X-Acto - 2 - histoire érotique

Le lendemain on arrive à trouver un coin sympa isolé pour faire l’amour. Ce n’est pas une première pour Clèm qui malgré ses nombreuses expériences n’avait franchi le pas de la pénétration qu’une fois et en gardait un souvenir pas super agréable, le mec ne s’était occupé que de son propre plaisir. J’y mets donc toute ma tendresse pour que cela soit un bon moment pour elle, après nous être déshabillés mutuellement nous multiplions les caresses et les préliminaires, je me régale avec son corps : pelotages en tous genres, succion des seins, léchage de chatte, elle de me refuse rien et elle s’occupe de moi également. Sa bouche fait des merveilles avec ma bite. Lorsque l’excitation grimpe nous commençons à faire l’amour. Je la pénètre doucement dans un premier temps, sa chatte bien lubrifiée est chaude comme un volcan. L’appréhension passée, son plaisir se manifeste progressivement, elle remue ses hanches projetant son sexe au devant du mien. Ses seins sont animés d’une houle sensuelle. Je vais de plus en plus profondément en elle. Son souffle s’accélère et elle lâche des commentaires :
- Oui, encore, c’est bon, caresse-moi les seins… huuummm.
Je reste attentif à la progression de son plaisir et elle obtient son premier orgasme sous mes coups de bite.
- Oui, c’est booonnn, continue, viens avec moi.
Et elle me glisse un « Je t’aime » qui me fait fondre et je ne peux que lui dire que moi aussi je l’aime. Elle me serre contre elle et à sa demande, je continue à la pénétrer de plus en plus rapidement. On fini par baiser comme des bêtes. Sa chatte, comme sa bouche, est un délice pour ma bite.
Mise en confiance et complètement désinhibée par ce premier rapport réussi mais aussi par l’aveu de nos sentiments réciproques, elle devient de plus en plus demandeuse. S’ensuivent plusieurs rencontres totalement débridées, toutes plus chaudes les unes que les autres où les attentes de l’un se trouvent comblées par l’autre.
Ainsi j’ai réussi, assez facilement d’ailleurs, à convaincre Clèm de ne pas porter de soutif et de faire en sorte que je puisse mater et peloter sa poitrine en toutes circonstances. Son penchant exhib s’accommode bien de mes petites exigences et elle va souvent au-delà en portant des chemisiers quasi transparents ou très ouverts ce qui ne manque pas d’attirer les regards sur la beauté de ses nichons et leur liberté. Cela me fait bander et la rend fière de susciter cet intérêt. Un après-midi, installés en mezzanine d’un bar, vautrés sur un canapé nous nous roulons des pelles. Je la caresse gentiment et plonge une main à l’intérieur de son décolleté pour en sortir un sein à l’air libre au moment où le patron vient prendre commande. Elle laisse faire, ne montre aucune réticence à cette exhibition continuant à m’embrasser, Le type prend son temps pour bien mater le nichon. Moi, je me prends une gaule d’enfer, elle le remarque aussitôt et sourit. Dès qu’il s’est éloigné elle me dit :
- Salaud, ça te plait de m’exhiber !
- Salope, tu adores ça, ne dis pas le contraire… tu t’es bien débrouillée pour qu’il n’en rate pas une miette.
- Huumm c’est vrai que ça m’excite.
- Moi aussi !!! Alors quand il va revenir avec les verres, fais en sorte qu’il se rince l’œil
- Ok tu l’auras voulu
Elle déboutonne son chemisier jusqu’au nombril, sa poitrine est entièrement visible et quand le patron arrive pour nous servir, elle s’écarte de moi et se penche vers la table pour bien être dans l’axe du voyeur qui ne peut rater la superbe paire de seins qu’elle lui montre. Il repart avec une érection bien visible qui nous fait bien rire.
La quasi-totalité du temps passé ensemble est consacré au cul. Quel que soit l’endroit où nous nous trouvons, je me fais sucer et me débrouille pour lui doigter la moule à fond en la pelotant outrageusement. On fait l’amour dès que la situation s’y prête, un vrai couple de chiens en chaleur.
À la fin des vacances, nous décidons d’emménager ensemble, tant notre complicité est pleine et entière, les sentiments éprouvés, partagés et alimentés par une sexualité débridée et fusionnelle. Nous faisons très souvent l’amour mais surtout, nous adorons baiser. De bonnes baises bien « hard » où le langage le plus cru est utilisé pour porter notre excitation à son maximum.
C’est au cours d’une de ces parties que nos pratiques sexuelles ont pris une direction moins conventionnelle et encore plus excitante.
Alors que je la prends en levrette sur le canapé du salon, nue, les seins ballants sous les coups de bite, je présente mon pouce à sa bouche.
- J’adore te baiser comme une chienne, tu mouilles ma salope, vas-y suce mon pouce pendant que je te baise. Allez suce bien comme si c’était une bite. Une bonne bite pour ta bouche de tailleuse de pipes.
L’excitation monte d’un cran encore. Clèm enroule sa langue autour du pouce, aspire comme elle le ferait avec une queue et mouille à flots. Tout en la pilonnant je me lâche :
- Je suis sûr que ça te plairait de sucer une grosse pine pendant que je te baise. Imagine ça, une queue dans ta bouche pendant que je te lime. Huuumm le pied intégral.
- Huuummm. Arrête salaud, tu m’excites trop, baise-moi à fond, fais-moi jouir.
- J’ai envie de te voir sucer des queues, faire la salope devant moi, te faire mettre comme une petite pute…
- Huuuuumm, ouiiiiii, baiiiise-moiiiii.
Elle reprend le pouce dans sa bouche et va de plus en plus au devant des coups de queue, assez rapidement elle laisse éclater sa jouissance. Je sors de sa chatte, la retourne et me vide sur ses seins et son visage, j’étale le foutre avec ma queue insistant particulièrement sur les tétons dressés et lui donne à sucer pour qu’elle avale les dernières gouttes.
- Mais c’est que ça te plairait grosse salope de sucer d’autres bites !!!
Sortant de l’engourdissement dans lequel l’orgasme l’a plongée, elle me regarde avec un regard mutin et me dit juste un mot :
- Chiche !
J’ai manifestement de grands penchants candaulistes et Clèm assume de mieux en mieux son exhibitionnisme et ses envies de grosse salope avide de sucer des queues. Après cet épisode, lors de nos ébats, nous invitons de plus en plus souvent, un partenaire « virtuel » où l’on invente des situations torrides au cours desquelles elle se fait baiser comme la dernière des salopes. Assez vite, nous en arrivons à penser passer du « virtuel » au « réel ». En fait, nous sommes d’accord pour tenter, dès que l’opportunité se présentera, de consacrer bon nombre de sorties, soirées, à la réalisation de nos pulsions communes.
Ce soir là, nous sommes de sortie dans la ville voisine. Clèm est habillée d’une petite robe sans soutif, à ma demande bien sûr. Théâtre et restau au programme, nous passons une superbe soirée et après un excellent repas reprenons la voiture pour rentrer. Il est déjà tard.
- Ma chérie, avant de rentrer j’ai envie de profiter de toi. Déboutonne ta robe et garde la ouverte, pas le droit de cacher tes seins jusqu’à notre retour à la maison.
- Que me prépares-tu ? Il ne fait pas encore très sombre on risque de me voir.
- C’est bien ce que je souhaite, je vais t’emmener dans un endroit dont j’ai entendu parler. Si c’est à la hauteur de ce que j’en sais tu vas pouvoir t’éclater.
- Dis-moi de quoi il s’agît.
- Tu verras bien assez tôt, ouvre ta robe et montre moi tes trésors.
Elle dégrafe les boutons donnant accès à la vue de sa poitrine. Je jette un œil, glisse ma main sur les seins chauds et fermes, les tétons sont déjà raides.
- Enlève ton string, ma chérie.
Clèm s’empresse d’obtempérer, elle écarte les pans de sa robe et fait glisser son string avec un petit rire d’excitation. Clèm s’est faite épiler entièrement la chatte, j’aime particulièrement lui lécher sa moule toute lisse et adore la regarder et la doigter à tous moments. La chatte à l’air, je lui passe la main dessus et mets un doigt dans la fente, l’endroit est déjà humide.
- Salope, tu mouilles déjà.
Je conduis d’une main et branle gentiment son clito de l’autre, elle me laisse jouer avec. Quelques kilomètres plus loin, je sors de la Nationale pour rejoindre une aire de pique-nique à proximité d’un plan d’eau. Je me gare, phares éteins. Quelques camions sont stationnés un peu plus loin. Clèm est persuadée que je veux la baiser en extérieur comme nous l’avons si souvent fait. Elle se laisse branler et tend la main vers ma braguette pour vérifier mon état, elle sort ma bite et commence à me branler. Je plonge deux doigts dans la moule en lui roulant une pelle profonde. Elle commence à se pâmer quand elle perçoit un mouvement près de la voiture. Elle sursaute et me prévient qu’il y a quelqu’un en refermant vivement les pans de sa robe.
- Chéri, il y a du monde.
- Pas d’inquiétude, c’est ta surprise, ce coin est réputé pour ses voyeurs, ils viennent mater les couples qui s’exhibent en voiture et si je ne m’abuse tu adores qu’on te mate non ? Ouvre ta robe, place tes mains derrière ta tête et regarde-les se branler.
Effectivement, deux types, bites sorties, s’astiquent en cherchant à voir ce qui se passe dans la voiture sans essayer d’ouvrir les portières. Rassurée sur les intentions non belliqueuses des mateurs, Clèm se détend, un peu.
- Laisse-toi aller, ma chérie, fais ta salope, comme dans nos jeux.
- Tu es sûr que tu veux ça ?
- Oui, je veux te regarder faire et te montrer.
Toujours avec mes deux doigts enfoncés dans sa chatte, son regard s’allume.
- Tu es fou, c’est risqué non ?
- Non, je suis là, écarte ta robe ! montre-toi !
Sans me quitter des yeux, elle ouvre elle-même sa robe et prend la position que je lui indique ce qui projette ses seins en avant les rendant particulièrement attractifs, les masses bougent sensuellement avec l’accélération de sa respiration. Les pointes sont dressées. Les types amplifient les mouvements de leurs mains sur leurs queues.
- C’est complètement dingue, mais ça m’excite, continue de me caresser.
La voir ainsi offerte me donne une gaule terrible, alors je pousse les choses un peu plus loin :
- J’étais sûr que ça te plairait Salope. Baisse un peu ta vitre qu’ils profitent mieux.
- Non, continue comme ça.
Elle remue son cul à chaque fois que j’enfonce et retire doucement mes doigts dans sa chatte brûlante,
- Tu ne risques rien, baisse ta vitre salope, j’ai envie de voir leurs mains sur toi.
- Nonnnn, pas çaaaa !
- Oh si, je suis persuadé que tu n’attends que ça d’être livrée à leurs pelotages, hein ma cochonne ?
Hésitante au départ, elle se laisse convaincre et baisse un peu la vitre, les deux approchent. Ils ont de bonnes têtes. Des routiers de passage vraisemblablement. Et surtout, ils ont de belles bites, pas énormes mais bien bandées. Ils s’adressent à moi :
- Elle est superbe, c’est ta femme ? on peut la toucher ?
- Oui, vous pouvez toucher, hein chérie, tu veux qu’ils te touchent ?
- Humm oui mais doucement pas de brutalité.
Une main se glisse sur la cuisse de Clèm, une seconde lui prend un sein. Elle frissonne et ferme les yeux.
- Elle est chaude la petite dame, j’adore les gros nichons bien fermes.
- Montrez-lui vos bites, ça l’excite de voir des queues bander pour elle.
Je retire mes doigts trempés de la chatte de Clèm, un doigt inconnu vient combler le trou laissé vide, elle écarte un peu plus les jambes pour bien profiter de la pénétration et inonder la main du visiteur, elle remue du bassin pour bien sentir le doigt la pénétrer.
- Superbe cette moule toute lisse, elle coule comme une fontaine, t’es une bonne salope, toi ! Dit-il en pistonnant la chatte de la belle et en écrasant le clito de son pouce.
- Laisse moi un peu en profiter ; c’est vrai quelle est bien foutue la garce. Ajoute l’autre.
A l’écoute de ces commentaires Clèm mouille de plus en plus et bouge son cul allant au devant des pénétrations. Elle me glisse
- Huummm Chéri, c’est trop bon, j’adore ! ça m’excite d’être livrée à ces types. Tu es content de ta salope ?
- Oh oui, ça me donne une trique énorme. Et toi ? ça te plait, les mecs qui bandent pour ton cul ?
- Tu as raison, je suis une salope…
Je prends un peu de recul, branle ma queue à pleine main. Le spectacle de ma femme aux mains des deux types qui se relaient pour la tripoter, loin de me rendre jaloux, me fait bander plus dur que jamais.
Si sa chatte les intéresse et est doigtée en permanence, ses seins remportent les suffrages. L’un derrière l’autre, ils lui sucent les tétons en soupesant les globes et commentent :
- Ça c’est du nibard mon gars, je me régale, gros et fermes
- Oui tu as raison, de beaux nichons de salope, regarde ses bouts sont tout raides.
- Tu dois souvent te les faire bouffer ma coquine.
- Putain, qu’est-ce qu’elle m’excite cette garce. Elle est trempée, je pourrais lui mettre trois doigts.
- On peut la baiser ?
Je réponds :
- Non ! Mais si elle en a envie, elle peut vous sucer. Hein, ma chérie, ça te tente de leur faire une bonne pipe ?
Le regard déjà trouble de Clèm s’allume d’une lueur gourmande, je connais sa passion pour la pipe et lui proposer de sucer des bites devant moi, comme lors de nos ébats, ne peut que l’émoustiller encore plus.
- Euh, tu es sûr chéri de vouloir ça ?
- Oui, j’ai envie de te voir faire la salope
- Tu ne m’en voudras pas ?
- Bien au contraire !
- Alors d’accord je veux bien essayer.
- Les gars, elle va vous sucer mais vous devrez lui juter sur les seins ok ?
- Putain oui, un rêve de lui spermer les nichons.
Clèm ouvre la portière et se penche pour prendre la première pine à pleine main, elle n’est pas spécialement grosse mais assez longue et très dure. Elle ferme les yeux et engouffre la queue. Après l’avoir fantasmé à tant de reprises, c’est la première fois que je la vois avec une autre bite que la mienne dans la bouche, c’est aussi une sensation nouvelle pour moi après celle de l’avoir vu se faire peloter. Putain qu’est-ce qu’elle est belle quand elle taille une pipe, qu’est-ce que ça m’excite de la regarder faire. Elle se met à pomper le nœud à fond. Le type ne peut tenir longtemps, il s’extrait de la bouche gourmande et répand son foutre sur la poitrine de Clèm en gueulant :
- Putainnnn, quelle salope, tu m’as vidé les couilles. Elle suce comme une pro ta femme.
Je murmure à l’oreille de Clèm :
- Vas-y ma chérie, pompe l’autre, suce-le aussi à fond, fais le profiter de ta bouche, je te regarde faire la salope, je t’aime.
Complètement déchainée, elle prend la bite dans ses mains et alterne coups de langue sur le gland et avalage du mandrin, le type lui étale le sperme du premier sur les seins.
- Huuummm écoute ton mec, suce-moi bien salope et je te mets tout mon jus sur tes nibards.
- Quel pied d’être tombé sur une gonzesse pareille, tu ne dois pas t’ennuyer avec une cochonne comme elle ! qu’est ce quelle suce bien. C’est trop bon.
- Ouais, elle a du en sucer des queues ta garce, c’est pas une débutante.
Le deuxième se branle maintenant au-dessus d’elle, la queue se cabre et elle se trouve arrosée de foutre du cou au bas du ventre. Les giclées chaudes la font se sentir encore plus chienne et cela lui plait beaucoup.
N’y tenant plus, je la fais mettre à genoux sur le siège et lui enfile ma queue à fond dans la chatte, je la pilonne comme un dingue en me cramponnant à ses hanches.
- Salope, grosse salope, ma femme suce des bites dans les parkings, je t’adore mon amour.
Ma bite rentre et sort de plus en plus vite, Clèm est en train de prendre un pied d’enfer, d’autant plus que les deux types continuent à lui peloter les seins secoués par les coups de pine. Ils lui tirent les bouts, lui pincent les mamelons en la traitant de tous les noms.
- Vas-y, baise la bien cette pute, quelle cochonne, quelle salope
- T’aimes ça salope, sucer de la bite et t’en prendre une bonne dans la chatte…
- Regarde mec comment elle aime qu’on lui touche les nichons
Clèm clame sa jouissance pendant que je me vide au fond d’elle, criant aussi mon plaisir, nous retombons sur le siège. Rapidement, ne voulant pas nous attarder, je me replace au volant, remonte mon jean et fais signe aux gars de s’éloigner je vais démarrer. Les mecs nous remercient pour cette superbe partie de cul et complimentent encore Clèm pour sa beauté et ses qualités de suceuse. Je reprends la route, comblé par la tournure de cette soirée, Clèm, à mes côtés, encore assommée de plaisir est toujours pratiquement à poil, robe ouverte, la poitrine luisante de foutre, l’image même de la dépravation. Je rebande aussitôt. Arrivés à la maison, on a rebaisé comme des chiens.