X-Acto - 9
Récit érotique écrit par TheWall79 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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X-Acto - 9
Les deux jours suivants sont consacrés au tourisme, Romain nous emmène à la découverte de l’arrière pays : à Saint-Guilhem-le-Désert le premier jour puis à la bambouseraie d’Anduze le lendemain. Ces ballades donnent à Clèm, toujours nue sous ses robes légères, l’occasion de belles exhibitions. Avec Romain on s’offre de superbes séances de voyeurisme avec érections garanties, la salope n’est pas avare de ses charmes et n’hésite pas à monter un sein jusqu’au téton dès qu’elle le peut ainsi que sa petite moule souvent humide de l’excitation que cela lui procure. On la pelote à chaque occasion, comme lors du retour d’Anduze où on s’arrête pour visiter Uzès. Lorsqu’on rejoint le parking en sous-sol pour récupérer le véhicule, je lance :
- Chérie, montre nous ta chatte.
Elle n’hésite pas et relève sa robe en tournoyant sur elle-même. Romain la pousse gentiment contre la voiture.
- Sors tes seins, cochonne.
Malgré le risque d’être surprise, là encore aucune hésitation, elle baisse son haut pour nous exposer sa poitrine. On la caresse et on la branle à quatre mains dans ce parking souterrain, nous l’amenons à jouir sous nos doigts avant de reprendre la route. Elle ne se prive pas non plus de nous sucer la bite lors des trajets en voiture, Romain apprécie particulièrement les pipes qu’elle lui taille à chaque fois que je prends le volant. Quand nous sommes trop excités, nous nous arrêtons dans des endroits propices aux ébats pour la baiser en extérieur. En rentrant ce soir là après un bon restaurant, j’annonce :
- Demain ma chérie, Romain nous propose d’aller au Grau-du-Roi, à la plage de l’Espiguette.
- Si vous voulez, mais il y a plus près non ?
- En fait c’est une plage avec une partie naturiste où trainent pas mal de voyeurs, ajoute Romain, et suis sur que tu vas te régaler à t’exhiber devant eux,
- Huummm, un plan exhib n’est pas pour me déplaire bien au contraire, surtout avec vous deux. En attendant venez vous occuper de moi, j’ai très envie de deux bites.
Après encore une bonne nuit à baiser notre jolie salope et un bon déjeuner pris au centre du Grau-du-Roi, nous avons pris la route de l’Espiguette. Clèm ne porte sur elle qu’une longue chemise lui descendant à mi-cuisses et comme d’habitude pas de sous-vêtements.
Nous montons dans la voiture, Romain au volant, Clèm à ses côtés et moi derrière elle. Je passe mes bras par-dessus le siège et prends les seins de ma femme à pleines mains.
- Alors mon amour, prête à faire la salope ?
- J’avoue que m’exhiber en votre compagnie me plait énormément, j’aime voir les mecs bander pour moi et passer pour une grosse salope me fait mouiller vous le savez bien.
- Et bien on va te satisfaire, vicieuse. J’ai une petite idée sur la suite.
Arrivés à proximité de la plage, Romain stationne au fond du parking près d’un accès au cordon de dunes. Il va nous falloir marcher pour nous éloigner de la plage familiale. Romain nous guide et nous dirige vers la gauche en direction d’un bois qui borde la plage. Déjà, on croise pas mal de nudistes, beaucoup plus d’hommes que de femmes, de tous les âges. Manifestement des habitués tellement les corps semblent caramélisés par le soleil. Après encore quelques centaines de mètres à marcher dans le sable, Romain nous installe juste à l’orée du bois, afin de profiter de l’ombrage offert par quelques arbres.
Clèm retire son seul vêtement, nous l’imitons. Une fois nus, nous nous allongeons sur nos serviettes de bain. Romain et moi, sous prétexte de l’enduire de protection solaire, commençons à la peloter. La coquine se laisse faire et s’expose sans pudeur.
Un groupe de plusieurs types est en lisière de bois et matent la belle se faire tripoter. A poil eux aussi, les sexes commencent à se dresser face au spectacle, surtout lorsque Romain enfonce deux doigts dans la chatte de Clèm. Les commentaires fusent aussitôt :
- Ouahh les gars vous avez vu, quelle belle gonzesse, elle n’a pas l’air farouche la garce.
Deux se rapprochent et s’adressent à nous :
- Superbe chaudasse que vous avez là et bien foutue, il y a moyen de la peloter ? Je lui ferais bien les nibards.
- Vas-y gentiment, tripote lui bien et tire sur les bouts elle adore ça.
Le gars avance pour malaxer les seins tout d’abord avec douceur pour bien prendre la mesure de la fermeté des deux globes puis beaucoup plus fermement, il pince et tire les tétons durs et dressés pendant plusieurs minutes. La belle commence à mouiller abondamment et à pousser de petits gémissements bien excitants.
- Vous la faite baiser ? on peut la tirer ? elle veut de la queue à sucer ?
Même si leurs propos sont outranciers, ils excitent Clèm qui se complait dans son rôle de salope. Voyant la tournure de l’affaire, les autres veulent aussi profiter de l’occasion,
- Venez plutôt à l’intérieur du bois, c’est plus discret.
- Pourquoi pas. Répondis-je. En revanche, préparez vos bites les gars pour arroser notre petite salope. Vous ne la touchez pas, vous vous branlez juste pour lui juter dessus ok ? Sinon on repart.
- D’accord, disent-ils en cœur, on va vous la couvrir de foutre votre chienne.
Clèm est partante, elle pénètre sous les premières frondaisons, entourée par Romain, moi et son peloteur ? Elle se positionne au milieu des cinq ou six mecs présents, offrant sa totale nudité et ses gros seins aux bites qui l’entourent. Bien excités les types se branlent sous les yeux de la belle qui ne regarde même pas à quoi ressemblent ses mateurs. Seules les queues qui s’agitent pour elle retiennent son intérêt. Elle en enregistre la taille, la courbure, la forme du gland mais aussi la grosseur des couilles, elle en aperçoit quelques uns qui sont entièrement rasés, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Elle dispense quelques caresses sur les queues à sa portée puis prend ses seins en main, les soulève et les fait bouger pour les offrir aux giclées qui s’enchainent sur son corps, sous les commentaires graveleux des mecs.
- Cochonne, c’est ça, agite tes nichons qu’on les arrose.
- Trop belle paire la garce, je vais te juter dessus
- Dommage que tu suces pas, t’as vraiment une bouche de pipeuse
Elle se branle la chatte devant eux et tout cela finit par la conduire à l’orgasme. Au bout d’un quart d’heure le dernier, aidé par notre salope qui lui branle le manche, se vide les couilles sur ses seins.
Avec Romain on étale le foutre sur tout le corps de Clèm en insistant particulièrement sur la poitrine et la chatte. On la fait jouir devant ses spectateurs en la branlant à fond. Je lui murmure à l’oreille :
- Qu’elle superbe putain tu fais mon amour.
- J’adore, je suis complètement excitée, j’ai envie de bites. Ramenez-moi à la maison et baisez-moi.
- Ok, on rentre.
On laisse le groupe encore la bite à l’air, on récupère nos affaires et rejoignons le véhicule. Clèm semble épuisée par sa jouissance qui est autant cérébrale que physique et reste nue dans la voiture sur le trajet du retour. Elle prend une douche en arrivant et vient nous rejoindre au salon pour que l’on continue à abuser d’elle. Le reste de la soirée est très chaud comme à l’habitude. Elle se donne sans retenue profitant de nos sexes et de notre excitation mutuelle avant de regagner le lit pour un sommeil réparateur. Je pense qu’il reste encore deux jours de vacances pour continuer à s’éclater et à réaliser peut-être quelques fantasmes torrides.
Le matin Clèm se réveille et me voit allongé près d’elle qui la regarde les yeux chargés d’amour. Je lui susurre que je l’adore, que je suis fou d’elle. Elle dépose ses lèvres sur les miennes et en m’étreignant fortement m’assure qu’elle aussi est complètement dingue de moi et que depuis le début de notre dépravation, elle sent notre complicité grandir et ce sentiment renforce son amour pour moi. Je lui dis ressentir la même chose. Je l’enlace et nous commençons à faire l’amour avec toute la passion dont nous sommes capables l’un envers l’autre. Elle se place sur moi, prend ma queue bien au fond d’elle et bouge lentement pour ressentir toute la longueur et la grosseur du sexe qui la remplie. Elle se redresse pour accentuer la pénétration. Dans ce mouvement ses seins se mettent à bouger sensuellement et viennent frotter mes lèvres, j’en profite pour happer les bougeons tour à tour.
- Hummm oui continue comme ça mon amour, prend moi bien, je te sens et vais te faire jouir comme tu aimes.
- Ouuiiii bouge bien, tu es terrible quand tu bouges sur moi. C’est sûr, je ne vais pas tarder à éclater.
- Surtout que je suis persuadée que tu m’imagines encore en train de prendre d’autres queues. Baise-moi bien ! baise ta salope ! baise ta putain ! Tu sais, si ça te fait bander à ce point là, je vais en sucer des bites pour t’exciter, la semaine n’est pas terminée.
- Oui c’est ça montre moi combien tu es salope et combien ça te plait. Je compte bien te compromettre encore d’ici notre départ.
Je me mets à la pilonner.
- Je pars, je jouis, viens toi aussi.
Elle se redresse totalement et accentue ses mouvements de bassin pour provoquer mon explosion. Nous atteignons l’orgasme quasi simultanément.
Après une douche rapide et partagée, nous rejoignons Romain qui nous annonce qu’il doit s’absenter pour les deux jours suivants, il demande à ce qu’on le dépose à la gare St-Roch ainsi nous pourrons profiter de la voiture.
Après le passage à la gare, j’emmène Clèm dans un magasin de lingerie réputé de Montpellier. Elle y trouve un superbe maillot de bain deux pièces. Je lui offre en lui disant avec un grand sourire :
- Premièrement, pour le mériter, il faut me suivre au fond du magasin. Deuxièmement, le haut est confisqué, interdiction de le porter.
Elle me suit au fond du magasin, quelques marches descendent et donnent accès à un bel espace vouté plus confidentiel, réservé aux amateurs de lingerie et de vêtements de charme. Nous faisons le tour des modèles exposés et on s’arrête sur un déshabillé noir très long et tout en transparence, mais aussi sur deux petites robes noires très « sexys ». La première très courte et moulante sur le bas présente un haut avec un décolleté drapé très large et profond donnant une vision de fou sur de la dentelle ajourée et sur les seins de la porteuse. La seconde est elle aussi très moulante et d’une indécence forcenée, épaules dénudées avec manches longues elle est totalement ajourée par des trous ronds de différents diamètres. Je demande à Clèm de la passer. Une vendeuse, vraisemblablement la patronne, se présente à nous, tire un rideau pour isoler cette partie du magasin. Clèm cherche une cabine.
- Vous pouvez l’essayer ici sans problème, le rideau tiré personne ne viendra.
Un peu gênée Clèm me regarde.
- N’ayez pas peur et laissez moi vous aider.
Pendant qu’elle s’approche d’elle, Clèm se déshabille rapidement et passe la robe. La vendeuse se décale sur la droite, tire légèrement sur le vêtement pour bien le mettre en place.
- Vous voyez il faut bien la placer pour qu’elle rende l’effet voulu, la matière est douce et élastique à la fois, Vous avez une très belle poitrine il ne faut pas l’écraser avec cette robe bien au contraire. Regardez ! faites en sorte qu’elle moule aussi vos seins comme cela.
Elle pose ses mains sur Clèm et sous le prétexte d’ajuster le bustier de la robe, lui prend les seins et les caresse, s’attardant plus que nécessaire. Clèm laisse faire, je suis amusé par la tournure de cet essayage.
- C’est vrai que cette robe peut être assez « coquine » surtout si comme vous elle est portée sans soutien-gorge. Elle permet bien des fantaisies.
Continuant son pelotage, elle prend les tétons de Clèm entre deux doigts et les fait ressortir par les trous.
- Huumm sensible on dirait la belle. Dit-elle en pinçant les bouts dardés tout en s’adressant à moi.
Clèm se mord les lèvres, la vendeuse glisse un doigt sous la jupe, l’appuie sur la fente et ajoute :
- Ma chère vous avez bien raison, sans culotte c’est encore meilleur.
Elle fait pénétrer le doigt inquisiteur entre les lèvres, le ressort et le porte à sa bouche, elle le suce en fixant Clèm :
- Je vous laisse faire votre choix et je suis à votre disposition si vous avez besoin de moi.
Elle se retourne et regagne la boutique en nous adressant un clin d’œil.
- Putain elle m’a chauffé la garce, c’est la première fois que ça m’arrive, elle m’a carrément mis un doigt.
- Eh bien ma chérie, on peut dire qu’elle est directe. Elle a dû sentir la salope en toi.
Clèm se rhabille, nous prenons la première robe, le déshabillé, le maillot de bain et on se présente à la caisse.
- Vous avez fait un excellent choix, mais dommage que vous ne preniez pas la petite robe ajourée, elle est vraiment d’un superbe effet sur vous, n’est ce pas Monsieur ?
J’acquiesce.
- Ma jolie, vous serez toujours la bienvenue ici. J’espère que je pourrais profiter plus longuement de votre présence.
Nous quittons la boutique, Clèm a le rose aux joues. Je l’embrasse tendrement en lui murmurant ; « Salope » et je pars d’un rire franc qui libère Clèm de la gêne ressentie.
- Et si nous allions tester ton nouveau maillot de bain dans un endroit sympa ? ça te dit ?
- D’accord, mais déjeuner avant, les émotions me creusent.
- Pas de problème, vos désirs sont des ordres Madame.
Nous prenons la route de la Grande-Motte, je gagne le centre, proche du point zéro, me gare près d’un superbe hôtel que Romain m’avait recommandé et entraine Clèm à ma suite. On déjeune en terrasse dans le patio intérieur de l’hôtel. Le menu est de bon niveau et le personnel aux petits soins avec nous. Une piscine de bonne taille entourée de transats et de parasols jouxte la terrasse, Je demande si nous pouvons en profiter et nous faire servir le café au bord du bassin.
Nous nous installons à l’ombre sur un matelas immense, Clèm retire sa robe après avoir passé le bas de maillot acheté le matin même. Allongée sur le dos les mains derrière la tête elle livre ses beaux nichons à la vue de tous et surtout des serveurs qui bien qu’habitués à ce type de spectacle, jettent un œil plus qu’intéressé sur la plastique de la belle. Très exhibitionniste et fière de ses attributs, elle fait en sorte de bien faire bouger ses seins lorsque l’on vient nous servir les cafés.
- Alors mon amour on joue les allumeuses ? tu n’as pas honte de coller des triques pareilles aux serveurs ?
- Pas ma faute, mais tu le sais j’adore qu’on bande pour moi.
- Et bien soit contente, tu sembles intéresser un autre client de la piscine qui a du mal à cacher son érection.
- Huumm, rien que d’y penser je mouille. S’il te plait chéri, branle-moi, mets-moi un doigt.
Elle se met sur le ventre, se colle à moi et me prend la main pour la mettre sur sa chatte. Je passe la main dans le maillot de bain et lui glisse un doigt dans la fente en appuyant bien sur le clito déjà tout dur. Elle bouge son cul pour accentuer la masturbation. Je regarde autour, je m’aperçois que les deux serveurs sont retournés à leur service et ne regardent plus dans notre direction. Je commence moi aussi à bander. Je préviens Clèm que son mateur se touche la bite par-dessus son maillot de bain, ça l’excite encore plus la salope. Elle lève les yeux vers lui avec un regard de chienne, se mord les lèvres et augmente l’amplitude des mouvements de son cul pour qu’il n’ait aucun doute sur nos activités. Heureusement seul un couple âgé est présent près de la piscine et ne remarque rien. Sa chatte est trempée et coule sur ma main. Elle prend un sein dans sa main pour le caresser et se redresse suffisamment pour bien le monter au type.
- Huumm, il a l’air d’avoir une bonne queue, tu veux que je le suce ? moi j’en ai envie.
- Avec plaisir, mais ici, devant moi, pendant que je te branle.
Je fais signe au gars de se rapprocher, il prend sa serviette de bain avec lui pour cacher son érection et vient s’assoir sur les bords de notre matelas près de la tête de Clèm. A peine installé et sans qu’un mot ne soit échangé, Clèm lui touche la bite, elle écarte le haut du maillot pour faire surgir la queue et l’enfourne directement. Interloqué le gars se cabre en arrière en posant la main sur la tête de la suceuse.
- Ahhh, c’est trop bon. Lâche-t-il.
La garce le suce en le fixant dans les yeux. Émoustillé et estomaqué par le culot de la belle, je reste scotché sur place, avec une gaule d’enfer. Clèm se déchaine sur la bite et conduit rapidement le mec à exploser, elle le fait juter dans sa main. Très excitée par ce qu’elle a osé faire, elle laisse éclater sa jouissance sous mes doigts dans le même temps.
Le type à remisé sa bite débandée dans son maillot de bain après un instant et souhaite nous inviter dans la chambre qu’il a à l’hôtel pour continuer à profiter de Clèm.
Nous refusons et lui demandons de nous laisser, il s’exécute. Clèm m’embrasse amoureusement, se lève, passe sa robe et retire son bas de maillot détrempé par son plaisir. Elle me glisse qu’elle aimerait bien rentrer pour une petite sieste crapuleuse.
Je règle la note et nous reprenons la route vers Mauguio. La voiture à peine démarrée, encore en centre ville, Clèm sort ma queue et plonge pour me sucer la bite à fond.
- Huummm ça m’a excité de sucer devant toi. J’adore ces sorties exhibs. J’ai trop envie de sucer une queue pour attendre, mon chéri.
Je me laisse pomper avec délectation, ma petite épouse est vraiment devenue une grande salope. Elle me sort les couilles pour les lécher, puis engouffre la bite, fait jouer ses lèvres tout au long de la hampe enroulant la langue tout autour du gland. Ses mouvements de tête sont particulièrement visibles des voitures croisées, ce qui ajoute encore à mon excitation. Je ne peux tenir plus longtemps et explose au fond de la gorge de Clèm qui avale le trop plein, elle se relève en se léchant les lèvres avant de replonger pour nettoyer ma queue. Heureusement, j’avais largement réduit la vitesse avant de jouir. Arrivés à la maison nous faisons l’amour tendrement sur les transats au bord de la piscine.
Les vacances se terminent et nous reprenons le train pour un retour à la maison, non sans avoir partagé une dernière soirée torride avec Romain, avec promesse de nous retrouver dès que possible.
- Chérie, montre nous ta chatte.
Elle n’hésite pas et relève sa robe en tournoyant sur elle-même. Romain la pousse gentiment contre la voiture.
- Sors tes seins, cochonne.
Malgré le risque d’être surprise, là encore aucune hésitation, elle baisse son haut pour nous exposer sa poitrine. On la caresse et on la branle à quatre mains dans ce parking souterrain, nous l’amenons à jouir sous nos doigts avant de reprendre la route. Elle ne se prive pas non plus de nous sucer la bite lors des trajets en voiture, Romain apprécie particulièrement les pipes qu’elle lui taille à chaque fois que je prends le volant. Quand nous sommes trop excités, nous nous arrêtons dans des endroits propices aux ébats pour la baiser en extérieur. En rentrant ce soir là après un bon restaurant, j’annonce :
- Demain ma chérie, Romain nous propose d’aller au Grau-du-Roi, à la plage de l’Espiguette.
- Si vous voulez, mais il y a plus près non ?
- En fait c’est une plage avec une partie naturiste où trainent pas mal de voyeurs, ajoute Romain, et suis sur que tu vas te régaler à t’exhiber devant eux,
- Huummm, un plan exhib n’est pas pour me déplaire bien au contraire, surtout avec vous deux. En attendant venez vous occuper de moi, j’ai très envie de deux bites.
Après encore une bonne nuit à baiser notre jolie salope et un bon déjeuner pris au centre du Grau-du-Roi, nous avons pris la route de l’Espiguette. Clèm ne porte sur elle qu’une longue chemise lui descendant à mi-cuisses et comme d’habitude pas de sous-vêtements.
Nous montons dans la voiture, Romain au volant, Clèm à ses côtés et moi derrière elle. Je passe mes bras par-dessus le siège et prends les seins de ma femme à pleines mains.
- Alors mon amour, prête à faire la salope ?
- J’avoue que m’exhiber en votre compagnie me plait énormément, j’aime voir les mecs bander pour moi et passer pour une grosse salope me fait mouiller vous le savez bien.
- Et bien on va te satisfaire, vicieuse. J’ai une petite idée sur la suite.
Arrivés à proximité de la plage, Romain stationne au fond du parking près d’un accès au cordon de dunes. Il va nous falloir marcher pour nous éloigner de la plage familiale. Romain nous guide et nous dirige vers la gauche en direction d’un bois qui borde la plage. Déjà, on croise pas mal de nudistes, beaucoup plus d’hommes que de femmes, de tous les âges. Manifestement des habitués tellement les corps semblent caramélisés par le soleil. Après encore quelques centaines de mètres à marcher dans le sable, Romain nous installe juste à l’orée du bois, afin de profiter de l’ombrage offert par quelques arbres.
Clèm retire son seul vêtement, nous l’imitons. Une fois nus, nous nous allongeons sur nos serviettes de bain. Romain et moi, sous prétexte de l’enduire de protection solaire, commençons à la peloter. La coquine se laisse faire et s’expose sans pudeur.
Un groupe de plusieurs types est en lisière de bois et matent la belle se faire tripoter. A poil eux aussi, les sexes commencent à se dresser face au spectacle, surtout lorsque Romain enfonce deux doigts dans la chatte de Clèm. Les commentaires fusent aussitôt :
- Ouahh les gars vous avez vu, quelle belle gonzesse, elle n’a pas l’air farouche la garce.
Deux se rapprochent et s’adressent à nous :
- Superbe chaudasse que vous avez là et bien foutue, il y a moyen de la peloter ? Je lui ferais bien les nibards.
- Vas-y gentiment, tripote lui bien et tire sur les bouts elle adore ça.
Le gars avance pour malaxer les seins tout d’abord avec douceur pour bien prendre la mesure de la fermeté des deux globes puis beaucoup plus fermement, il pince et tire les tétons durs et dressés pendant plusieurs minutes. La belle commence à mouiller abondamment et à pousser de petits gémissements bien excitants.
- Vous la faite baiser ? on peut la tirer ? elle veut de la queue à sucer ?
Même si leurs propos sont outranciers, ils excitent Clèm qui se complait dans son rôle de salope. Voyant la tournure de l’affaire, les autres veulent aussi profiter de l’occasion,
- Venez plutôt à l’intérieur du bois, c’est plus discret.
- Pourquoi pas. Répondis-je. En revanche, préparez vos bites les gars pour arroser notre petite salope. Vous ne la touchez pas, vous vous branlez juste pour lui juter dessus ok ? Sinon on repart.
- D’accord, disent-ils en cœur, on va vous la couvrir de foutre votre chienne.
Clèm est partante, elle pénètre sous les premières frondaisons, entourée par Romain, moi et son peloteur ? Elle se positionne au milieu des cinq ou six mecs présents, offrant sa totale nudité et ses gros seins aux bites qui l’entourent. Bien excités les types se branlent sous les yeux de la belle qui ne regarde même pas à quoi ressemblent ses mateurs. Seules les queues qui s’agitent pour elle retiennent son intérêt. Elle en enregistre la taille, la courbure, la forme du gland mais aussi la grosseur des couilles, elle en aperçoit quelques uns qui sont entièrement rasés, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Elle dispense quelques caresses sur les queues à sa portée puis prend ses seins en main, les soulève et les fait bouger pour les offrir aux giclées qui s’enchainent sur son corps, sous les commentaires graveleux des mecs.
- Cochonne, c’est ça, agite tes nichons qu’on les arrose.
- Trop belle paire la garce, je vais te juter dessus
- Dommage que tu suces pas, t’as vraiment une bouche de pipeuse
Elle se branle la chatte devant eux et tout cela finit par la conduire à l’orgasme. Au bout d’un quart d’heure le dernier, aidé par notre salope qui lui branle le manche, se vide les couilles sur ses seins.
Avec Romain on étale le foutre sur tout le corps de Clèm en insistant particulièrement sur la poitrine et la chatte. On la fait jouir devant ses spectateurs en la branlant à fond. Je lui murmure à l’oreille :
- Qu’elle superbe putain tu fais mon amour.
- J’adore, je suis complètement excitée, j’ai envie de bites. Ramenez-moi à la maison et baisez-moi.
- Ok, on rentre.
On laisse le groupe encore la bite à l’air, on récupère nos affaires et rejoignons le véhicule. Clèm semble épuisée par sa jouissance qui est autant cérébrale que physique et reste nue dans la voiture sur le trajet du retour. Elle prend une douche en arrivant et vient nous rejoindre au salon pour que l’on continue à abuser d’elle. Le reste de la soirée est très chaud comme à l’habitude. Elle se donne sans retenue profitant de nos sexes et de notre excitation mutuelle avant de regagner le lit pour un sommeil réparateur. Je pense qu’il reste encore deux jours de vacances pour continuer à s’éclater et à réaliser peut-être quelques fantasmes torrides.
Le matin Clèm se réveille et me voit allongé près d’elle qui la regarde les yeux chargés d’amour. Je lui susurre que je l’adore, que je suis fou d’elle. Elle dépose ses lèvres sur les miennes et en m’étreignant fortement m’assure qu’elle aussi est complètement dingue de moi et que depuis le début de notre dépravation, elle sent notre complicité grandir et ce sentiment renforce son amour pour moi. Je lui dis ressentir la même chose. Je l’enlace et nous commençons à faire l’amour avec toute la passion dont nous sommes capables l’un envers l’autre. Elle se place sur moi, prend ma queue bien au fond d’elle et bouge lentement pour ressentir toute la longueur et la grosseur du sexe qui la remplie. Elle se redresse pour accentuer la pénétration. Dans ce mouvement ses seins se mettent à bouger sensuellement et viennent frotter mes lèvres, j’en profite pour happer les bougeons tour à tour.
- Hummm oui continue comme ça mon amour, prend moi bien, je te sens et vais te faire jouir comme tu aimes.
- Ouuiiii bouge bien, tu es terrible quand tu bouges sur moi. C’est sûr, je ne vais pas tarder à éclater.
- Surtout que je suis persuadée que tu m’imagines encore en train de prendre d’autres queues. Baise-moi bien ! baise ta salope ! baise ta putain ! Tu sais, si ça te fait bander à ce point là, je vais en sucer des bites pour t’exciter, la semaine n’est pas terminée.
- Oui c’est ça montre moi combien tu es salope et combien ça te plait. Je compte bien te compromettre encore d’ici notre départ.
Je me mets à la pilonner.
- Je pars, je jouis, viens toi aussi.
Elle se redresse totalement et accentue ses mouvements de bassin pour provoquer mon explosion. Nous atteignons l’orgasme quasi simultanément.
Après une douche rapide et partagée, nous rejoignons Romain qui nous annonce qu’il doit s’absenter pour les deux jours suivants, il demande à ce qu’on le dépose à la gare St-Roch ainsi nous pourrons profiter de la voiture.
Après le passage à la gare, j’emmène Clèm dans un magasin de lingerie réputé de Montpellier. Elle y trouve un superbe maillot de bain deux pièces. Je lui offre en lui disant avec un grand sourire :
- Premièrement, pour le mériter, il faut me suivre au fond du magasin. Deuxièmement, le haut est confisqué, interdiction de le porter.
Elle me suit au fond du magasin, quelques marches descendent et donnent accès à un bel espace vouté plus confidentiel, réservé aux amateurs de lingerie et de vêtements de charme. Nous faisons le tour des modèles exposés et on s’arrête sur un déshabillé noir très long et tout en transparence, mais aussi sur deux petites robes noires très « sexys ». La première très courte et moulante sur le bas présente un haut avec un décolleté drapé très large et profond donnant une vision de fou sur de la dentelle ajourée et sur les seins de la porteuse. La seconde est elle aussi très moulante et d’une indécence forcenée, épaules dénudées avec manches longues elle est totalement ajourée par des trous ronds de différents diamètres. Je demande à Clèm de la passer. Une vendeuse, vraisemblablement la patronne, se présente à nous, tire un rideau pour isoler cette partie du magasin. Clèm cherche une cabine.
- Vous pouvez l’essayer ici sans problème, le rideau tiré personne ne viendra.
Un peu gênée Clèm me regarde.
- N’ayez pas peur et laissez moi vous aider.
Pendant qu’elle s’approche d’elle, Clèm se déshabille rapidement et passe la robe. La vendeuse se décale sur la droite, tire légèrement sur le vêtement pour bien le mettre en place.
- Vous voyez il faut bien la placer pour qu’elle rende l’effet voulu, la matière est douce et élastique à la fois, Vous avez une très belle poitrine il ne faut pas l’écraser avec cette robe bien au contraire. Regardez ! faites en sorte qu’elle moule aussi vos seins comme cela.
Elle pose ses mains sur Clèm et sous le prétexte d’ajuster le bustier de la robe, lui prend les seins et les caresse, s’attardant plus que nécessaire. Clèm laisse faire, je suis amusé par la tournure de cet essayage.
- C’est vrai que cette robe peut être assez « coquine » surtout si comme vous elle est portée sans soutien-gorge. Elle permet bien des fantaisies.
Continuant son pelotage, elle prend les tétons de Clèm entre deux doigts et les fait ressortir par les trous.
- Huumm sensible on dirait la belle. Dit-elle en pinçant les bouts dardés tout en s’adressant à moi.
Clèm se mord les lèvres, la vendeuse glisse un doigt sous la jupe, l’appuie sur la fente et ajoute :
- Ma chère vous avez bien raison, sans culotte c’est encore meilleur.
Elle fait pénétrer le doigt inquisiteur entre les lèvres, le ressort et le porte à sa bouche, elle le suce en fixant Clèm :
- Je vous laisse faire votre choix et je suis à votre disposition si vous avez besoin de moi.
Elle se retourne et regagne la boutique en nous adressant un clin d’œil.
- Putain elle m’a chauffé la garce, c’est la première fois que ça m’arrive, elle m’a carrément mis un doigt.
- Eh bien ma chérie, on peut dire qu’elle est directe. Elle a dû sentir la salope en toi.
Clèm se rhabille, nous prenons la première robe, le déshabillé, le maillot de bain et on se présente à la caisse.
- Vous avez fait un excellent choix, mais dommage que vous ne preniez pas la petite robe ajourée, elle est vraiment d’un superbe effet sur vous, n’est ce pas Monsieur ?
J’acquiesce.
- Ma jolie, vous serez toujours la bienvenue ici. J’espère que je pourrais profiter plus longuement de votre présence.
Nous quittons la boutique, Clèm a le rose aux joues. Je l’embrasse tendrement en lui murmurant ; « Salope » et je pars d’un rire franc qui libère Clèm de la gêne ressentie.
- Et si nous allions tester ton nouveau maillot de bain dans un endroit sympa ? ça te dit ?
- D’accord, mais déjeuner avant, les émotions me creusent.
- Pas de problème, vos désirs sont des ordres Madame.
Nous prenons la route de la Grande-Motte, je gagne le centre, proche du point zéro, me gare près d’un superbe hôtel que Romain m’avait recommandé et entraine Clèm à ma suite. On déjeune en terrasse dans le patio intérieur de l’hôtel. Le menu est de bon niveau et le personnel aux petits soins avec nous. Une piscine de bonne taille entourée de transats et de parasols jouxte la terrasse, Je demande si nous pouvons en profiter et nous faire servir le café au bord du bassin.
Nous nous installons à l’ombre sur un matelas immense, Clèm retire sa robe après avoir passé le bas de maillot acheté le matin même. Allongée sur le dos les mains derrière la tête elle livre ses beaux nichons à la vue de tous et surtout des serveurs qui bien qu’habitués à ce type de spectacle, jettent un œil plus qu’intéressé sur la plastique de la belle. Très exhibitionniste et fière de ses attributs, elle fait en sorte de bien faire bouger ses seins lorsque l’on vient nous servir les cafés.
- Alors mon amour on joue les allumeuses ? tu n’as pas honte de coller des triques pareilles aux serveurs ?
- Pas ma faute, mais tu le sais j’adore qu’on bande pour moi.
- Et bien soit contente, tu sembles intéresser un autre client de la piscine qui a du mal à cacher son érection.
- Huumm, rien que d’y penser je mouille. S’il te plait chéri, branle-moi, mets-moi un doigt.
Elle se met sur le ventre, se colle à moi et me prend la main pour la mettre sur sa chatte. Je passe la main dans le maillot de bain et lui glisse un doigt dans la fente en appuyant bien sur le clito déjà tout dur. Elle bouge son cul pour accentuer la masturbation. Je regarde autour, je m’aperçois que les deux serveurs sont retournés à leur service et ne regardent plus dans notre direction. Je commence moi aussi à bander. Je préviens Clèm que son mateur se touche la bite par-dessus son maillot de bain, ça l’excite encore plus la salope. Elle lève les yeux vers lui avec un regard de chienne, se mord les lèvres et augmente l’amplitude des mouvements de son cul pour qu’il n’ait aucun doute sur nos activités. Heureusement seul un couple âgé est présent près de la piscine et ne remarque rien. Sa chatte est trempée et coule sur ma main. Elle prend un sein dans sa main pour le caresser et se redresse suffisamment pour bien le monter au type.
- Huumm, il a l’air d’avoir une bonne queue, tu veux que je le suce ? moi j’en ai envie.
- Avec plaisir, mais ici, devant moi, pendant que je te branle.
Je fais signe au gars de se rapprocher, il prend sa serviette de bain avec lui pour cacher son érection et vient s’assoir sur les bords de notre matelas près de la tête de Clèm. A peine installé et sans qu’un mot ne soit échangé, Clèm lui touche la bite, elle écarte le haut du maillot pour faire surgir la queue et l’enfourne directement. Interloqué le gars se cabre en arrière en posant la main sur la tête de la suceuse.
- Ahhh, c’est trop bon. Lâche-t-il.
La garce le suce en le fixant dans les yeux. Émoustillé et estomaqué par le culot de la belle, je reste scotché sur place, avec une gaule d’enfer. Clèm se déchaine sur la bite et conduit rapidement le mec à exploser, elle le fait juter dans sa main. Très excitée par ce qu’elle a osé faire, elle laisse éclater sa jouissance sous mes doigts dans le même temps.
Le type à remisé sa bite débandée dans son maillot de bain après un instant et souhaite nous inviter dans la chambre qu’il a à l’hôtel pour continuer à profiter de Clèm.
Nous refusons et lui demandons de nous laisser, il s’exécute. Clèm m’embrasse amoureusement, se lève, passe sa robe et retire son bas de maillot détrempé par son plaisir. Elle me glisse qu’elle aimerait bien rentrer pour une petite sieste crapuleuse.
Je règle la note et nous reprenons la route vers Mauguio. La voiture à peine démarrée, encore en centre ville, Clèm sort ma queue et plonge pour me sucer la bite à fond.
- Huummm ça m’a excité de sucer devant toi. J’adore ces sorties exhibs. J’ai trop envie de sucer une queue pour attendre, mon chéri.
Je me laisse pomper avec délectation, ma petite épouse est vraiment devenue une grande salope. Elle me sort les couilles pour les lécher, puis engouffre la bite, fait jouer ses lèvres tout au long de la hampe enroulant la langue tout autour du gland. Ses mouvements de tête sont particulièrement visibles des voitures croisées, ce qui ajoute encore à mon excitation. Je ne peux tenir plus longtemps et explose au fond de la gorge de Clèm qui avale le trop plein, elle se relève en se léchant les lèvres avant de replonger pour nettoyer ma queue. Heureusement, j’avais largement réduit la vitesse avant de jouir. Arrivés à la maison nous faisons l’amour tendrement sur les transats au bord de la piscine.
Les vacances se terminent et nous reprenons le train pour un retour à la maison, non sans avoir partagé une dernière soirée torride avec Romain, avec promesse de nous retrouver dès que possible.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il n’y a pas que le HIV mettre du sperm dans 1 chatte ça équivaut à chercher la merde.
Je souligne que les IST datent de l'Antiquité.
Vous êtes vieux maintenant vous gérez comment le post ménopause et le reste ?
Exhiber c’est bien gentil vous avez gérer comment la famille les enfants … ect ?
Je souligne que les IST datent de l'Antiquité.
Vous êtes vieux maintenant vous gérez comment le post ménopause et le reste ?
Exhiber c’est bien gentil vous avez gérer comment la famille les enfants … ect ?