Visite médicale
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Visite médicale
J’ai toujours comme une boule dans mon ventre. Pourtant je ne suis pas malade. Les visites chez mon médecin traitant ne donnent rien. J’ai vu un spécialiste de l’abdomen, rien à signaler. Il m’est demandé d’aller voir un gynécologue. Je ne pense pas souffrir de ce coté là.
Bien sur je suis comme la plus part des filles de mon âge, je me masturbe souvent. J’ai perdu mes virginités il y a pas mal de temps. En plus j’aime quand j’ai une bite dans le vagin ou le cul, même dans la bouche. Nous supposons que j’ai un kyste mal placé.
Rendez vous pris je vais voir le gynéco: un type relativement jeune, pas plus de 35 ans en tout cas.
Ce qui ne gâte rien c’est un bel homme. Avant d’entrer je dois me faire connaitre à sa secrétaire: un belle fille bien faite qui doit avoir du succès. Je pense qu’elle doit coucher avec son patron.
Dans son cabinet il me fait passer l’interrogatoire habituel: vierge ou pas ( poser cette question à une fille de 22 ans, c’est gonflé) mes habitudes sexuelles, mes masturbations, enfin une foule de questions qui finalement me gênent. Il me fait passer dans la pièce à coté où il y a entre autre la table d’examen.
Pour je ne sais quelle raison médicale il faut que je soit nue. Il assiste à ma mise à poils en ne se gênant pas pour me regarder: je dois lui plaire. Je m’allonge sur sa table, il me fait ouvrir les jambes pour que mes pieds soient dans les étriers. Dès que je suis écartelée, il entre son spéculum froid dans le sexe. J’en frisonne pas mal en le lui disant: réponse:- Bien sur ce n’est pas chaud comme ce que vous y mettez d’habitude.
Sous entendu une bite.
- C’est vrai, mais même si je mets un gode, c’est plus chaud.
- Ne vous en faites pas, je vous ausculte. Ce sera vite fait.
C’est vrai quand parlant je sens moins le métal froid. Il inspecte tout le vagin. Il enfonce ses doigt dans le bas ventre pour détecter une légère anomalie d’un canal interne: rien de grave, quelques comprimés et tout disparaitra.
Maintenant il se relève, il vient me toucher légèrement les seins. Ce n’est plus un médecin, c’est un homme qui me touche qui va plus loin, qui commence à me peloter. Le salaud sait bien me caresser, je sens mes seins durcir, mes tétons bandent un peu. Je commence à mouiller. Sa braguette est à la hauteur de ma figure. Je vois qu’il commence à bander. Pourtant il a du en voir pas mal de femmes nues.
Il continue à caresser un seul sein, son autre main est sur le ventre qu’il caresse légèrement. Elle descend lentement mais surement vers ma chatte. Etant rasée, je la sens bien quand elle dépasse le pubis. Il ma fait sacrément mouiller. J’aurais pu l’arrêter avant d’abord en me révoltant, ensuite en sortant sa bite pour le faire jouir. Mais je suis prise dans ce début de plaisir. J’aime être caressée, pelotée, branlée. Alors je le laisse faire.
Quand sa main est sur ma chatte, il commence aussitôt à caresser légèrement le clitoris. Je creuse mon ventre: il a compris depuis longtemps que je suis sa proie que je vais me laisser faire. Il change de position, il est maintenant entre mes jambes. Si d’une main il me branle de l’autre il caresse mes cuisses. Je lève la tête pour voir ce qu’il fait. Je ne vois que sa braguette plus que gonflée. J’aimerai bien voir sa bite.
Même s’il bande de plus en plus, il me fait partir alors que je n’étais pas encore prête à jouir. Je gémis depuis un bon moment. Enfin quand je jouis, il commence à se déshabiller: je peux voir sa bite: un joli morceau de sexe qui me contentera. Il est toujours entre mes jambes, il commence à me baiser. Il connait assez les femmes pour savoir ce qu’il faut leur faire. Ses vas et vient me font un bien fou, il me fait jouir encore.
- Si tu veux, je peux te faire jouir d’avantage.
- Je veux, oui.
- Attends un moment.
Il sort carrément de la pièce, je l’entend parler. Il revient vers moi, m’embrasse sur la bouche, me caresse encore la poitrine. J’entend un bruit étrange: c’est la secrétaire qui vient elle aussi baiser. Si elle me touche ce serait ma première fille, mise à part quand j’avais 13 ou 14 ans. Elle vient remplacer le médecin entre mes jambes. Sa tête est contre mes fesses. Où va-t-elle ?
Je sens son visage entre mes fesses, je sens sa langue venir sur mon cul. J’ai déjà eu des langues à cet endroit, des langues d’hommes pas de femme. Je suis surprise quand je sens un doux plaisir envahir mon cul. Sa langue c’est durcie pour entrer légèrement et petit à petit je reçois toute la longueur d’une langue dans le cul. Elle accompagne cette intrusion d’une autre dans ma grotte: je reçois deux doigts qui me font un bien fou dans la foufoune. Dès que j’ai jouis, elle se lève un peu, se penche à nouveau cette fois pour me lécher l’entière chatte. C’est meilleur qu’avec mon amant. Elle reste coupée en deux: le médecin qui bande toujours passe derrière elle.
- Je vais te la mettre au cul. Branles toi.
- Oui, j’en ai envie.
- Et moi ?
- Tout à l’heure tu la sucera.
Je me fais sucer par une fille qui se branle en se faisant enculer. Drôle de boite. Je peux voir en effet la bite aller et venir dans un cul ouvert que lui je ne peux pas voir. J’entend les cris de contentement de la fille et de son patron. J’en suis au point d’espérer qu’ils jouissent pour que moi aussi je fasse jouir cette fille qui m’a donné tant de plaisir avec sa seule langue dans le cul et le con.
Ils finissent, ils viennent vers moi tous les deux: je vois une bite légèrement dégonflée, une chatte qui me semble attirante. Elle tient encore la bite dans sa main. Elle monte sur la table en m’enjambant. Je reçoit dans mon nez son odeur de femme en chaleur, dans ma bouche le gout âpre de sa cyprine. Rien ne me dégoute. Je mouille toujours. Je me décide à lécher ce qui ressort de son con.
Je suis un peu surprise de sentir du sperme s’écouler de son cul vers ma bouche. Tant pis j’avale tout.
Je libère mes jambes pour qu’elle vienne elle aussi me sucer normalement. C’est bien meilleur à deux un vrai 69: jouir et faire jouir. Lui recommence à bander. Son sort est vite réglé. Je peux lui prendre la bite dans une main. Je le masturbe très lentement: il gémit. Il force ma main à aller plus vite. Je refuse de le faire jouir rapidement.
Il a le temps, il a déjà jouit je ne sais combien de fois. Nous restons longuement en 69 avec sa secrétaire: c’est trop bon pour cesser. C’est comme d’avoir une bite dans le cul. Une vrai bite qui sait sodomiser, pas comme certaines qui crachent dès qu’elles entrent.
Je ne pensais jamais avoir un tel plaisir avec une autre fille. Nous prenons rendez vous pour le lendemain dans un petit hôtel pour nous aimer entre filles.
Tout ce passe bien l’après midi dans l’hôtel. Nous sommes venues les mains vide, sauf que j’avais des boules de geishas et elle un plug anal. Nous étions déjà bien mouillées avant de commencer.
Notre premier baiser était enflammé, nos langues fouillaient la bouche de l’autre pendant que nous nous déshabillions. Cette fois nous étions à égalité, sauf qu’elle avait une expérience que je n’avais pas. Je l’ai laissé faire quand elle m’a étendu sur le lit, les jambes ouvertes, sa tête entre. J’ai reçu sa langue comme un bienfait d’Eros. Je me suis laisser aller jusqu’à l’éclatement dans mon ventre de l’explosion. Ma main s’est acharné sur sa chatte. J’ai du lui faire mal. Elle n’en disait rien. Je me suis tourné pour la lécher. C’était ma première initiative: je l’ai bien réussi quand j’ai senti ses crispations sur ce con. Je regardais avec plaisir les mouvements de son vagin avec un plaisir extraordinaire: de moi-même j’avais faite jouir une fille. Elle me caressais le cul avec deux doigts. Elle les a entré dans l’anus: c’était bon. Moins bon qu’une bite quand même.
Nous avons recommencé je ne sais combien de fois. Il nous arrivent de nous rencontrer, même chez moi, au gré de nos envies sexuelles communes.
Bien sur je suis comme la plus part des filles de mon âge, je me masturbe souvent. J’ai perdu mes virginités il y a pas mal de temps. En plus j’aime quand j’ai une bite dans le vagin ou le cul, même dans la bouche. Nous supposons que j’ai un kyste mal placé.
Rendez vous pris je vais voir le gynéco: un type relativement jeune, pas plus de 35 ans en tout cas.
Ce qui ne gâte rien c’est un bel homme. Avant d’entrer je dois me faire connaitre à sa secrétaire: un belle fille bien faite qui doit avoir du succès. Je pense qu’elle doit coucher avec son patron.
Dans son cabinet il me fait passer l’interrogatoire habituel: vierge ou pas ( poser cette question à une fille de 22 ans, c’est gonflé) mes habitudes sexuelles, mes masturbations, enfin une foule de questions qui finalement me gênent. Il me fait passer dans la pièce à coté où il y a entre autre la table d’examen.
Pour je ne sais quelle raison médicale il faut que je soit nue. Il assiste à ma mise à poils en ne se gênant pas pour me regarder: je dois lui plaire. Je m’allonge sur sa table, il me fait ouvrir les jambes pour que mes pieds soient dans les étriers. Dès que je suis écartelée, il entre son spéculum froid dans le sexe. J’en frisonne pas mal en le lui disant: réponse:- Bien sur ce n’est pas chaud comme ce que vous y mettez d’habitude.
Sous entendu une bite.
- C’est vrai, mais même si je mets un gode, c’est plus chaud.
- Ne vous en faites pas, je vous ausculte. Ce sera vite fait.
C’est vrai quand parlant je sens moins le métal froid. Il inspecte tout le vagin. Il enfonce ses doigt dans le bas ventre pour détecter une légère anomalie d’un canal interne: rien de grave, quelques comprimés et tout disparaitra.
Maintenant il se relève, il vient me toucher légèrement les seins. Ce n’est plus un médecin, c’est un homme qui me touche qui va plus loin, qui commence à me peloter. Le salaud sait bien me caresser, je sens mes seins durcir, mes tétons bandent un peu. Je commence à mouiller. Sa braguette est à la hauteur de ma figure. Je vois qu’il commence à bander. Pourtant il a du en voir pas mal de femmes nues.
Il continue à caresser un seul sein, son autre main est sur le ventre qu’il caresse légèrement. Elle descend lentement mais surement vers ma chatte. Etant rasée, je la sens bien quand elle dépasse le pubis. Il ma fait sacrément mouiller. J’aurais pu l’arrêter avant d’abord en me révoltant, ensuite en sortant sa bite pour le faire jouir. Mais je suis prise dans ce début de plaisir. J’aime être caressée, pelotée, branlée. Alors je le laisse faire.
Quand sa main est sur ma chatte, il commence aussitôt à caresser légèrement le clitoris. Je creuse mon ventre: il a compris depuis longtemps que je suis sa proie que je vais me laisser faire. Il change de position, il est maintenant entre mes jambes. Si d’une main il me branle de l’autre il caresse mes cuisses. Je lève la tête pour voir ce qu’il fait. Je ne vois que sa braguette plus que gonflée. J’aimerai bien voir sa bite.
Même s’il bande de plus en plus, il me fait partir alors que je n’étais pas encore prête à jouir. Je gémis depuis un bon moment. Enfin quand je jouis, il commence à se déshabiller: je peux voir sa bite: un joli morceau de sexe qui me contentera. Il est toujours entre mes jambes, il commence à me baiser. Il connait assez les femmes pour savoir ce qu’il faut leur faire. Ses vas et vient me font un bien fou, il me fait jouir encore.
- Si tu veux, je peux te faire jouir d’avantage.
- Je veux, oui.
- Attends un moment.
Il sort carrément de la pièce, je l’entend parler. Il revient vers moi, m’embrasse sur la bouche, me caresse encore la poitrine. J’entend un bruit étrange: c’est la secrétaire qui vient elle aussi baiser. Si elle me touche ce serait ma première fille, mise à part quand j’avais 13 ou 14 ans. Elle vient remplacer le médecin entre mes jambes. Sa tête est contre mes fesses. Où va-t-elle ?
Je sens son visage entre mes fesses, je sens sa langue venir sur mon cul. J’ai déjà eu des langues à cet endroit, des langues d’hommes pas de femme. Je suis surprise quand je sens un doux plaisir envahir mon cul. Sa langue c’est durcie pour entrer légèrement et petit à petit je reçois toute la longueur d’une langue dans le cul. Elle accompagne cette intrusion d’une autre dans ma grotte: je reçois deux doigts qui me font un bien fou dans la foufoune. Dès que j’ai jouis, elle se lève un peu, se penche à nouveau cette fois pour me lécher l’entière chatte. C’est meilleur qu’avec mon amant. Elle reste coupée en deux: le médecin qui bande toujours passe derrière elle.
- Je vais te la mettre au cul. Branles toi.
- Oui, j’en ai envie.
- Et moi ?
- Tout à l’heure tu la sucera.
Je me fais sucer par une fille qui se branle en se faisant enculer. Drôle de boite. Je peux voir en effet la bite aller et venir dans un cul ouvert que lui je ne peux pas voir. J’entend les cris de contentement de la fille et de son patron. J’en suis au point d’espérer qu’ils jouissent pour que moi aussi je fasse jouir cette fille qui m’a donné tant de plaisir avec sa seule langue dans le cul et le con.
Ils finissent, ils viennent vers moi tous les deux: je vois une bite légèrement dégonflée, une chatte qui me semble attirante. Elle tient encore la bite dans sa main. Elle monte sur la table en m’enjambant. Je reçoit dans mon nez son odeur de femme en chaleur, dans ma bouche le gout âpre de sa cyprine. Rien ne me dégoute. Je mouille toujours. Je me décide à lécher ce qui ressort de son con.
Je suis un peu surprise de sentir du sperme s’écouler de son cul vers ma bouche. Tant pis j’avale tout.
Je libère mes jambes pour qu’elle vienne elle aussi me sucer normalement. C’est bien meilleur à deux un vrai 69: jouir et faire jouir. Lui recommence à bander. Son sort est vite réglé. Je peux lui prendre la bite dans une main. Je le masturbe très lentement: il gémit. Il force ma main à aller plus vite. Je refuse de le faire jouir rapidement.
Il a le temps, il a déjà jouit je ne sais combien de fois. Nous restons longuement en 69 avec sa secrétaire: c’est trop bon pour cesser. C’est comme d’avoir une bite dans le cul. Une vrai bite qui sait sodomiser, pas comme certaines qui crachent dès qu’elles entrent.
Je ne pensais jamais avoir un tel plaisir avec une autre fille. Nous prenons rendez vous pour le lendemain dans un petit hôtel pour nous aimer entre filles.
Tout ce passe bien l’après midi dans l’hôtel. Nous sommes venues les mains vide, sauf que j’avais des boules de geishas et elle un plug anal. Nous étions déjà bien mouillées avant de commencer.
Notre premier baiser était enflammé, nos langues fouillaient la bouche de l’autre pendant que nous nous déshabillions. Cette fois nous étions à égalité, sauf qu’elle avait une expérience que je n’avais pas. Je l’ai laissé faire quand elle m’a étendu sur le lit, les jambes ouvertes, sa tête entre. J’ai reçu sa langue comme un bienfait d’Eros. Je me suis laisser aller jusqu’à l’éclatement dans mon ventre de l’explosion. Ma main s’est acharné sur sa chatte. J’ai du lui faire mal. Elle n’en disait rien. Je me suis tourné pour la lécher. C’était ma première initiative: je l’ai bien réussi quand j’ai senti ses crispations sur ce con. Je regardais avec plaisir les mouvements de son vagin avec un plaisir extraordinaire: de moi-même j’avais faite jouir une fille. Elle me caressais le cul avec deux doigts. Elle les a entré dans l’anus: c’était bon. Moins bon qu’une bite quand même.
Nous avons recommencé je ne sais combien de fois. Il nous arrivent de nous rencontrer, même chez moi, au gré de nos envies sexuelles communes.
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