X-Acto - 7 - histoire érotique

Le lendemain, j’ai passé la journée sur un nuage, encore sous le coup d’avoir enculé ma chérie pour la première fois, après une soirée mémorable. En fin d’après-midi, on se prépare pour sortir rejoindre Loïc qui nous attend au restau :
- Je mets quoi ce soir ?
- Ce que tu veux ma chérie, mais pas de soutif s’il te plait, j’ai envie de pouvoir regarder tes seins bouger librement toute la soirée.
- Vicieux
- Tu peux parler salope, dis que cela ne te plait pas.
- Je suis passée chez l’esthéticienne, épilation totale. je crois qu’elle s’est aperçue que je m’étais faite enculer. Lorsqu’elle a passé de la lotion apaisante après l’épilation elle a beaucoup insisté sur cette zone.
- Humm, ça t’a plu ?
- Pas désagréable.
- Tu tournes gouine ?
- Pas de risque, j’aime trop la bite. Mais un peu de douceur avec une nana pourquoi pas !
Nous rejoignons le restaurant indiqué en taxi, Loïc est déjà attablé. Il est carrément ébloui par la tenue de Clèm, elle porte une superbe robe portefeuille ouverte sur le côté gauche qui découvre à chaque pas l’intégralité de la jambe presque jusqu’à la hanche. Montée sur des escarpins à aiguille, sa démarche chaloupée rend les mouvements de sa poitrine, libre de tout maintient, particulièrement attractifs pour les regards des personnes présentes. Loïc se penche vers elle pour l’embrasser, elle ne détourne pas les lèvres.
- Tu es sublime, je vais être raide toute la soirée.
- J’espère bien, répond la belle avec un petit sourire.
- Tu es vraiment un homme comblé Axel, avec une telle compagne.
- J’en suis convaincu et tu vas pouvoir te rendre compte à quel point. Dis-je, ne laissant aucune ambigüité sur la suite des évènements.
Nous passons à table, les plats sont délicieux et les vins excellents, la soirée se déroule dans la bonne humeur, illuminée par les poses adoptées par Clèm qui cherche manifestement à faire monter la tension érotique. Elle s’arrange pour faire glisser le pan de sa robe et dévoiler sa cuisse au plus haut. Elle fait en sorte de faire bouger ses seins le plus souvent possible pour nous aguicher en nous jetant des regards lourds de sous-entendus et en passant sa langue sur ses lèvres. Ses tétons dressés crèvent littéralement le tissu de la robe, elle semble très excitée. Je bande et manifestement Loïc également. Alors que Clèm s’absente pour un passage aux toilettes (pour essuyer sa chatte qui a trempée son tanga me dira-t-elle), Je lance à Loïc :
- Si tu es d’accord, je crois qu’il ne faut pas trop tarder, Clèm semble impatiente que nous nous occupions un peu plus d’elle.
- Avec grand plaisir, elle m’a bien chauffé depuis que vous êtes arrivés, je n’ai pas débandé, j’en ai mal à la queue.
- Je suis dans le même état. Comme tu l’as déjà compris, c’est aussi ce côté « salope en chaleur » que j’adore chez elle.
- Et bien je te promets que son côté « salope en chaleur» va pouvoir s’exprimer.
- Je pense qu’elle te réserve aussi une surprise, mais je n’en dis pas plus.
Clèm nous rejoint, nous prenons un café pendant que Loïc règle la note et appelle un taxi. Tous trois sommes manifestement sur la même longueur d’ondes et nourrissons les mêmes envies de sexe. La suite promet d’être très chaude. J’échange quelques mots avec Clèm pendant l’absence de Loïc :
- Alors mon amour, toujours désireuse d’aller plus loin ce soir ?
- Oui, je mouille tellement à l’idée de me faire enculer devant toi que j’ai été obligée d’aller m’essuyer la chatte. Mon tanga est tellement trempé que je l’ai abandonné dans les toilettes.
Si par hasard j’avais eu encore des incertitudes sur son envie de sexe, voilà qui balayait tous doutes. Huuumm elle était déjà la chatte à l’air, à poil sous sa robe.
Le taxi arrivé, j’ouvre la portière pour que Clèm monte à l’arrière puis lui fait signe de se déplacer vers le centre de la banquette afin de me permettre de m’asseoir à mon tour alors que Loïc était entré à l’arrière par la gauche. Dans ce mouvement, la robe s’ouvre largement découvrant la totalité de ses cuisses. Elle se retrouve coincée entre nous deux qui profitons de suite de la situation. J’ai la main sur la cuisse l’empêchant de se recouvrir. Subrepticement Loïc détache la ceinture de la robe de Clèm, qui n’a pas le temps de réagir. Il interpelle le conducteur, un homme d’une quarantaine d’année très souriant :
- La femme de mon ami est très coquine et si cela ne vous pose pas problème nous aimerions profiter d’elle pendant le trajet.
Le type se tourne vers l’arrière, les yeux rieurs et plonge son regard entre les jambes de Clèm.
- Pas de souci pour moi, au contraire, Madame est vraiment très belle. Je vais essayer de ne pas être trop distrait pendant la conduite.
Il se retourne et démarre le véhicule. Rougissante et un peu prise de court par cette entrée en matière Clèm ne réagit pas. Ma main atteint sa chatte, confirmant l’absence du tanga, je presse dessus la forçant à écarter encore plus les cuisses.
Bien entendu, curieux de voir se qui se passe à l’arrière, le chauffeur règle son rétroviseur intérieur pour mater le plus possible et il n’est pas déçu. Il voit ma main plonger dans l’entrecuisse de ma femme pendant que je lui roule une pelle et Loïc ouvrir complètement la robe pour lui prendre les nichons à pleines mains et bouffer le mamelon qui est à sa portée.
Je suis sûr qu’il pense que la garce est vraiment bien foutue et qu’il la baiserait bien s’il en avait l’occasion. Il doit se taper une bonne trique et ce n’est pas les gémissements de notre petite pute à l’arrière qui le calmeront. Le trajet ne doit pas excéder 30 minutes, avec Loïc on ne se retient pas. Tout en continuant à lécher les seins de Clèm, il glisse aussi une main sur la moule ouverte, il pince et astique le clito pendant qu’ayant enfoncé plusieurs doigts au fond de la chatte de mon épouse, je la pistonne, elle coule abondamment en poussant des soupirs de satisfaction.
- Huummm oui, doucement, c’est bon, salauds, encore.
Sans se préoccuper du conducteur, nous utilisons le langage fleuri habituel :
- T’es vraiment une bonne salope, on va te niquer dès qu’on sera à la maison.
- Ça t’excite ma chérie de te faire tripoter à l’arrière d’un taxi, tu sais que le conducteur n’en perd pas une miette. Il sait que tu es une grosse salope, il te mate dans le rétro, depuis qu’on est parti.
- Huuummm, oui ça m’excite.
Clèm est effectivement très très échauffée par la situation, ses gémissements redoublent sous les pelotages et les pelles que Loïc et moi lui prodiguons à tour de rôle. Elle passe d’une langue à l’autre pendant que deux mains s’agitent entre ses cuisses. Le chauffeur se manifeste à cet instant :
- On arrive dans deux minutes, mais si vous voulez la baiser dans la voiture, je peux trouver un coin tranquille.
- Non, Non, déposez-nous dès qu’on arrivera.
- Dommage, j’aurai bien aimé la voir se faire mettre.
Le véhicule stoppe dans une petite rue à quelques distances de la maison, le conducteur se retourne pour profiter encore un peu du spectacle, Loïc ouvre entièrement la robe de Clèm qui se retrouve quasi à poil devant le mateur. Je prends les mains de mon épouse et lui maintient derrière la tête :
- Montre ta belle poitrine à notre ami.
- Super, ajoute ce dernier, elle est vraiment sublime. Putain les mecs vous devez vous régaler avec un tel morceau de roi. Je suis prêt à vous faire cadeau de la course si vous me laissez lui toucher les seins.
Je descends du véhicule et dis :
- Pourquoi pas, viens près d’elle se sera plus pratique pour la caresser.
- Vous me rendez folle, vous faites de moi une vraie putain.
- Ça te plait non ? tu coules tellement que le siège est trempé. Suce Loïc pendant que l’autre s’occupe de tes seins.
- Huumm d’accord,
- Tu peux te branler sur ses nichons, n’est-ce pas chérie, tu veux te faire juter dessus ?
- Salauds, vous êtes des salauds mais j’adore ça.
Elle s’allonge sur la banquette, Loïc a sorti sa bite et se place au-dessus de sa tête, elle lui lèche les boules, les prend en bouche l’une après l’autre. Le conducteur, un peu fébrile malgré tout, a sorti sa queue et la secoue en caressant la superbe paire offerte à sa lubricité. Il se régale à tirer les tétons, à voir les seins se gonfler et leur masse trembloter sous ses assauts, moi aussi.
La tête basculée complètement en arrière, ma petite femme lèche la bite de Loïc qui ne se retient pas pour lui bourrer la bouche, alors que je lui enfourne trois doigts dans la foune. Trop excitant pour moi tout ça, je lâche plusieurs jets de foutre sur la poitrine de ma salope. Le conducteur jute lui aussi dessus en étouffant un :
- Salope, putain quelle belle salope, trop bonne
Complètement sonné par ma jouissance, je regarde Loïc étaler le sperme sur toute la surface des seins. Je stoppe mon branlage, Loïc retire sa bite. Nous relevons la belle qui se plaint de ne pas avoir joui. On lui dit l’avoir fait sciemment pour la maintenir complètement excitée et en profiter encore plus, la soirée n’est pas terminée. Clèm referme sa robe le temps de regagner la maison, elle ne tient pas forcément à s’exposer au voisinage. Le taxi repart, les couilles vides et visiblement heureux d’avoir pu peloter une si belle femme.
Une fois entrée, Clèm passe rapidement dans la salle de bain puis nue, nous rejoint dans le salon, où elle compte bien se faire baiser comme une chienne. A son arrivée, nous sommes déjà à poil, la bite dressée ce qui augure de la suite. Nous sommes en train de parler du début de soirée et de ce qu’il s’est passé dans le taxi.
- Qu’est ce qu’elle me fait bander ta femme. C’est vraiment une expérience particulière que vous me faites vivre. Tu l’offres souvent comme ce soir, en exhibe et au pelotage d’étrangers ?
- Quand les circonstances s’y prêtent, nous adorons comme tu as pu t’en rendre compte. Depuis son adolescence ce dont elle raffole c’est tailler des pipes, se faire peloter les seins, se faire juter dessus et depuis que nous sommes ensemble, cela s’est amplifié. Elle est très demandeuse, si tu savais les litres de foutre qu’elle a pris ses derniers mois.
- Arrête, ça m’excite trop de l’imaginer.
- Plutôt que de longs discours sur mes envies, si vous veniez les satisfaire ? dit-elle en attrapant les deux triques déjà bien raides.
Elle caresse nos deux chibres et entame une masturbation, elle donne des coups de langue avant d’engloutir les glands en alternance. Nous ne restons pas inactifs. Nos quatre mains se baladent sur son corps passant des seins aux fesses et à la chatte, des doigts fureteurs se glissent dans tous les trous, les langues s’occupent des lèvres de la belle et de ses nichons aux tétons érigés, rouges d’être tirés et sucés depuis le début de soirée. Elle n’y tient plus et lance :
- Vous avez été de véritables salauds de me faire peloter par le chauffeur pour me laisser en plan au moment où j’allais jouir. Alors, baisez-moi, je n’en peux plus, baisez-moi, ne vous retenez pas, faites-moi jouir.
- Avec le plus grand plaisir, ma chérie, commence par sucer Loïc moi je vais te prendre ta petite chatte gourmande.
Clèm se penche et prends la grosse queue noire entre ses lèvres, Placé derrière elle, je la prends aux hanches, fais glisser ma bite au fond du vagin et la lime debout, la projette sur la queue de Loïc qui lui maintient la tête pour qu’elle ne décroche pas sous les coups de pines que je lui mets. La garce lui tient les fesses et laisse ses gros nibards balloter sous elle. J’accélère mes pénétrations, le trop plein de mouille s’échappe de la chatte et s’écoule sur mes couilles et le long des cuisses de Clèm. Elle commence à haleter, Loïc se retire de sa bouche et lui prend les tétons, les pince fortement déclenchant un premier orgasme chez la jolie dévergondée, Je me vide dans la moule de mon épouse en faisant claquer mon pubis sur ses fesses, elle reste accrochée aux épaules de Loïc qui continue à lui martyriser les mamelles.
Après quelques instants Clèm nous embarque dans la chambre, elle veut encore se faire baiser mais dans le confort de son lit. La cochonne se place direct en levrette et Loïc se met derrière elle pour la niquer, il fait quelques allers-retours dans la chatte encore emplie de mon foutre sans que cela ne lui pose problème. Je me positionne devant ma femme, elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire vicieux et souffle :
- Loïc, sodomise-moi !
- Hein, tu veux que…
- Oui, tu as compris, encule-moi, j’ai envie de me faire enculer devant mon mari. Alors, vas-y mets-moi ta grosse bite dans le cul.
- Heu ! putain ça me file un gourdin d’enfer, enculer une femme devant son mari c’est un pied énorme. Je vais t’éclater la rondelle salope.
Il sort sa queue de la chatte gluante et vient frotter son gland circoncis sur le petit trou, il force un peu, puis plus fort, la tête entre doucement, Clèm se mord les lèvres, la pénétration s’avère douloureuse mais n’atténue pas son désir de livrer son cul. Le regard toujours plongé dans le mien, elle commence à bouger vers l’arrière allant au devant de la bite.
Putain, ça me rend dingue d’excitation, j’approche pour bien voir la queue noire entrer par petits coups dans l’anus de ma femme. Je décide d’en profiter encore plus, Je m’allonge sur le lit et me glisse sous elle, la tête entre ses jambes écartées, sous mes yeux la chatte béante mais surtout la grosse queue black qui commence à ramoner le cul de mon épouse. Je sens les gros seins frotter sur ma bite hyper bandée, je tire la langue pour donner quelques coups sur le clito dardé, puis je me contente de regarder la bite noire qui se couvre d’écume blanche au fur et à mesure qu’elle défonce le cul de Clèm.
- Huumm chérie tu es une vraie chienne comme ça, tu aimes ce qu’il te fait ?
- J’aime, j’adore, tu as raison je suis une chienne et toi ça te plait de me mater ?
- Putain Axel c’est trop d’enculer ta salope devant toi, je vais lui remplir le cul de foutre, je ne vais pas tenir longtemps.
- Retire-toi vite alors, je veux que vous me preniez ensemble.
Loïc décule, Clèm se déplace au-dessus de moi, elle se positionne au-dessus de mon sexe bandé et se l’enfonce dans la chatte, elle se tourne vers Loïc :
- Reviens, remets-la moi j’ai envie que vous me baisiez par les deux trous en même temps. Allez-y, défoncez-moi.
Elle se couche sur moi et me roule des pelles en geignant de plaisir sans retenue. Je sens la bite de Loïc pénétrer de nouveau le conduit. On y va doucement pour la laisser s’accommoder aux coulissements de la longue queue noire dans son fondement. Huuummm, qu’est-ce que ma femme m’excite, dans ces moments là, elle a tout d’une véritable catin, plus encore depuis qu’elle se fait enculer.
- Redresse toi un peu salope, je veux te bouffer les seins pendant que tu te fais mettre.
- Oui, c’est ça bouffe lui les melons, moi je lui éclate le cul à ta salope.
- Huummm, j’ai mal au cul, mais quel pied, quel pied, faites moi reluire mes salauds.
On accélère progressivement les coups de queues, la douleur s’estompe pour laisser place au plaisir. Un plaisir dévastateur qui plonge Clèm dans un orgasme démentiel. Elle jouit sans retenue. Loïc sort son gourdin et gicle sur le cul offert. Je fais basculer mon épouse et me finis dans sa chatte et sur sa superbe paire de nichons. Elle est couverte de sperme et continue d’avoir des spasmes de jouissance pendant de longues minutes.
Dès que le calme revient tout le monde va à la douche. La soirée se termine dans la plus parfaite bonne humeur les regards luisants du plaisir partagé.