Week-end à Carnon, suite

- Par l'auteur HDS Sucette -
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Récit libertin : Week-end à  Carnon, suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Week-end à Carnon, suite
Nous arrivons à l'appartement de France. Il est superbe, une grande terrasse plein sud avec vue sur la mer au dernier étage avec ascenseur sans vis à vis.
Une kitchenette ouverte sur un bar et un grand espace meublé de deux canapés convertibles. Une belle salle de bain avec une grande douche à l'italienne, un dressing et deux chambres.

Sur la terrasse, un jacuzzi six places , une table de jardin et un fauteuil suspendu.

Au programme, douche, lotion après soleil, tenues correctes pour aller au restaurant. Marie a échangé son jeans et blouson pour un ravissant chemisier à fleur diaphane et une robe longue. Comme à son habitude, elle ne porte pas de soutien gorge n'en n'ayant pas besoin, seules les pointes dépassent de sa poitrine.

France est habillée d'un ensemble très moulant, un fourreau et un caraco.
Mickaël, en short et polo. En ce qui me concerne je suis habillée d'une robe blanche évasée avec des lacets à la taille et un superbe décolleté bordé de dentelle, dénichée aux puces.

Mon soutien gorge pigeonnant fait ressortir ma poitrine. On devine mes tétons au ras de l'encolure.
France nous invite dans une pizzeria qu'elle a réservée pour l'occasion. Après les apéritifs nous ingurgitons de belles portions savoureuses accompagné d’un excellent rosé local.

Le personnel est attentionné et le patron nous offre le café. Puis France nous invite à faire une promenade digestive sur le bord de mer.


Profitant de l'obscurité, je me suis collée contre Marie, j'ai déboutonné son chemisier et sucé ses mamelons, agacé les pointes avec mes dents, elle adore cette torture, une main glissée sous sa ceinture, j'agace aussi son bouton. Ma bouche s'empare de la sienne. Nous sommes invisibles, cachées par une construction. Nos étreintes durent un bon moment, je souffle des mots d'amour à ma compagne qui finit par plaquer ma main sur sa vulve, le temps de son orgasme.

Puis, elle soulève ma robe, crochète ma culotte qu’elle abaisse sur ma cheville et l'enlève, elle me fait écarter les jambes. Je me tiens à un poteau pendant qu'elle me boit, me lèche, m'aspire. La sensation est divine. Seule Marie est capable de me procurer autant de plaisir si vite. Mon orgasme arrive, je la repousse tellement son traitement devient insupportable.

Je suis épuisée et m'assois à même le sol. Elle me relève et partons à la recherche de France et Mickaël.

Nous les retrouvons, lui le short baissé, elle à genoux. Aucun doute sur son activité mais ils sont contre un muret à la vue de tous ceux qui auraient l'idée d'aller sur la plage.


Décidément, France est insatiable et Mickaël d'une résistance à toute épreuve. En nous voyant, elle stoppe et Mickaël se rhabille.

Arrivés à l'appartement, France sort des boissons et nous fait un Streep tease, sur la musique « you can leave… » de Joe Cocker, elle ôte en ondulant caraco et fourreau pour se retrouver nue devant nous puis elle éteint les lumières. Elle nous invite à plonger dans le jaccuzzi,seules les bulles nous éclairent.

Nous sommes ivres de nourritures, alcool, soleil, mer, sexe et maintenant du bien être de l'instant, suspendus, face aux étoiles et aux reflets de la grande bleue.
Nous restons comme ça un long moment puis nous nous enveloppons dans des grandes serviettes chaudes.


Les canapés sont dépliés et nous installons nus. Profitant de l'absence de Mickaël aux toilettes, Marie et moi prenons France en sandwich. Nous avons amené nos jouets préférés et nous la questionnons sur ses goûts.
Elle est intéressée par nos vibromasseurs, souhaite utiliser le double dong : un double godemichet mais aussi le martinet, les menottes et les pinces pour les seins.
De son côté, elle nous sort un bel harnachement pourvu d'une verge impressionnante. Elle nous sort aussi une cage de chasteté en plastique qu'elle destine à Mickaël de même que les menottes.
Elle voudrait qu'il n'utilise que sa langue et sa bouche pendant nos ébats. Elle voudrait aussi le sodomiser et le faire jouir par la prostate dans sa cage et lui faire avaler son sperme.

Cela convient à Marie très contente que Mickaël soit notre esclave sexuel. Moi, je suis curieuse de voir comment France va s'y prendre.

« Mickaël, tu vas assister à un trio féminin d'anthologie mais te connaissant, nous allons mettre ton oiseau en cage"

Elle sort alors la cage en plastique. Évidemment le sexe de Mickaël ne peut rentrer. Elle prend alors le bol de glaçons fondus et y met sa verge qui se recroqueville. Elle l'introduit après l’avoir lubrifié et referme le minuscule cadenas. Aussitôt, il met les mains sous l'objet. C'est le prétexte pour le menotter dans le dos. Toujours avec la même voix enjôleuse.
Elle le fait agenouiller au pied du lit.

France est au milieu du canapé en diagonale, Marie s'allonge et vient brouter son minou. A mon tour, je ferme le triangle, j'ai le sexe de Marie sous ma langue et France s'occupe du mien.
Nous prenons notre temps. Nos langues tournent autour du clitoris puis lapent en même temps, nous aspirons puis appuyons. Nous savons ce qui est bon pour nous donc pour l'autre.

Nous aimons aussi les caresses des seins , épaules, flancs , dos, fesses, intérieurs des cuisses, pieds, nous jouons avec nos mains , nos doigts, nous nous frôlons et embrassons, échangeons nos fluides puis nous recommençons nos cunis.

Mickaël remplace France qui allume des bougies parfumées et de l'encens. Elle nous ramène aussi une petite fiole de poppers que nous inhalons à tour de rôle. L'effet est quasi immédiat, une douce chaleur envahit nos joues et nos sexes, nos clitoris sont encore plus sensibles et nous débordons d'énergie. Nous jouissons de concert, France arrose copieusement Mickaël qui souffre, le sexe comprimé dans sa cage. France s'approche de son oreille et lui propose un deal.

Elle prend un godemichet de bonne taille, l'enduit de gel et le présente à l'entrée de son œillet sous nos regards attentifs, elle fait des rotations tout en appuyant, il rentre lentement et difficilement puis d'une poussée un peu plus forte, disparaît , elle entame une série de va et viens. Du sperme s'écoule lentement de la cage, elle prend un verre et recueille le jus blanc qui s'écoule toujours.

Elle enlève le godemichet et présente le verre à ses lèvres. Mickaël docilement ingurgite son contenu . Elle lui enlève sa cage puis elle prend sa verge endolorie dans sa bouche, le nettoie puis elle l'embrasse voluptueusement.


Nous faisons une pause, Mickaël est toujours menotté et France revient métamorphosée : une résille l'enveloppe des pieds à la tête, un trou au niveau du sexe et deux autres aux seins. Un corset noir autour de la taille fait ressortir sa poitrine et ses fesses.
S'approchant de notre ami « Alors petit cochon, tu t'imagines jouer au macho avec trois nanas, je vais te punir et tu vas aimer. Attention, je ne veux entendre aucun cri, tu vas nous nous montrer comment tu es courageux. Tu vas goûter au Sm soft".
Elle prend le martinet et assène brutalement une volée de coups sur le dos, les fesses, les cuisses.
« Tu vas être bien sage sinon je continue, tu vas te mettre à quatre pattes la tête dans l'oreiller, Marie va te bloquer"

Elle s'assoit sur sa nuque, France me tend les pinces à sein que je fixe puis elle prend une bougie et fait couler la cire sur son dos déjà bien irrité par la journée à la plage.
Mickaël gémit sous les fesses de Marie qui se caresse, excitée par cette séance de domination féminine. Elle demande à ce Mickaël se tourne et elle colle son sexe sur sa bouche.

Nous constatons que la verge de Mickaël est en érection, je lui enlève les pinces et maltraite ses tétons ce qui le fait gémir, je m'empare d'un plug , Marie attrape ses jambes et lui tient les chevilles, ainsi son anus est bien visible, un peu de lubrifiant et je l'enfonce fermement,. Nouveaux gémissements qui cessent d'un coup de martinet.

France prend une autre bougie et fait couler la cire sur la poitrine, les seins, le ventre. Une dernière sur sa queue et le gland. Marie est désarçonnée par les soubresauts de Mickaël qui se relève.
France le calme « C'est fini, tu gardes le plug et les menottes pour la nuit, je vais te soigner. Demain, on n'y verra plus rien »

Nous enlevons la cire et les poils collés, ce qui occasionne des grimaces et nous font rire.
Puis nous le douchons, nous en profitons pour uriner tous et une fois séché, nous le badigeonnons de Biafine.

Une bonne tisane et nous sombrons dans les bras de Morphée.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Femmes stupide pauvre Michael il n'est pas pa
S récompense par ses folles



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