L'étranger 5
Récit érotique écrit par Misous [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'étranger 5
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
L'étranger 5
Moi Julie,
Quand je revis Jeanne, visiblement elle était au courant de mes turpitudes.
Elle me questionna sur mon ressentis globalement de mon nouveau job et de l'équipe que je formais avec Rachid. Je ne lui cachais pas que cela allait au delà de mes espérances. Elle voulut savoir si c'est en tant que femme que j'avais autant de satisfaction. Devant mon affirmation elle voulut aussi savoir si c'était Rachid qui me la procurait. Devant l'enthousiasme de ma réponse elle rit franchement et me dis que je pouvais la remercier de l'avoir mis entre ses pattes! Car c'était bien le mot.
Elle aborda ensuite ce que cela représentait vis-à-vis de Luc. Comme j'hésitais, elle me demanda alors clairement comment il vivait son statut de cocu.
- je crois qu'il l'admet. Dis je.
- Si tu veux que cela dure et pouvoir profiter au maximum de ta liberté de femme il faut enfoncer le clou.
- Ah bon mais comment.
- Il faut profiter de chaque occasion pour le rabaisser.
- C'est ce que j'essaye de faire.
- Utilise Rachid, il a suffisamment d'autorité. De plus Luc va encore changer de statut dans son travail. Il va être rétrogradé. Le gars qui travaillera avec lui aura toute latitude pour le diriger. Il feront aussi les nuits de vendredi et seront seul dans l'entrepôt. Le connaissant il va en profiter!!!!
- Mais va t il accepter?
- À toi à le convaincre qu'il n'a pas le choix, ok?
- Oui
- Et profites en pour lui faire comprendre ton pouvoir sur lui. En attendant il y a l'arrivée d'un petit groupe de black. Je suis sûre que tu sauras faire merveille avec eux pour les accueillir. Rachid sera la pour suivre si tout se déroule comme prévu.
- Ok dis je.
En sortant du bureau je me dis que j'allais élargir ma connaissance du monde des mâles! Avec Rachid nous sommes allés retrouver les nouveaux. Ils étaient 4 blacks. Leurs regards se portèrent immédiatement sur moi, montrant qu'ils n'avaient pas rencontrés de femmes depuis quelque temps. J'avais une petite robe légère qui m'arrivait à peine à mi cuisses. De plus elle me moulait les fesses. Is ne me quittaient pas des yeux. Je me rendis dans la pièce attenante pour m'aménager. Pendant ce temps là j'entendis Rachid leur parler. C'est alors que l'un d'eux, le plus jeune assez grand et mince vint me retrouver. Sans dire un mot il posa sa main sur mon épaule. C'était la première fois que je me trouvais en contact avec des hommes noirs. Sa main descendit lentement jusque sur la poitrine. Je ne bougeais toujours pas mais mes seins parlaient pour moi car les tétons se dressaient sous ma robe ne cachant pas mon excitation. Je serrai les cuisses. Sa main descendit sur ma hanche me plaquant contre lui. Je sentis immédiatement son sexe déjà bien dure venir se frotter contre mon ventre. Sa main glissa sur mes fesses qu'il malaxa. Il me demanda d'enlever ma robe. Ce que je fis sans réfléchir. Une fois nue devant lui il m'appuya sur les épaules pour que je m'agenouille. Il sortit alors sa queue monstrueuse. Elle était à demi bandée et prête à se dresser complètement. Il posa son gland sur mes lèvres pour que je le lèche. Puis je le pris à pleine bouche mais trop longue pour l'avaler totalement.. Très vite elle fut dure comme du bois. Il me poussa sur le lit et vint se ficher entre mes cuisses. Son gland n'eut aucun mal à me pénétrer. Il se mît à pousser et s'enfonça dans ma chatte. Je n'en voyais pas la fin. Il me perfora littéralement. J'étais comme un poulet embroché de part en part. Il se lit à me pistonner en la sortant presque complètement puis la renfilait aussi sec. À chaque coup je ne pouvais m'empêcher de pousser un cri. C'était trop fort. Quand il gicla j'ai eu l'impression que son jus me remontait jusqu'à la gorge! Et en plus il n'en finissait pas de se vider. Trop bon. Je n'eu aucun mal à accepter les 3 autres. Rachid me ramena à la maison car j'étais sur les rotules. Il comprit que j'avais eu ma dose et qu'il devait me laisser tranquille. Je remarquai qu'il faisait la gueule, peut être qu'il se rendait compte que j'avais pris mon pied encore plus qu'avec lui. En plus les blacks m'invitèrent pour une soirée qu'ils prévoyaient pour la semaine suivante.
Moi Luc,
Cette semaine fut assez spécial car dès le lundi je fus convoqué par Ali, qui m'annonça tout de go que désormais je devais travailler avec Claude un nouveau. Et de plus je serais sous ses ordres. Il me dit aussi que nous aurons à faire la nuit de vendredi soir. Claude la quarantaine, assez rond de corps ne m'inspira pas vraiment confiance. D'ailleurs je vis au regard des autres que je n'avais pas touché le gros lot. Les premiers jours se passèrent pas trop mal si ce n'est que je devais faire l'essentiel du travail. Aussi il avait des manières spéciales, quand il m'envoyait faire quelque chose il ponctuait son ordre d'une claque sur les fesses! Arriva le vendredi soir. Nous étions plus que les seuls de la société présent. Nous aurions à réceptionner 3 retours de livraison mais cela nous occuperait toute la nuit. Apres le premier, il me fit ranger le matériel seul. Alors que j'étais à la tâche il vint voir ce que je faisais. Il se posa derrière moi et me plaqua sa grosse main sur mes fesses et me dit:
- alors ça avance.
- .... Moui
- J'ai pas l'impression.
- Si si
J'essayais quelque peu de repousser sa main. Mais sans succès. Il me tenait fermement, m'empêchant de me dégager. Je ne savais quoi penser et quel attitude adopter. Au bout d'un moment qui me parut une éternité il me lâcha en disant:
- dépêche toi j'ai besoin de toi.
Et il repartit content de lui.
J'étais très perturbé de son attitude. Que voulait il de moi?
Malgré l'ordre je pris mon temps car je craignais de me retrouver en sa présence.
Arrivé vers lui je me rendis à la machine à café. Alors que je venais de mettre un jeton il me rejoignit et se plaqua contre moi.
- prends moi s'en un. Dit il brutalement.
- Ok
Il resta plaqué ce qui fit que je sentis contre les fesses son sexe visiblement en forme.
Je n'étais pas vraiment habitué des contacts charnels avec des hommes. Mon trouble était difficile à cacher. Alors que je me saisissais du café, il attrapa mes bretelles et commença à les détacher. Il faut dire que vu la chaleur dans notre hangar, nous ne portions qu'une légère salopette a bretelle, et torse nu dessous.
Coincé contre la machine, un café dans les mains je ne pouvais l'empêcher dans son œuvre. Mes bretelles tombèrent de chaque côté . Je gardais le silence malgré ma réprobation car les mots ne sortaient pas de ma bouche. Il en profita pour me prendre les tétons entre ses doigts et se mettre à me les pincer. De ma seule main valide j'essayais de le repousser mais pas très efficace. Il accentua la pression au point de me faire sortir des larmes des yeux.
Je le poussai avec mes fesses pour le faire reculer mais là aussi sans succès si ce n'est de mieux sentir sa queue.
- tu sens comme tu m'excite petite salope, me traita t il.
- Svp lâcher moi.
- Crie si tu veux.
- Svp
- J'aime bien les petites salopes comme toi.
En même temps il tira sur ma salopette pour la faire descendre à mes pieds. Je me retrouvai alors en slip. Sa main droite vint se poser sur mon slip. Il me serras bien fort et dit:
- oh la la on dirait que ça bande!
- Svp lâcher moi
- Si t'es bien sage
Qu'entendait il par la. La situation commençait à déraper méchant. C'est vrai que ma petite queue commençait à bander vu la situation. Je ne sais ce qui provoquait cela.
Il se retira, me fit poser le café et avant que j'ai eu le temps de bouger me baissa mon slip.
- ca bande mais c'est pas terrible.
Comme j'essayais de le remonter, il me prit avec fermeté et me dit:
- enlève le et vite.
- Svp laisser moi
- Pas question, je dois m'occuper de toi. Allez enlevé moi.
Son regard était noir. Je ne savais plus quoi faire. J'étais my devant lui sous son regard ironique, le slip en bas des jambes.
Je me résolus à l'enlever et lui donner. Il le jeta très loin au dessus des étagères inaccessibles. Il s'approcha, pris mes couilles dans sa main et me les serra trés fort.
- a genoux salope.
- Svp
- Obéit salope.
Je m'exécutai tremblant de peur. Je le vis alors enlever sa salopette. Il était nu dessous. Il avait la queue déjà bien dressé. J'étais figé. Je n'avais jamais vu un t'elle taille si ce n'est dans les films porno. Elle était large avec un gros gland. En s'exhibant il ajouta:
- T'en as déjà vu des comme ça.
- ....non
- Tu pourras plus dire ca. Peut être que ta femme ne dirait pareil. Dit il narquois.
Il me prit la nuque et m'approcha de sa bite.
- allez salope lèche moi la bite.
J'essayai de le repousser mais il était plus fort que moi et je n'avais pas le choix. Comme j'hésitais il me mît une bonne paire de claque. Je posai vite fait mes lèvres juste sur son gland. Alors qu'une goutte perlait, il me dit:
- allez goûte moi ca, tu vas aimer!
Je passai alors ma langue servilement sous son gland pour mieux gober cette goutte. Une fois sur ma langue je l'avalai. Son goût ne me déplut pas. Je commençai à apprécier de m'occuper de sa queue.
- tu vois ça vient, je savais que tu ferais une bonne fiote.
Je serrai son gland avec mes lèvres et je me mis à le sucer en espérant faire couler d'autres gouttes. Puis il appuya sur ma nuque et me rentra sa grosse bite dans la bouche.
- allez pompe grosse salope, je vais faire de toi la meilleure pipeuse de la ville!
Son vocabulaire ajoutait à l'excitation que me procurait le faire d'être à ses genoux en train de lui sucer sa bite. Heureusement que nous étions seul mais je crains que la rumeur de ma soumission risque de se répandre.
Il me coucha sur le dos à même le sol. Toujours sa queue plantée dans ma bouche il se mît à me pistonner comme s'il baisait. Sa queue était devenu dur comme du bois et vu sa taille j'avais la bouche bien remplie.
- putain qu'elle est bonne cette salope. Je ne vais pas tarder à décharger. Ali avait raison, tu n'as pas résisté longtemps preuve que t'es fait pour ca! Dit il content de lui.
Effectivement je le sentis se raidir et me cracher plusieurs jets de son jus bien gras. J'avais la bouche pleine. Il me força à tout avaler.
Une fois relevé il me dit que vu que plus personne ne viendrait, je devais rester à poil et continuer ainsi le travail, pendant que lui allait se reposer! Il me précisa que je ne devais pas me rincer la bouche pour mieux m'habituer au goût de son sperme.
Deux heures plus tard, je vins voir où il en était s'il dormait toujours. Effectivement il était allongé sur un carton, toujours nu, sur le dos les jambes bien écartées. Mon regard était figé sur sa queue qui je l'avoue me tentait. J'avais envie de la caresser. Instinctivement je me mis à me caresser la mienne tout en le regardant. Craignant son réveil je me promis de ne pas rester ainsi trop longtemps, mais suffisamment pour bien inscrire dans ma tête l'objet de mon désir. Il faut dire que voir la queue de Rachid dans la bouche de Julie m'avait pas mal troublé, mais là elle était plus désirable encore. Et de l'avoir sucer lui donnait une autre saveur! Oui il m'avait forcé à la prendre dans la bouche mais cela m'avait d'autant excité. Quand il se mît à bouger je m'éclipsai. Je retournai à ma tâche la tête pleine de choses. À mon retour alors que j'allais me coucher après une nuit épuisante à tout point de vue, Julie me dit qu'elle sortait pour la journée avec Rachid, ce qui n'était pas une surprise. Mais elle n'oublia pas de me donner plusieurs consignes. Mon sommeil fut perturbé par ce que j'avais vécu dans la nuit. Je craignais d'être marqué par ça. Crainte ou plaisir, peut être les 2!
( à suivre )
L'étranger 5
Moi Julie,
Quand je revis Jeanne, visiblement elle était au courant de mes turpitudes.
Elle me questionna sur mon ressentis globalement de mon nouveau job et de l'équipe que je formais avec Rachid. Je ne lui cachais pas que cela allait au delà de mes espérances. Elle voulut savoir si c'est en tant que femme que j'avais autant de satisfaction. Devant mon affirmation elle voulut aussi savoir si c'était Rachid qui me la procurait. Devant l'enthousiasme de ma réponse elle rit franchement et me dis que je pouvais la remercier de l'avoir mis entre ses pattes! Car c'était bien le mot.
Elle aborda ensuite ce que cela représentait vis-à-vis de Luc. Comme j'hésitais, elle me demanda alors clairement comment il vivait son statut de cocu.
- je crois qu'il l'admet. Dis je.
- Si tu veux que cela dure et pouvoir profiter au maximum de ta liberté de femme il faut enfoncer le clou.
- Ah bon mais comment.
- Il faut profiter de chaque occasion pour le rabaisser.
- C'est ce que j'essaye de faire.
- Utilise Rachid, il a suffisamment d'autorité. De plus Luc va encore changer de statut dans son travail. Il va être rétrogradé. Le gars qui travaillera avec lui aura toute latitude pour le diriger. Il feront aussi les nuits de vendredi et seront seul dans l'entrepôt. Le connaissant il va en profiter!!!!
- Mais va t il accepter?
- À toi à le convaincre qu'il n'a pas le choix, ok?
- Oui
- Et profites en pour lui faire comprendre ton pouvoir sur lui. En attendant il y a l'arrivée d'un petit groupe de black. Je suis sûre que tu sauras faire merveille avec eux pour les accueillir. Rachid sera la pour suivre si tout se déroule comme prévu.
- Ok dis je.
En sortant du bureau je me dis que j'allais élargir ma connaissance du monde des mâles! Avec Rachid nous sommes allés retrouver les nouveaux. Ils étaient 4 blacks. Leurs regards se portèrent immédiatement sur moi, montrant qu'ils n'avaient pas rencontrés de femmes depuis quelque temps. J'avais une petite robe légère qui m'arrivait à peine à mi cuisses. De plus elle me moulait les fesses. Is ne me quittaient pas des yeux. Je me rendis dans la pièce attenante pour m'aménager. Pendant ce temps là j'entendis Rachid leur parler. C'est alors que l'un d'eux, le plus jeune assez grand et mince vint me retrouver. Sans dire un mot il posa sa main sur mon épaule. C'était la première fois que je me trouvais en contact avec des hommes noirs. Sa main descendit lentement jusque sur la poitrine. Je ne bougeais toujours pas mais mes seins parlaient pour moi car les tétons se dressaient sous ma robe ne cachant pas mon excitation. Je serrai les cuisses. Sa main descendit sur ma hanche me plaquant contre lui. Je sentis immédiatement son sexe déjà bien dure venir se frotter contre mon ventre. Sa main glissa sur mes fesses qu'il malaxa. Il me demanda d'enlever ma robe. Ce que je fis sans réfléchir. Une fois nue devant lui il m'appuya sur les épaules pour que je m'agenouille. Il sortit alors sa queue monstrueuse. Elle était à demi bandée et prête à se dresser complètement. Il posa son gland sur mes lèvres pour que je le lèche. Puis je le pris à pleine bouche mais trop longue pour l'avaler totalement.. Très vite elle fut dure comme du bois. Il me poussa sur le lit et vint se ficher entre mes cuisses. Son gland n'eut aucun mal à me pénétrer. Il se mît à pousser et s'enfonça dans ma chatte. Je n'en voyais pas la fin. Il me perfora littéralement. J'étais comme un poulet embroché de part en part. Il se lit à me pistonner en la sortant presque complètement puis la renfilait aussi sec. À chaque coup je ne pouvais m'empêcher de pousser un cri. C'était trop fort. Quand il gicla j'ai eu l'impression que son jus me remontait jusqu'à la gorge! Et en plus il n'en finissait pas de se vider. Trop bon. Je n'eu aucun mal à accepter les 3 autres. Rachid me ramena à la maison car j'étais sur les rotules. Il comprit que j'avais eu ma dose et qu'il devait me laisser tranquille. Je remarquai qu'il faisait la gueule, peut être qu'il se rendait compte que j'avais pris mon pied encore plus qu'avec lui. En plus les blacks m'invitèrent pour une soirée qu'ils prévoyaient pour la semaine suivante.
Moi Luc,
Cette semaine fut assez spécial car dès le lundi je fus convoqué par Ali, qui m'annonça tout de go que désormais je devais travailler avec Claude un nouveau. Et de plus je serais sous ses ordres. Il me dit aussi que nous aurons à faire la nuit de vendredi soir. Claude la quarantaine, assez rond de corps ne m'inspira pas vraiment confiance. D'ailleurs je vis au regard des autres que je n'avais pas touché le gros lot. Les premiers jours se passèrent pas trop mal si ce n'est que je devais faire l'essentiel du travail. Aussi il avait des manières spéciales, quand il m'envoyait faire quelque chose il ponctuait son ordre d'une claque sur les fesses! Arriva le vendredi soir. Nous étions plus que les seuls de la société présent. Nous aurions à réceptionner 3 retours de livraison mais cela nous occuperait toute la nuit. Apres le premier, il me fit ranger le matériel seul. Alors que j'étais à la tâche il vint voir ce que je faisais. Il se posa derrière moi et me plaqua sa grosse main sur mes fesses et me dit:
- alors ça avance.
- .... Moui
- J'ai pas l'impression.
- Si si
J'essayais quelque peu de repousser sa main. Mais sans succès. Il me tenait fermement, m'empêchant de me dégager. Je ne savais quoi penser et quel attitude adopter. Au bout d'un moment qui me parut une éternité il me lâcha en disant:
- dépêche toi j'ai besoin de toi.
Et il repartit content de lui.
J'étais très perturbé de son attitude. Que voulait il de moi?
Malgré l'ordre je pris mon temps car je craignais de me retrouver en sa présence.
Arrivé vers lui je me rendis à la machine à café. Alors que je venais de mettre un jeton il me rejoignit et se plaqua contre moi.
- prends moi s'en un. Dit il brutalement.
- Ok
Il resta plaqué ce qui fit que je sentis contre les fesses son sexe visiblement en forme.
Je n'étais pas vraiment habitué des contacts charnels avec des hommes. Mon trouble était difficile à cacher. Alors que je me saisissais du café, il attrapa mes bretelles et commença à les détacher. Il faut dire que vu la chaleur dans notre hangar, nous ne portions qu'une légère salopette a bretelle, et torse nu dessous.
Coincé contre la machine, un café dans les mains je ne pouvais l'empêcher dans son œuvre. Mes bretelles tombèrent de chaque côté . Je gardais le silence malgré ma réprobation car les mots ne sortaient pas de ma bouche. Il en profita pour me prendre les tétons entre ses doigts et se mettre à me les pincer. De ma seule main valide j'essayais de le repousser mais pas très efficace. Il accentua la pression au point de me faire sortir des larmes des yeux.
Je le poussai avec mes fesses pour le faire reculer mais là aussi sans succès si ce n'est de mieux sentir sa queue.
- tu sens comme tu m'excite petite salope, me traita t il.
- Svp lâcher moi.
- Crie si tu veux.
- Svp
- J'aime bien les petites salopes comme toi.
En même temps il tira sur ma salopette pour la faire descendre à mes pieds. Je me retrouvai alors en slip. Sa main droite vint se poser sur mon slip. Il me serras bien fort et dit:
- oh la la on dirait que ça bande!
- Svp lâcher moi
- Si t'es bien sage
Qu'entendait il par la. La situation commençait à déraper méchant. C'est vrai que ma petite queue commençait à bander vu la situation. Je ne sais ce qui provoquait cela.
Il se retira, me fit poser le café et avant que j'ai eu le temps de bouger me baissa mon slip.
- ca bande mais c'est pas terrible.
Comme j'essayais de le remonter, il me prit avec fermeté et me dit:
- enlève le et vite.
- Svp laisser moi
- Pas question, je dois m'occuper de toi. Allez enlevé moi.
Son regard était noir. Je ne savais plus quoi faire. J'étais my devant lui sous son regard ironique, le slip en bas des jambes.
Je me résolus à l'enlever et lui donner. Il le jeta très loin au dessus des étagères inaccessibles. Il s'approcha, pris mes couilles dans sa main et me les serra trés fort.
- a genoux salope.
- Svp
- Obéit salope.
Je m'exécutai tremblant de peur. Je le vis alors enlever sa salopette. Il était nu dessous. Il avait la queue déjà bien dressé. J'étais figé. Je n'avais jamais vu un t'elle taille si ce n'est dans les films porno. Elle était large avec un gros gland. En s'exhibant il ajouta:
- T'en as déjà vu des comme ça.
- ....non
- Tu pourras plus dire ca. Peut être que ta femme ne dirait pareil. Dit il narquois.
Il me prit la nuque et m'approcha de sa bite.
- allez salope lèche moi la bite.
J'essayai de le repousser mais il était plus fort que moi et je n'avais pas le choix. Comme j'hésitais il me mît une bonne paire de claque. Je posai vite fait mes lèvres juste sur son gland. Alors qu'une goutte perlait, il me dit:
- allez goûte moi ca, tu vas aimer!
Je passai alors ma langue servilement sous son gland pour mieux gober cette goutte. Une fois sur ma langue je l'avalai. Son goût ne me déplut pas. Je commençai à apprécier de m'occuper de sa queue.
- tu vois ça vient, je savais que tu ferais une bonne fiote.
Je serrai son gland avec mes lèvres et je me mis à le sucer en espérant faire couler d'autres gouttes. Puis il appuya sur ma nuque et me rentra sa grosse bite dans la bouche.
- allez pompe grosse salope, je vais faire de toi la meilleure pipeuse de la ville!
Son vocabulaire ajoutait à l'excitation que me procurait le faire d'être à ses genoux en train de lui sucer sa bite. Heureusement que nous étions seul mais je crains que la rumeur de ma soumission risque de se répandre.
Il me coucha sur le dos à même le sol. Toujours sa queue plantée dans ma bouche il se mît à me pistonner comme s'il baisait. Sa queue était devenu dur comme du bois et vu sa taille j'avais la bouche bien remplie.
- putain qu'elle est bonne cette salope. Je ne vais pas tarder à décharger. Ali avait raison, tu n'as pas résisté longtemps preuve que t'es fait pour ca! Dit il content de lui.
Effectivement je le sentis se raidir et me cracher plusieurs jets de son jus bien gras. J'avais la bouche pleine. Il me força à tout avaler.
Une fois relevé il me dit que vu que plus personne ne viendrait, je devais rester à poil et continuer ainsi le travail, pendant que lui allait se reposer! Il me précisa que je ne devais pas me rincer la bouche pour mieux m'habituer au goût de son sperme.
Deux heures plus tard, je vins voir où il en était s'il dormait toujours. Effectivement il était allongé sur un carton, toujours nu, sur le dos les jambes bien écartées. Mon regard était figé sur sa queue qui je l'avoue me tentait. J'avais envie de la caresser. Instinctivement je me mis à me caresser la mienne tout en le regardant. Craignant son réveil je me promis de ne pas rester ainsi trop longtemps, mais suffisamment pour bien inscrire dans ma tête l'objet de mon désir. Il faut dire que voir la queue de Rachid dans la bouche de Julie m'avait pas mal troublé, mais là elle était plus désirable encore. Et de l'avoir sucer lui donnait une autre saveur! Oui il m'avait forcé à la prendre dans la bouche mais cela m'avait d'autant excité. Quand il se mît à bouger je m'éclipsai. Je retournai à ma tâche la tête pleine de choses. À mon retour alors que j'allais me coucher après une nuit épuisante à tout point de vue, Julie me dit qu'elle sortait pour la journée avec Rachid, ce qui n'était pas une surprise. Mais elle n'oublia pas de me donner plusieurs consignes. Mon sommeil fut perturbé par ce que j'avais vécu dans la nuit. Je craignais d'être marqué par ça. Crainte ou plaisir, peut être les 2!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah là ouais tout comprendre à réellement prendre tournure... Bon il va falloir songer à "accélérer le mouvement" pour tenir les lecteur en haleine!