Voyeur des baises de ma femme
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Voyeur des baises de ma femme
Depuis quelques semaines je me réveille avec des maux de tête. Je m'endors comme un sac de plomb dès que je suis couché. Je n'arrive même pas à faire l'amour à ma femme. Un soir, en dînant je regarde par hasard dans le cuisine: elle verse une très petite fiole de je ne sais trois quoi dans mon verre. Je sais qu'elle m'aime: elle ne veut pas m'empoisonner. Je comprends enfin pourquoi je m'endors si vite. Nous allons nous coucher. Je me tourne comme si je dormais. Pas plus de 10 minutes après elle se relève, enfin une robe bleu boutonné par devant. Que je ne lui connais pas, Elle est ne porte qu'un soutien gorge noir garni de dentelles et d'un petit slip de la même couleur. Elle sen va doucement sans faire de bruit. A mon tour je me lèche, m'habille en vitesse: je sors, je la vois à 100 mètres tourner dans une ruelle qui mène au centre. Elle entre dans une maison dite de rendez vous. J'y rentre à mon tour. Je suis dans une grande salle où pas mal de femmes fricotent avec des hommes.
A un comptoir est une femme d'un certain âge. Je lui fais une description de ma femme. Elle ne l'a pas vue, me propose une des animatrices. Non je veux voir cette personne. Il admet quand effet une femme vient d'arriver. J'insiste: je veux la voir.
- Je comprends, monsieur est un voyeur. Je peux vous arranger ça. Seulement il faudra y mettre le prix.
- D'accord.
Je sors quelques billets qui doivent faire de l'effet. Me voilà dirigé vers une chambre banale d’où je peux voir par une fente une autre chambre aussi banale. Ma femme est là avec une blonde pas mal fichue, non plus et un grand brun à l'allure athlétique
- Pends moi, beau gaillard, demande ma femme à cet homme.
Il s'approche comme un félin. Il lui défait la robe. Les parties les plus féminines cachées par ces petits morceaux de tissus, sont mises en valeur. L'homme passe sa main dans l'intérieur du soutien gorge pendant que l'autre passe sous le slip.
Je l'imagine caressant les poils du sexe de ma femme, pénétrer ses lèvres vaginales, palper le clitoris, j'en deviens fou de jalousie. Pourtant voir cet homme prendre du plaisir avec ma femme me fait bander. J'entends ma femme dire à son partenaire:
- Prends moi mon chéri, prends moi.
Il la presse contre lui, l'embrasse et commence à rouler le slip. La culotte tombe sur le parquet. Il veut la pousser sur le lit
- Non, je voudrais que tu me baises debout
- Vicieuse, va
- Oui je suis vicieuse, j'aime être baisée par des hommes comme toi.
L'homme ôte tous ses vêtements. Je voyais un corps splendide. Il demande à ma femme d'appuyer une jambe sur le lit, de manière à bien présenter sa fente. Elle lui obéi, il tâtonne un peu pur trouver et ajuster le bord du vagin. Il se penche en avant pousser sa bite dans le corps féminin. Elle le reçut avec un frisson jusqu'aux couilles.
- Que tu es fort, tu me remplis, mets moi bien;
Il devait connaître son affaire: il sortait complètement son outil pour le remettre à nouveau. La volupté était décuplée par cette façon de baiser.
- Craches sur moi, mon chéri, craches………. traites moi comme la dernière des ordures. Craches sur moi, donne moi des gifles, craches sur moi pendant que tu me baises.
L'homme ne tarde pas à exécuter ces ordres. Il lui frappe vigoureusement les joues en lui lançant des glaires spécialement dans la bouche. Ma femme subit ce traitement avec ferveur. Soudain:
- Salop, frappe moi plus fort, cogne moi avec ta pine, je vais jouir…..
Elle se laisse tomber dans un soubresaut dans les bras de son compagnon qui à son tour jouit.
C'était une rencontre de hasard, ils ne devaient jamais se revoir. D'autres hommes l'attendaient.
- Fais entrer le suivant, demande ma femme à sa compagne blonde.
- De suite ?
- Bien sur.
- Lequel ?
- Le second jeune homme.
- Pourquoi pas le vieux ?
- pas encore, je ne suis pas assez exécutée pour le recevoir. Tu sis bien que je ne veux me pervertir que progressivement.
- Oui, je sais, répond la blonde qui va l'embrasser.
Elle fait rentrer un jeune plus râblé. Ma femme lui sourit. Elle avait revêtu un peignoir laissé ouvert:
- Je t'avertis que je ne te permettrais pas de me prendre par devant. Je désire que tu me prennes par l'anus où je suis beaucoup plus sensible.
Il se déshabille: il ne bande pas. Elle s'approche de lui, pour prendre la grappe de sa bite et ses couilles. Elle se tourne, frotte ses fesses sur le membre qui enfin bande. Il a une queue monstrueuse. Je me demande comment elle va pourvoir l'avaler. Ce nouvel amant lui embrasse les fesses:
- Comme tu as de belles fesses et un joli cul. .
Elle se penche en avant. Il les écarte et commence à la pénétrer. Comme toujours je sais qu'elle a mal quand on la lui met là: elle commence à rendre du plaisir qu'au bout d'un moment. Elle répond aux allers et venues ce cet homme et quand elle jouit, elle en crut de plaisir.
Une fois partie, elle se tourne enfin vers la blonde.
- Je vais prendre du plaisir avec toi. Je suis toute à toi. Fais de moi ce que tu veux.
La blonde la serre avec force, l'embrasse. Ses mains commencent à caresser ce magnifique corps qu'est ma femme. Elle se penche, lui écarte les lèvres pour y glisser sa langue. Ma femme pousse son ventre en avant pour être mieux sucée.
- Tu sais que ta langue ne me fais pas jouir, mets moi le godemiché.
Sa partenaire sort un gode d'une taille respectable l'attache autour de sa taille ainsi parée, elle s'approche de ma femme, l'embrasse sur la bouche. Les deux femmes s'étreignant cette volupté, en se frottant les seins et les fesses avec un plaisir visible. Après ces avants propos la blonde pousse le gode dans le sexe de ma bien aimée.
- Non, tu sais bien que je le préfère de l'autre coté. Mets moi le aux fesses.
Elle lui obéi, et sans ménagement le lui mets au cul.
- Cette fois je sens toute la force de cet engin: il me déchire tout le postérieur. Je le sens contre mon vagin.
Pourtant malgré toute la bonne volonté de son amie, ma femme ne pouvait jouir.
Son amie lui propose de faire venir deux de ses amis qui sont dans la salle/ Elle sorts juste une minute que ma femme met à profit pour de refaire une beauté. J'aimerai aller la baiser tellement je bande. Entrent les deux amis: deux balèzes. Ma femme indique à chacun se place: toi devant, toi derrière. Je la vois prendre les deux sexes, les placer comme il lui convient: le plus fin devant et le plus gros derrière. Son amie la regarde commencer à se faire mettre d'abord par le premier qui la baise lentement comme s'il avait peur de lui faire mal. Le second, ne prend aucune précaution: dès qu'il est sur l'anus, il rentre. Ma femme hurle de douleur: il continu. Enfin alliant la douleur au plaisir enfin elle se donne entièrement aux deux amants. Son amie lui demande de la sucer en même temps: au début elle ne peut que dégager une main
Our en caresser le clitoris. Enfin sa bouche peut venir sur le sexe de la blonde. Sa langue sortie lèche maintenant le con de son amie.
La délivrance approche. Ma femme jouit encore une fois. Elle jette carrément les deux hommes qui viennent de jouir. Elle prend dans ses bras son amante. Elle se mettent en position pour se sucer: cette fois ma femme jouit de la langue de son amante, comme elle la fait jouir.
Je mentirai en disant que je en me suis pas branler: j'ai jouis à peu près autant que ma femme. Je bande encore. Je sors de cette chambre sordide pour aller vers ma femme. Je lui dis que j'ai tout vu. Elle pense que je fais une crise de jalousie, alors que je suis ravi de l'avoir vu baiser comme elle l'a fait. Je lui montre ma bite bien raide. Je pense qu'elle la prendrai. J'ai fais une erreur: c'est son amie qui vient vers moi, se penche et viens me sucer alors que je la croyais lesbienne. Ma femme vient m'embrasser. Je la caresse. Quand je veux lui mettre ma main aux fesses ou au con, elle refuse:
- je suis trop sale. Tout à l'heure à la maison avec mon amie. Je ne pensais jamais que ma femme avait de tel besoin de sexe.
A un comptoir est une femme d'un certain âge. Je lui fais une description de ma femme. Elle ne l'a pas vue, me propose une des animatrices. Non je veux voir cette personne. Il admet quand effet une femme vient d'arriver. J'insiste: je veux la voir.
- Je comprends, monsieur est un voyeur. Je peux vous arranger ça. Seulement il faudra y mettre le prix.
- D'accord.
Je sors quelques billets qui doivent faire de l'effet. Me voilà dirigé vers une chambre banale d’où je peux voir par une fente une autre chambre aussi banale. Ma femme est là avec une blonde pas mal fichue, non plus et un grand brun à l'allure athlétique
- Pends moi, beau gaillard, demande ma femme à cet homme.
Il s'approche comme un félin. Il lui défait la robe. Les parties les plus féminines cachées par ces petits morceaux de tissus, sont mises en valeur. L'homme passe sa main dans l'intérieur du soutien gorge pendant que l'autre passe sous le slip.
Je l'imagine caressant les poils du sexe de ma femme, pénétrer ses lèvres vaginales, palper le clitoris, j'en deviens fou de jalousie. Pourtant voir cet homme prendre du plaisir avec ma femme me fait bander. J'entends ma femme dire à son partenaire:
- Prends moi mon chéri, prends moi.
Il la presse contre lui, l'embrasse et commence à rouler le slip. La culotte tombe sur le parquet. Il veut la pousser sur le lit
- Non, je voudrais que tu me baises debout
- Vicieuse, va
- Oui je suis vicieuse, j'aime être baisée par des hommes comme toi.
L'homme ôte tous ses vêtements. Je voyais un corps splendide. Il demande à ma femme d'appuyer une jambe sur le lit, de manière à bien présenter sa fente. Elle lui obéi, il tâtonne un peu pur trouver et ajuster le bord du vagin. Il se penche en avant pousser sa bite dans le corps féminin. Elle le reçut avec un frisson jusqu'aux couilles.
- Que tu es fort, tu me remplis, mets moi bien;
Il devait connaître son affaire: il sortait complètement son outil pour le remettre à nouveau. La volupté était décuplée par cette façon de baiser.
- Craches sur moi, mon chéri, craches………. traites moi comme la dernière des ordures. Craches sur moi, donne moi des gifles, craches sur moi pendant que tu me baises.
L'homme ne tarde pas à exécuter ces ordres. Il lui frappe vigoureusement les joues en lui lançant des glaires spécialement dans la bouche. Ma femme subit ce traitement avec ferveur. Soudain:
- Salop, frappe moi plus fort, cogne moi avec ta pine, je vais jouir…..
Elle se laisse tomber dans un soubresaut dans les bras de son compagnon qui à son tour jouit.
C'était une rencontre de hasard, ils ne devaient jamais se revoir. D'autres hommes l'attendaient.
- Fais entrer le suivant, demande ma femme à sa compagne blonde.
- De suite ?
- Bien sur.
- Lequel ?
- Le second jeune homme.
- Pourquoi pas le vieux ?
- pas encore, je ne suis pas assez exécutée pour le recevoir. Tu sis bien que je ne veux me pervertir que progressivement.
- Oui, je sais, répond la blonde qui va l'embrasser.
Elle fait rentrer un jeune plus râblé. Ma femme lui sourit. Elle avait revêtu un peignoir laissé ouvert:
- Je t'avertis que je ne te permettrais pas de me prendre par devant. Je désire que tu me prennes par l'anus où je suis beaucoup plus sensible.
Il se déshabille: il ne bande pas. Elle s'approche de lui, pour prendre la grappe de sa bite et ses couilles. Elle se tourne, frotte ses fesses sur le membre qui enfin bande. Il a une queue monstrueuse. Je me demande comment elle va pourvoir l'avaler. Ce nouvel amant lui embrasse les fesses:
- Comme tu as de belles fesses et un joli cul. .
Elle se penche en avant. Il les écarte et commence à la pénétrer. Comme toujours je sais qu'elle a mal quand on la lui met là: elle commence à rendre du plaisir qu'au bout d'un moment. Elle répond aux allers et venues ce cet homme et quand elle jouit, elle en crut de plaisir.
Une fois partie, elle se tourne enfin vers la blonde.
- Je vais prendre du plaisir avec toi. Je suis toute à toi. Fais de moi ce que tu veux.
La blonde la serre avec force, l'embrasse. Ses mains commencent à caresser ce magnifique corps qu'est ma femme. Elle se penche, lui écarte les lèvres pour y glisser sa langue. Ma femme pousse son ventre en avant pour être mieux sucée.
- Tu sais que ta langue ne me fais pas jouir, mets moi le godemiché.
Sa partenaire sort un gode d'une taille respectable l'attache autour de sa taille ainsi parée, elle s'approche de ma femme, l'embrasse sur la bouche. Les deux femmes s'étreignant cette volupté, en se frottant les seins et les fesses avec un plaisir visible. Après ces avants propos la blonde pousse le gode dans le sexe de ma bien aimée.
- Non, tu sais bien que je le préfère de l'autre coté. Mets moi le aux fesses.
Elle lui obéi, et sans ménagement le lui mets au cul.
- Cette fois je sens toute la force de cet engin: il me déchire tout le postérieur. Je le sens contre mon vagin.
Pourtant malgré toute la bonne volonté de son amie, ma femme ne pouvait jouir.
Son amie lui propose de faire venir deux de ses amis qui sont dans la salle/ Elle sorts juste une minute que ma femme met à profit pour de refaire une beauté. J'aimerai aller la baiser tellement je bande. Entrent les deux amis: deux balèzes. Ma femme indique à chacun se place: toi devant, toi derrière. Je la vois prendre les deux sexes, les placer comme il lui convient: le plus fin devant et le plus gros derrière. Son amie la regarde commencer à se faire mettre d'abord par le premier qui la baise lentement comme s'il avait peur de lui faire mal. Le second, ne prend aucune précaution: dès qu'il est sur l'anus, il rentre. Ma femme hurle de douleur: il continu. Enfin alliant la douleur au plaisir enfin elle se donne entièrement aux deux amants. Son amie lui demande de la sucer en même temps: au début elle ne peut que dégager une main
Our en caresser le clitoris. Enfin sa bouche peut venir sur le sexe de la blonde. Sa langue sortie lèche maintenant le con de son amie.
La délivrance approche. Ma femme jouit encore une fois. Elle jette carrément les deux hommes qui viennent de jouir. Elle prend dans ses bras son amante. Elle se mettent en position pour se sucer: cette fois ma femme jouit de la langue de son amante, comme elle la fait jouir.
Je mentirai en disant que je en me suis pas branler: j'ai jouis à peu près autant que ma femme. Je bande encore. Je sors de cette chambre sordide pour aller vers ma femme. Je lui dis que j'ai tout vu. Elle pense que je fais une crise de jalousie, alors que je suis ravi de l'avoir vu baiser comme elle l'a fait. Je lui montre ma bite bien raide. Je pense qu'elle la prendrai. J'ai fais une erreur: c'est son amie qui vient vers moi, se penche et viens me sucer alors que je la croyais lesbienne. Ma femme vient m'embrasser. Je la caresse. Quand je veux lui mettre ma main aux fesses ou au con, elle refuse:
- je suis trop sale. Tout à l'heure à la maison avec mon amie. Je ne pensais jamais que ma femme avait de tel besoin de sexe.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
belle histoire de baiseuse en chaleure0merci
Je remarque qu'elle fait comme moi, elle sépare le "sexe sale" avec les autres ou tout est permis alors qu'avec mon époux tout est plus soft
L'autre c'est Clara ta copine ?
J'en connais une autre comme elle