Vivianne mon Graal Chap IV "soirée 1" - histoire érotique

Ch IV

Soirée 1

Je n’étais pas joyeux à la perspective d’être l’esclave de Maîtresse Hilse, Vivianne était, elle habituée, elle paraissait détendue, presque joyeuse. Mon état d’esprit était évident, Vivianne le sentait.

- Chéri, ça va aller, ce n’est pas si terrible, tu verras, tu n’as pas peur quand même ?

Peur ? Piqué au vif je répondais un peu durement.

- Tu crois qu’elle me fait peur? Je t’ai juré que je ferais ce qu’elle veut, mais je ne suis pas forcé d’aimer çà.

- Calme-toi, tu me fais peur, tu seras juste à ma place quand tu es mon maitre. Tu verras tu éprouveras même du plaisir. Dit Vivianne

- Je sais, je le fais pour nous. Dis-je la serrant contre moi.

Plus le temps passait, malgré ce “contre temps” plus nos liens se resserraient. Il était impensable que je puisse être avec une autre femme désormais. Je ne parle pas de sexe mais de sentiments. J’étais totalement et exclusivement amoureux comme je ne l’avais été qu’avec Giovanna. Avec Vivianne je me projetais dans l’avenir, je n’avais jamais envisagé un enfant avec une femme. Avec Vivianne nous étions convenus que dès que la situation serait stabilisée entre nous, le problème Hilse réglé, qu’elle arrêterait toute contraception, que nous éviterions les soirées a plusieurs ou que dans ce cas la protection serait obligatoire pour les partenaires. Elle et moi avions envie d’un enfant, d’une famille. On avait évoqué le mariage, mais elle n’était pas emballée par l’idée, moi non plus. Ma seule expérience du mariage (postérieure à Vivianne) fut une catastrophe.

Nous voici donc arrivés chez notre Maîtresse. Je m’attendais à ce que nous soyons utilisés dans une soirée avec d’autres partenaires. Mais en fait Maitresse Hilse était seule. Un accueil chaleureux, amical. Mais je devins rapidement le centre d’intêret de la dominatrice.

Le look de Hilse était on ne peut plus convenu. Un bustier de cuir noir luisant qui soutenait une poitrine opulente aux tétons annelés, des aréoles très larges rose assez pâle et des bourgeons bien gros et tendus. Le visage de Hilse est agréable, trop maquillée, trop dans son rôle mais jolie femme. Sa taille serrée dans le corset accentuait la rondeur de ses hanches. Son sexe totalement épilé, laissait échapper de longues, très longues lèvres assez épaisses, froissées et granuleuses qui pendaient sous le poids des 4 anneaux d’or qui les perçaient. Son clitoris était énorme et saillant, sans capuchon pour le protéger. Ce capuchon avait été réduit a une fine bande de chair qui était juste à la base du clito. C’était une intervention chirurgicale sans doute. Elle était ainsi à la merci de sensations surement intenses. Ses jambes longues et galbées étaient enchâssées dans des boots à talons de 10 cm lacées sur l’intérieur et qui montaient presque à l’aine de leur porteuse. Une image d’Epinal de la domina Teutonne.

- Toi tu sais ta place, vas y esclave je fais connaissance avec ton amoureux. Fit elle a Vivianne, qui disparut par la porte de ce qui devait être la Donjon.

- Oui Maitresse avait elle dit en baissant les yeux.

Avant de sortir, Vivianne m’avait jeté un regard de soutiens. Elle était inquiéte de mes réactions avec Hilse.

- Gilles , commença Hilse. Tu te méprends à mon sujet, je ne suis pas une ennemie mais une amie, j’aimes beaucoup Vivianne, vraiment, je suis heureuse pour elle qu’elle pense avoir trouvé en toi ce qu’il lui manque cruellement. C’est une femme magnifique, intelligente, sensible mais terriblement fragile, rongée par sa nature. Je ne veux pas contrecarrer votre couple, je veux juste éviter une catastrophe. Surtout ne pense pas que je veux te faire peur, ou t’éloigner d’elle. Je veux justement que tu puisses lui apporter ce qu’elle désire, ce qu’il lui fait et surtout que tu sois conscient qu’elle est une sorte de bombe qui risque de sauter au moindre faux pas.

- Mais Maitresse commençais-je

- Laisse tomber la Maitresse, garde çà quand on sera entrés là. Je suis Hilse, une amie inquiète pour Vivianne et toi.

J’étais totalement désarçonné par cette femme, j’avais a priori fait fausse route sur ses motivations. Du coup j’avais des milliers de questions, en plus elle avait fait naitre en moi une inquiétude notable.

- Je ne comprends pas ce que vous cherchez Hilse, j’ai l’impression que vous voulez protéger Vivianne. De quoi ? De moi ? De qui ? Dis-je

- Je veux la protéger d’elle-même, tu n’as qu’à peine effleurer sa complexité. Je sens que tu es vraiment amoureux, elle aussi rassure toi elle est totalement sincère. Mais Vivianne est complexe et elle ne se livre pas il faut vraiment la contraindre pour qu’elle t’ouvre son âme. Vous êtes mignons tous les deux mais tu n’a pas conscience de la situation dans laquelle tu te mets avec elle. Dit Hilse

- Vous voulez me faire peur ? Répondis-je

- Non je veux que justement tu puisses avoir les moyens de contrôler son passager noir.

- C’est quoi encore que cette invention ?

- Aucune invention je parles du réel Gilles. Quand j’ai récupéré Vivianne, quand son Maitre, un vrai salaud, l’a abandonnée, c’est un miracle si elle ne s'est pas suicidée, c’était une épave, elle a failli être virée de son job au centre de traumato, ils lui ont fait subir une analyse psy, mise en maladie, elle a repris depuis quelques mois seulement, peut être 2 mois avant votre rencontre. Vivianne est sur le fil du rasoir en permanence tu le verra. Elle se drogue toujours?

- Elle fume pas mal oui. Dis-je

- Juste fumer ? Ce n’est rien ou alors tu n’as pas vue encore. Ajouta Hilse

Je commençais a avoir une sensation de froid dans mon dos, je découvrais une Vivianne que je n’avais pas encore vu. Je me rendais compte que Hilse voulait la protéger, elle avait une sorte de sentiment presque maternel pour elle, au-delà de l’intérêt sexuel bien sûr.

- Gilles on aura l’occasion de se reparler, je pense que tu va me considérer autrement maintenant. Mais là je vais faire connaissance de façon intime, j’ai trouvé que Vivianne avait bon goût, elle m’a confié qu’au lit, tu es intéressant. Je vais juger de çà. Je te préviens je serais sans pitié avec toi, je te ferais découvrir ce que ta chérie ressent dans sa chair et dans son esprit. La porte franchie je suis Maitresse rien d’autre aucune familiarité. Je suis heureuse que tu sois plutôt bel homme, cela me changera des quinquas bedonnants aux sexes mous qui me sollicitent habituellement.

Nous entrons dans la grande pièce fortement éclairée, je vois les caméras placées un peu partout. Voyant mon regard, Hilse me dit doucement

- La vidéo est arrêtée.

En effet les voyants ne sont pas au rouge. J’aimerais moyennement une captation d’images. Mais j’ai changé d’avis sur Hilse.

Vivianne est là a genoux sur un coussin, collier clouté autour du cou, laisse, bracelets aux poignets et chevilles avec des mousquetons pour les assurer sur les “agrès” disponibles.
La pièce est immense sol rouge sang, murs noirs satinés, les instruments sont aussi colorés en noir et rouge. Des miroirs un peu partout. Une estrade avec une croix de saint André, une sorte de pilori, des chaines avec crochets palan et boitier de commande. Il manque le braséro pour les fers a rougir, la vierge de Nuremberg ou la chaise avec les coins pour la question. Mais ce n’est pas une salle de torture c’est un Donjon. Version SM civilisé des salles de torture. Moins hard ? Par expérience cela peut aller très loin, bien plus que ne l’imagine les gens en général.

- Allez déshabille toi Esclave. Vocifère Hilse. Qui ne me quitte pas des yeux.

Je tombe la chemise, le pantalon, les chaussettes et je suis nu.

- Ah pas de sous vêtement ? Un esclave prévoyant. C'est spécial aujourd’hui ? Habituel ?

- Habituel dis-je

Clac je prends un coup de cravache sur la cuisse. Je saisis le message.

- Habituel Maitresse.

- C’est mieux, tends tes mains,

Elle pose les bracelets sur mes poignets, les attaches, puis elle se baisse passe les bracelets à mes chevilles. Autour de mon cou elle passe un large collier clouté avec une laisse. Que cette femme demi nue se frotte presque a moi, que ses seins frôlent ma peau, que j’ai son odeur dans mes narines, me fait bander, je n’y peux rien et Vivianne est là à quelques mètres, offerte elle aussi. Alors je bande. Hilse le remarque et sa main chope mon paquet et ma tige, elle serre

- Oh mais c’est un esclave bien viril, bien monté et dur c’est pour moi?

- Oui Maitresse

- Laisse moi faire je vais encore améliorer cela.

Hilse fait quelques pas et revient avec une sorte de boucle en 8 elle passe celle du haut sur ma queue, qui se trouve étranglée a sa base, l’autre boucle enserre mon paquet au-dessus des testicules. La main de Hilse serre ma queue, me décalotte. Les sensations sont fortes et agréables j’en conviens, Vivianne ne manque pas une seconde du regard.

- Ohhhh Maitresse, votre main !!

- Tu aimes çà petit chien ta queue est belle dure, noueuse. Tu aimerais la coller dans le cul de l’autre chienne à genoux là-bas.

- Oh oui Maitresse !!

- Rêve mon chien, tiens prends çà !!!!!

- Ohhh Aie Aie Aie !!

Maitresse Hilse venait de gifler ma queue dressée avec la bout de sa cravache, la brûlure sur ma queue est intenable, et elle passe ses doigts dessus en effleurant mon gland marqué par le cuir. Si la douleur est intense, l’excitation l’est tout autant.

- Viens ici esclave met toi contre la croix.

Je m’exécute, au passage je prends deux coups de cravache sur les fesses, Maitresse Hilse est incroyablement précises avec ce truc. Au moment où je passe près d’elle, elle me murmure

- Tu à l’air excité, regarde ta queue elle commence a mouiller.

Elle ne ment pas, mon méat est luisant de cette liqueur précédent le sperme. Et je me sens excité par ses choses certes trop codifiées et rigides mais on se met dans l’ambiance et ça marche. C’était mon premier contact avec la soumission. Sommes toute les 5 soirées seraient peut-être moins galère que je le craignais. En plus on est en privé.

Maitresse Hilse me met en croix, attachant les mousquetons des bracelets aux anneaux de la croix. Je suis écartelé impuissant. La queue dressée, totalement enserrée dans ce truc en caoutchouc, mes veines son saillantes, gonflées, ma queue ne cesse de s’agiter à chaque fois que je regarde Vivianne ou la Maitresse. Je commence a avoir très envie de posséder cette femme. Pour le moment elle joue avec moi, ses doigts attrappent mes tétons, ils durcissent aussitôt.

- Oh mais tes tétines son sensibles mon petit chiot. Va tu crier si je te les maltraite un peu?

J’essaie de ne rien dire, mais elle m’écrase et me tords les bourgeons que je ne peux que crier de douleur, mais aussi de plaisir, la cuisse de maitresse Hilse se frotte sur mon gland et mon excitation est évidente, je laisse une trace mouillée sur sa peau. Mon gland suinte abondamment.

- Et mon esclave mouille déja, décidément tu est fait pour çà., Regarde petite salope comment ton amoureux se déhanche il est aussi salope que toi .Et c’est çà que tu veux?

- Oh oui Maitresse, je le veux. Punissez moi fort à sa place je vous en supplie, je fais tout ce que vous voulez Maitresse.

- Bien, offre moi tes seins chienne.

Vivianne, bombe le torse, place ses mains sous ses seins, les relevant légèrement, Maitresse avec la cravache fais des aller-retour rapides et violents. Le cuir semble ébranler les seins de ma chérie. Ça claque d’une violence incroyable, chaque coup tire un cri, un hurlement de Vivianne qui peut à peu se met à trembler, la punition dure, Vivianne semble se tasser sur elle-même mais se redresse s’offre à nouveau. C’est moi qui tremble de colère maintenant, je sauterais à la gorge de Hilse, mais elle cherche a me provoquer c’est sur.

Les yeux de Vivianne sont sur moi, elle exprime une douleur insondable ses jolis seins se marquent de stries rouges, de vraies plaies, Maitresse Hilse cesse de frapper. Vivianne se tasse, s’effondre, elle passe doucement ses mains sur ses seins martyrisés.

- Oh oh toi le futur Maitre de la chienne, çà t’excite de la voir crier de douleur, je ne l’ai pas épargnée, regarde elle saigne même.je pourrais détruire ses seins devant toi et toi tu regardes excité comme un pervers que tu es.. Regardes çà comme ta queue mouille esclave, et toi la petite chienne, montre lui que tu mouille.

Vivianne, se laisse aller sur le dos, ouvrant son sexe a deux mains elle dévoile un vagin largement ouvert, la mouille qui ruisselle même sur ses cuisses, la liqueur laiteuse qui commence a se deviner dans ce con béant.

Hilse prend le collier de Vivianne en passant ses doigts entre le cou et le cuir, la fait se lever et approcher de moi. Ma chérie est là sous mon nez, sa peau commence a se couvrir d’une fine sueur, sa respiration est haletante. Mon dieu ses seins de vraies balafres, la peau boursouflée éclatée par endroit, son téton gauche a tripé de volume, gonflé tuméfié, il s’en est fallu de peu qu’il éclate. Pourtant Vivianne me sourit, elle semble apprécier ce traitement. Même proche de moi je vois sa main qui glisse sur son con luisant et sa langue qui passe sur ses lèvres en dit long sur ce qu’elle ressent.

- Tu vois esclave cette chienne te demandera ce traitement et tu le feras, peut être pire. Elle veut çà, c’est sa nature, elle se ferait détruire si tu le veux. Me dit Maitresse Hilse.

- Oui Maitresse.

Je comprends que cette femme, profite de la situation pour me faire comprendre la situation dans laquelle je me suis mis. J’ai vraiment besoin de ses conseils. Et le fait de me trouver soumis me fait découvrir les deux faces de cette pièce qu’est le SM. Tout est inversé, le dominant est au fond soumis au désir du dominé. De toute ma vie je n’ai jamais forcé une femme ou un homme a faire des choses ou a subir ce qu’elle ou il ne désirait pas. Pourtant j’ai été très loin. (Trop loin?)

La Maitresse cravache mon sexe de droite à gauche et alternativement. Je pensais débander, mais au contraire ma queue est de plus en plus dure, rougie marquée, mais gorgée de sang, mon erection étranglée par cette double bague en latex devient douloureuse, à la suite des morsures de la fine cravache mais aussi par la tension. Mon gland suinte un long fil de mouille. Vivianne a droit aussi a la cravache sur les lévres de la chatte, son clitoris saillant prend des coups qui la font hurler et se replier sur elle-même.

Plantée devant moi, Maitresse fait s’agenouiller ma Vivianne devant elle et lui donne son sexe a lécher, Vivianne s’exécute et sa langue fouille le sexe de la maitresse. J’entends les bruits mouillés les succions. Maitresse Hilse ne peut cacher son plaisir et ses gros seins se soulèvent de plus en plus vite avec l’accélération de sa respiration. Ses mains tiennent les cheveux de Vivianne et lui plaque le visage contre sa chatte. Les mains de Vivianne, sont actives de la droite elle doigte la maitresse et de la gauche elle se caresse. Comment ne pas bander devant ces deux femmes. Hilse est tremblante et ses gestes moins précis, son plaisir monte, Vivianne a le bas du visage luisant, trempé de mouille. Soudain. Grand cri, la maitresse semble tétanisée, muscles tendus saillants, la tête rejetée en arrière.. Elle jouit sur la langue de Vivianne qui se branle de plus en plus vite.

Ma queue coule de plus en plus abondamment. J’ai l’impression que je vais éjaculer, pourtant personne ne me touche, je regarde et on ne me touche pas. J’aimerais la cravache sur ma queue, je suis certain de jouir. Ou la bouche de Vivianne ou de la Maitresse. La voir jouir me rapproche de cette femme. Et malgré le traitement qu’elle inflige à celle que j’aime je la considère comme une amie presque.

La tirant par la laisse, Maitresse approche Viviane de mon sexe, agenouillée face a ma queue tendue elle la regarde tentée de me sucer. Mais la laisse la retient

- Non petite pute tu ne vas pas le sucer. Ouvre ta bouche tiens-toi prête.

- Ooohh Maitresse !!! Criais-je.

Hilse a attrapé ma queue et me branle sans ménagement, pas pour me faire plaisir, mais pour me vider rapidement. Elle me décalotte a mort, son autre main écrase mes couilles. Vivianne attend bouche ouverte langue sortie que mon sperme inonde son visage.

- Chien tu es bien dur, tu vas me donner ton sperme allez esclave, jouis sur ta salope. Donnes , donnes.

Je lutte pour ne pas éjaculer, je me retiens mais c’est impossible tout mon corps est tendu et veux cracher mon plaisir. C’est brutal, Hilse me déchire presque la queue tant elle va loin en arrière.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh oui!!!! Je jouis !!!!!!! Criais-je tétanisé par le plaisir.

- Allez crache esclave, oh oui fort comme çà , tu jutes bien donne a ta pute.. Souffle Hilse

La maitresse est aussi excitée que Vivianne et moi. Voir mon sperme gicler sur le visage de son esclave femelle la fait sourire. Vivianne en a partout, je front, les joues de longues giclées on atteint sa bouche sa langue mon sperme chaud dégouline sur ce visage aimé. Vivianne adore elle avale et lèche, d’une main la maitresse recueille le sperme sur ses joues et le ramène sur sa langue. Mais sa main continue a me branler avec la même insistance, mon gland est sensible, j’ai maintenant mal quand elle me branle aussi fort, limite intenable, puis je sens mon érection qui foutait le camp revenir je suis trop excité.

- Oh mais mon esclave a des ressources, je vais voir si je peux te vider à nouveau, belle surprise pour un chien novice comme toi dit la maitresse. Tu va te vider encore chien me dit elle

- Oui Maitresse, videz-moi autant que vous le voulez.

Je pense que j’ai commis une erreur, je l’ai presque offensé, maintenant elle va m’épuiser ne pas ma lâcher c’est certain.

- Présomptueux chien !! Tu vas crier grâce crois moi Hurle Hilse un sourrire mauvais sur le visage.

Je vois les yeux de Vivianne qui me disent que j’ai challengé la maitresse et que je vais le payer cher. Elle sait, elle a passé tant de fois entre ses mains. La masturbation est plus violente encore, elle serre ma queue a m’en faire mal. Sans lubrifier, juste un peu de salive, çà me brule un peu le gland. Mais je suis fous de désir, j’ai envie de me faire vider. La soumission me va bien, être le jouet de cette femme ajoute a mon plaisir.

Cinq ou 10 minutes plus tard, je crie encore et j’inonde le visage de ma compagne. Presque aussi copieusement, mais avec moins de puissance. Cette fois ma queue ne mollis même pas la maitresse continue son traitement.

- Va chercher le Popper et reviens a ta place ordonne Maitresse a Vivianne.

Elle obéit ramène la petite fiole l’ouvre et la donne a la maitresse. Hilse met cette fiole sous le nez. Jamais je n’ai utilisé çà encore. Ca pue.

- Allez sniffe moi çà salope m’ordonne Hilse.

Je respire un grand coup, la vache instantanément je me sens dans le coton , mon cœur s’emballe, c’est efficace ma queue durcit encore le sang afflue partout. Puissant le truc. Je ne suis pas accro mais j’adore çà encore maintenant. Pour me faire fister a mort c’est idéal. Mais à ce moment-là je découvrais.

10 ou 15 minutes après je giclais une troisième fois en gueulant comme un veau pour le plaisir de Hilse qui m'abreuve de Popper et me branle toujours. Vivianne est couverte de mon sperme qui coule sur tout son corps a force, sèche même par endroit. 15 minutes encore une 4eme ejac transparente cette fois. J’ai rarement eu autant d’ejac en si peu de temps. Mais la maitresse semble insatisfaite.

- S’il vous plait Maitresse arrêtez s’il vous plait

- Chien tu m’a dit autant que je voulais. Et je veux te faire cracher encore fanfaron.

Encore un fois j’éjacule pour la 5eme fois , mais dans la douleur, j’ai l’impression qu’on m’arrache les reins, mon gland est violet, la cravache a laissé des boursouflures. Cett fois l’éjac est assez faible, transparente, mais c’est puissant comme sensation. Mon cœur va exploser ma tête est lourde entêtée par le Popper qu’elle me colle sous le nez tout l temps.

Je me dis que cette fois elle va arrêter, même pas elle me sourit et continue a me masturber, elle change de main fréquemment elle doit en avoir marre. Moi cette fois la douleur est intense, je tremble, je suis en sueur. Une vraie torture mais je me surprends a espérer que cela dure encore. Ëtre contraint utilisé me plait. Hilse me fait découvrir un masochisme inconnu de moi. Et j’ai fini par voir que je suis extrêmement maso. Alors il y a des nuances, très dominateur avec les femmes, mais trés soumis avec les mecs. Les deux me plaisent mais avec des mecs je peux aller plus loin limite mutilation. Avec des mecs je peux être fisté sans aucune limite par autant de mecs qu’il est possible., jusqu’a l’épaule si le fisteur est doué. J’ai 70 ans maintenant et je me suis fait démonter par 3 amis il y a 2 mois. Devant ma femme et une amie à elle. Bon éjaculer 5 ou 6 fois faut pas rêver. Mais 3 fois de suite est encore a ma portée (les bons jours).

Ce jour là avec maitresse Hilse j’ai expérimenté l’orgasme a sec. J’ai eu un orgasme violent, mais 0 goutte de sperme. C’est déroutant au début puis cela m’est arrivé pas mal de fois depuis cette premiére fois.

Je suis crevé et je pends lamentablement soutenu par mes poignets. Si je n’étais pas attaché je serais a genoux ou couché au sol.

- Hmm pas mal mon petit chiot, on ira plus loin une autre fois, mais j’aimes te voir a bout, dit Maitresse Hilse avec douceur en caressant mon corps.

- Merci Maitresse dis-je

Et je suis totalement sincère dans cette déclaration , Hilse me fais prendre conscience que je suis maso , Vivianne elle me fait prendre conscience que je suis sado. Et ce n’était que le début des choses. Pendant un temps j’ai eu un peu honte de mon côté maso, du mal avec ma façon de me voir, plutôt viril, faire la salope qui adore se faire défoncer j’ai eu du mal au début. Mon look est plutôt viril, barbu. Mais je sais que si j’avais eu un physique plus androgyne je n’aurais pas détesté être trav, trans peut être pas l’irrépressibilité des choses m’en empêcherais. Bon j’ai porté des bas été un peu trav pour le fun, le délire, mais avec la barbe et ma carrure çà serais ridicule. Sinon être la pute d’un groupe de mec j’aimes çà.

J’arrête ici pour cette première soirée il y eut d’autres choses plus classiques je préfère parler des choses plus hard.

J’espère que vous aimerez ce texte et LES suites.

Encore une fois je confirme que j’ai pris plaisir à écrire en m’arrêtant pour me branler ou me faire sucer par ma femme qui lis mes textes avec plaisir.