Vivianne Mon Graal Chap VI Soirée III (partie 1) - histoire érotique

Chap VI Soirée III Partie 1



Était venu le moment de la 3eme soirée due à Maitresse Hilse, Vivianne et moi étions de plus en plus liés par ce qui était un amour d’une rare puissance. Nous étions tous deux convaincus de la durabilité de ce sentiment. C’était on va dire le bonheur malgré ces “soirées” exigées. Mais j’avais compris que Hilse avait plus envie de s’assurer que notre couple irait bien qu’une quelconque envie de nous séparer. Cette maitresse femme avait envie que nous puissions vivre selon les désirs ou plutôt les besoins de Vivianne.
Bonheur absolu ? Je mentirais si je disais oui, je découvrais les travers de Vivianne et son goût immodéré pour les paradis artificiels, l’alcool et la drogue. Elle l’avait masqué au début de notre relation, mais le naturel revenait à la surface et les seuls moments de tensions entre nous c’était quand elle abusait de l’alcool, qu’elle fumait un peu trop de cannabis ou sniffait un peu trop de cocaïne. L’alcool et la fumette c’était pour se détendre disait –elle et la coke pour mieux supporter les coups, dépasser ses limites.

Moi je suis totalement imperméable à ces tentations, si je peux boire un verre, même parfois dépasser les bornes, ce n’est qu’exceptionnel. Je n’ai jamais usé d’aucune drogue plus forte que mes cigarettes, il est vrai que je fumais à ce moment-là 3 ou 4 paquets par jour. Je n’ai jamais fumé un seul joint, jamais gouté à la coke. C’était un peu compliqué quand elle abusait. Car Vivianne certains soirs était totalement défoncée et gérer ses désirs a ces moments était compliqué. Mais je ne pouvais vraiment pas et ne voulais pas la contraindre, je modérais donc ces mauvais penchants. Et on avait trouvé une sorte d’équilibre précaire certes mais qui nous permettait d’envisager l’avenir.

J’étais aveugle et trop amoureux pour me rendre compte que notre relation était en quelques sorte fragile par certains aspects mais indestructible et intense par d’autres. En tout cas elle était sincère pour nous deux. Et nous caressions l’espoir que le temps, les efforts permettrait de surmonter tous les écueils. Vivianne était totalement amoureuse et je représentais ce qu’elle espérait trouver chez un homme. Je devenais chaque jour un peu plus son Maître. Elle devenait à chaque heure un peu plus servile, obéissante, épanouie. Notre relation était tout entière centrée sur le sexe. Je n’ai jamais connu de période plus intense sexuellement que les mois que j’ai passés avec elle.

Venons-en à cette 3eme soirée. Hilse avait dit que ce serait un huis-clos entre Vivianne et moi sous la férule de la Maitresse. Quand nous sommes arrivés au Donjon en effet Hilse était seule, pas d’autres esclaves avec nous. Nous étions en plein été. El l’Alsace en été c’est parfois très chaud. C’était le cas ce soir-là un samedi. Vivianne portait une robe toute légère, orange pâle, je la vois encore, rien dessous et cette petite robe ne cachait presque rien de son anatomie. De fine bretelles sur ses épaules, ses seins libres déformaient le tissu léger, marquant l’empreinte de ses tétons. Courte la robe arrivait à peine à mi-cuisse. Elle portait des Dim-up orangés et des talons hauts qui lui donnait une démarche d’un érotisme torride. Autour du cou un fin collier en acier chromé lui enserrait le cou. Un anneau sur le devant permettait d’y mettre une laisse. Et c’est ainsi en laisse qu’elle arrivait me suivant comme une chienne. Si vous n’avez jamais tenu en laisse une femme superbe qui est là prête a satisfaire tous vos désirs vous n’avez pas idée de ce qu’est une relation maitre-esclave. Je l’avais découvert et j’avais ce sentiment de puissance incroyable. Au moindre geste, demande, commandement elle faisait ce que je désirais. Timide au début j’avais passé ce stade et je considérais Vivianne comme mon jouet. Je savais que c’était son ardent désir, elle ne concevait son amour que de cette façon, en laisser contrainte, dans l’attente d’un ordre, d’un coup, d’une lubie de ma part. Son corps portait les stigmates de mes désirs. Elle portait dans sa chair les marques que laissaient mon amour, a coup de fouet ou de cravaches. Je ne me souviens plus de voir Vivianne nue sans la moindre marque, griffe, ecchymose. Elle adorait se regarder dans le miroir, suivant des yeux ou du bout des doigts les marques que je lui avais laissé de notre dernière nuit d’amour.
Cela parait dingue maintenant, j’assume totalement le plaisir que j’ai pris à jouer avec elle, a posséder véritablement son corps. Vivianne était ma chose, déjà ce soir-là et encore plus après.

Maitresse Hilse nous accueillis, sanglée dans un corset de cuir noir, ses seins dénudés juste soutenus par ce corset, qui les faisaient pigeonner. Magnifique poitrine aux tétons percés par de très gros anneaux dorés. Rien non plus ne cachait son sexe rebondi et annelé lui aussi. De grandes cuissardes de cuir noir luisant, dotée de très hauts talons complétaient le tableau.

- Mon petit couple préféré lançât-elle comment allez-vous mes chéris ? Anxieuse Vivianne ? C’est une soirée pour toi..

- Bien Maitresse commença Vivianne pas anxieuse, impatiente. Pourtant j’ai ce qu’il faut avec mon Maitre maintenant.

- Je vois, ôte-moi cette robe, que je puisse juger. Ordonna Maitresse Hilse.

Vivianne fit glisser les bretelles de sa robe et se dévoila totalement nue. Elle avait encaissé une longue flagellation deux jours plus tôt et son corps portait les traces du fouet et de la cravache.

Maitresse Hilse approcha, tournant autour de Vivianne, elle suivait du bout des doigts les marques que le fouet avait laissé. Vivianne frissonnait au contact des ongles de la Maitresse.

- Oh bien, très joli. Tu a bien compris Gilles, elle a du prendre beaucoup de plaisir tu ne l’a pas trop ménagée, mais tu devrais frapper plus fort, elle encaisse bien plus que çà, et elle aimeras encore plus crois moi. Mais c’est bien, et je vois a son sourire que tu la comble. Dit Hilse, n’est ce pas Vivianne

- Oui maitresse, avec mon maitre c’est vraiment ce que je voulais.

- Alors ma chérie on ne va pas te ménager, Je vais juste aider un peu et laisser ton Maitre te détruire ce soir, vraiment tu ne devrais plus tenir debout a la fin de la soirée. Jusqu’à ce que tu ne puisses plus rien supporter. Il n’arrêtera que quand tu prononceras ton safeword ( ROUGE )

Cela promettait d’être intense, je commençais à bien connaitre Vivianne, et lui faire prononcer son mot de sauvegarde, j’allais devoir la pousser à bout. Ce que je n’avais jamais fait encore.

- Et toi jeune Maître Gilles, tu peux rester habillé ou être nu. Je préférerais, nu comme çà je verrais mieux ton excitation qui doit déjà être au top te connaissant maintenant.

- Je serais plus à l’aise nu dis-je en me déshabillant.

- Hum dit Maitresse Hilse regardez-moi ça, tu es déjà plus qu’en forme, tu me surprends encore avec tes érections qui ne finissent pas. Il faudra que j’essaie ton sexe un jour. Allez va mets là en condition. Je vous regarde

J’approchais de Vivianne dont le regard était de braise, elle me dévorait des yeux, la lèvre tremblante. Elle se déhanchait, frottant ses cuisses l’une contre l’autre, je savais qu’elle se masturbait légèrement de cette façon. Plus mes mains approchaient de sa peau plus sa respiration accélérait. J’attrapais ses tétons tendus et les pinçais avec force en les remontant vers le haut. Ses seins suivaient le mouvement et elle commençait à geindre. Ses tétons roses étaient blanchis tant je serrais les petits bouts de chair. Bouche entrouverte sur un cri inaudible, Vivianne avait rejeté sa tête en arrière.

- Regarde-moi chienne, tu vas en prendre comme jamais, tu le veux ? Dis-je.

- Oui Maitre tout ce que vous voulez, je suis à vous. Dit Vivianne soutenant mon regard

- Attachée ? Ou tu seras assez motivée pour t’offrir à mes coups. Demandais-je

- Pas attachée, je vous laisserais faire, je me protégerais pas. J’ai envie de vos coups Maître. Dit Vivianne sans cesser d’avoir cette lèvre qui tremble.

Ma main caresse son corps, ses seins, son ventre, je glisse entre ses cuisses. Son sexe est déjà bouillant et humide. Je glisse deux doigts entre les lèvres et je les enfonce totalement. En ressortant ils sont trempés. Elle est excitée et mouille déjà rien que d’être là nue à attendre que je la fasse souffrir.

Maitresse Hilse est près de moi, sa main posée au creux de mes reins, elle me caresse doucement comme pour m’apaiser, me faire savoir qu’elle est là pour m’aider.

- Maitre Gilles, une suggestion, avant de la flageller, il serait utile de chauffer sa peau à la bougie peut être ? On fera partir la cire avec le fouet ensuite. Dit Maitresse Hilse.

- En effet une excellente idée ma chère. Répondis-je.

A ce moment j’étais l’égal de Hilse , dans la peau du Maitre de Vivianne en fait elle me passait presque le relai officiellement.
Vivianne de son côté grimaçait un peu. Je n’avais pas beaucoup utilisé cette méthode avec elle, tout au plus quelques fois. Je ne savais donc pas qu’elle redoutait plus la cire que le fouet. Mais surtout je ne savais pas qu’elle redoutait ce que Hilse utilisait parfois comme cire. On peut utiliser des bougies spéciales pour le SM, ce qui est en fait tricher car ces bougies sont faites d’une matière ou la fusion se fait à assez basse température. La cire est assez peu chaude, c’est excellent pour débuter ou jouer a se faire peur. Les bougies disons de ménage sont bien plus chaude et selon les bougies, leur matière et même leur couleur il peut y avoir des différences de température importantes. Hilse utilisait des bougies classiques qu’elle savait tester mais surtout elle utilisait de la cire à cacheter. Utilisée pour les parchemins et enveloppes dans le passé, c’est utilisé aussi pour les bouteilles. La cire est plus épaisse mais surtout sa température de fusion est beaucoup plus élevée, la cire vraiment brulante au point de pouvoir vraiment causer des lésions si placées de trop près ou une trop grosse quantité en un point. Je le sais par expérience, quand je suis soumis, j’aimes la cire et celle là en particulier sur le sexe c’est vraiment intense, me faire recouvrir le gland avec cette cire c’est jouissif mais effectivement très douloureux parfois. C’est entre l’esclave et le maitre que l’on doit régler ces détails. Je sais que moi je supporte et aimes le pire. Vivianne redoutait la cire à cacheter, elle craignait les flammes également. Donc quand Hilse fit cette proposition elle grimaça fugitivement. Je l’avais noté, mais Hilse connaissait mieux Vivianne que moi à l’époque, elle me fit ensuite des confidences. Pratique Hilse avait disposé ce qu’il fallait sur un petit guéridon. Pour cela la position debout n’était pas la plus indiquée.

- Chienne, viens t’allonger ici sur ce banc. Sur le dos et écarte bien tes cuisses. Ordonnais-je

- Oui Maitre Gil répondit-elle en s’installant.

Je poussais sur sa poitrine entre ses seins pour qu'elle se mette bien à plat. Je remontais ma main sur sa gorge, et là pouce et index bien ouverts, j’appuyais sur sa gorge lentement de plus en plus fort, j’avais découvert qu’elle adorait être étranglée de cette manière. J’exerçais une pression continue qui augmentait doucement. Elle avait peine à déglutir et se mit à avoir du mal à respirer.

- Oui c’est bien çà Gilles me dit Hilse a l’oreille.

- Elle adore çà dis-je doucement.

- Oui je vois regarde ses mains. Dit Hilse.

Les doigts de Vivianne caressaient son sexe. Une tape sur la main la fit cesser.

- Arrête de te branler salope, tu ne jouiras que si je te le dis

- Oui Maitre pardon Maitre

Son regard était implorant, mais plein d’un feu intense, ma main caressais sa motte et brutalement j’entrais trois doigts profondément dans son vagin. Je la pistonnais violement 1 minute. Elle se mit a onduler des hanches a lancer son pubis au-devant de ma main. Je cessais brutalement et la giflais en aller-retour. Ses joues s’empourprèrent aussitôt, son regard se fit plus brûlant, provocatrice, elle léchait ses lèvres.

- Oh c’était bon maitre Gil

Je bloquais ses poignets dans des bracelets de cuir. Sa respiration accélérait, ses seins se soulevaient en cadence. Quelle beauté, ses yeux gris pâle, ses jolis seins un peu lourds mais fermes aux tétons dressés, son ventre se creusait, son pubis glabre rebondi, le capuchon de son clito bien saillant au haut de sa fente. Ma queue se tendait, j’avais envie de la prendre, jouir en elle.

- Tu as envie d’elle n’est-ce pas me dit Maitresse Hilse avec un sourire narquois. J’aimes ta queue dit-elle il faudra que je l’essaie un jour.

Disant cela elle prit ma queue en main, serrant ses doigts sur ma tige elle me décalottait encore plus loin. Je frissonnais mon gland frottait contre sa paume douce.

- Je suis certaine que tu aimerais me baiser je me trompe ? Dit elle a voix basse.

- Certainement, j’en serais ravi Maitresse Hilse

Je me laissais aller à un geste présomptueux peut être, je glissais ma main entre ses cuisses et cajolait un instant son sexe annelé. Elle me regarda avec un sourire, poussant son bassin contre ma main.

- Cela arrivera promis dit-elle. Allez occupe-toi de cette salope!!

Une vraie complicité s’installait entre Hilse et moi, c’était rassurant. Elle devenait une amie à part entière. Et je sentais une certaine attirance pour moi de sa part, en tant qu’esclave et amant potentiel. J’étais fou amoureux de Vivianne, mais je ne me priverais pas de faire l’amour a la belle Hilse si elle le désirait.

Je pris une bougie sur le guéridon, j’allumais la mèche. C’était une bougie rouge torsadée de gros diamètre. Je laissais la flamme attaquer la matière, creusant un cratère dans le corps de la bougie. La cire liquide stagnait dans ce creux qui se formait. Je promenais la bougie au-dessus du corps offert de Vivianne.
Les yeux de mon amour-esclave suivait le parcours de l’objet. Je sentais sa peur. Ses seins se soulevait plus vite, elle haletait presque. Quand j’inclinais la bougie sa respiration se figea. La cire tombait en un filet brulant sur sa peau, entre ses seins les gouttes rouges remontaient vers sa gorge.
Vivianne poussa un cri bien plus fort que la douleur ressentie, mais sa peur son angoisse parlait. J’inclinais à nouveau la bougie et maculais son sein gauche de goutte de cire, le téton tout dressé était épargné.

J’avais allumé une seconde bougie et je travaillais a deux mains, promenant les flammes sur le corps de Vivianne, plus les gouttes tombaient plus je m’approchais de sa peau. Au départ les gouttes tombaient de presque 50 cm de haut, maintenant le filet continu de cire était bien plus brulant et tombait de 20 cm de haut au plus. Vivianne se tordait sous la douche brulante. Ses deux seins et son ventre étaient couverts d’une épaisse couche de cire... Je glissais maintenant vers son bas ventre offert. Ses cris ne cessaient pas, de même que ses contorsions pour se soustraire au feu brulant. Son visage en sueur était un masque de terreur. Vivianne craignait les flammes, une peur panique, son regard semblait halluciné, mais elle ne prononça a aucun moment le mot qui lui aurait épargné ce traitement. Mais elle savait aussi que si elle utilisait son safeword, tout s’arrêterait, pas question de reprendre la soirée.

- Aiie aiie ohh c’est fort, trop fort aiieee geignais ma chérie.

Pour autant que je puisse en juger elle était paniquée mais ce traitement la faisait mouiller intensément.. De mes doigts j’ouvrais son sexe, qui m’apparut totalement trempé. Comme précédemment j’enfonçais mes 3 doigts en elle. Elle se cambra en poussant un long râle de plaisir..

- Ohhh arghhhhhhhhhhhh Maitren oui comme çà c’est bon.

Elle s’ouvrait comme une fleur, ma main aurait pu la combler mais je préférais mettre la barre plus haut seulement dans quelques temps. Je commençais a faire tomber la cire sur l’intérieur de ses cuisses, l’aine, le mont de vénus, j’épargnais le vagin pour le moment.

Hilse se colla contre mon dos, je sentais ses tétons et leurs gros anneaux. Elle passa son bras autour de moi et empoigna ma queue. Me décalottant au maximum. Je ne pus réprimer un râle et u mouvement du bassin. Elle jouait avec une arme chargée a bloc. Ce simple mouvement aurait pu me faire éjaculer

- Ohhhhh putain c’est bon tu me ferais cracher si tu continues dis-je me tournant légèrement vers elle.

- Non je te ferais cracher comme çà quand je t’enculerais avec un gros gode tu aimerais çà je pense ? Dit Hilse. Effleurant mes lèvres de sa bouche.

- Oui Bien sûr, j’aimerais çà !! Dis-je volant un baiser à Hilse.

- Hmmm tu es excité, regarde ta queue coule et goutte sur le sol. Pour son sexe prend les autres bâtons de cire, elle va sauter en enfer ta petite pute. Dit Hilse

Vivianne avait entendu et elle fut prise d’un tremblement intense. Je pris les deux bâtons de cire à cacheter. Les bâtons carrés avaient quand même une grosse mèche ce qui évitait de devoir utiliser un briquet et j’allumais ces bâtons de cire. Pour tester, je fis tomber une grosse goutte de cette cire épaisse sur le dos de ma main. La morsure fut bien plus brulante que la bougie habituelle.

Je pris le martinet, et commençais à flageller les seins de Viviane.

- Aiiiiie Aiiiiie oh oui !! Hurlait-elle

- Tais-toi petite chienne. Laisse-moi enlever la cire et en mettre une meilleure. - Dis-je

- Meilleure Maitre ? Demanda Vivianne

- Oui. Plus chaude ma chérie. Répondis-je

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhh fit elle avec une grimace

Alors que je laissais fondre la cire, je giflais les seins offerts avec le martinet. Les seins de Vivianne tressautaient sous les coups et ses cris se faisaient plus sonores. Les tétons dressés prenaient eux aussi des coups et ils étaient gonflés et rougis par les coups. Pour ma part, ma queue était intensément tendue, je me délectais de la situation. La voir se tordre sous mes coups et y prendre un plaisir évident était une sorte de drogue. Maitresse Hilse près de moi ne cessait de multiplier les contacts, ses mains allaient de ma nuque à mes épaules, parfois elle caressait mon sexe. Elle me murmurait à l’oreille des encouragements, c’est bien comme ça, oui tu le fais bien des petits encouragements. Elle avait à cœur de me transmettre les bonnes pratiques. Je sentais également qu’elle avait une sorte de désir pour moi. Elle le prouva plus tard. Elle me désirait non comme esclave ou tortionnaire mais comme amant pour un instant. Et elle se délectait du supplice de Vivianne.

Je laissais la cire sur son bas ventre et ses cuisses.
Ma Vivianne était débarrassée de la cire sur ses seins et j’allais utiliser cette autre cire.



Le bâton avait fondu un cratère empli de cire liquide était présent au bout de ce bâton. Je le positionnais, au-dessus des seins de Vivianne et lentement inclinait la chose. La cire se mit a goutter faisait naitre des étoiles rouges sur la poitrine haletante. A peine la première goutte sur la peau Vivianne réagit violemment e, se contorsionnant et en criant.

- Ouhhhhh ça brule !!! Ohhhhh ohhhhhh hurlait elle.

- Arrête de bouger salope !!! Laisse-moi te punir !!!

- Oui Maitre !!!! Ohhhh aieeee!!

Les gouttes pleuvaient sur la peau, lentement je couvrais sa poitrine avec cette cire épaisse. Par la suite ce ne fut que cette cire que j’ai utilisé avec Vivianne. Elle ressentait plus de douleur mais son excitation était nettement plus intense.

- Je t’avais dit que cette cire était parfaite murmura Hilse a mon oreille.

- Merci pour ce conseil. Dis-je

Hilse mit ses mains sous ses seins, et se tournant vers moi me dit..

- Fais-en couler sur mes seins, ça me tente.Dit Hilse

Je me tournais vers elle et le laissait couler ma cire sur ses gros seins, elle grimaçait et retenait ses cris mais elle ressentait la brulure. Tête rejetée en arrière elle geignait doucement. Sa main avait attrapé mon sexe et me branlais doucement. Quand j’arrêtais elle me sourit et me dit

- Merci Maitre Gilles. Il faudra que tu joues avec moi aussi maintenant.

- Quand tu veux, soumise dis-je

- J’aimes-tu apprends vite, allez occupe-toi de ton amour.

Vivianne était parcourue de frissons, elle attendait plus mais voyant son entre cuisses je mesurais son excitation. Elle était vraiment trempée, la mouille coulait doucement en petites rigoles vers son anus. Son vagin était béant et palpitait spasmodiquement. Son clitoris saillant était sorti de son capuchon.
Je glissais 3 doigts en elle le plus loin possible, elle se cambrait pendant que je la pistonnais. Puis je lui fit lécher mes doigts pleins de son jus de chatte.
Maintenant je fis couler la cire en une ligne de ses seins a son pubis, la cire éclaboussait largement faisant naitre des étoiles aux multiples branches. Chaque goutte tirait un petit saut et un cri de Vivianne. Les yeux mi-clos elle recevait cette douche brûlante avec avidité. Son sexe coulait de plus belle, laissant échapper des ruisseaux de cyprine qui coulait vers son anus et striait ses cuisses de fines arabesques argentées dans la lumière.

Maintenant la cire se mit a goutter sur les chairs roses et tendres de son sexe largement ouvert. Grandes lèvres et petites lèvres reçurent l’ondée brulante dans un sursaut de tout son corps, cambrée sur le banc elle reposait sur ses épaules, arquée son pubis jeté vers le haut.

Elle secouait la tête en criant à chaque goutte qui touchait les chairs sensibles. Je spectacle était incroyable, j’étais totalement excité, mon sexe durci me faisait mal tellement la tension était forte. Je sentais couler mon gland, un long très long fil de mouille épaisse pendant au bout de mon sexe. J’étais à deux doigts de l’explosion.

Vivianne, les mains entravées ne pouvaient pas se caresser pourtant à voir le clito gonflé et saillant sous son capuchon elle devait en avoir envie. J’avais épargné cet endroit sensible jusqu’à maintenant. Je posais mon pouce sur son clito, elle se tétanisa encore plus. Et gémit à nous fendre l’âme.
Je la regardais droit dans les yeux. Et lui posais la question :

- Alors petite chienne, un peu de cire sur ton clito ça te ferait jouir?

- Ohhhhh oui Maitre Gilles oh oui je veux sur mon clito. Cria Vivianne.

Je laissais couler la cire directement sur le petit organe rond. Un hurlement perçant s’ensuivi

- Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!! Encore Encore !!

Je continuais a laisser tomber la pluie de cirre brulante sur le clito, en même temps je plongeais 4 doigts dans son vagin, profondément jusqu’à l'articulation du pouce. Et je la baisais fort, violemment sans concession. Elle se mit a hurler de plus belle.

- Ohhhhhhh Ouiiiiiiii je Jouiiisss je jouisss encore fort !!! Encore !!!!!

Cela dura un long moment durant lequel elle jouissait de la cire sur son sexe, de mes doigts en elle. De sa soumission a son maitre. Entravée elle tirait tellement sur ses chaines que je craignais qu’elle se fasse du mal.
Je jetais un coup d’œil à Hilse, qui à côté de moi les jambes bien écartées ployant les genoux se pistonnait la chatte elle aussi avec 4 doigts. Elle aussi était en train de jouir de ce spectacle. J’arrosais les seins de Hilse avec la cire. Elle jouit de plus belle. Me regardant avec gratitude. Je n’en pouvais plus je devais me soulager. Je posais la bougie et me plaçait entre les jambes de Vivianne. Son sexe couvert de cire semblait obstrué. Je ne m’arrêtais pas a ce détail. Mon gland se fraya un chemin entrant en elle des morceaux de cire peut importait. Elle tremblait de tous ses membres..

- Ouiiiiiiiiiii Chéri prends moi !!!! Dit-elle

- Espèce de chienne tu en veux hein salope!! Dis-je la giflant sans me retenir.

- Défonces moi!!! Défonces moi!!!! Criait elle.

Je donnais de grands coups de reins, elle lançait sn pubis a ma rencontre. Ma main gauche avait agrippé sa gorge et je la choquais, l’étranglais alors que je la baisais violemment. Une violence que je n’avais jamais appliqué à ce niveau. Je me lâchais. Ce soir-là Vivianne devenait vraiment une esclave à mes yeux. Avant je jouais. Là je laissais mon instinct prendre le dessus. J’étais loin d’imaginer jusqu’ou j’irais avec celle que j’aimais plus que tout. Là c’était ma chose j’en jouissais tout mon saoul.

Soudain le déferlement de l’orgasme se fit sentir dans mon ventre, mes couilles, la cavalcade su sperme était lancée. Et je crachais de longues et épaisses giclées de sperme dans son sexe totalement ouvert. Vivianne les yeux exorbités, cherchait a respirer. La bave aux lèvres. Elle aussi jouissait de nouveau. Quand je relâchais ma main de sa gorge. Elle aspira un grand coup, et un spasme de jouissance coïncida avec un squirt énorme qui me trempais le bas ventre et éclaboussais les alentours. Les yeux vitreux Vivianne était au bord de l’évanouissement. Mon cœur battait tellement vite et fort que je me sentais presque mal. J’ai joui longtemps ce soir-là. Quand je me retirais un flot de sperme glissa du sexe béant de Vivianne. Hilse vint se plaquer contre mon dos, frottant ses seins annelés. Elle me murmura à l’oreille.

C’est bien Gilles, voilà ce qui plait à ton amoureuse, tu es en train de combler ses désirs. Embrasse-moi, Maitre Gilles.

Je pris la bouche de Hilse, longuement un baiser profond et sincère je sentais qu’elle se donnait dans ce baiser. Vivianne étonnée nous regardait cherchant a récupérer son souffle.

Fin partie 1 à suivre