Refugié

- Par l'auteur HDS Misous -
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Récit libertin : Refugié Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Refugié
Réfugié

Moi Luc, j'écris ce que je peux voir, elle Julie ce qu'elle vit!
Quand la bonté d'âme doit s'accommoder....
Nous sommes un couple petite cinquantaine dont la vie commence à frisée l'ennui.
Notre travail nous occupes beaucoup surtout moi avec pas mal de voyages donc d'absences chez nous à notre petit appartement. Julie un peu moins car libre le mercredi. Depuis quelque temps je la trouvais distante. Je lui proposai de s'inscrire dans une association pour remplir son temps. Elle eut alors l'opportunité de rencontrer une femme de la ville qui s'occupait des réfugiés et autres personnes venues de contrée lointaine. Celle ci pour manager de telle situation possédait un fort caractère et assez rapidement pris sous sa coupe Julie beaucoup plus docile.
Elle y passait son mercredi et ses soirées pour des tâches plutôt administratives comme elle me le disait.
Un jour elle m'annonça que nous étions invité à une soirée organisée pour l'accueil des derniers arrivés. Nous y allâmes comme prévu. Je fus surpris de la façon dont s'habille Julie. Une petite robe printanière plus courte que d'habitude avec des talons assez haut qui lui donnait un air assez sexy. Cela n'était pas pour me déplaire.
Cela mettait en valeur ses cuisses assez fermes. Alors qu'elle marchait devant moi, je pu aussi me rendre compte que la finesse du tissus moulait ses fesses bien rondes. J'avais aussi l'impression qu'elle portait un string ( on en devinait les marques) ce qui n'était généralement pas le cas. Elle m'avait dit que la soirée serait partagée entre un buffet très copieux payé par la mairie et une soirée danse pour favoriser les échanges, de danse des pays d'origine et danse moderne.
Elle en profita pour me présenter la responsable, qui effectivement avait l'attitude d'un fort caractère. C'est elle qui animait la soirée. Elle présenta les différents participants et annonça avant les festivités que certaines familles s'étaient inscrites pour accueillir des réfugiés. Ma surprise fut grande quand durant le buffet elle vint me remercier d'avoir accepté d'en prendre un! J'essayai de cacher mon étonnement car ses félicitations étaient très chaleureuse et je ne voulais pas la décevoir et mettre Julie en porte à faux. Elle me présenta d'ailleurs l'heureux élu. La quarantaine, de teint mat, le visage sévère, certainement du à son douloureux passé.
Lorsque je pus échanger avec Julie, je lui fis remarquer que la moindre des choses aurait été de m'en parler. Et comme le loger car notre appart n'était pas un palace!
Elles me rassurèrent toutes les deux en disant qu'il avait l'habitude des conditions spartiates et qu'un matelas suffisait que nous poserions dans la petite pièce contiguë à notre chambre, même s'il n'y avait pas de porte!!
J'avais l'habitude de prendre les choses du bon côté.
Et puis si cela faisait plaisir à Julie...
La soirée avançant les danses se mirent en place et ils commencèrent pas les danses régionales ou chacun essaya d'apprendre les différents pas aux personnes qui les accueillaient. Julie avait bien sûr comme partenaire notre invité Rachid. Ils semblaient s'entendre ce qui était plutôt rassurant, même si je remarquai qu'il n'était pas très souriant.
La suite fut ensuite consacré aux danses modernes. Julie ne quittait pas Rachid d'autant que je ne danse pas. Je m'étais réfugié au bar d'où je pouvais mieux voir la salle et le comportement de chacun et cela plus discrètement.
À mesure que la soirée avançait je voyait Julie et Rachid conversé de plus en plus. Elle semblait noir ses paroles. On va aussi dit qu'il parlait très peu le français et que Julie devrait lui donner des cours le mercredi.
Revenons à la danse car les tangos puis les slows commencèrent à faire leur apparition. Mes 2 danseurs ne se quittaient plus, mais ils étaient de plus en plus proche. Rachid avait les mains posés sur les hanches de Julie et celle ci passer ses bras sur ses épaules. Il ne devait pas y avoir beaucoup d'espace entre deux. Je cru voir une main mâle se poser dans le bas du dos proche de ses fesses. Et me semble t il pas de réaction négative. Je me déplaçais alors pour avoir une vision meilleure et sans être vu d'eux deux. Je remarquai que .... les 2 mains de Rachid étaient posés sur les fesses de Julie. Mon regard ne les quittait plus. Je voulais en voir plus! Et j'étais servi. Les bras de Julie serrait plus le cou de Rachid. Je ne me souviens pas qu'elle se tenait ainsi avec moi, ou alors il y a une éternité. En tout les cas je ne bougeai pas et laisser faire!
Heureusement les danses s'arrêtèrent et ils vinrent me rejoindre.
Nous convimes de recevoir Rachid dans 2 jours, le temps de préparer les choses.
------
C'est moi Julie.
La vie avec Luc n'a jamais été le paradis mais pas non plus l'enfer. Jamais contrariant mais pas d'une imagination folle. Une vie banale.
Il me proposa quand même, je suppose me voyant un peu ronchonne de me consacrer à une association humanitaire. Ce fut l'occasion de rencontrer une personne qui me changea la vie et qui avait monté une association d'aide aux réfugiés. Pour une telle opération je vous dit pas le caractère qu'il faut. Elle m'a tout de suite impressionnée et j'ai décidé sans hésitation de l'aider dans sa tâche. Ce ne fut pas toujours facile car pour arrivé à ses fins elle est quelque fois brutale y compris avec moi. Elle me fit d'ailleurs souvent remarqué que j'étais trop molle et que je devais me prendre en main. Elle le fit pour moi! Elle me reprochait que mon habillement reflétait mon caractère, il faut dire qu'elle aussi,utilisant souvent le cuir, ce qui lui correspondait bien. Elle me poussa à être plus sexy, et tout doucement je suivis ses conseils. Mais les tâches qui nous occupait n'étaient pas toujours gratifiantes, surtout remplir des papiers et les traduire. L'arrivée d'un groupe nous motiva beaucoup plus et l'organisation du placement avec. C'est au cours de cette préparation qu'elle me parla de l'idée de prendre quelqu'un. J'étais retissante car nous n'avions pas vraiment de place. Elle me bouscula sur le sujet et me dit impose ça à ton petit mari, c'est le moment. Elle me promis de m'aider. Elle choisi la personne, Rachid, car celui ci ne venait pas de la même région que le groupe donc plus difficile à placer. De plus elle me précisa qu'elle comptait sur lui, sans en dire plus. Visiblement il y avait un deal entre eux, je n'avais donc pas intérêt à jouer à la maligne.
Elle me glissa que l'idée d'avoir un mâle chez nous ne pourrait que remettre en cause le train train que Luc m'impose. Pourquoi pas car je commençais à m'encrouter..
J'ai bien vu le trouble de Luc car je le mettais devant le fait accompli mais plutôt que refuser tout net, il s'inclina. Il faut dire que Jeanne ma patronne lui mît la pression et il n'osa pas la contredire. Il était comme un petit garçon devant elle. Je me dis que cela pouvait m'aider s'il faisait des difficultés.
La soirée se passa bien et Rachid ne me quittait pas. Quand vint les danses il m'entraîna et m'appris les pas des leurs. Ensuite ce fut les danses modernes. Nous restâmes ensemble, cela ne me déplaisait pas bien au contraire,il y avait chez lui quelques choses qui m'attirait. Quand les slows commencèrent il me prit fermement dans ses bras, me tenant par les hanches. Très vite je sentis contre mon bas ventre son sexe, qui visiblement n'avait rien avoir avec celui de Luc. Plus nous dansions plus il me serrait, je sentis ses mains se poser sur mes fesses. Je le laissai faire, ce qui l'enhardit a me les caresser. Comme j'avais un string très fin il avait tout loisir de bien les sentir. Cela l'excitation car son sexe commençait à prendre une dimension plus que respectable. J'aperçus Luc qui se déplaisait pour nous voir, mais sans plus. Il ne me fit d'ailleurs aucune remarques à notre retour. Nous avions convenu que Rachid viendrait s'installer dans 2 jours. Le lendemain Jeanne me dit:
- Ça avait l'air de bien se passer avec Rachid l'autre soir?
- Oui, pas mal.
- Plus que pas mal
Je devins toute rouge.
- te fais pas de soucis ton mari ne te dira rien, ce n'est pas le genre.
Elle semblait l'avoir jugé. Elle me conseilla aussi de changer ma garde de robe, d'être plus sexy. Elle m'indiqua un magasin de ses connaissances qui s'occuperait de me trouver ce qu'il faut. J'entraînai Luc et je fis comme me le suggérait Jeanne, je m'équipai de robe légère , corsage mettant en valeur ma poitrine et j'en passe. Luc semblait apprécier, c'est tant mieux, en tout les cas c'est lui qui paya.
(À suivre)

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