Valérie et l’inconnu de histoires-de-sexe.net : 2 - histoire érotique

Valérie et l’inconnu de histoires-de-sexe.net : 2


- Valérie, je suis sûr que tu crèves d’envie de sentir ça s’enfoncer dans ton beau petit vagin. Mon épée ne fait pas le poids face à son sabre d’abordage, il en a la courbure et l’arrogance ! Ne t’inquiète-pas, Philippe, je ne fais que regarder, je sais que son fantasme, c’est les grosses bites, et là, elle ne va pas être déçue et je t’ai vu te masturber avec elle. Tu as ma bénédiction pour baiser ma salope de femme.
-Elle est magnifique et j’espère ne pas la décevoir, rétorque Philippe, je vais faire l’amour avec elle jusqu’à ce qu’elle demande grâce.

Suite :
Après cette interruption, Philippe ignore complètement mon mari et agite sa superbe bite d’une main, avec l’autre il relève le bas de ma robe pour la glisser dans ma culotte, insérant ses doigts dans ma vulve pour sentir la moiteur de mon corps. Son sexe atteint enfin sa pleine croissance et devient encore plus dur et l’érection est plus forte comme si c’était encore humainement possible. Plus tard, mon mari m’a révélé les confidences de Philippe, les dimensions de cet anneau qui étrangle sa verge à la base fait 46 millimètres de diamètre intérieur et l’épaisseur du caoutchouc 6 millimètres, (mesures réelles) et pourtant ces 52 millimètres disparaissent dans les replis de sa verge. Bien sûr que je suis intéressée par un tel mâle et de voir sa queue s’agiter ainsi me fait lubrifier ses doigts de ma liqueur intime.
Philippe se lève et je fais de même, il me retire ma robe et ma culotte, nous sommes comme Adam et Eve et ses mains explorent la fermeté de mes seins libérés de toutes contraintes. Sa verge tendue pointe haut malgré son poids conséquent. Vu de haut elle parait plus courte mais son épaisseur inusitée rend l’illusion trompeuse. Mes deux mains sur la hampe laissent libre son gland.

Il me pousse sur le divan, se met à genoux, pose mes jambes sur ses épaules et s’occupe de ma fente avec sa bouche et ses mains. Philippe commencer à me lécher la vulve et il sait sacrément bien s’y prendre, le bougre. Combien de femmes cet homme a-t-il pu séduire avant moi ? Sa langue est nerveuse sur mon bouton et a un talent si particulier que j’ai l’impression qu’il en a plusieurs alors que simultanément ses doigts s’activent dans ma fente. Je ne tarde pas à monter dans les tours, je fais des vocalises comme une diva et jouis comme une folle. Il joue tellement bien de son instrument lingual qu’il reçoit plusieurs fois mon liquide dans la bouche. Je me vide comme une fontaine dans sa bouche et sur son visage, ce qui ne le perturbe même pas. Il reste impassible mais toujours aussi actif. Une vraie machine à plaisir, ce mec ! Maintenant sa langue virevolte de mon anus à mon clitoris et ses doigts pianotent sur mon corps comme si j’étais un instrument de musique. Quel artiste…

Il se relève enfin, me laissant exsangue sur le divan. Il m’aide à me relever. Malgré les nombreuses minutes qu’il a passé rien que pour mon plaisir, sa verge n’a pas dégonflée ne serait-ce d’un millimètre. C’est sûrement dû à cet anneau. Il me serre dans ses bras, me décolle du sol et je ne sais pas comment il s’y prend, mais je me retrouve suspendue à son cou, ses bras sous mes cuisses, je ne touche plus le sol. Il a dû trouver que cela avait assez duré et je sens son gros gland cherchant ma fente, il trouve la fissure de mes petites lèvres et s’enfonce lentement en moi à l’entrée de ma vulve offerte. Il n’a même-pas à s’employer mais laisse faire la gravité pour qu’uniquement la tête de son nœud disparaisse dans ma chatte. Puis avec toute la longueur de sa queue, il s’adapte à mon corps en accélérant ou en ralentissant sur quelques centimètres la pénétration. Je lui susurre à l’oreille :
-Je suis prête, Philippe, mais vas-y doucement avec ton braquemard, je ne suis pas habituée à un tel calibre.

Avec un tel encouragement, il s’enfonce dans mon intimité. Sa queue magnifique me pénètre comme un hérisson de ramoneur plus gros que le conduit de la cheminée pour en décoller la suie. Je ressens son gros et long gland poursuivre son chemin, il passe mon poing G qu’il frotte avec vigueur, étendant les petits plis de mon vagin à leur maximum avant de buter tout au fond en essayant de défoncer mon utérus. Cet homme est un vrai bouc et son bélier itou. Maintenant qu’il m’a embrochée comme une vulgaire volaille, c’est sa bouche qui s’active sur la mienne et sa langue qui quelques instants auparavant me léchait la chatte vient croiser le fer avec la mienne pour que mes papilles gustatives goûtent le parfum capiteux de ma cyprine.
A cet instant, il pourrait obtenir ce qu’il veut de moi, je l’encourage :
-Bourre-moi mon salaud, rempli ma chatte avec ta poutre, mais on serait mieux dans ma chambre !

Que n’ai-je pas dit là ? Je le guide entre chaque coup dans ma matrice de ce formidable pieu, c’est à peine si je suis en mesure de me contrôler. Une fois dans la chambre, il me couche sur le lit et reprend le pilonnage. Cela dure si longtemps que je recommence à jouir, couvrant son chibre d’une bave blanche. Je suis comme une mise à mort qui se vide, sinon de son sang mais d’un autre liquide, le fluide du plaisir. Il plonge son sabre au plus profond de mon vagin, variant les positions. Cela dure si longtemps que j’en perds la notion du temps mais lui ne se pose pas de telle question et enfin ouvre les vannes. Un jet puissant jaillit dans mon intimité suivit d’un autre. Je me sens remplie de sperme au point que cela déborde de ma grotte et se répand sur les draps après avoir maculé le sillon de mes fesses. Philippe se retire alors de ma matrice et déverse son foutre chaud et encore abondant en plusieurs trainées en pointillé de ma chatte jusque sur mes seins.

Comme je n’aime rien perdre, j’ai été éduquée comme ça, je me redresse et à mon tour m’agenouille devant pour savourer les quelques gouttes de sperme qui perlent encore sur son nœud. Il me laisse faire en tenant ma tête par les cheveux et me laisse lécher ce qui sort encore de son gland quand je presse sa verge comme le pis d’une vache pour en extraire le suc sucré/salé. Je constate alors que sa teub a encore de fort belles proportions, il a débandé et la courbure de sa verge s’est inversée vers le bas, mais même comme ça, mon mari ne tient pas la comparaison, idéale pour pouvoir l’embouquer.
Je sens son sperme qui poisse sur mes fesses et ma poitrine. Je lui propose avant de continuer d’aller prendre une douche ensemble en tout bien, tout honneur. Nous revenons quelques minutes plus tard et je constate que son sexe est encore vigoureux. Comment peut-il maintenir une semi-érection après avoir tant éjaculé ? J’effleure son sexe de la main et le sens aussitôt réagir. Malgré son âge, Philippe démarre au quart de tour.
Je me colle à lui et lui propose mes lèvres. On aurait dit que sa queue n’attendait que ça et se remet à croire pour redevenir ce formidable gourdin dont je ne peux goûter que la gueule en ouvrant au maximum mes mâchoires. J’explore son gland du bout de la langue avant qu’il ne vienne fouiller mon palais et buter au fond de ma gorge. Il ne l’a pas remarqué mais mon mari nous a rejoint et s’est assis dans le seul fauteuil de la chambre et nous regarde.
J’aime sucer mais je n’ai jamais été à telle fête, il faut dire que je n’ai jamais eu quelque chose d’aussi consistant entre mes lèvres et que je peux en même temps branler de mes deux mains.
Plusieurs fois, je l’amène au bord de la jouissance mais ai assez de maitrise pour m’en rendre compte et stopper avant qu’il ne soit trop tard. Je suis une véritable avaleuse de sabre. Je sais qu’en agissant comme ça, sa jouissance en sera décuplée, mais c’est la première fois que j’y parviens autant de fois, ça va être un formidable feu d’artifices…
-Valérie, cette fois je ne peux plus me retenir, aaarrrggghhh !!!

Il me repousse, prend sa verge d’une main et se branle jusqu’à l’explosion spermique. J’ai la bouche grande ouverte mais les deux premiers jets sont si puissants qu’ils passent au-dessus de ma tête, le troisième me macule le visage et me rend borgne de l’œil droit et enfin il arrive à maîtriser sa lance pour que je puisse m’abreuver de ce flot impétueux de semence trop longtemps retenu. Ses vidéos étaient déjà très explicites mais là, c’est complètement dément ! Les trois éjaculations que j’ai refoulées combinées avec cette dernière ont tellement fait monter la pression dans sa lance que c’en est presque irréel.
-Putain de merde, s’exclame mon mari, jamais vu ça ! Peter NORTH peut aller se rhabiller !

Il a filmé la scène (l’auteur la diffuse sur demande à ses fans les plus mordus avec mon autorisation, bien sûr). Je ne sais pas qui est ce Peter NORTH, mais s’il dit ça, c’est que ça ne doit pas être un éjaculateur précoce. Philippe tremble de tous ses membres et s’assoit sur le bord du lit. Je croyais qu’après un tel déferlement de plaisir, il allait aussitôt débander, mais que nenni… Sa verge, étranglée par l’anneau de caoutchouc, garde des proportions inusitées pour un homme qui vient déjà de jouir deux fois en si peu de temps.

-Alors Valérie, j’espère ne pas t’avoir déçue. Tu ne regrettes pas de m’avoir contacté en privé sur Histoires-de-sexe.net ? M’interroge-t-il.
-Oh que non ! je le rassure, mais dans tes petites vidéos, je t’ai vu enculer des filles à la chaine, dès que tu le peux, je veux vivre moi aussi cette aventure.
-OK, mais avant, tu reprends une petite douche pour te débarbouiller et je ne suis pas contre un en-cas pour recharger mes batteries. Profites-en pour te laver le cul en profondeur, je vais m’en occuper dans peu de temps, …

Je le remercie et reconnais que j’ai rarement eu des amants aussi performants, sinon jamais. Il est assez fier de sa prestation, m’embrasse sur la bouche au goût de sperme et me donne une tape sur les fesses. Nous nous retrouvons autour de la table pour nous restaurer. J’interroge Philippe :
-Ça t’arrives souvent de rencontrer tes fans comme nous ?
-Quelques fois, des couples ou des femmes seules, chez moi ou chez eux. Si je le voulais, je pourrais faire le tour de France sans jamais avoir à réserver un hôtel. De la Suisse au Canada, et même de l’inde ou d’Afrique, on me contacte.
-Mais comment fais-tu pour avoir un chibre pareil, et surtout bander aussi dur et aussi longtemps ?

A suivre…