L'étranger 3

- Par l'auteur HDS Misous -
Récit érotique écrit par Misous [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'étranger 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'étranger 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L'étranger 3

Moi Luc,
Les choses ayant été définies, mon nouveau travail, Rachid couchant avec Julie à ma place et moi sur le vieux matelas, je me dis que je n'avais pas trop le choix même si cela m'était imposé par Jeanne. Mais cette situation de cocu provoquait en moi de l'émoi plutôt que de la colère. Était ce compréhensible? Ou plutôt était ce ma destinée . J'avais comme le sentiment que même tardivement cela devait m'arriver. Je n'arrivais pas à en vouloir à Julie, et bizarrement pas plus à Rachid. Jeanne quand à elle, je la craignais et je n'osais pas avoir un quelconque ressentiment, ayant trop peur qu'elle s'en aperçoive. D'ailleurs je faisais trés attention à la fois dans mes paroles que dans mon attitude avec elle. Personne n'avait eu une telle autorité sur moi et j'aimais bien. J'en tremblais d'émotion comme un petit garçon. Ma situation de cocu aussi me faisait bizarre vis à vis des gens. Je sentais bien que lorsque je rentrais le soir on me regardait avec beaucoup d'ironie. Les murs n'étant pas suffisants pour qu'ils ne soient pas avertis de ce qui se passait derrière. Jamais ils n'avaient entendu Julie couiné comme elle le fait depuis qu'elle se fait grimper par Rachid. Je vais être honnête mais j'attendais impatiemment dans mon petit lit qu'ils baisent. Depuis mon matelas j'avais en enfilade leur lit et la fenêtre extérieur qui apportait avec les lampadaires de la rue suffisamment de vision sur leurs ébats. Je pus ainsi voir Julie se précipiter dès que Rachid fut allongé sur le dos, sur sa bite et la sucer comme une mort de faim. Cette fois là il l'a surprit en se retournant et se mettant à plat ventre. Dans cette position elle avait son cul sous le nez. Il lui dit de s'en occuper. Il avait écarté les jambes. Elle se glissa entre et plaquai sa bouche sur sa raie du cul. Je vis la main de Rachid se pose sur la nuque de Julie pour la forcer à lui lécher le cul. Visiblement elle ne rechigna pas et elle passait sa langue de bas en haut puis je la vis distinctement écarté les fesses de son mâle et plaquer sa bouche.
- suce moi, ma pute, dit il sans se soucier que je puisse entendre.
Elle s'appliqua a le faire et elle devait être efficace car il grognait de plaisir tout en l'insultant, de chienne, de pute et j'en passe et des meilleurs.
Apres un long moment il se retourna, l'attrapa et la mis à plat ventre. Elle essaya d'y échapper mais elle ne résista pas longtemps et il l'a plia pour qu'elle cambre son cul. Il voulait l'enculer. Il lui cracha plusieurs fois sur la raie du cul et il vint placer son gland sur sa rondelle. La poussée provoqua immédiatement un cri de Julie, et comme il continua comme si de rien n'était sa bite s'enfonça. Elle miaulait comme une chatte en chaleur autant de douleur que de plaisir. Elle était en train de se faire dépuceler du cul. Un rêve de salope. Et tout ça sous mes yeux. Rachid était en super forme car il l'a besogna longuement et son plaisir vint après je ne sais de jouissance de " sa femelle".
On peut dire qu'à partir de la elle lui appartenait et non plus à moi! J'ai même jouit dans mon pyjama!!! Et je me suis endormi comme quand on a fait l'amour.
Quelques jours plus tard Jeanne me fit appeler. J'en tremblais d'avance. Une fois debout devant elle assise à son bureau elle me demanda :
- comment ça va chez toi?
- Ça va
- Ça va bien?
- Oui
- Bien bien
- Oui bien bien.
- Ta femme semble heureuse!
- Oui
- Maintenant qu'elle est à plein temps dans l'association, il faut qu'elle respecte certaines règles très strictes.
- Ah bon
- Oui au niveau finance on doit être attentif qu'il n'y ait pas de compromission.
- Oui je comprends.
- Vous avez un compte bancaire joint?
- Oui nos 2 salaires sont versés dessus.
- Je sais. Mais vous y avez accès tout les deux.
- Oui.
- C'est un risque que je ne veux pas prendre.
- Mais il n'y a pas de problème.
- Je te parlais de règles, pour que chaque membre puisse être contrôlé il faut impérativement qu'il maîtrise totalement leur compte.
- Ah oui.
- Et dans votre cas il y a deux intervenants donc un de trop.
- Ah
- Tu vas laisser ton salaire versé sur ce compte mais seule Julie y aura accès.
- Ah
- Elle te donnera l'argent quand c'est nécessaire.
- Oui mais je dois faire quoi
- Tu vas aller à la banque et faire changer l'intitulé, redonner ta CB et ton carnet de chèque. Ok.
- ..... Oui . Comment j'expliquerai?
- Ce n'est pas nécessaire, le banquier est un ami, il sait tout. Tu as un jour pour le faire. Ok?
- Oui.
- Tu peux y aller.
J'étais ko, mais Jeanne était tellement claire dans son ordre que je ne pensai pas un seul instant de ne pas le respecter. Je me rendis donc à la banque ou le banquier semblait effectivement au courant et tout fut régler sans délai. Je signai un papier comme quoi je n'avais plus accès direct à ce c/ malgré mes salaires affectés.
Le soir j'expliquai à Julie ce que Jeanne m'avait demandé de faire. J'ai crus voir dans son regard une lueur de satisfaction. Elle me demanda ce que j'avais comme liquide sur moi. Comme j'en avais retiré juste avant de donner la carte, je lui répondis que je n'avais que 10€!
Elle insista lourdement. Comme je répondais la même chose elle me menaça en disant:
- tu veux que je demande à Jeanne si c'est vrai.
Je bafouillai et j'avouai que j'avais retiré 300! Elle me traita de sale petit menteur et qu'on ne pouvait pas me faire confiance. Je compris que j'étais allé trop loin et je lui promis que dorénavant je serai très attentif dans les dépenses. Elle me posa des règles à savoir qu'elle ne me donnerait que ce qui serait nécessaire pour faire les courses, pas un centimes de plus. Et je devrai calculé en fonction avant!
J'acceptai tout.

Moi Julie,
La situation commençait à s'installer et visiblement Luc l'acceptait de bon gré enfin faisait au moins semblant. Qu'importe, pour moi l'essentiel était que je prenais doublement mon pied. D'abord Rachid me baisa comme un dieu et je commençais à l'avoir sérieusement dans la peau! Pour sa bite j'étais prêt à tout. J'avais basculé d'une femme prude a une grosse salope. Mais ce qui rajoutais aussi à mon plaisir c'est la façon dont je traitais Luc. Faire cocu son mari de plus de 20 ans ce n'est pas anodin. Jeanne me l'avait dit, tu verras tu y trouveras ton compte. Et bien plus que ça encore. Je ne me cachais plus pour me faire troncher. J'avais bien vu qu'il nous regardait depuis son vieux matelas. On lui donnait du son et de l'image! Je m'allongeais toute nue sur le dos les cuisses bien ouvertes et Rachid venait s'assoir sur moi la queue offerte à ma bouche qui se jetait pour l'avaler. Je faisais durer jusqu'à ce qu'il soit dur comme de la pierre, et là il pouvait m'embrocher a fond. Moi qui baisais en silence, je ne me retenais plus. Toute la gamme y passait. Je sais les cloisons de l'immeuble ne sont pas de la dernière isolation mais tant pis. Je voyais le matin le résultat en croisant le regard de ceux de l'immeuble. Les hommes avait un regard envieux prêt à me sauter dessus si Rachid ne me tenait pas serré contre lui. Les femmes se montraient dégoûtées mais je n'étais pas dupe que leur chatte était prête pour Rachid. Je le serrais alors contre moi pour qu'elles comprennent que c'était MON mâle. J'imaginais aussi les regards que Luc devait subir! La honte pour lui de passer pour le cocu de service. Le jour où il m'a enculé pour la première fois ce fut une vrai cavalcade et je l'encourageais en criant. Depuis on répète chaque soir tellement j'aime ça!
Jeanne m'a demandé comment Luc vivait ça. Visiblement c'était devenu son souffre douleur et dans ce cas là elle n'a pas de limite. Elle me dit qu'elle allait pousser encore plus loin le bouchon. Elle me prévint qu'il fallait que je suive pour que cela soit efficace. Dans la soirée Luc nous expliqua que Jeanne lui avait demandé de redonner sa carte et que le C/ serait gèré uniquement par moi. Je jubilais car auparavant c'était lui qui s'en occupait. J'allais pouvoir maîtriser les choses. Je me rappelais les conseils de Jeanne et je lui précisai les conditions de fonctionnement. Surprise il accepta tout sauf que je me doutai de quelque chose. Bien m'en a pris, il avait fait un retrait. Je ne le savais pas mais j'avais touché juste et en lui mettant la pression il avait tout lâché. C'était une bonne expérience pour la suite. Quand je racontai à Jeanne on piqua un sacré fou rire.
- tu vois comment ça fonctionne un homme! Dit elle contente d'elle.
C'est vrai qu'elle était championne pour manipuler, j'avais une excellente professeure.
- il faut enfoncer le clou, et surtout n'oublie pas de lui faire payer son retrait. Ajouta t elle.
- Comment faire?
- À toi de trouver, tu verras ça vient vite. Ca t'excite de l'humilier?
- Oui je crois bien.
- C'est un bon début, plus tu le feras plus il te sera soumis. Mais il ne faut rien lui passer, à la moindre incartade ou dérapage tu sanctionnes.
- Ok j'ai trop envie.
- C'est le but, prendre du plaisir, tu es sur le bon chemin.
Le soir à la maison je pris un ton plus ferme. Je commençai par lui faire remarquer que le ménage laissait à désirer et que pas question qu'il aille se coucher tant que cela soit fait. Il eu la bonne idée de me demander de l'argent pour acheter une revue.
- t'as encore le temps de lire, je comprends l'état de la cuisine. Il faut que tu apprennes à moins dépenser. Pas question de jeter l'argent par les fenêtres il y a mieux à faire.
Il rentra dans sa tente et partis à la cuisine. Très vite je l'entendais frotter. Il en eut pour plusieurs heures. Pendant ce temps on était tranquille avec Rachid pour regarder notre feuilleton favori. J'étais blotti dans ses bras, sa main droite sous mon sein et la gauche sur ma cuisse qu'il caressait. J'appelai Luc pour qu'il nous apporte un petit remontant. Il put voir que son épouse était en bonne compagnie et qu'elle se laissait caresser par son amant. Comme il s'éternisait je lui fis remarquer qu'il avait mieux affaire! En bon toutou qu'il était en train de devenir il y retourna, je n'oserai dire la queue entre les jambes.
Avant d'aller me coucher j'appelai Luc et lui dit de passer demain à la boutique ou j'achète mes habits pour récupérer mes achats, car en retouche. Je lui demandai de maîtriser ses dépenses, mais il fallait qu'il comprenne que cela ne concernait que lui...
En plus il allait voir que sa femme ne lésinait pas pour mettre en valeur son corps et donner envie au mâle ! Je lui annonçai que nous avions une soirée et qu'il nous accompagnerait! En tant que chauffeur bien sûre.
Il n'était pas retourné que je me tournai vers Rachid et lui dit que je brûlais d'envie de lui faire une petite galerie. Sans précaution....
Je sortis sa queue déjà bien bandée et me jetai dessus. Je léchai les gouttes qui commençaient à perler puis pris sa bite à pleine bouche. Il appuya sur ma nuque à pleine force pour me l'enfiler jusqu'à ma glotte. Je faisais un bruit d'enfer avec mes succions . Il me retint visiblement au max de l'excitation. Il me releva et me prit dans ses bras, j'en roulait mes cuisses autour de sa taille et nous nous précipitames dans la chambre sans même prendre le soin de fermer les portes et d'éteindre les lumières. Il me jeta sur le lit et me sautai de dessus comme un sauvage. Il me planta son dard d'un seul coup jusqu'au fond. Il se mît à me pistonner. J'entendis Luc venir s'allonger sur son vieux matelas et ainsi être au première loge. C'est alors que je me mis à dire angoissé à très haute voix:
- ouiiiii enfonce la bien... Tu me baises trop bien, vas y chérie ....
Je crois bien que je n'avais jamais pris un tel pied.
- attention chérie, si tu continues comme ça tu vas m'engrosser.... Ouh la la tu vas me mettre un petit dans le ventre.... Oh oui vas y chérie
- Tu prends pas pillule?
- Non pourquoi j'en aurais prise avant, je risquais rien!
- Tu veux?
- Mmmmm c'est trop bon ta bite, je la sens jusqu'au fond de .... L'utérus.
J'avais envie d'humilier mon cocu, même si je n'avais aucune certitude. C'est vrai que j'avais oublié cet aspect des choses.
Mes cuisses ceinturaient Rachid et j'étais littéralement soudé à lui.
- ah ouiiiii.... Remplis moi ...ah ah ah ... Trop bon vide toi.
Et on s'écroula complètement épuisé.
( à suivre )

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
la suite la suite !!

Vraiment terrible depuis le début… Très bonne idée, avec un crescendo puissant… la suite sans modération…

Histoire Erotique
Cela me plais très envié de connaître la suite à bientôt de vous lire j' en bande d'avance .

Histoire Erotique
Cette histoire est d'un ridicule consommé...



Texte coquin : L'étranger 3
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