Retour sur terre (suite) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Retour sur terre (suite)

Des mon retour j'échangeai avec mon ami tunisien de ce qui s'était passé avec Ahmed. Il me répondit que j'avais l'habitude et que je devais m'y faire car ils avaient convenu lui, Ahmed et Djamila que je devais être à leur service et effectuer tous "les travaux" qu'ils me demanderaient. A moins que tu n'ai une autre solution.
Je répondis que c'est avec lui que je voulais être. Sa réponse fut claire, la meilleure preuve de mon attachement à lui serait de faire tout ce qu'il me demanderait!
- tu veux que je fasse la pute?
- Pourquoi pas, si j'y trouve intérêt , répondit il clairement.
Effectivement la situation était claire je serai leur pute.
- laissez moi un peu de temps pour intégrer tout ca.
- Ne prends pas trop de temps, de toute façon je te connais plus tu réfléchis plus tu vas le faire!
Il me connaît bien, c'est vrai qu'il faut me pousser mais cette situation de cocu transformé en pute commence à m'exciter. Mon we m'avait bien préparé et transformé, c'est là que ma vrai nature s'est révélée et ce sous les yeux de mon ami tunisien qui a su en profiter.
- rappelle toi la petite séance chez le vendeur de tapis, où tu t'es donné à lui contre une tunique en cadeau. Il t'as payé pour te baiser! Me rappela t il.
Il avait raison il avait vu que j'aimais ça et que m'humilier ne faisait que m'aider à franchir le pas.
Je me décidai alors à appeler Ahmed et lui dire que j'étais dispo. Il me proposa le vendredi suivant. Alors que je m'étais préparé, Djamila arriva pour chercher ma femme. Me voyant prêt à sortir elle voulu savoir où j'allais.... Comme si elle ne le savait pas. Et tout ça devant sa copine. Je bafouillai des prétextes qui ne les convainquirent pas.
- dis nous plus tôt que tu vas au pute, dit Djamila moqueuse.
- Arrêtez de vous moquez, j'ai le droit à ma vie privée. Et vous vous allez ou? Répondis je provocateur.
- Tu veux savoir?
- Oui
- On va draguer, des vrais mâles, hein ma chérie , dit elle en se tournant vers ma femme.
La discussion prenait un mauvais chemin, j'abrégeai..
Ma femme étant allez finir de se préparer, Djamila me dit à l'oreille.
- soit performant, je suis intéressé.
Je compris qu'elle partagerait les gains de mon travail de pute. Avec 3 macs j'étais cerné.
Je partis retrouver Ahmed qui m'emmena directement au foyer du nord de la ville. Il m'expliqua en route ce que j'aurais à faire. A savoir être le plus rapide pour satisfaire les clients auquel j'aurais à faire. Il précisa que je ne toucherais personnellement rien, et si le cas se présentai je devrais impérativement tout lui donner.
Arrivé au foyer il me conduisit dans la chambre du premier.
Celui ci me demanda de me mettre à poil, ce que je fis hésitant mais son regard vicieux ne souffrait d'aucune attente. Il m'attrape les couilles et me les serra bien fort pour montrer qui commandait. Il me força à me mettre à genoux et sans que j'ai le temps il me fourra sa bite dans la bouche. Je n'avais pas d'autres choix que de le sucer. J'aspirais le plus possible , je sentais sa bite grossir à chaque fois. Une fois bien dure il me retourna, me poussa sur le lit et m'embrocha d'un seul coup. Je poussai un cri et reçus par la même une claque derrière la tête.
- tais toi sale chienne, profite de ma queue.
Il me traitait comme une pute que j'étais. Je sentis alors un jet au plus profond de mon cul, il venait de me lâcher son jus. Je dus ensuite lui nettoyer toute sa bite. Je lui avais fait la totale. Il me mît dehors avant que j'ai eu le temps de me rhabiller. Ahmed me récupéra et nous continuâmes le tour du foyer, où je dus subir une dizaine de mecs en manque.
- tu vois ce que j'attends de toi, un bon vide couilles. Et il y a de la demande. J'ai ton numéro, quand je t'appelle tu arrives en courant, ok?
- Oui d'accord.
- Allez fous le camp petite pute.
Je rentrai fourbu et le trou du cul bien chaud. Apres une bonne douche, je me mis à échanger avec mon tunisien préféré pour tout lui raconter dans les moindres détails. Il était content de moi et me promis des jours encore plus prolifiques, enfin surtout pour ceux à qui j'appartenais. Il m'a clairement fait comprendre que je devais être très rentable sinon Djamila n'hésiterais pas à lâcher le morceau à mon sujet à ma femme.
Je lui promis qu'il serait en toutes occasions content de moi.
Je lui avouai aussi que j'aimerais bien savoir et voir ce que fais ma femme.
- elle te fait cocu, c'est sûre.
- Oui mais avec qui, ou et tout le reste?
- Demande à Djamila.
- Non pas à elle, elle va tout raconter. À toi j'ai confiance.
- Bon écoute je vais voir ce que je peux faire, mais en attendant fait ce que te demande Ahmed.
Cela me fit plaisir qu'il essaie de me procurer ces informations. L'idéal serait que je puisse la voir à l'œuvre, je ne sais pour quoi cela m'exciterait de la situation de cocu.
Peut de temps plus tard il me procura quelques infos.
Il m'avoua que Djamila avait une emprise sur ma femme ( ce dont je me doutais) et qu'elle lui faisait faire tout ce qu'elle voulait. Quand elle sortait le soir toutes les 2, elles allaient en général dans un café de la vieille ville fréquenté exclusivement des travailleurs seuls. De voir des jeunes femmes ne pouvaient que les intéresser. Le patron avait installés à l'étage une pièce qui permettait de rapides rencontres. Les 2 femmes avaient une table qui leur était réservé, au fond de la salle, mais suffisamment exposé pour que les clients ne les ratent pas. Surtout que ma femme était habillé tres sexy, Djamila l'envoyait régulièrement au bar cherchez quelque chose, en fait se montrer. Le patron au courant du manège prenait plein de prétextes pour la retenir et ainsi l'exhiber suffisamment. Quand un de ces hommes était intéressé il venait voir Djamila et glissait discrètement le cadeau correspondant à ce qu'il souhaitait faire. Il montait alors rejoindre dans la pièce à l'étage ma femme. Elle savait qu'elle devait se tenir prête et avait les consignes de Djamila si c'était pour une bonne pipe , une baise classique ou se faire enculer. La totale était le maximum. La règle aussi fixé était que tout devait être fait dans un minimum de temps. Générales elle faisait pas moins de 10 passes mais le samedi soir cela pouvait doubler, surtout qu'elles restaient plus longtemps. Tout ça correspondait à ce que je pensais, mais cela ne me donnait pas l'ambiance des soirées et du comportement de chacun.
C'est alors que plus tard il me dit qu'il y avait une solution pour que je puisse en voir plus. Il avait vu avec le patron pour permettre à un de ses amis voyeur de voir d'y assister discrètement. Il fallait bien sûr le payer. J'étais tellement désireux de voir ce qui se passait que j'acceptai la somme importante demandée.
La pièce en question donnait sur une cour et depuis le bâtiment désaffecté en face il y avait la possibilité de tout voir, car ceux ci étaient très proche. La saison aussi si prêtait car la chaleur impliquait que les fenêtres étaient grandes ouvertes.
Je me rendis comme convenu un samedi soir après avoir payé mon du au patron, il me conduisit à l'endroit en question. J'étais partis avant les 2 femmes prétextant une soirée chez un pote. J'ai eu l'impression que Djamila n'était pas dupe.
Je vis alors le manège dans la salle qui s'était très vite rempli. Je me dis qu'il risquait d'y avoir de la visite à l'étage. Une heure après le premier client vint retrouver ma femme. Celle ci s'était rapidement mise nu, il faut dire qu'elle était habillé très léger.
Elle se mît immédiat m'en à genoux et commença une bonne pipe. C'est la première fois que je la voyais le faire, elle n'avait jamais voulu m'en gratifier, disant qu'elle n'aimait pas ça !!!! Visiblement elle adorait car elle la prenait pleine bouche et aspirais comme une mort de faim. J'avouerai que la situation m'excitait au plus haut point. Me voir cocufier en direct .... faut avaler!!!! Et c'est aussi ce qu'elle fit mais physiquement. Je crus qu'elle allait recracher mais à ma grande surprise elle avala la totalité . Plus salope que je croyais, ou alors Djamila lui imposait. Il faudra que je demande à mon ami tunisien. Il redescendis aussitôt. Il n'avait pas passer la porte que je vis arriver un deuxième. Elle commença par le caresser puis comme il banda très vite elle bascula sur le dos, les cuisses grandes ouvertes elle l'attira et il se planta sans coup férir. Elle le ceintura avec ses jambes et se projeta à grand coup contre lui. Le résultat ne se fit pas attendre, il lui déchargea toute sa semence. Je bandais déjà pas mal avec le précédent mais la c'était limité de tout lâcher. Il repartit comme il était venu et fut remplacer par un petit sec de corps mais visiblement très bien membré. Elle le suça, ce qui fit dresser un pieu comme je n'en avait jamais vu. Cela n'eut pas l'air de la surprendre, et cette fois la elle se mît à quatre pattes les genoux bien écartés pour ouvrir au maximum son cul. Une position qu'elle ne m'avait jamais gratifiée. Une vrai salope. Il prit sa queue dans sa main et vint se poser sur sa rondelle.
- t'es prête ?
- Oui vas y chéri.
Et il s'enfonça d'un coup très brutal suivi d'un deuxième qui mît sa bite jusqu'au fond car il était plaqué sur ses fesses. Puis il se mît à la pistonner. Cela était d'une bestialité que même un film porno ne pouvait rendre. Il était très endurant car cela dura pas mal de temps. Elle glissa sa main par dessous et lui attrapa les couilles. L'effet fut immédiat, il lui rempli le fondement de son jus. Je ne la pensais pas aussi expérimenter. En trois passes, je crois que j'avais vu toute l'étendue de son talent.
Je me forçai à rester le plus longtemps possible. Je partis au bout de 20 passes et je vis un groupe qui attendait en bas de l'escalier. Ce soir là elle est rentré pratiquement à l'aube. Plus tard alors que Djamila était venu récupérer ma femme elle profita que celle ci se préparait pour me prendre à part et me dire:
- alors petit cocu, ca t'as plu l'autre jour?
- De quoi tu parles
- Fais pas l'innocent, je t'ai posé une question.
- .... oui
- Ça te fait bander de la voir se faire mettre ?
- Oui
- T'as jouis sacrément , il y en avait plein par terre vers la fenêtre.
- .....
- Eh oui mon gars je sais tout sur toi.
- Je t'en prie que ça reste entre nous.
- Pas de problème mais à mes conditions. Pour info, on t'as filmé en train de mater !!!
Et elle partis rejoindre ma femme. Je l'entendais la recadrer car elle n'était pas satisfaite de son maquillage, elle voulait plus prononcé !
De mon côté je partis rejoindre Ahmed qui m'avait envoyé un message car j'avais une "mission" comme il disait. Djamila en partant me glissa à l'oreille:
- tu vas déguster. Pense que tu vas être cocu , ça va t'aider!
Non seulement elle nous tenait bien mais elle était sadique.
En tout les cas quoiqu'elle nous faisait faire, on filait doux l'un comme l'autre. Elle avait bien capter nos caractères et en profitait au maximum.
Tombent dans les pièges ceux qui le veulent bien.