X-Acto - 13 - histoire érotique

Loin d’être rassasiés de plaisirs et de sexe, nous poursuivons nos petites séances d’exhibs dès que l’occasion se présente et sommes toujours à l’affut d’opportunités.
Quelques semaines plus tard, Béatrice, la copine de toujours de Clèm, nous convie à une soirée au fameux restaurant du Moulin, témoin de nos premiers ébats il y a déjà cinq ans. Arrivés sur place nous constatons que rien n’a vraiment changé si ce n’est le confort des box qui a été amélioré, le jardin est quand à lui toujours luxuriant et on espère pouvoir s’isoler dans un coin pour revivre les moments d’intimité que nous y avons vécu. Clèm s’est d’ailleurs habillée comme elle l’était à l’époque : jean et petit pull en V, pas de soutif pour maintenir mon excitation. Béatrice nous rejoint et très rapidement accapare sa copine, nous nous installons dans un box après avoir commandé une boisson. C’est le patron qui vient nous servir, Béatrice en profite pour nous le présenter avec un regard particulièrement expressif :
- Je vous présente Gilles, un très bon… ami !
On comprend rapidement qu’entre les deux il y a plus que de l’amitié, ce qui nous est rapidement confirmé par Gilles qui embrasse l’intéressée sur les lèvres.
- Je suis très content de vous rencontrer enfin, vous êtes mes invités ce soir. Il faut que je vous dise que vous avez largement contribué, à votre insu, à une des meilleures soirées qu’il m’ait été donné de vivre.
Un peu interloqués par ce préambule, Clèm et moi nous regardons sans comprendre.
- Je vais vous expliquer cela les amis mais un peu plus tard lorsque les clients seront partis. Je vous laisse, servez vous et à tout à l’heure.
Il se lève et poursuit son service, Béatrice est quasiment hilare devant nos têtes.
- Tu sais de quoi il parle ?
- Oui mais je lui laisse la primeur, il vous racontera tout ça. En attendant profitons de la soirée et de ces excellents cocktails.
Nous passons effectivement un moment particulièrement agréable avec Béatrice, très proche de Clèm. Elles se remémorent leurs frasques mutuelles de jeunesse en riant de bon cœur. Je découvre que Béatrice est loin d’être une ingénue et qu’elle a eu et a encore une sexualité assez débridée.
Dès que les derniers clients quittent les lieux, Gilles s’empresse de fermer les portes et nous rejoint avec une bouteille de champagne à la main.
- Alors Gilles, si tu nous disais de quoi il retourne, tu nous as intrigués.
- Buvons d’abord une coupe et avant tout je ne voudrais pas vous choquer par mes propos mais Béatrice m’a assuré que vous aviez l’esprit large. Dit-il en faisant un grand sourire et un clin d’œil à l’intéressée.
- Nous sommes toute ouïe et impatients de savoir en quoi nous avons été à l’origine d’une de tes meilleures soirées.
- Eh bien voilà, une soirée un peu comme celle-ci, il y a quelques années, un groupe est arrivé et s’est installé dans les box. J’ai complètement flashé sur une nana qui était accompagnée d’un mec que je connaissais bien pour être un gros queutard et avec lequel j’avais partagé, comment dire ... quelques coups. A un moment, je n’ai pu tenir et je les ai conviés à me suivre dans mes appartements au premier, laissant la gestion de la clientèle à Benjamin le serveur. J’ai profité que la fille s’absente quelques minutes pour dire au gars qu’elle m’intéressait et que j’aimerai bien aller plus loin. Il n’y voyait pas de problème et m’assurait de sa complicité, proposant de la partager si elle était d’accord. Dès le retour de la belle, je leur ai offert un verre et commencé à la draguer gentiment. Très avenante, souriante, elle semblait répondre à mes avances mais gênée aussi par la présence de son copain. Enfin, nous nous sommes rapprochés d’elle et avons esquissés quelques caresses, elle ne savait pas trop quelle attitude adopter, mais elle ne nous rejetait pas non plus. Je lui ai donc proposé de passer un moment agréable avec nous, elle hésitait encore mais l’idée ne semblait pas la rebuter.
- Euh, je ne comprends toujours pas ? Dit Clèm.
- Moi non plus. Rajoutais-je.
- Montons à l’étage, vous comprendrez mieux.
Nous lui emboitons le pas et nous arrivons dans un salon dont le canapé fait face à une baie vitrée donnant sur les jardins. Gilles reprend son récit.
- Nous étions donc là, lorsque nos regards ont été attirés par un couple à l’extérieur qui, manifestement était très chaud. La nana, presque à poil, se faisait copieusement peloter les seins et branler la chatte par son copain. La scène était particulièrement excitante et est encore montée d’un cran lorsque la belle s’est retournée pour plonger pour sucer la bite du mec … et ce couple… c’était vous… Vous ne pouviez nous voir mais nous, on a rien raté du spectacle et quel spectacle…c’était très…bandant.
Je jette un œil à Clèm qui comme moi est muette de stupéfaction tant nous étions persuadés que nos ébats n’avaient eu aucun témoin. Puis je vois le regard de ma femme basculer et prendre cette lueur d’excitation que je lui connais. Putain, Gilles nous racontais qu’ils nous avaient matés, ils l’avaient vu pratiquement à poil et me tailler une pipe. Elle le réalisait parfaitement et cela ne semblait pas la déranger bien au contraire.
- Ce que nous étions en train de voir fit monter la température dans le salon et l’excitation de la fille grimpa elle aussi en flèche. Dès lors, elle se laissa peloter et facilement déshabiller. Une fois à poil, sans vous quitter des yeux, elle se laissa baiser par nos deux queues, avant de devenir très très participative et nous offrir une soirée mémorable. Une bonne suceuse elle aussi, de beaux nichons et un cul de rêve.
A ce point du récit, je vois Clèm serrer les cuisses et se mordre les lèvres, signes chez elle que tout ça ne la laisse pas indifférente.
- Ah je ne vous ai pas dit, mais la fille en question, c’est Béatrice…
Tous les regards se braquent sur Béatrice qui reste parfaitement souriante. Elle passe un bras autour des épaules de ma femme et lui chuchote à l’oreille :
- Tu sais, tu avais déjà une réputation de grosse suceuse de queues, mais de te voir en pleine action, je t’ai trouvé tellement salope ce soir là que ça m’a mis le feu. En plus avec les deux mecs qui me chauffaient bien, je mouillai comme une dingue, leurs mains courraient partout, sur mes seins, sur ma chatte. Alors je me suis faite prendre comme la dernière des trainées toute la soirée par ces deux lascars et depuis Gilles est mon amant.
En lui disant cela, Béa pose sa main sur le sein de Clèm et commence à le peloter par-dessus son pull, sans que cette dernière ne la repousse.
Ces paroles et ce geste m’ont collé la gaule immédiatement, Gilles semble dans le même état. Clèm me confiera plus tard qu’à cet instant une grosse coulée de mouille est venue inonder sa chatte. La soirée prenait une tournure totalement inattendue mais pleine de promesses de plaisirs à venir. Gilles prend la parole :
- C’est vrai que vous nous avez offert un beau spectacle mais malgré tout nous n’avons pu en profiter pleinement compte tenu de la distance et de la pénombre, j’en reste d’ailleurs un peu frustré. Clèm, accepterais-tu de nous montrer tes seins, j’aimerai beaucoup les voir ? Axel tu en penses quoi ? tu veux bien que ton épouse nous montre cette somptueuse poitrine ?
- Huumm pas de problème pour moi, j’ai toujours plaisir à la voir s’exhiber.
- Béa, tu veux bien aider ta copine à retirer son pull ?
Aussitôt dit, l’intéressée s’exécute et relève le pull mettant le buste à nu sans que Clèm ne s’y oppose, bien au contraire, toujours heureuse de s’exhiber.
Béa se penche et prend un téton entre ses lèvres en lui disant :
- J’en rêvais depuis des années.
- Putain, moi aussi, dit Gilles,
Il se lève, contourne Clèm et vient se coller derrière la belle offerte, glisse les mains sous les bras pour lui empaumer les seins, il les caresse un bon moment tirant sur les tétines érectiles devenues bien dures.
- Quel bonheur de pouvoir enfin les toucher, ils m’ont fait fantasmer ces deux là.
La situation évolue rapidement. Tout en maintenant la belle collée à lui et sans lâcher totalement les seins, il reproduit ce que j’avais fait à l’époque, il passe une main dans le jean et plonge directement dans le tanga pour prendre la moule trempée. Il lui met de suite un doigt dans la fente et lui glisse d’une voix chaude qui la remue :
- Belle chatte, plus qu’humide, bien lisse et juteuse. Tu aimes te faire branler ?
- Humm oui, j’adore et bien plus encore.
- Penche-toi et dégage bien tes seins que je les voie bouger pendant que je te branle.
Clèm s’exécute, ses seins gonflés d’excitation se trouvent projetés en avant par le mouvement, Béa approche son visage et s’empare des lèvres de Clèm pour lui rouler une pelle d’enfer à laquelle elle répond sans réticence, ajoutant à mon trouble. Dans le même temps Béa se met à poil, ce qui lui est facile elle ne porte qu’une robe sans aucun dessous. Elle est bien foutue aussi cette salope, belle paire de nichons et beau cul, chatte bien taillée en ticket de métro. Elle se colle, se frotte à Clèm et entreprend de lui enlever son jean. Le tanga suit le mouvement et révèle la main de Gilles toujours occupée à branler mon épouse, qui se pâme sous les doigts qui s’agitent dans sa moule.
Ne voulant pas être en reste, je me mets aussi à poil et m’approche des protagonistes. Béa dit à Clèm :
- Tu permets ?
Sans attendre de réponse elle se jette sur ma bite pour l’engloutir et me sucer sans que j’ai le temps de réagir. Sa bouche est bonne, chaude, elle suce vraiment bien cette pute, sa langue fait des merveilles. J’appréhende un peu la réaction de Clèm, jamais je n’ai eu de rapports avec une autre femme depuis que nous sommes ensemble. Elle m’adresse un grand sourire et dit :
- Manifestement je ne suis pas la seule suceuse de queues ici.
- Puisque tu en parles, si tu t’occupais de ma bite, je suis impatient de vérifier si ta réputation de tailleuse de pipe est méritée. Dit Gilles en libérant sa queue.
Clèm se penche, sans me quitter des yeux, prend le membre dressé en bouche et entame une fellation gourmande, enfonce le chibre bien profond en prenant les couilles d’une main. Béa copie sa copine et m’applique le même traitement et tout en continuant à me sucer caresse les fesses de ma belle. Elle en profite pour enfiler deux doigts dans la chatte libérée par Gilles.
- Ça ne te dérange pas Axel, je vais m’occuper de ma copine, j’ai vraiment trop envie de lui bouffer les seins et la chatte.
Béa me lâche et entraîne Clèm sur le canapé, elle lui lèche les seins, pendant que Gilles qui a suivi le mouvement enfourne à nouveau sa bite dans la bouche de mon épouse pour continuer à se faire sucer. Il a l’air de particulièrement apprécier les mouvements de langue et de lèvres qui stimulent son gland. Je me penche sur ma femme et lui dis pour que tous en profite :
- Alors ma chérie, en plus d’être une grosse salope, tu vas te gouiner avec ta copine. Tu me fais bander. J’ai hâte de te voir lui brouter la moule.
Devant ce langage, Gilles et Béa réagissent dans le même registre.
- Si tu savais Clèm combien de fois je me suis branlée en pensant à toi.
- Vous regarder vous tripoter comme deux grosses salopes, m’excite au plus haut point.
Béa, très chienne, délaisse les seins pour descendre sur la chatte et lui glisse une langue bien profond, remonte sur le clito et continue à jouer avec en enfonçant toujours deux doigts au fond de la moule trempée de jus.
Gilles et moi nous partageons les seins libérés, Clém continue à lui sucer la bite. Qu’est ce qu’elle m’excite dans ces moments là, avec une queue dans la bouche, j’adore la voir pomper un nœud, ses lèvres coulisser autour d’une bonne pine bien dressée.
- Hummm, réputation de salope méritée et même plus, elle est vraiment bonne ta pute de femme, elle va me faire gicler si elle continue.
Béa se déplace et enjambe le corps de Clèm pour se retrouver en 69 avec elle, Gilles retire sa bite et Béa colle sa chatte sur la bouche de ma femme qui se met sans hésiter à lui fouiller la fente de la langue.
- Humm oui, c’est bon Clèm, j’adore ce que tu me fais. Attend, je vais te rendre la pareille.
Elle plonge direct sur la chatte de Clèm pour lui sucer le clito et coulisse des doigts dans la fente. Voir ces deux chiennes se manger la moule me procure un plaisir immense, malgré toutes nos aventures, cette situation est de loin celle qui m’excite le plus. Elles sont vraiment superbes en train de se gouiner comme deux salopes. Gilles me dit :
- Regarde-les elles sont déchainées et vraiment bandantes. Depuis cette fameuse soirée, Béa m’a très souvent parlé de son fantasme de se gouiner avec ton épouse, je pense qu’elle en avait envie bien avant mais ça été le déclencheur de la voir te tailler une pipe pratiquement à poil dans le jardin. On peut l’enculer ta petite pute ? je me ferai bien son cul pendant que l’autre salope continue à lui bouffer la chatte.
Pendant ce temps les deux, le visage enfoncé entre les cuisses l’une de l’autre, sont arrivées au point de non-retour et s’octroient un orgasme mutuel fulgurant.
Les deux filles s’enlacent et se roulent des pelles en se caressant les seins. Le visage de Clèm est illuminé, elle plonge son regard dans celui de Béa et lui dit :
- J’avais déjà eu des envies de tenter l’expérience avec une femme, mais je n’avais jamais osé sauter le pas. Tu es la première et je suis heureuse que cela soit avec toi, j’en viens à regretter de ne pas avoir essayé plus tôt. Je ne te pensais pas aussi… chaude.
- Tu peux dire salope. S’esclaffe-t-elle, mais j’ai été à bonne école, avec toi comme exemple et Gilles comme guide.
Je me rapproche des filles et caresse les seins des deux complices, Gilles, lui, attend sur le coté que Béa libère Clèm toujours à son idée de l’enculer. Les filles proposent de s’occuper de nous, Béa veut vraiment voir sa copine baisée par son mec. Gilles et moi disposons les deux face à face, en levrette. Je frotte ma queue entre les cuisses de Béa, elle est trempée la garce, je pousse légèrement et m’enfile au fond de sa chatte brulante. Gilles a fait de même et je le vois faire des allers-retours dans la moule de ma salope. Les deux copines se font des langues en se tripotant mutuellement les nichons. Béa dit :
- Vas-y Gilles, met lui bien profond.
- Huuumm oui, il me baise bien et toi Axel te prend bien aussi ?
- Oui, sa bite est bonne. Oh je t’adore, tu es superbe ma salope.
Gilles et moi continuons à les baiser un moment, jusqu’à ce qu’il intervienne.
- Béa bouffe-lui les seins, moi il faut vraiment que je l’encule.
Sans retirer ma bite de sa chatte, Béa se positionne sur le dos et se glisse sous Clém pour lui prendre les nichons et lui lécher les bouts. Dans le même temps Gilles pose son gland bien lubrifié sur la rondelle de la cochonne et commence doucement à l’enculer.
- Hummm ouiii, j’aime, qu’est-ce que c’est boonnn.
Excité de la voir une fois de plus s’en prendre plein le cul, je sors de la chatte de Béa et présente ma queue à la bouche de ma femme, elle me suce pendant quelques instants, puis je retire ma bite et revient entre les cuisses de Béa, je place mon gland sur sa rondelle. Clém me dit :
- Oui vas-y encule la aussi cette salope moi je vais lui branler la chatte.
Je m’enfonce dans le cul offert et commence à limer, Clém lui écarte la moule, lui cajole le clito puis plonge deux doigts dans la moule et la branle énergiquement.
Ah les salopes, c’est vraiment énorme de les voir faire. Gilles continue d’enculer Clèm vigoureusement. Moi je n’en rate pas une miette et putain, toujours dans le cul de Béa, je sens les doigts de ma femme coulisser le long de ma bite à travers la membrane qui nous sépare. Ça me fait durcir encore plus si c’est possible. Quelles putes ces deux nanas. Je ne peux me retenir et me vide dans le fondement de la salope.
Cela déclenche une réaction en chaîne. Béa se met à jouir étouffant ses gémissements en mordant les seins de ma garce. Clèm prend aussi son orgasme, la morsure de ses seins et la pine qui lui défonce le cul la font éclater. Les spasmes du cul de Clèm lors de sa jouissance mènent rapidement Gilles à se répandre dans le cul de la belle.
- Ahhh, vous êtes vraiment de bonnes salopes toutes les deux.
Après cette bonne baise, nous récupérons les uns les autres. Les filles se câlinent gentiment.
Clèm et moi mettons fin à la soirée et rentrons chez nous, sur la promesse de recommencer bientôt avec Gilles et Béa. Nous avons récidivé à plusieurs reprises avec eux et toujours avec un plaisir renouvelé et intense.