanda Jean à Nicolas tandis que Chantal montait elle aussi à l'étage. Je te rejoins ma chérie.
• D'accord mais ne tarde pas trop, dit-elle en suivant tout le monde pour regagner leur chambre. A tout de suite.
Tout en rangeant les bouteilles et les verres, Nicolas parla à Jean.
• Vous faites vraiment un joli petit couple. Profitez bien tous les deux. Les années passent vite.
• Je retiendrai le conseil.
• Ouais, ouais. Allez Jean, vas-y. elle doit déjà être dans la douche, et je suis sûr qu'elle t'attends ta petite princesse. ….. au fait c'est ça que j'ai failli dire tout à l'heure. Pas …… le mot que tu n'aimes pas. Je voulais que tu le saches. Et aussi……. Continue de lui faire confiance. Elle t'aime, ça se voit….. Sans doute autant que toi.
• Merci. Bonne nuit.
• Bonne nuit.
Jean s'empressa de rejoindre sa chambre et entendit tout de suite le bruit de la douche. Il se déshabilla, entra dans la salle de bain et vit sa belle, nue, lui tournant le dos tandis que l'eau chaude coulait sur son corps, provoquant une buée sur les parois transparentes de la douche italienne.
Il ouvrit doucement la porte de la douche s'approcha de Sabrina qui semblait profiter de sentir l'eau chaude couler sur elle. Toujours derrière elle, il posa ses mains sur ses épaules qu'il caressa tendrement. Sabrina caressa les mains de son amant, l'encourageant à la prendre dans ses bras, toujours en lui tournant le dos.
• Tu en as mis du temps.
• Je croyais m'être dépêché.
• C'était encore trop long sans toi.
• Je suis là maintenant.
Il la serrait dans ses bras, elle profitait de sa tendresse. Elle voulait profiter de ces instants… gouter le bonheur de cheminer près de lui, main dans la main vers le plaisir. Sabrina se retourna, embrassa son cher amant si doux dont elle sentit l'érection naissante contre son ventre. Lentement, amoureusement, ils se caressèrent et firent l'amour sans quitter la douche. Après une brève toilette, ils gagnèrent leur lit. Là ils firent l'amour à nouveau. Ils se découvrirent, s'aimèrent avec passion. Il jouit de sa beauté, elle jouit de sa tendresse. Lorsqu'ils reprirent leur souffle, ils passèrent un long moment ensemble, parfois sans dire un mot, parfois en échangeant l'un et l'autre sur leurs vies, se découvrant, faisant connaissance, heureux de s'être trouvés. Rapidement, cette tendresse donna naissance à un nouveau désir d'étreinte. Ils s'aimèrent une nouvelle fois, avec plus de passion, plus de fougue, explorant la force de leur désir. Jean se fit plus brutal, plus viril pour elle, elle se fit plus fougueuse, plus affamée et avide de lui. Ils jouirent ainsi à nouveau de leur étreinte, gémissant et criant leur bonheur à l'unisson.
Plusieurs fois encore au cours de la nuit ils s'unirent, s'offrirent l'un à l'autre, s'embrassant, s'aimant et se caressant chacun de leurs lèvres, de leurs mains, sur tout leur corps. Ils firent l'amour comme si cette première véritable nuit était la dernière de leur vie, parfois d'un désir presque bestial, parfois d'une tendresse infinie. Puis ils échangeaient, parlant à nouveau de leurs vies passées et de celle qui viendrait, se découvrant, s'apprenant, avant d'être à nouveau envahi par leur désir. Sabrina prit encore une fois son homme dans sa bouche tandis que Jean gouta à nouveau son nectar. Cette fois, elle gouta le jus de son plaisir tandis qu'elle éructait sous le coup d'un nouvel orgasme. La nuit passa ainsi, entre jouissance et tendresse, dans un cocon fait de leur amour naissant. Ils s'endormirent aux premières lueurs de l'aube, Sabrina blottie contre lui, Jean la serrant dans ses bras.
Leur première véritable nuit d'amour.
Quelques heures plus tard Jean ouvrit les yeux et vit Sabrina le regarder, laissant courir le bout de ses doigts sur son torse. Elle lui sourit.
• Bonjour mon cœur. Tu as bien dormi ?
• Bien dormi ? Je suis réveillé là ? Je me réveille et je vous une sirène qui me sourit : je suis forcément en train de rêver.
• T'es bête, lui répondit-elle en souriant.
Elle se pencha vers lui et l'embrassa. Il la prit dans ses bras pour profiter de ce baiser matinal. Puis il la regarda.
• Au fait ma puce, quelle heure est-il ?
• L'heure de se lever mon chéri. Nos câlins de la nuit nous ont un peu décalés, je dirais. Il est plus de 10h et demi.
• Ah ouais quand même. … Bon ben c'est parti, dit-il en se levant.
Il se rendit rapidement à la salle de bain, ramassa ses vêtements et ceux de Sabrina et enfila un short rapidement tandis que cette dernière se vêtit d'un pyjama shorty et tee-shirt.
• Je pense qu'on va probablement entendre parler de nos câlins de cette nuit. On n'a pas été très discrets, dit Sabrina.
• Bah, ce n'est pas gênant. A moins que ça ne t'embarrasse.
• Mon chéri la seule chose qui pourrait m'embarrasser ce serait que tu ne me fasses plus revivre des nuits comme celle-là.
• Aucun risque. Allez on descend !!
• Attend., s'il te plait. Viens me voir.
• Qu'est ce qu'il y a ?
• Tu te souviens de tout ce qu'on s'est raconté cette nuit ?
• Oui.
• N'oublie pas s'il te plait : Je t'aime et j'ai confiance en toi. Tu m'aimes et tu as confiance en moi. Maintenant je vais refaire confiance à la vie …. et toi, tu vas faire confiance en ce mec génial dont je suis amoureuse. D'accord ? Promet le moi.
• Je te le promets, lui répondit il en souriant, la regardant dans les yeux.

Arrivés dans la cuisine, ils réalisèrent qu'ils n'étaient en fait pas si en retard qu'ils le pensaient. Eve, Pascal, et Nicolas discutaient tandis que Chantal était à peine en train de ranger les bols. Jean et Sabrina se mirent à table après avoir salué tout le monde.
• Hé, bien, la nuit a été longue, dit Pascal. Longue et bruyante.
• La vache!!! Vous êtes en forme !!! dit Jean en souriant. On n'est assis que depuis 13 secondes et vous abordez déjà le sujet.
• On dirait que tu as compté, plaisanta Eve.
• C'est le cas. Je voulais voir si vous aviez la capacité à contrôler votre curiosité. Qu'est-ce que vous faites du suspense ?! Je croyais qu'avec l'âge on apprenait à se contrôler, ajouta-t-il en riant, ce qui fit rire tout le monde, Pascal y compris.
• Mais c'est vrai qu'on vous a beaucoup entendu cette nuit. On ne pensait pas vous revoir avant midi, dit Eve.
• Oui, mais on voulait quand même se lever pour ne rien perdre de la journée, répondit Sabrina.
• D'ailleurs qu'est ce qui est prévu aujourd'hui ? Demanda Jean.
• On va aller se promener. Il y a des chemins de randonnée sympas dans le coin. On pourrait aller dans les gorges au pont d'Arc.
• Si on parle de chemins de promenade ou de rando, dit Jean, j'en avais fait un paquet ici. Celui du rocher du lion est un peu ennuyeux mais je connaissais un coin près du camping où j'allais enfant. Il y a un joli sentier à flan de falaise …. Enfin pour peu que j'arrive à le retrouver …. On arrive à côté du camping et on peut facilement se baigner à l'arrivée.
• Il est long ? demanda Nicolas.
• Dans mes souvenirs …. Euh en fait je ne me rappelle plus. Mais de toute façon il faut d'abord le retrouver.
• On va regarder ça et on se prépare un planning pour cet après-midi, lui dit Chantal. Il faudrait se dépêcher de préparer les sandwichs et on y va. Pour ce soir on se mettra d'accord sur le repas et si besoin on ira faire des courses.
Ce fut fait très rapidement et tous furent prêts à partir en moins d'une demi-heure. Les douches de chaque chambre y étaient bien-évidemment pour quelque chose et Jean et Sabrina avaient pu profiter de leurs nudités pour quelques caresses tandis qu'ils se savonnaient mutuellement. Ils furent rapidement prêts et descendirent tous préparer les sandwichs et distribuer les sacs pour chacun. Jean constata que les femmes avaient eu le temps de se pomponner légèrement, même Sabrina en dépit de leur petit égarement durant leur douche. Jean contempla ces trois femmes tout en préparant son repas. Elles étaient toutes trois si belles et si différentes. Et Sabrina…. Il réalisa qu'il devait appeler ses parents et le fit dans la foulée en quelques minutes, répondant brièvement à quelques questions sans s'étendre mais en prenant soin, comme il l'avait dit, de laisser échapper des signes de son prochain retour avec sa belle.
Eve et Pascal le regardèrent à la dérobée et ne purent s'empêcher de sourire, tout comme Nicolas et Chantal auxquels le couple d'ami avait brièvement parlé de ce tout jeune couple.
Ils partirent tous avec le 4x4 de ville de leurs hôtes et mirent un certain temps à parvenir jusqu'aux gorges. Ils s'y promenèrent avant de partager une collation et firent une marche digestive jusqu'au Pont d'Arc avant de repartir tous vers la destination que Jean avait pu retrouver. Arrivés sur les lieux, ce dernier retrouva avec bonheur les chemins qu'il avait parcouru et Pascal fut étonné de le voir cette fois si sûr de lui, même lorsqu'il semblait que le sentier était sans issue et que Jean retrouva le chemin après être passé au travers d'un buisson et avoir joué le rôle d'éclaireur.
Le chemin retrouvé, il prit Sabrina par la main, laquelle le suivit en contemplant son ami, joyeux, heureux de partager cet instant avec eux tous. Jean avait l'impression que cela était presque un signe : un retour aux sources avec celle qui comptait pour lui.
Au bout d'un certain temps, ils arrivèrent tous au bord de l'eau puis sur une étendue rocheuse où l'eau avait creusé ses larges sillons. Cela semblait de larges plages rocheuses. Tous s'installèrent, se changèrent discrètement et s préparèrent à aller se délasser dans l'eau fraiche après que Jean les eut prévenus du courant parfois puissant de l'eau passant entre les plages de roches. Il prit plaisir à prendre sa belle dans ses bras et de la retenir tandis que le courant manquât de l'emporter. Elle se serra contre lui quelques instant avant qu'il ne lâche prise, se laissant emporter avec elle par le courant.
Remonté sur les plages de roches, Jean se rendit compte que les tenues des trois femmes étaient à la hauteur de la joie du jeune homme : un ravissement pour les yeux. Tout en admirant sa belle, il ne put s'empêcher de regarder les jolies formes d'Eve et de Chantal. Eve était bien sûr belle, resplendissante, à la fois dynamique et si calme, prenant les choses avec tant de calme, comme si tout était évident. Il sentait chez Chantal une même fraicheur auquel se mêlait un désir plus manifeste de croquer la vie avec gourmandise. Il se surprit à penser que faire l'amour avec elle devait souvent rimer avec intensité. Puis son regard alla vers Sabrina. Elle était belle d'une manière qu'il n'aurait su décrire, jeune, spontanée, espiègle et sensible. Il avait à nouveau envie de la cajoler. Ce serait pour plus tard. Pascal et Nicolas semblaient également se réjouir de la vision de ces trois beautés.
• Au fait, Jean, dit Pascal, tu sais que ce soir tu vas avoir droit à ton gage. Et tu as intérêt à être en forme. J'espère pour toi que ta folle nuit ne t'a pas privé de tes moyens.
• D'après ce qui a failli se passer dans la douche, je dirais que non, répondit Jean.
• Ils sont inépuisables ces jeunes, répondit Nicolas. Mais en tout cas merci : je ne connaissais pas ce coin-là.
• En même temps pour le côté inépuisable, je pense que ça vous arrange bien non ? Je suis à peu près sûr que vous allez vouloir profiter de Sabrina ce soir, tous les deux, je me trompe ?
• Hé bien pour moi j'ai déjà eu le plaisir de gouter mais je suis certain que Nicolas aimerait la découvrir, dit Pascal.
• Ah, ce soir je suis prioritaire.
• Si elle est d'accord bien sûr, précisa Jean. Bon je ne pense pas qu'elle ait une objection mais je préfère préciser.
• Par contre, ta petite amie a un gout de reviens-y donc si tu me permet….. et si elle permet évidemment, surenchérit Pascal.
• Pas de soucis. Par contre je vais me retrouver seul avec ces dames.
• Ah ah, ….. Pas trop peur ? demanda Nicolas.
• Non, honoré. Mais euh…ce sera ça le gage dont parlais Eve ?
• Presque ….mais je ne t'ai rien dit d'accord ? chuchota Pascal.
• Secret de polichinelle, dit Nicolas.
• Et toi joue le jeu, lui dit Pascal sinon je te promets que je veille à ce que Chantal me laisse le champ libre. Tu sais très bien que je n'attends que son accord.
• Hé hé hé c'est ça ouais. Pas touche à mes fesses.
• Tes fesses ? Ah oui, j'avais oublié pardon dit Jean, se rappelant que Pascal, comme son épouse, était bisexuel.
• Ouais, hé bien fais attention, répondit Nicolas, sinon il pourrait bien s'occuper de toi aussi.
• Oh mais notre Jean a déjà eu une expérience dans le genre n'est-ce pas ? En revanche c'était plutôt un mauvais souvenir, répondit Pascal.
• Ah ouais ? Raconte p'tit gars.
Un peu gêné, Jean fit le récit de son périple et sa rencontre avec une un transsexuel, comme il en avait alors parlé à Pascal et sa femme le premier soir de ces vacances.
• Oui, en effet ce n'est pas une chose évidente à vivre, dit Nicolas. Par contre est ce que tu en as parlé avec ta chérie ?
• Non, ça ne m'est pas encore venu à l'esprit.
• Mais tu aurais envie de réessayer, demanda Pascal.
• Franchement, je n'en sais rien. Je pense surtout que ça me gênerait vis-à-vis d'elle.
• Je pense surtout que ce n'est pas tellement le moment.
• Bon les garçons, on va devoir se dépêcher de rentrer si on veut pouvoir faire les courses en rentrant, dit Chantal.
• C'est vrai : le temps de retrouver la voiture et de la route, ça va passer vite.
Le retour vers la voiture, avec Jean comme guide, fut rapide. Tous embarquèrent, Sabrina se trouvant entre Jean et Chantal. La jeune femme pu ainsi se retrouver avec son ami et profita de la discussion entre Pascal, Eve, Chantal et Nicolas pour échanger avec lui. Jean apprit qu'il n'était pas le seul à avoir bénéficié de confidences et Sabrina lui souffla avec un sourire espiègle qu'il lui faudrait être vaillant durant la soirée. Jean lui fit également part des confidences de Pascal en catimini, ce qui fit sourire son amie.
• Nous allons tous les deux être très sollicités mon amour, lui dit-elle en souriant avant de se coller contre lui.
• Oui ….. c'est pas déjà le cas ? demanda-t-il en remarquant que la main de Chantal parcourait déjà les cuisses de son amie, laissant ses doigts se promener doucement à l'orée de sa jupe de sport.
• Oui …. Tu sais à quel point j'aime les doigts de femme, lui souffla-t-elle en lui prenant la main. Mais n'oublie jamais combien je t'aime, ajouta-t-elle tandis que sa voisine remontait doucement le long de sa cuisse, finissant par taquiner le bord de sa culotte.
• Est-ce que c'est bon, mon ange ?
• Oui, lui souffla-t-elle au creux de l'oreille, sa main m'excite …..et toi aussi n'est-ce pas, ajouta-t-elle en posa sa main sur la bosse naissante de son compagnon.
La main de Chantal ne fit plus inquisitrice, jouant avec le plaisir de Sabrina durant tout le trajet, le petit jeu coquin se poursuivant ainsi entre les deux femmes sous l'œil attentif de Jean et d'Eve à laquelle la scène n'avait pas échappé.
Une fois tous arrivés, Nicolas et son épouse repartirent brièvement faire quelques courses tandis que Jean, Sabrina Pascal et Eve s'occupaient de vider les sacs et de ranger les affaires dans le salon.
• Bon, Jean, dit soudain Eve. Il faut que tu sache que tu auras ton gage ce soir. Tu as intérêt à être prêt et surtout, serein. Plus question de stresser cette fois ci, et ce quoiqu'il arrive.
• Je vais essayer, je te promets que je vais faire de mon mieux.
• De toute façon tu n'as pas à être stressé mon chéri. On va s'amuser, prendre du plaisir tous ensemble.
• Et puis avec la nuit dernière, ne me dis pas qu'il y a encore des choses que tu ne connais pas d'elle, plaisanta Pascal. Cette fois c'est notre tour.
• Mais arrête, chéri !! Jean ne devait pas savoir avant ce soir, s'agaça Eve.
• Tu sais bien que Nicolas ne s'est pas gêné pour le dire, lui répondit son mari. Et puis il ne va pas se sentir lésé, pas vrai Jean.
• Ça n'a rien à voir et tu le sais bien, répondit Jean. C'est juste que je….. j'ai toujours un peu peur d'être rattrapé par mon anxiété.
• Ton anxiété à propos de quoi, lui demanda Eve.
• De moi ….. de Sabrina, de ce que je ressens quand elle est avec quelqu'un d'autre.
• Ne sois pas jaloux mon cœur. Tu sais très bien que c'est toi mon homme. Toi et personne d'autre.
• Je ne suis pas jaloux mon cœur ….. Je te le promets. Et pour le reste….. ce n'est qu'une peur liée à mon manque de confiance en moi…..et à quelques vieux démons si je puis dire. Mais ce n'est pas vraiment le moment d'évoquer ça ma chérie.
• C'est vrai Jean. Tout ce qui compte c'est que vous viviez ces moments sans regrets, affirma Eve. Bon, mon chéri, tu devrais aller te doucher. Ils ne vont pas tarder à arriver. Comme ça on sera tous prêts le temps de préparer le repas de ce soir.
Chacun monta dans les chambres prendre une douche et se vêtir en circonstances. Jean mit l'une des tenues qu'il avait acquises avec Pascal et Eve quelques jours auparavant. Lorsqu'il sortit de la salle de bain, habillé de son costume anthracite et d'une chemise fuchsia, Sabrina le regarda et s'approcha de lui. Elle le complimenta, l'embrassa en souriant, puis le suivit, lui promettant qu'elle serait à la hauteur.
Quelques dizaines de minutes plus tard, elle ressortit, et Jean ne put que la contempler. Elle portait désormais une jolie robe noire fendue qui lui moulait merveilleusement sa belle silhouette menue, mettant en valeur ses jolies épaules. Elle avait attaché ses quelques mèches de ses cheveux pour dégager son si beau visage. Ses paupières étaient ornés d'une nuance grise et rosée et des traits sombres soulignaient un regard pourtant d'une grande douceur. Ses lèvres s'étaient colorées de nuances rosées et brillaient des mêmes feux que ses yeux. Devant le regard admiratif de son ami, Sabrina ses lèvres s'étirèrent en un large sourire.
Elle s'approcha de Jean et l'embrassa de nouveau avant qu'il ne la prenne dans ses bras.
Ils descendirent tous deux au salons ou Pascal et Eve s'étaient déjà préparés tandis que les maitres de maison avaient déjà disposés l'apéritif sur la table du salon.
Ils profitèrent de l'ambiance, se remémorèrent la journée et passèrent une soirée agréable, Pascal et Nicolas avouant qu'ils avaient failli demander à Jean de rebrousser chemin tandis que ce dernier recherchait le sentier sur lequel il les avait tous emmenés. Ils parlèrent notamment de la rencontre des deux jeunes gens, tandis que le couple d'hôte avait • Hé bien le moins que l'on puisse dire est que tu as tout gagné avec cette invitation, dit Chantal.
• Oui, c'est vrai, dit, Jean. Je ne fais que rencontrer des gens agréables, dont Saby est la cerise sur un joli gâteau.
• Oh crois moi tu ne sais pas à quel point, dit Chantal. Je peux être vraiment très agréable. Tu veux que je te montre ?
• Allez, ma belle, tu n'attends que ça depuis tout à l'heure, l'encouragea Eve.
• Venez avec moi mes chéries, on va mettre le feu à la soirée, dit alors Chantal.
La belle asiatique se leva, mit un air de musique et commença à danser, entrainant Eve et Sabrina avec elle. Toutes les trois se mirent à bouger et onduler au rythme de la musique. Les trois hommes les regardèrent. Jean admirait bien évidemment sa belle tout en regardant les deux femmes, qui danser, se rapprochaient parfois avant de reprendre des distances. Elles se rapprochaient désormais de plus en plus souvent. Jean remarqua que Eve et Chantal veillaient particulièrement à mettre Sabrina à l'honneur, caressant son corps, s''approchant à la limite du baiser. Puis Eve, prit Sabrina et la fit pivoter face à ses spectateurs, elle lui caressa ainsi ouvertement la poitrine au travers de sa belle robe.
Jean pu voir le regard de sa belle briller d'excitation, heureuse, se délectant de toutes ces attentions autant que des regards de son ami et des deux hommes qui la regardaient en souriant.
Chantal, quant à elle, dansait maintenant en regardant les hommes droits dans les yeux. Elle s'approcha de Pascal et de son mari et leur palpa l'entrejambe.
• Ouah … hé bien elle vous fait un sacré effet la petite. Viens voir ça Eve. Cette dernière obtempéra et posa la main à son tour sur les sexes des deux hommes.
• Oui, pas de doute, ils sont bien inspirés ce soir. Tu devrais venir voir Saby, lui dit-elle en prenant la jeune femme par la main. Viens vérifier l'état de ces messieurs.
Sabrina s'approcha d'Eve, le regard brillant et posa également ses mains sur les deux hommes, dont elle sentit la virilité tendue.
• Alors, ma chérie, dit Eve, ils sont dans quel état ?
• Ils bandent tous les deux. Ils sont très dur, dit Sabrina.
• Et tu ne vas pas les laisser comme ça non, dit Chantal. Il ne faut pas les faire attendre ces petits chéris. Allez, sors leurs queues.
Sabrina ouvrit les pantalons et caressa les deux sexes des hommes avant de les extirper de leurs sous-vêtements. Elle les prit dans ses mains et les caressa tous les deux, éprouvant le contact de ces deux tiges de chair gonflé par le désir. Elle avait envie de ces hommes. Les sentir palpiter dans sa main, leurs glands humides lui affolaient les sens. Elle désirait maintenant se laisser aller, prendre soin de ces hommes pour leur plaisir, pour son plaisir. Son corps les réclamait comme dans l'impatience de ces promesses de voluptés, de plaisir. Comme un réflexe, elle jeta un regard vers Jean. Ce dernier ne la quittait pas des yeux. Il la regardait, brûlante d'envie pour ces deux sexes gonflés sur lesquels elle faisait aller et venir ses mains. Soudain, elle fut prise du désir qu'il la regarde, qu'il la voit être l'objet de désir de Pascal et Nicolas.
Ce fut à cet instant qu'Eve s'approcha de Jean qui tourna les yeux vers elle. Jean ressentait son énorme désir pour sa petite amie. Il décida de retourner son désir vers Eve. Il la regarda comme il regardait son amie, comme il avait regardé Françoise dans le club avant de la prendre dans ses bras. Cela lui vint à l'esprit comme un flash. Il se leva et prit Eve par les hanches avant de l'embrasser. Il laissa glisser ses mains sur elle et la caressa lentement. Chantal quant à elle, le rejoint et se colla à son dos, caressant ses épaules, ses fesses, ses hanches tandis qu'Eve profitait des baisers que Jean déposait sur son cou, ses épaules, venant ensuite gouter à nouveau ses lèvres. Ses mains caressaient le corps d'Eve puis s'en détachèrent lorsque Chantal, toujours collée à son dos, vint l'embrasser à son tour, laissant petit à petit son autre main dériver de la cuisse du jeune homme à son l'orée de son entrejambe.
Jean l'attira contre lui et la prit à son tour dans ses bras, caressant ses fesses, son corps, passant sur ses seins. Il voulait lui donner du plaisir. Il resta donc attentif à ses soupirs, à ses regards. Chantal soupirait à chacune de ses caresses. Eve regardait son amie profiter des mains, des lèvres de Jean. Elle sourit et se plaça près d'eux, menant le visage de son amie près de celui du jeune homme, les encourageant à partager un long et profond baiser. Elle voyait les langues des deux partenaires se mêler et vint y joindre la sienne.
Sabrina restait attentive aux réactions de Jean. Elle s'appliquait désormais à prendre les deux hommes dans sa bouche, leur embrassant le sexe avant de le lécher comme elle lécherait une glace, recueillant les premières gouttes de leur désir. Elle les prit un par un dans sa bouche tandis qu'elle sentait leurs mains devenir plus inquisitrices, caressant ses seins, jouant avec ses tétons, lui arrachant des soupirs que les membres turgescents l'empêchaient cependant d'exprimer pleinement.
Nicolas la releva et l'embrassa, faisant pénétrer sa langue dans la bouche de la jeune femme d'un désir presque brutal. Elle l'accepta, y prit plaisir puis sentis les mains de Pascal remonter le long de ses cuisses pour venir se poser sur son entrejambe, moite d'excitation. Lorsque Pascal se mit à bouger ses doigts, la caressant au travers le tissu, elle poussa un léger gémissement, encourageant ses mains. Elle était submergée par ces mains, ces lèvres qui se posaient sur elle, d'un contact ferme et doux pour Pascal, d'un toucher plus viril, plus brutal pour Nicolas. Elle voulait s'offrir à eux. Elle sentit Nicolas remplacer Pascal entre ses jambes qu'elle écarta pour lui faciliter l'accès, pour sentir davantage sa caresse. Il fouillait son intimité avec une intensité, faisant glisser ses doigts sur son bouton durci, à fleur de peau, lui arrachant des cris de plaisir. Elle eut immédiatement un premier orgasme. Pascal la soutint, se tenant devant elle. Il s'assit à nouveau, la fit se pencher en avant. Nicolas vint se positionner derrière elle et la pénétra. Il entra avec un cri rauque et elle l'accueilli dans un long soupir tandis qu'il entrait en elle. Tout à son plaisir, Sabrina regardait son amant lorsqu'elle entendit un gémissement de jouissance qui lui fit lâcher un instant le sexe de Pascal.
Jean s'était positionné entre les jambes de Chantal et semblait occupé à lui lécher le sexe. Il arrachait à la belle asiatique des soupirs qui se muaient en halètements puis en cris de plaisir, tandis qu'Eve léchait les seins de son amie.
Jean se releva, présenta son sexe à la vulve trempée de sa partenaire et s'y enfonça sans difficulté. Il se mit à aller et venir en elle, chacun de ses mouvements approchant encore Chantal d'un nouvel orgasme. Après quelques minutes, elle jouit à nouveau. Jean s'appliquait à se montrer attentif à ses réactions, la léchant, l'embrassant tout en la pénétrant, en prenant soin d'alterner des mouvements lents et rapides pour parvenir à se contenir, tout comme il l'avait fait la première fois avec Eve ….. Tout comme il le ferait si elle était sa petite blonde, sa chérie, si menue. Il fit relever Chantal et la prit à nouveau tandis qu'elle s'occupait d'Eve, les cuisses ouvertes pour faciliter les baisers de son amie sur son intimité, trempée, l'embrassant, alimentant la flamme de son plaisir. Jean se fit cette fois plus vigoureux et la pénétrait avec force. Il entendait le son de leurs corps claquer l'un contre l'autre. Chantal appréciait ce traitement et gémissait sans se retenir. Elle jouit une nouvelle fois, tandis que Jean continuait de se retenir. Il voulait rester maitre de la situation, ne pas jouir et donner le plus de plaisir possible à ses deux fougueuses partenaires. Tandis que Chantal reprenait son souffle, la queue de Jean continuant de lents mouvements en elle, ce dernier attira Eve à lui et l'embrassa tout en caressant ses hanches et ses fesses. Eve se cambrait de plaisir sous ces caresses et se baissa afin de prendre dans sa bouche le sexe encore luisant des sécrétions de son amie. Elle s'appliquait à le sentir dur entre ses lèvres, éprouvant son désir de ses baisers et de ses coups de langue. Elle levait les yeux vers son jeune partenaire, le voyant en train de la regardait. Elle lui sourit, heureuse de lui prodiguer ces délicieuses sensations. Elle le voulait maintenant en elle, voulant découvrir ce nouveau Jean, plus assuré, plus viril. Jean le sentit immédiatement il la leva doucement par les épaules, l'attira contre lui, lui caressa délicatement les hanches, descendit vers la cuisse qu'il releva. Là, debout, il la pénétra. Ils ondulèrent ensemble, soufflant, gémissant de concert tandis que Chantal les regardait, assise sur le canapé, récupérant des assauts de son jeune partenaire.
Sabrina n'était pas en reste et subissait désormais les assauts de Pascal, allongée sur le dos tandis que Nicolas lui présentait son sexe qu'elle caressait de ses lèvres et de sa langue. Pascal lui faisait l'amour de main de maitre, alternant les rythmes, variant les ondulations de ses hanches et multipliant les sensations. Elle le sentait la masser de l'intérieur. Mais elle sentait également que ce dernier ne se contenterait pas cette fois de cette position. Elle se doutait qu'il voudrait assouvir cette envie qu'elle lui avait refusé la première fois. Son intuition fut confirmée lorsque, quelques instants plus tard, elle sentit un doigt fureteur, s'insinuer contre sa petite rondelle. Lubrifié par la cyprine qui s'écoulait de ses jouissances et par le désir brulant de Sabrina, le doigt n'eut guère de mal à s'insinuer. Rapidement, elle sentit Pascal présenter son gland à l'orée de son anus et pousser délicatement sur son sexe qui conquérait ce petit graal. Après quelques mouvements, il put ainsi la prendre, la sodomisant avec précaution pour ensuite se montrer véritablement brutal. Sabrina était si excitée qu'elle criait désormais son plaisir, suppliant son amant de la prendre plus fort. Elle jouit à nouveau de cette pénétration si virile puis sentit la queue grossir de plus en plus. Pascal expulsa en elle de grande giclée de sperme, provoquant un nouvel orgasme chez la jeune femme qui gémit une fois de plus.
Pascal se retira et Nicolas vint cette fois prendre la relève. Il s'assit puis la fit venir. Elle s'empala sur lui, sa bite venait à nouveau remplir son vagin ouvert, comme une bouche affamée. Nicolas la prit tout d'abord doucement, dirigeant les ondulations des hanches de Sabrina. Puis cette dernière se mit à le chevaucher avec plus de vigueur, prenant son plaisir sur ce nouvel amant. Ce dernier se montra endurant, toujours dur en elle. Puis il la fit lever et vint se positionner derrière elle afin de profiter lui aussi de l'orifice laissé vacant par Pascal quelques minutes plus tôt. Il s'y engouffra sans difficulté, le sperme de Pascal qui s'en écoulait lubrifiant le petit orifice. Nicolas était à peine plus large mais Sabrina en sentit la différence et apprécia pleinement cette nouvelle saillie anale. Elle se sentait bien, heureuse, et jeta un nouveau regard vers Jean.
Ce dernier s'était désormais assis et était chevauché par Eve qui ondulait lascivement sur Jean tandis que Chantal avait entrepris de lécher les fesses de son ami et la queue de Jean qui allait et venait dans son vagin, ouvert et trempé. Sabrina vit Chantal extirper la verge de son ami de l'antre brulante d'Eve afin de la diriger vers son petit trou. Puis, lentement, Eve s'empala sur ce sexe si dur et gouta au même plaisir que la jeune femme.
Sabrina regarda son ami, comme si elle le redécouvrait, ressentant une étrange jalousie, jalousie de n'être pas en train de profiter de lui. Elle le découvrait encore plus attirant que la première fois où ils s'étaient offerts l'un à l'autre. Il lui semblait qu'elle l'aimait chaque seconde encore davantage. Son ventre se mit à la bruler, mélange de bonheur intense et de rage. Submergée par ces sentiments, elle croisa son regard. Elle se mit à chevaucher son amant avec davantage de fougue, ondulant avec force. Elle voulait jouir devant lui. Elle voulait qu'il la trouve belle, qu'il ressente de la jalousie. Elle voulait qu'il la voie submergée de plaisir. Elle chevaucha Nicolas avec tant de fougue que ce dernier ne put se retenir davantage et éjacula au fond des entrailles de la jeune femme, ce qui la fit jouir une nouvelle fois.
Sabrina s'écroula sous cet orgasme. Pascal fut de retour près d'elle et la fit le chevaucher à son tour. Sabrina sentit une nouvelle fois la queue de Pascal au fond de sa chatte trempée. Doucement, progressivement, il lui fit l'amour une nouvelle fois, attendant patiemment que ses sens s'éveillent. Sabrina ne resta pas insensible à cette pénétration et ondula à nouveau sur Pascal, se montrant lascive, impétueuse, avide d'être secouée d'un nouvel orgasme, tandis qu'elle entendait Eve gémir sous les caresse de Jean tandis que Chantal extirpait de temps à autre sa queue pour la prendre dans sa bouche avant de l'enfouir à nouveau dans le sexe ou l'anus de son amie. Jean se concentrait pour demeurer calme, ne pas jouir avant elles. Il se retenait, ce qui maintenait son sexe dur, à la limite de la jouissance mais pourtant sans franchir le point de non-retour.
Il vit Nicolas s'approcher de sa belle qui continuait de chevaucher Pascal, il le vit se présenter derrière elle, le sexe ayant regagné de la vigueur. Il le vit présenter son sexe contre son anus. Il vit Sabrina réagir, étonnée puis effrayée, comprenant qu'elle allait bientôt subir les assauts simultanés des deux hommes. Il fut excité de la voir se plier à leurs désirs. Il fut excité de voir le sexe de Nicolas disparaitre une nouvelle fois dans l'anus de sa belle. Il fut excité de voir progressivement l'appréhension et la prudence la quitter pour faire place à de l'abandon. Sabrina se mit à gémir, se cambrant de plaisir sous les sensations cumulées de son sexe trempé et de son anus dilaté et rendu sensible. Les deux hommes la prirent d'abord avec synchronisme puis, excités par le plaisir de la jeune femme, se mirent à la pilonner avec vigueur tandis que Sabrina éructait, exultait sous un déluge de sensation qui allaient bientôt la mener une nouvelle fois au plaisir. Gémissant, haletant sous ces sensations, elle regarda une nouvelle fois Jean qui continuait de prendre Eve avec fougue. Jean tourna la tête vers elle. Leurs regards se croisèrent. Sabrina fut soudain embrasée, comme si le regard de son ami avait multiplié les sensations si délicieuses de ces hommes qui se déchainaient en elle. Elle tendit la main vers lui. Il la prit. Ce lien établi, Sabrina jouit une dernière fois, hurlant son plaisir, étreignant la main de son ami tandis que les hommes se déversaient une nouvelle fois en elle. Jean éjacula également de concert avec sa belle tandis qu'Eve fut secouée d'un nouvel orgasme en sentant le sperme chaud se répandre dans son ventre. Chantal les rejoignit dans le plaisir presque simultanément, les caresses d'Eve l'ayant elle aussi conduite à la jouissance.
Son plaisir passé, Sabrina se dégagea de ses amants, s'essuya rapidement l'entrejambe et revint se blottir dans les bras de Jean. Eve s'était également retirée, de même que Chantal, chacune retournant dans les bras de son conjoint, tout en restant l'une à côté de l'autre, s'échangeant de tendre caresses.
Sabrina se mit à califourchon sur Jean et savourait les sensations qu'elle venait de découvrir. Elle se sentait heureuse de sentir à nouveau ses bras autour d'elle. Elle se sentit transportée lorsqu'elle l'entendit le lui dire dans un chuchotement.
• Je t'aime.
Elle comprit à ce moment-là ce qui l'avait submergée. Il l'avait laissée libre pour qu'elle puisse d'elle-même vouloir lui revenir. C'était son cadeau. Sa confiance.
Elle le regarda à nouveau, l'embrassa tendrement, timidement avant de s'enfouir contre lui.
• Mon Jean, moi aussi je t'aime.

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