Premiers émois 7.1

- Par l'auteur HDS Misous -
Récit érotique écrit par Misous [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Premiers émois 7.1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Premiers émois 7.1
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Premiers émois 71

J'étais à moitié assoupi attendant Marcel.
Je pensais encore à ce que nous avions fait à savoir que je lui avais confié enfin plus précisément donné les biens dont je venais d'hériter, ainsi qu'affecté les versements des pensions durant mes études sur un compte à lui personnel et non disponible pour moi. J'étais ainsi comme il le voulait complètement dépendent de lui et comme tout en moi désirait une telle situation. Il m'avait expliqué que j'avais vraiment le profil du dominé et lui du dominant. Moi je le voulais mon dominant mais lui estimait que ce n'était pas à moi de choisir. En tout les cas j'espérais que lui donner mes biens et mes revenus le mettait en situation d'être mon dominant comme je le voulais. Mais serait ce suffisant? J'avoue que je ne maitrisais pas tout. Bizarrement de penser à ca m'excitait et je me mis à me branler ma petite bite. J'en étais là quand sans que je m'en rendes compte il était rentré. Il vit ma main posé en pleine action mais aussi le dossier à mes côtés. Je compris tout de suite que cela le mettait en colère.
- tu fais quoi?
- Euh ....
- Explique moi, qu'est ce qui t'excite? Ne me dis pas que c'est moi, je n'étais pas là ?
Paniqué je voulus me dédouaner car il ne voulait pas que je me fasse jouir sans sa permission. Quoi lui dire, je bafouillais, cherchais un prétexte crédible.
Il me mettait la pression.
- j'attends.
- .... Je pensais .... si, je pensais à toi. Dis je brutalement.
- Ah oui, et en lisant le contrat du notaire? N'importe quoi!
- Oui je sais. Mais si.
- Explique moi.
- Je sais que tu veux des preuves que je suis ton dominé et ...
- Ce n'est pas à toi de décider.
- Oui je sais mais je t'ai donné des preuves que je veux l'être par toi.
- Ah oui et quoi
- Le contrat de donation
- Ah oui et c'est toi qui a eu l'idée et l'a décidé?
- Euh ... un peu
- Ah bon, en disant que tu me les confiait?
- Oui
- Tu rigoles, confier ça veut dire quoi, hein?
- Que c'est à toi.
- Non c'est prêter mais pas donner. C'est provisoire alors que la c'est définitif, définitif tu as compris.
- Oui
- C'est moi et le notaire qui avons décidé de faire comme ça. Il m'a dit il te roule, il te fait croire qu'il te donne tout, mais ça n'a aucune valeur juridique.
- Je ne le savais pas.
- Je te connais, tu veux mais tu hésites. Si on ne te pousse pas tu fais pas. Apres tu es tout content qu'on l'ai fait pour toi. Je me trompe?
- Non,mais je le voulais vraiment.
- Tu te raccroches aux branches!
- Je veux tellement te faire plaisir.
- Il fallait anticiper, désolé tu n'as pas eu le réflexe, il te faudra trouver autre chose. Pour ce qui est des biens, ils m'appartiennent totalement et sans retour. Pour les revenus c'est moi qui les touchent, pas toi et pas question que tu ai un droit de regard.
- Qu'est ce que je peux faire.
- Il reste à payer le notaire.
- Oui mais je n'ai pas d'argent.
- Qui t'as parlé d'argent.
- Euh mais comment.
- En nature ça te dit rien?
- Ah bon il aimerait?
- Je crois bien.
- Qu'est ce que je dois faire.
- Tu l'appelles et tu prends rdv.
- Bon promis je le ferai.
- J'y compte bien. Il faut aussi me dire ce qui t'excitait en lisant le dossier?
- De lire que je t'avais tout donné...
- Tu vois quand je te dis que tu as le profil d'un dominé, je ne me trompe pas. Je le sens chez les gens comme toi. On verra ce que je peux faire de toi!!! Allez viens à genoux, il faut que je me vide .
Je me mis entre ses jambes et prit sa queue entre mes lèvres et j'attendais qu'il me pisse dans la bouche. Il avait une grosse envie. J'avalai tout ce que je pus. J'étais trop heureux de le faire. Je continuer à m'occuper de lui, suçant son gland, passant la langue tout autour puis la prenant pleine bouche en l'aspirant comme une ventouse peut le faire. Très vite il se mît à bander n'attendant que ça . Tout comme moi d'ailleurs. Une fois sa bite bien dure je n'attendis pas qu'il m'en donne l'ordre je me mis à plat ventre les cuisses bien ouvertes, le cul redressé, offert tel une chienne que je suis devenu pour lui. Il me sauta dessus, la queue en main et me l'enfonçant sans crier gare dans le cul. Se retirant pour à nouveau y replonger mais jusqu'au fond.
Il resta ainsi sans bouger se contentant de m'écraser de tout son poids et de me remplir le fondement tel qu'une femelle doit l'être pour se faire engrosser.
Ce sont les moments que je préfère. Il avait glisser ses mains sur mon torse et pris mes tétons entre ses doigts. Il les fit rouler tout en les pinçant me provoquant de très fortes douleurs. Il s'amusa ainsi un long moment jusqu'à ce que son plaisir fut atteint et qu'il lâchai tout son jus au plus profond.
Plus tard je pris rdv avec le cabinet du notaire. L'assistante me demanda l'objet. Je précisai que c'était pour payer ce que je devais. Le rdv fut fixé en fin de journée à la limite de la fermeture du cabinet. Quand je suis arrivé elle me demanda comment je payais, chèque CB ou autres. Devant mon trouble elle insista lourdement. Elle avait toujours ce sourire très ironique à mon égard. Je me décidai à lui dire que ce serait à la volonté de Maître le notaire. Elle s'absente pour l'interroger et revint assez mystérieuse.
- vous allez attendre sa décision ici.
Elle me fit asseoir sur son petit tabouret branlant. Elle me questionna sur ce que j'allais faire dans le futur. Je lui expliquai mes envies d'étude et où.
Elle voulut savoir comment je paierais celle ci. Je bafouillai car c'est un point que je n'avais pas abordé dans le détail avec Marcel. D'autant que je ne disposais plus de revenus. C'est comme si elle s'en doutait.
Heureusement le notaire nous appela me sauvant la mise car elle était partis pour des questions très dérangeantes. Elle m'accompagna dans le logement du notaire situé à l'étage. Elle avait préalablement fermé l'étude.
Il nous attendait habillé d'une robe de chambre assis dans son fauteuil. Il avait ce regard vicieux qui me fouillait. C'était un homme encore jeune mais de corpulence assez ronde. A l'opposé de son assistante petite femme fine de taille.
- Alors tu viens payer tes dettes?
- Oui Maître.
- Vu le montant ce sera en quatre fois. Dit il péremptoire .
Il demanda à l'assistante qui était restée d'aller me préparer dans la salle de bain.
Elle m'y entraîna et me fit mettre à poil puis de passer sous la douche. Elle me regardait ironiquement mon petit sexe. Elle me mettait très mal à l'aise. Elle me ramena dans la pièce où le notaire nous attendait complètement nu. Il demanda à l'assistance de faire pareil. Une fois fait elle me prit par la nuque et me dirigea vers la très grosse bite du notaire que son gros ventre ne pouvait cacher.
- allez au travail fait bander Maître.
Ce que je commençais à faire. C'est alors qu'elle prit une cravache et se mît à me frapper sur les fesses. Le notaire excité l'encourageait. Ses frappes étaient de plus en plus fortes. Nous étions tous les 3 très excités . Quand sa grosse queue fut bien raide, je me rendis compte de sa taille. Jamais je n'avais vu tel, plus grosse encore que celle de Robert. Ils me firent mettre à plat ventre le cul bien relevé, l'assistance me ceinturait la tête avec ses cuisses fines,ma bouche plaquée sur son sexe.
Le notaire posa son gros gland sur ma rondelle. Je tremblais d'avance.
- tu devrais lui graisser le cul avant de l'enfiler, sinon tu vas lui peter la rondelle, lui dit son assistante.
- Tu rigoles, il faut qu'il la sente passer, lui répondit le notaire.
Et il commença à appuyer. Il m'écrasait. J'essayais d'être le plus décontracté mais rien n'y fit. Il était très gros. Au lieu d'écouter son assistante, il s'entêta. Il donnait de grand coup de queue! C'est alors que je sentis ma rondelle s'ouvrir peu à peu puis comme un craquement. Il venait de me peter la rondelle. Je sentis du sang coulé le long de ma raie. Visiblement ça lui plaisait.
- putain je l'ai eu, cria t il de joie.
Il continua de forcer pour s'enfoncer. La douleur était violente. De me voir gémir j'ai eu l'impression que cela les excitait. À chaque cm gagné c'était autant de souffrance. De temps en temps il se retirait un petit peu pour mieux pénétrer . Je ne sais combien de temps la torture dura mais quand je sentis son gros ventre plaqué sur mon dos je compris qu'il était au bout. Enfin.
- ca y est je me le suis fait, jubila t il.
- Il va s'en souvenir.
- J'espère bien.
Et il se retira presque complètement et il recommença .
Peu à peu. Les souffrances s'atténuaient. Apres une vingtaine de va et vient dans mon cul le plaisir commençait à venir même si j'étouffais sous son poids. Il se mît à rugir tel une bête et me lâcha une giclée d'enfer .
Visiblement cela déclencha chez son assistante une réaction de jouissance de le voir m'enculer ainsi. Elle me fit boire son plaisir qui coulait de sa chatte. Je réalisais que j'étais ente les mains de 2 sadiques. Et dire que j'avais 4 séances. Ca promettait. Mais pas un instant je n'ai éprouvé le souhait de m'enfuir. Être un objet de manipulation me ravissait. Je rentrais chez Marcel avec quelques difficultés pour marcher car j'avais l'impression que j'avais encore son pieu dans mon cul. Je fus accueilli avec curiosité.
- alors c'était bien
- ....
- T'as pas aimé sa grosse bite?
- Si mais ça fait mal.
- C'est ce que tu aimes!
- Oui mais j'ai encore mal.
Il voulut voir les dégâts. J'avais encore le trou ouvert!!! Il me passa une pommade pour soigner la blessure. Elle me piqua et au bout d'un moment j'avais le cul en feu.
Il me dit que c'était nécessaire pour que ça passe plus vite. J'eu quelques difficultés à m'endormir.
Quelques jours plus tard Marcel voulut que je l'accompagne faire des courses chez l'arabe du coin. Il remplit son grand sac de provisions et en arrivant à la caisse, il se tourna vers moi et me dit d'accompagner l'arabe pour régler la facture.et il me laissa avec lui.
Je compris que j'étais devenu une monnaie d'échange. Je n'élevai aucune protestation car je voulais satisfaire Marcel en toute occasion.
L'arabe m'entraîna au fond de la boutique, me dit de me mettre à poil et me mettre à genoux devant lui. Il avait sorti sa queue circoncise et me l'approche de la bouche.
- allez suce fatma.
Je la pris à pleine bouche pour lui tailler une bonne pipe. Il me caressait partout le corps car il disait que j'avais la peau d'une jeune fille et ça le faisait bander.
Une fois sa queue bien raide il me mis à quatre pattes et m'encula direct. Visiblement il voulait faire vite son affaire. Après quelques allé retour il gicla dans mon cul.
- allez rhabille toi et motus .
Je rentrai chez Marcel, content du travail bien fait.
Peu de temps apres alors que j'étais allé chercher le pain toujours chez l'arabe, il me prit à part.
- tu me tailles une pipe vite fait et tu garde la monnaie.
Je n'hésitai pas et j'acceptai. Ce fut effectivement rapide. Je repartis avec plein de jus dans la bouche et le pain sous le bras.
Arrivé chez Marcel, il me trouva bizarre et voulut savoir ce que j'avais fait.
- ....
- J'attends. Dit il d'un ton très agressif.
- J'ai sucé l'arabe.
- Bravo. Comme ça tu le suces?
- Il m'a laissé la monnaie!
- Tu veux te faire une petite cagnotte ?
- Non non je vais te la donner.
- Si je te la réclame pas tu la gardes.
- Non promis je te l'aurais dit
- Je vais te croire.
- Allez vient tu mérites une bonne dérouillée.
Il m'entraîna à la cave, me mis sur un chevalet la tête en bas les mains attachés ainsi que les pieds, les jambes bien écartées.
Il prit alors une fine cane.
- ça mérite une dégelée comme tu n'as jamais eu, tu as besoin d'être remis dans le droit chemin. 30 coups pour cette fois. Tu comptes et tu dis merci à chaque fois.
Dès le premier coup avant de dire le nombre je poussais un gémissement de douleur. Il y en eu effectivement 30!
Mes fesses et le haut des cuisses étaient en feu. Il me laissa mijoter ainsi.
Une ou deux heures plus tard il revint et m'emmena dans un cagibi qui était tout au fond de la cave. Je pouvais à peine m'y assoir. Il était complètement sombre.
Il ferma la porte et mis un cadenas. J'y suis resté une nuit entière.
Quand il vint me chercher le lendemain il me dit que j'avais besoin d'un bon dressage.
Je lui promis de filer doux mais il ne me crut pas.
( à suivre )

Les avis des lecteurs

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Abject

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oui un peu dommage que cet épisode soit aussi axé sur l'exploitation malsaine - y compris financière !! - du jeune gars un peu trop soumis et vulnérable .

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enfin un peu d'action il était tempts un nouveau virage du recit en mieux on atend la suite pour juger

Histoire Erotique
Contrairement aux autres, cette saga laisse un certain parfum de malaise car elle joue sur la vulnérabilité d'un jeune. Même si les scènes de sexe sont bien traitées, l'ambiance générale flirte avec le malsain... Pourquoi ne pas poursuivre les autres histoires?

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Toujours pas de suite aux autres récits ??



Texte coquin : Premiers émois 7.1
Histoire sexe : Une rose rouge
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