X-Acto - 5 - histoire érotique

Pour les vacances d’avril, nous avons réservé une semaine en Tunisie, club « all inclusive » à Djerba. C’est notre premier voyage à l’étranger en couple et depuis quatre jours nous profitons de la plage et des transats pour nous reposer. Bien que le pays soit assez strict sur la tenue vestimentaire, sous l’impulsion principalement de la clientèle allemande, le topless est autorisé aux abords des piscines et sur les plages privées des clubs. J’ai incité Clèm à laisser ses soutifs et hauts de maillots pendant les vacances, elle apprécie le regard des mecs sur elle, elle en joue et sait parfaitement faire bouger ses seins sous ses chemisiers et T-shirts pour allumer la convoitise des hommes. Chaque fois que je m’en aperçois je lui glisse un « salope » qui la ravie. Elle devient de plus en plus exhib et satisfait son penchant tous les jours à la plage où elle expose volontiers sa poitrine. Qu’est ce que j’aime ça.
Les serveurs de la paillote passent en permanence proposer des tranches de pastèque ou du thé aux clients. Ils tournent généralement autour des européennes pour les mater. Le serveur du jour se penche sur Clèm pour lui offrir une brochette de pastèque fraiche. Un peu de jus coule et tombe sur son sein, avant qu’elle puisse réagir le type lui essuie avec une serviette et en profite pour bien caresser le sein et lui pincer légèrement le mamelon. Interloquée Clèm le regarde, il lui sourit et lui dit :
- Excuse-moi jolie gazelle, je ferai attention la prochaine fois.
Il revient un peu plus tard pour lui servir un thé.
- Pour me faire pardonner, j’ai négocié avec mon ami le masseur tu as droit à un massage gratuit. Si tu veux en profiter, il t’attend dans le salon à l’entrée de la plage dans une demi-heure.
- C’est super sympa, avec plaisir, je préviens mon mari.
Il lui sert un thé et au passage lui touche l’autre sein, ses tétons durcissent instantanément, une coulée de lave inonde son vagin. En riant il lui dit en s’éloignant:
- C’est pour ne pas faire de jaloux, jolie gazelle, tes seins sont magnifiques.
Quelques minutes plus tard, alors que j’étais parti nager, je la rejoins et me jette sur mon transat, Clèm me raconte la scène et me parle de la séance de massage. Je sais, pour les avoir entendus parler, que les locaux ont tendance à considérer les européennes comme des putes et qu’ils n’hésitent pas à les draguer. J’en fais part à Clèm qui me dit que j’exagère. Moi, je pense surtout que Clèm n’est pas insensible aux compliments reçus et que ça lui plait de provoquer le désir.
- Tu en as envie ? Alors vas-y ma chérie, tu vas te faire peloter, j’en bande déjà. Lui dis-je en lui caressant le sein à mon tour.
- Non mais c’est juste une séance de massage, rien d’autre…
- Tu me raconteras et surtout profite bien.
Clèm se lève, m’adresse un sourire éclatant et se dirige vers le salon de massage, vêtue uniquement de son bas de maillot et d’un paréo fluide. Elle se présente à l’accueil. Elle me racontera que le masseur, un tunisien d’un certain âge prénommé Malek, lui dit d’entrer et de s’allonger sur la table, son ami Amir lui a demandé de bien s’occuper d’elle. Une musique douce est diffusée et les odeurs d’encens contribuent à l’atmosphère calme et reposante de l’endroit. Malek le masseur la fait s’installer sur le ventre sur la table de massage, il retire le paréo et suggère à Clèm d’ôter son maillot de bain afin de ne pas le tacher avec les huiles. Elle le retire pendant qu’il lui tourne le dos et reprend sa place sur la table. Elle est nue allongée, il commence à répandre l’huile sur son dos et entame le massage, il commence par les épaules descend sur le dos puis passe aux mollets et aux jambes, il remonte et s’attaque aux fessiers qu’il masse fermement. Clèm est dans une sorte d’engourdissement bienfaisant et se laisse triturer.
Après un bon quart d’heure, Malek lui demande de se retourner. Elle expose fièrement sa poitrine et sa petite chatte légèrement velue. Malek propose à Clèm un masque réfrigéré à poser sur ses yeux, elle refuse. Il reprend les massages en commençant cette fois-ci par les jambes. Il masse les cuisses en passant bien à l’intérieur effleurant de temps en temps les lèvres du sexe. Malek continue, il se déplace autour de la table, masse les épaules et les bras. Elle se laisse manipuler et ferme les yeux pour mieux ressentir les sensations d’apaisement qui la gagnent. Clèm sent son sexe s’humidifier.
Le masseur fait à nouveau couler de l’huile sur le ventre et entre les seins de Clèm. Il étale l’huile en évitant la poitrine dans un premier temps, il passe sur le ventre et les cotes, puis reprend un massage des bras en les écartant du corps.
Là il commence à s’occuper de la poitrine. Progressivement il se met à pétrir les seins l’un après l’autre, lentement, fermement, avant de prendre les deux ensembles en insistant bien sur les tétons. Clèm sent le plaisir l’envahir (toujours cet effet quand on lui touche la poitrine) et monter en flèche, elle ne peut s’empêcher de resserrer ses cuisses et de porter une main sur sa chatte. Elle n’ose pas se caresser bien qu’elle soit très stimulée par les deux mains qui s’occupent de sa poitrine.
C’est à ce moment qu’elle sent deux mains supplémentaires se poser sur elle. Quatre mains se disputent ses seins et le massage se transforme en véritable pelotage. Elle sort de sa torpeur et ouvre les yeux, elle se rend compte que c’est le serveur qui a rejoint son ami et malaxe sa poitrine avec lui. Ce n’est plus vraiment du massage mais bel et bien une séance de pelotage, Elle tente de contenir son plaisir sans y réussir, assez rapidement un petit orgasme la secoue. Une main toujours posée sur un sein, avec un grand sourire Malek lui dit :
- J’espère que notre massage t’a plu jolie gazelle. Tu es très sensuelle, ton homme est chanceux.
Un peu confuse de s’être laissée aller devant eux, sous leurs caresses, Clèm se revêt comme elle peut et s’échappe pour me rejoindre à la plage. Elle me décrit sa séance, je bande à fond en l’écoutant. Nous rejoignons notre chambre et nous jetons littéralement l’un sur l’autre. Rapidement à poil, je lèche sa chatte encore trempée de son orgasme pendant qu’elle me branle la queue. Elle coule sur ma langue, je la retourne en levrette et lui enfonce ma pine bien profond. Nous baisons comme des fous, j’en rajoute sur sa condition de salope.
- Humm, qu’est ce que j’aurai aimé te voir te faire tripoter, tu la sens ma bite salope ! Je suis sûr que ça t’aurait bien plu de les sucer et de te faire baiser !
- Ouiiii, quand j’ai joui s’ils m’avaient montré leurs queues je les aurai sucés à fond.
- Salope, ma femme est une vraie pute, une suceuse de bites. Humm je jouis. Je t’aime !!!
Elle prend son pied au même moment mêlant sa jouissance à la mienne. Enlacés nous reparlons de nos fantasmes et elle, comme moi, sommes d’accord pour les réaliser sans contrainte si les occasions se présentent.
- Il te plait, le type de la paillote ?
- Pas mal oui. En fait, là encore j’ai adoré être livrée aux attouchements de ses deux mecs, ces situations me plaisent et me mettent dans tous les états. Ils m’ont bien fait jouir.
- Retrouve-le et débrouille-toi pour le sucer devant moi
- Euhh, tu n’y penses pas ?
- Bien sûr que si, et toi aussi tu y penses, Je le vois dans tes yeux, je le connais ce regard de salope
- C’est vrai que tout ça nous chauffe bien.
- Alors allons-y, je suis certain que ce soir il sera de service au bar du club.
Le soir nous nous rendons au club de bonne heure, peu de clients présents aussi tôt dans la soirée. On fait un tour et en effet, le gars est bien de service au bar.
En nous voyant arriver, il cherche à nous éviter. Je fais un geste d’apaisement en sa direction. Clèm tout sourire, s’approche de lui, contourne le comptoir :
- Bonsoir Amir, merci pour le massage de cet après-midi.
En lui disant cela, elle tend une main et lui touche la bite.
- Vous m’avez donné beaucoup de plaisir avec ton ami et j’aimerai te rendre la pareille.
Le gars ne sait pas où se mettre, ma présence ne le rassure pas, mais il bande instantanément, d’autant que Clèm entrouvre son décolleté montrant un de ses seins.
- Tu veux bien t’en occuper encore ?
- Euuuhhh oui, enfin je ne sais…
- Ne t’inquiète pas, accompagne-nous dehors, s’il te plait, tu ne le regretteras pas.
Elle continue de frotter le sexe et accentue l’ouverture de son décolleté pour le convaincre, lui dévoilant la totalité de sa poitrine. Il ne résiste pas et nous suit à l’extérieur. Il nous guide à l’arrière du club, loin des passages d’accès.
Dès que nous sommes dans un coin sombre, Clèm se colle à lui, baisse son haut pour libérer ses seins et lui sort la bite. Elle se penche et avale la queue bandée, une bonne queue noueuse et circoncise. Elle lèche toute la longueur, serre le gland cramoisi entre ses lèvres.
- Huuumm tu as une belle bite, bonne à sucer.
Complètement dépassé, il laisse faire, ne se préoccupant plus de moi. Putain, qu’est qu’elle est belle ma salope comme ça. Elle suce comme une goulue en lui caressant les couilles. À la voir faire, on sent tout le plaisir qu’elle en retire. Quelle salope, mais quelle salope. Je l’adore.
Le gars n’ose dire un mot, il se contente de faire aller et venir sa queue entre ses lèvres brûlantes.
- Masse-moi les seins pendant que je te suce. Masse-les moi comme cet après-midi. montre à mon mari comment vous m’avez pelotée avec ton pote.
Il s’exécute, empaume les gros nichons, les cajole et les malaxe maintenant sans retenue.
Elle poursuit sa pipe en ne me quittant pas des yeux pour bien me montrer à quel point elle est salope, le type n’en peut plus et veut se retirer. Elle le bloque, il éclate dans sa bouche. Elle avale les premiers jets et dirige les suivants sur ses seins. Elle se redresse et en se passant la langue sur les lèvres et se caresse les seins avec le jus devant lui.
- Huumm merci Amir, j’espère que tu te souviendras de moi. Maintenant, je vais me faire baiser par mon mari, si tu veux rester et continuer à t’occuper de mes seins …
Il est effectivement resté à nous mater et à peloter Clém, la bite à la main, à se branler, pendant que je pinais ma salope pratiquement à poil debout contre un arbre. Il s’est régalé à lui tripoter les seins jusqu’à ce qu’elle éclate sous mes coups de queue. On a pris un pied d’enfer. C’était notre dernier soir avant le retour à la maison.