X-Acto - 1 - histoire érotique

Je regarde ma femme dormir allongée près de moi, nous venons de faire l’amour et j’éprouve toujours le même désir aussi puissant pour elle. Son souffle est paisible, les draps ont glissé et découvrent ses seins et son cul somptueux. Je me nomme Axel, depuis le début de notre histoire, Clèm s’est révélée être une superbe salope pour notre plus grand plaisir. Je l’aime passionnément, non seulement elle m’excite toujours mais j’en suis follement amoureux depuis notre rencontre. Au fil du temps, son côté salope, déjà bien affirmé lorsque je l’ai rencontrée, s’est développé. Inventive et jamais rassasiée de sensations, elle est devenue avec ma complicité une vraie petite pute en chaleur….
J’ai connu Clèm un été, en juillet, à cette époque on ne parlait pas encore de sida, les années post-soixante-huitardes étaient très décomplexées en matière de sexualité. En allant voir un pote, sa cousine était là. J’ai craqué tout de suite sur cette jolie fille au regard vif et expressif, les cheveux mi-longs châtain, manifestement de belles formes (le jean soulignait un beau cul et le petit pull large col en V semblait plein de promesses et abriter une belle poitrine). Ce soir là nous nous sommes contentés de discuter avec les copains présents autour de la table, je l’observais, elle semblait proche d’un des types qui la couvrait de toute son attention. Toutefois en fin de soirée, au moment de se dire au revoir je lui ai glissé que j’aimerais beaucoup la revoir si possible. Au sourire qu’elle m’a lancé j’ai compris que la suite pourrait être intéressante. Et elle le fut puisqu’elle marqua un tournant dans nos vies.
Le lendemain je suis de bonne heure chez mon pote, Clèm n’est pas encore là. Elle arrive, accompagnée de sa copine Béatrice et du mec de cette dernière. Souriante elle vient droit vers moi et en guise de bonjour ses lèvres effleurent les miennes. Agréablement surpris par cette entrée en matière, je bande instantanément et la convie à s’asseoir près de moi. J’en profite assez rapidement pour tenter une approche en posant ma main sur ses reins par-dessus son petit pull…
Clèm me confirmera que depuis la veille, elle attend aussi ce moment, elle est plutôt extravertie et je lui plais bien, notre rencontre lui semble une évidence, elle a décidé de répondre à mes tentatives d’approche, de les encourager voire les susciter. Elle s’est retournée à nouveau pour me chuchoter :
- Passe dessous ce sera meilleur
Je m’empresse d’obtempérer, discrètement ma main remonte sous le pull et lui caresse le dos, au bout d’un moment je remonte un peu plus haut pour atteindre la fermeture du soutien-gorge. Sans lui demander son avis je fais sauter l’attache du soutif.
A cette époque j’avais déjà eu quelques aventures (souvent sans lendemain). Mes succès je les devais principalement à mon statut de musico qui occupait en grande partie mes loisirs : guitariste dans un groupe, les filles venaient très souvent carrément me draguer. Avec Clèm, je sens confusément qu’il s’agit d’autre chose, elle dégage un charme empreint de sensualité, affichant tout à la fois une fragilité et une assurance troublante, en fait elle sent le cul à plein nez. Je ressens un besoin irrépressible d’être avec elle, près d’elle.
Clèm frissonne sous la caresse, elle apprécie particulièrement et m’avouera plus tard qu’elle sait que si je lui touche les seins elle se mettra à mouiller. C’est un de ses points faibles, un peu comme s’ils étaient directement connectés à sa chatte. C’est ce moment que choisissent les autres pour se manifester.
- Tout le monde en voiture, on va boire un verre au Moulin.
Le Moulin se trouve à quelques kilomètres, à la fois restau au 1er étage et bar privé au rez-de-chaussée donnant sur un petit parc très sympa, avec une rivière qui coule paisiblement en contrebas. Nous faisons voitures séparées, mais dès l’arrivée nous nous retrouvons et prenons place dans un des box du bar. La pénombre facilite mon approche et j’ai repris là où je m’étais arrêté, je glisse à nouveau la main sous le pull pour caresser le dos de Clèm. Elle laisse faire, je m’aperçois bien vite que non seulement elle n’a pas rattaché son soutif mais qu’elle l’a ôté. Ma bite durcit.
- Tu ne crois pas qu’on serait mieux dehors ?
- Oui, oui, je pense aussi. Dit-elle.
Nous sortons sous un prétexte quelconque, les autres ne font pas attention à nous, lancés dans des discussions sur les prochaines vacances et leur organisation.
Une fois dehors, j’attire Clèm un peu plus loin dans un coin moins éclairé et l’enlace en lui roulant une pelle d’enfer, à laquelle elle répond avec fougue. Humm sa langue douce et active est un vrai régal, chaude, vive. Je reprends mes investigations sous le pull pour saisir un sein que je sais n’être plus protégé. Huuummm elle a de sacrés nichons. Quel régal ce sein lourd et ferme à la fois. De caresses, je passe à un pelotage en règle qui manifestement fait beaucoup d’effets à Clèm. Tout en continuant à nous embrasser comme des morts de faim, j’empoigne le deuxième et me met à les malaxer à pleines mains. Clèm répond à mes initiatives avec ardeur, je la retourne pour pouvoir bien prendre ses seins en continuant à l’embrasser dans le cou. Les tétons durcissent, j’attrape ses mamelons pour les presser un peu plus fort, elle sursaute.
- Je t’ai fais mal ?
- Non, pas du tout, au contraire, continue ! j’adore qu’on s’occupe de mes seins, Ouiiiii, encore, hummm si tu continues je sens que….ça va me plaire.
Avec de tels encouragements je me régale à lui peloter ses beaux seins et surtout à bien tirer et tordre ses tétons.
Dans le même temps, elle passe la main sur ma queue par-dessus mon jean, je bande comme un malade tant cette nana m’excite. Putain ça promet, elle est vraiment chaude et cela m’incite à me lâcher.
- Humm, tu es une chaude toi, relève ton pull, je veux voir tes seins, montre les moi.
- Ouiiii, encore, je vais jouir si tu continues. Tu m’excites. Surtout ne t’arrête pas
Sans hésiter elle relève son pull et je découvre enfin cette somptueuse poitrine que je pelote et triture depuis un bon moment. Deux merveilles de nichons bien ronds, lourds, fermes, avec des aréoles légèrement sombres, rétractées par l’excitation et des tétons érigés et durs. Un superbe 90 C, une perfection, un rêve.
- Ôte ton pull.
- Tu exagères, on risque de me voir.
- Peu de risques, vu où on est.
Elle hésite un peu puis finalement retire son pull. Elle se trouve quasi nue devant moi. Estomaqué par le culot de cette fille, je descends une main vers sa chatte, ouvre le jean glisse à l’intérieur et lui prend la moule à pleine main par-dessus sa culotte. Elle est trempée. Je repasse à l’intérieur de la culotte pour bien m’occuper de sa chatte. Celle-ci est couverte d’un duvet bien agréable au toucher, les lèvres aussi s’ouvrent sous mes doigts, je sens son clito bien dressé qui réagit sous la caresse.
Elle replace sa main pour continuer à frotter et sentir ma queue de plus en plus raide. Elle m’excite tellement que je me lâche encore plus et lui dit, avec un petit sourire :
- Humm, Te mettre pratiquement à poil, tes superbes nichons à l’air dans le jardin du restau c’est vraiment gonflé, tu ne serais pas un peu salope ?
Ces paroles semblent avoir un effet dingue sur Clèm qui se met à mouiller de plus belle, cela aurait dû la choquer, au contraire cela l’excite. Je m’en rends compte tout de suite. Je tords le téton et plonge deux doigts dans la fente en lui branlant le clito. Elle écarte un peu plus les jambes pour mieux profiter et se met à bouger son cul et agiter son bassin pour accentuer la caresse et venir au devant de mes doigts.
- Mais oui, c’est ça, tu es une salope, hein, une bonne salope… Touche-moi la bite, moi je m’occupe de ta chatte, cochonne…
Les mots crus conjugués au plaisir qui irradie de ses seins et de sa chatte lui procurent un superbe orgasme, elle se tétanise contre moi en étouffant ses gémissements.
J’ai eu affaire à quelques chaudasses, mais elle c’est vraiment un must. Incapable de lâcher ses seins, je continue à la peloter gentiment, toujours en câlinant doucement son clito dressé et en lui dévorant la bouche jusqu’à ce qu’elle revienne au calme.
- Tu montres souvent tes seins aussi facilement ?
- Rarement, mais je sais l’effet qu’ils produisent sur les mecs et j’aime les faire bander ; alors oui ça m’arrive. Dit-elle en souriant, Tu penses vraiment ce que tu m’as dit ? Que je suis une salope, une cochonne ?
- Je t’ai choquée ?
- Non, enfin si un peu, mais bizarrement ça m’a rendue complètement folle d’excitation.
- Je m’en suis rendu compte, je ne pense pas que tu sois « un peu » salope, mais j’espère une vraie salope et… j’adore ça, je craque complètement pour toi.
Nouvelle surprise, Clèm se retourne, ouvre mon jean et sort ma queue, elle se laisse tomber à genou et l’enfourne à fond puis la ressort pour me lécher les couilles avant de reprendre la bite en bouche. Je n’en reviens pas, cette nana est vraiment la grosse salope dont j’ai toujours rêvé, je ne la connais que depuis un peu plus de 24 h et elle est déjà pratiquement à poil, en train de me tailler la meilleure pipe de ma vie, dans un lieu public.
Elle me pompe à fond en me massant les couilles, ses lèvres humides coulissent bien sur toute la longueur de ma queue, elle fait tourner sa langue tout autour de la hampe et appuie sur le gland au passage. Ses nichons qui s’agitent devant moi et sa science de la pipe m’amènent rapidement au bord de l’explosion, je sens que je ne tiens plus et cherche à me reculer. Elle me bloque et enfonce encore plus ma bite dans sa bouche.
- Arrête, je vais jouir si tu continues
Au contraire, elle augmente le rythme de la succion. Mon regard se pose sur la masse des seins en mouvement, je sens ma queue gonfler encore et ne peut me retenir.
- Aahhh ouiii, c’est trop… booonnn
Je lâche tout mon foutre dans la bouche de ma suceuse, qui avale avec un gémissement de plaisir.
Elle lève les yeux vers moi tout en passant sa langue sur toute ma queue et avec un grand rire, me dit :
- Alors ? Est-ce que j’ai été assez « salope » pour toi ?
Je la prends dans mes bras et lui roule une pelle profonde qui a le goût de mon propre sperme. Débordant d’excitation et complètement retourné par ce que venions de vivre, je lui glisse à l’oreille :
- Tu me rends fou et j’aimerai vraiment que l’on poursuive cette relation.
- Humm, moi aussi. Ajoute-t-elle.
Nous nous rajustons, elle enfile son pull. Nous restons étroitement enlacés à continuer à nous tripoter et discutons longuement avant de rejoindre les autres. Nous parlons de ce qui vient de se passer, ce qui ressemble à un coup de foudre mutuel et la tournure très sexe de la soirée. On se confie sur le plaisir ressenti et en venons à évoquer les aspects les plus intimes de nos envies. C’est comme ça que je lui avoue avoir particulièrement apprécié ses initiatives et que j’adore son côté « salope » et sa science de la pipe (Ah ! ce mot « salope » il allait être le catalyseur de nos libidos et devenir le ciment de notre relation).
Clèm me répond qu’elle avait été surprise et avait compris qu’il n’y avait rien d’insultant dans les mots crus employés, emportée par son excitation qui était alors montée en flèche, d’autant plus que je lui pelotais les seins à ce moment-là.
- Je suis très sensible de la poitrine et le moindre attouchement me fait mouiller, je ne me contrôle plus, souvent les mecs en profitent pour tenter de me baiser et… tu vas te moquer, mais j’ai un peu peur de la suite, je n’ai pas beaucoup d’expérience. En fait, je n’ai eu de relation complète qu’avec un mec. En revanche beaucoup de pelotages et j’avoue pas mal de… pipes, j’adore sucer comme tu as pu t’en rendre compte.
Rougissante, elle poursuit :
- Et tu viens de me faire découvrir que les mots décuplaient mon plaisir.
- Eh bien, au moins avec toi, on sait où on va. Rassures-toi, je n’ai pas la moindre envie de me moquer de toi et je suis touché par ta franchise, et oui j’ai aimé ta gourmandise. Tu recommences quand tu veux « Salope ». Dis-je avec envie et le regard brillant.
Après ces confidences et bien d’autres, nous avons du mal à nous quitter en fin de soirée, malgré la promesse de nous retrouver le lendemain et de reprendre nos ébats torrides dès que possible. Ce soir là, j’ai compris que j’étais tombé amoureux de cette fille.