Voyeur et baiseur
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2010 dans la catégorie A dormir debout
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Voyeur et baiseur
J'ai un grand défaut: je suis curieux de tout ce que je vois. Je regarde les belles filles, leurs amoureux, leurs tenues, bref au fond je regarde de préférence les filles. J'espionne même certaines: je peux les suivre pendant leur rendez-vous galants, ce que je préfère. J'ai la chance d'habiter près d'un endroit où il y a pas mal de couples. J'y ai même une cachette: sur un arbre dans lequel je peux monter sans jamais me faire voir. Du printemps à l'automne je suis mes bas instincts: je "zieute" les filles et bien sur leurs complices. Je peux ainsi participer moi-même en me masturbant, j'aime avoir sous mes yeux des couples qui osent tout: mon plaisir est plus intense.
Dès le milieu d'après midi je vais me planquer, m'installe confortablement sur ma branche préférée.
Hier j'ai pu voir la fille du docteur avec son petit ami du moment (elle en change souvent). Elle était à sa place habituelle à 10 mètres de moi, avec une couverture. Avec son ami, ils se sont assis pour échanger quelques baisers. Elle offrait sa bouche qu'il prenait. Je voyais que leurs langues s'emmêlaient. Je ne m'étonnais pas de la voir basculer sur la couverture: c'est son habitude. Lui l'embrassait encore en lui passant une main sous la robe. Elle écartait un peu les jambes pendant qu'il lui caressait les cuisses. Je voyais sa main monter très vers le haut. Il entraînait le bas de la robe vers la taille. Je voyais avant lui qu'elle ne portait pas de sous vêtement comme d'habitude. Il lui passait la main entière sur le sexe. Elle le laissait faire, comme toujours. Les hésitations du garçons faisaient qu'elle lui prenait la main pour qu'il se fixe à l'endroit qu'elle voulait se faire caresser: le clitoris.
Je voyais qu'enfin il la masturbait un moment avant qu'à son tour, elle lui sorte la bite du pantalon. J'en profitais pour sortir la mienne, d'autant plus qu'elle commençait à le masturber. Je bandais pas mal: pourtant je résistais pour ne pas jouir trop vite. Je voyais quand elle jouissait: elle avait une grimace sur sa figure qui montrait fort bien ce qu'il lui arrivait. Elle le laissait continuer pour avoir encore un orgasme.
Elle ne mettait sur les genoux pour enlever sa robe: elle était nue. J'aimais son corps qui me semble toujours parfait. Ses seins qui pointent haut, ses aréoles petites et ses tétons plus gros que les autres. Je commençais ma masturbation: je connaissais la suite inévitable, elle allait se mettre dans le sexe, d'elle même, sans que le garçon n'ose lui demander de la baiser. Elle venait sur lui, l'enjambait avant de s'asseoir sur la bite. Elle ne se faisait pas baiser, c'est elle qui baisait. Je continuais à m'astiquer.
Elle se faisait jouir, sans se préoccuper de son amant: c'était son habitude.
La suite était simple, elle prenait la bite en bouche la suçais pour recueillir le sperme. Son amour était terminé. Elle se rhabillait et accompagnée de son ami elle repartait.
Ce n'est qu'à ce moment la que je me finissais rapidement.
Pourtant un jour je rencontrais cette fille par hasard. J'avais envie d'elle. Je ne la draguais pas comme les autres: je lui demandais simplement de venir avec moi dans mon arbre. Elle me regardais étonnée d'un tel désir je lui expliquais que c'était mon endroit de préférence et que je la voyais s'envoyer en l'air souvent et jamais avec le même. Elle craignait que je raconte tout ce que je voyais aussi elle venait avec moi, victime à son avis d'un chantage. Aussi vers 15 heures nous étions dans mon arbre. Elle comprenait aussitôt que je ne racontais pas d'histoire: nous n'étions à peine assis qu'un couple venait au même endroit qu'elle quelques jours avant. Elle était comme hypnotisée de voir un couple faire l'amour à nos pieds. Quand le principal se produisait elle était excitée, comme moi. Je n'osais pas sortir ma bite, par contre elle passait un main sous la jupe et sans s'occuper de moi, commençais à se branler: je pouvais voir toute sa fente et sa main qui avant d'aller sur le clitoris, se posait sur son anus où elle ne faisait qu'un simple massage. Elle s'appuyait sur moi pour ne pas tomber, je voyais sa main cette fois placée sur le bouton. Elle ne ménageait pas sa peine pour se donner du plaisir. Je l'entendais gémir doucement. Elle se tournait légèrement pour poser ses lèvres sur les miennes. Notre baiser durait jusqu'à ce quelle jouisse. Je pensais qu'elle allait arrêter là: elle me demandait de lui mettre main à un endroit où j'avais déjà rêvé d'aller: son sexe, et pas n'importe où. Je devais la doigter. Je n'hésitais pas un instant: je cherchais un instant l'entrée de sa moule et j'y mettais un doigt puis deux. J'allais et venais en elle. Je sentais la mouille s'écouler entre mes doigts. Elle aussi commençait à aimer espionner les autres.
Enfin le geste qui allait me transporter elle prenait ma bite dans sa main droite, la tâtait tout du long et enfin la faisait aller et venir sur ma tige. Je savais pour l'avoir vue à l'œuvre qu'elle faisait bien jouir ses amants: maintenant c'était mon tour de juger sur pièce. Je ne sais comment elle faisait pour donner tant de plaisir sans me faire jouir. Je continuais mes vas et vient dans son vagin. Elle jouissait grâce à mes doigts réunis.
Le couple que nous regardions partait après avoir baiser rapidement sur la demande de la demoiselle. Dès ce départ ma compagne descendait. Je la suivais. Je pensais que notre "conversation" était terminée: elle ne faisait que commencer.
Nous ne restions pas dans ce coin à causes des voyeurs dont j'étais. Elle m'emmenait vers un endroit encore plus caché: une simple cabane en bois dont la porte se fermait de l'intérieur. Elle était nue rapidement, j'en faisais autant nos mains exploraient le corps de l'autre. Nous étions enlacés, nos langues se battaient, nos mains caressaient tout: moi ses seins st sa taille avant de venir sur sa moule, elle mon torse et la bite. Elle m'entraînait sur elle. Cette fois elle se donnait sans prendre uniquement. Elle avait l'abricot tout mouillé. Elle prenait ma bite pour la mener vers son entrée secrète. J'y entrais facilement et entamait mes allers et venues: elle accompagnait mes mouvement je la sentais jouir autour de ma queue. Je me retenais pour ne pas jouir rapidement. J'y arrivais en forçant. Elle jouissait toujours. Elle nous faisait tourner sur nous même: elle était sur moi, nous continuions à baiser. Je lui mettait un doigt dans le cul: elle en jouissait encore plus. Ses crispations avaient raison de moi: je jouissait à mon tour. Nous étions maintenant séparés. Elle m'embrassait encore pendant que je lui caressais un sein. Elle prenait ma bite dans une main, sans penser mal. Si on ajoute à cela qu'elle me caressait les couilles, je ne pouvais plus me retenir: je bandais à nouveau.
Elle avait apprécié mon doigt dans le cul. Je la faisais mettre en levrette, me mettait sur elle qui se mouillait bien l'entrée de l'anus. Je posais ma bite sur le cul en me disant que je devrais y aller lentement. Elle aimait trop la sodomie pour le permettre. J'entrais dans son cul facilement. Trop facilement sans doute, à mon avis, pas au sien en tout cas. Je devais la lui mettre à fond. Je sentais mes couilles battre contre ses fesses. Elle ajoutait à son plaisir une caresse sur son bouton. Quand elle jouissait j'avais la bite tellement serrée qu'elle me faisait mal, allongeant mon plaisir. Quand enfin je jouissais elle fermait son anus pour que je ne ressorte pas. Elle voulait me garder en elle encore Malheureusement pour elle je débandais.
Pour elle nous devions encore faire un 69. Pourquoi pas: elle commençait la première en m'avalant et léchant mon bout. J'avais le tête emprisonnée entre ses jambes: je tétais carrément son clitoris: je mettais encore mes doigts dans son anus. Nous jouissions ensemble, c'est sans doute pour ça que nous avons rendez-vous demain dans la même cabane pour dit-elle la sodomiser. Je sais que nous allons baiser avant et sans doute faire un 69 juste avant.
Dès le milieu d'après midi je vais me planquer, m'installe confortablement sur ma branche préférée.
Hier j'ai pu voir la fille du docteur avec son petit ami du moment (elle en change souvent). Elle était à sa place habituelle à 10 mètres de moi, avec une couverture. Avec son ami, ils se sont assis pour échanger quelques baisers. Elle offrait sa bouche qu'il prenait. Je voyais que leurs langues s'emmêlaient. Je ne m'étonnais pas de la voir basculer sur la couverture: c'est son habitude. Lui l'embrassait encore en lui passant une main sous la robe. Elle écartait un peu les jambes pendant qu'il lui caressait les cuisses. Je voyais sa main monter très vers le haut. Il entraînait le bas de la robe vers la taille. Je voyais avant lui qu'elle ne portait pas de sous vêtement comme d'habitude. Il lui passait la main entière sur le sexe. Elle le laissait faire, comme toujours. Les hésitations du garçons faisaient qu'elle lui prenait la main pour qu'il se fixe à l'endroit qu'elle voulait se faire caresser: le clitoris.
Je voyais qu'enfin il la masturbait un moment avant qu'à son tour, elle lui sorte la bite du pantalon. J'en profitais pour sortir la mienne, d'autant plus qu'elle commençait à le masturber. Je bandais pas mal: pourtant je résistais pour ne pas jouir trop vite. Je voyais quand elle jouissait: elle avait une grimace sur sa figure qui montrait fort bien ce qu'il lui arrivait. Elle le laissait continuer pour avoir encore un orgasme.
Elle ne mettait sur les genoux pour enlever sa robe: elle était nue. J'aimais son corps qui me semble toujours parfait. Ses seins qui pointent haut, ses aréoles petites et ses tétons plus gros que les autres. Je commençais ma masturbation: je connaissais la suite inévitable, elle allait se mettre dans le sexe, d'elle même, sans que le garçon n'ose lui demander de la baiser. Elle venait sur lui, l'enjambait avant de s'asseoir sur la bite. Elle ne se faisait pas baiser, c'est elle qui baisait. Je continuais à m'astiquer.
Elle se faisait jouir, sans se préoccuper de son amant: c'était son habitude.
La suite était simple, elle prenait la bite en bouche la suçais pour recueillir le sperme. Son amour était terminé. Elle se rhabillait et accompagnée de son ami elle repartait.
Ce n'est qu'à ce moment la que je me finissais rapidement.
Pourtant un jour je rencontrais cette fille par hasard. J'avais envie d'elle. Je ne la draguais pas comme les autres: je lui demandais simplement de venir avec moi dans mon arbre. Elle me regardais étonnée d'un tel désir je lui expliquais que c'était mon endroit de préférence et que je la voyais s'envoyer en l'air souvent et jamais avec le même. Elle craignait que je raconte tout ce que je voyais aussi elle venait avec moi, victime à son avis d'un chantage. Aussi vers 15 heures nous étions dans mon arbre. Elle comprenait aussitôt que je ne racontais pas d'histoire: nous n'étions à peine assis qu'un couple venait au même endroit qu'elle quelques jours avant. Elle était comme hypnotisée de voir un couple faire l'amour à nos pieds. Quand le principal se produisait elle était excitée, comme moi. Je n'osais pas sortir ma bite, par contre elle passait un main sous la jupe et sans s'occuper de moi, commençais à se branler: je pouvais voir toute sa fente et sa main qui avant d'aller sur le clitoris, se posait sur son anus où elle ne faisait qu'un simple massage. Elle s'appuyait sur moi pour ne pas tomber, je voyais sa main cette fois placée sur le bouton. Elle ne ménageait pas sa peine pour se donner du plaisir. Je l'entendais gémir doucement. Elle se tournait légèrement pour poser ses lèvres sur les miennes. Notre baiser durait jusqu'à ce quelle jouisse. Je pensais qu'elle allait arrêter là: elle me demandait de lui mettre main à un endroit où j'avais déjà rêvé d'aller: son sexe, et pas n'importe où. Je devais la doigter. Je n'hésitais pas un instant: je cherchais un instant l'entrée de sa moule et j'y mettais un doigt puis deux. J'allais et venais en elle. Je sentais la mouille s'écouler entre mes doigts. Elle aussi commençait à aimer espionner les autres.
Enfin le geste qui allait me transporter elle prenait ma bite dans sa main droite, la tâtait tout du long et enfin la faisait aller et venir sur ma tige. Je savais pour l'avoir vue à l'œuvre qu'elle faisait bien jouir ses amants: maintenant c'était mon tour de juger sur pièce. Je ne sais comment elle faisait pour donner tant de plaisir sans me faire jouir. Je continuais mes vas et vient dans son vagin. Elle jouissait grâce à mes doigts réunis.
Le couple que nous regardions partait après avoir baiser rapidement sur la demande de la demoiselle. Dès ce départ ma compagne descendait. Je la suivais. Je pensais que notre "conversation" était terminée: elle ne faisait que commencer.
Nous ne restions pas dans ce coin à causes des voyeurs dont j'étais. Elle m'emmenait vers un endroit encore plus caché: une simple cabane en bois dont la porte se fermait de l'intérieur. Elle était nue rapidement, j'en faisais autant nos mains exploraient le corps de l'autre. Nous étions enlacés, nos langues se battaient, nos mains caressaient tout: moi ses seins st sa taille avant de venir sur sa moule, elle mon torse et la bite. Elle m'entraînait sur elle. Cette fois elle se donnait sans prendre uniquement. Elle avait l'abricot tout mouillé. Elle prenait ma bite pour la mener vers son entrée secrète. J'y entrais facilement et entamait mes allers et venues: elle accompagnait mes mouvement je la sentais jouir autour de ma queue. Je me retenais pour ne pas jouir rapidement. J'y arrivais en forçant. Elle jouissait toujours. Elle nous faisait tourner sur nous même: elle était sur moi, nous continuions à baiser. Je lui mettait un doigt dans le cul: elle en jouissait encore plus. Ses crispations avaient raison de moi: je jouissait à mon tour. Nous étions maintenant séparés. Elle m'embrassait encore pendant que je lui caressais un sein. Elle prenait ma bite dans une main, sans penser mal. Si on ajoute à cela qu'elle me caressait les couilles, je ne pouvais plus me retenir: je bandais à nouveau.
Elle avait apprécié mon doigt dans le cul. Je la faisais mettre en levrette, me mettait sur elle qui se mouillait bien l'entrée de l'anus. Je posais ma bite sur le cul en me disant que je devrais y aller lentement. Elle aimait trop la sodomie pour le permettre. J'entrais dans son cul facilement. Trop facilement sans doute, à mon avis, pas au sien en tout cas. Je devais la lui mettre à fond. Je sentais mes couilles battre contre ses fesses. Elle ajoutait à son plaisir une caresse sur son bouton. Quand elle jouissait j'avais la bite tellement serrée qu'elle me faisait mal, allongeant mon plaisir. Quand enfin je jouissais elle fermait son anus pour que je ne ressorte pas. Elle voulait me garder en elle encore Malheureusement pour elle je débandais.
Pour elle nous devions encore faire un 69. Pourquoi pas: elle commençait la première en m'avalant et léchant mon bout. J'avais le tête emprisonnée entre ses jambes: je tétais carrément son clitoris: je mettais encore mes doigts dans son anus. Nous jouissions ensemble, c'est sans doute pour ça que nous avons rendez-vous demain dans la même cabane pour dit-elle la sodomiser. Je sais que nous allons baiser avant et sans doute faire un 69 juste avant.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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TRES BON TRYPE ONT S Y CROIRAIT