Aide bienvenue (suite et fin) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Aide bienvenue (suite et fin)

Apres un repas bien arrosé que je dus servir affublé de mon petit tablier féminin, avec dessous .... rien. Robert m'avait dit
- tu seras plus à l'aise et plus efficace pour nous servir.
- Oui vous avez raison dis je enthousiaste surtout à l'idée de savoir qu'ils resteraient avec moi.
J'avais mis un couvert pour moi, mais ils n'hésitèrent pas à tout instant me demander quelque chose, m'obligeant ainsi à me lever. En fait je faisais le service et étonnamment cela ne me déplaisait pas.
- si toutes les serveuses étaient aussi efficaces que toi, ce serait un plaisir d'aller au restaurant, mais malheureusement c'est loin d'être le cas .... même s'il y a des améliorations à apporter en ce qui te concerne, dit Robert mi ironique mi sérieux.
Je rougis sous le compliment même si perçait une critique que je comptais bien faire lever! Valérie précisa qu'elle s'évertuerait à m'aider à être encore meilleure.
D'être comparé à une serveuse donc une employée et une femme ne me posait pas de problème. La situation créait même chez moi une sorte de contentement que je ne m'explique pas. En tout les cas Robert fin psychologue avait bien deviné en moi.
Apres le repas je dus débarrasser et tout remettre en ordre et faire le ménage pendant qu'ils s'étaient réfugiés dans le bureau pour préparer les éléments pour le lendemain! Je m'appliquai dans ma tâche, ne voulant pas facher Robert et espérant qu'il me prendrait dans le lit.
Quand je vins les rejoindre, n'ayant pas frappé pour rentrer dans le bureau, je fus vertement rappelé à l'ordre. Même si j'étais chez moi ils m'imposaient des règles. Que j'acceptais puisque je m'excusai platement. Ouvrant ainsi la porte à d'autres réprimandes.
Malgré tout il m'annonça qu'il me "prendrait " dans le lit, et il avait décidé que ce serait dans la chambre ou couchait Valérie car le lit était mieux adapté. Je compris pour ce que nous allions y faire, c'est à dire comme j'espérais pas uniquement dormir.
Il me dit de m'y rendre il viendrait plus tard.
- attends moi ! Dit il engageant.
Je m'y précipitais, me déshabillai et me couchai à plat ventre, fébrile.
Arrivé il s'allongea et je dus me tourner vers lui. Il prit ma tête dans ses grosses mains pour la rapprocher de lui. Machinalement je tirai la langue. Il la prit entre ses dents et me la serra comme jamais il ne l'avait fait. Il avait décidé de me faire souffrir et j'étais prêt à l'accepter. Tout.
Il le constata en me triturant ma queue.
- ca t'excite que je te fasse mal
- Mmmmm
- tu vas en avoir l'occasion.Prépares ma bite!
Je me laissai glisser le long de son corps et me mis à lui lécher le gland puis sa queue déjà bien raide du plaisir qu'il allait prendre sur moi. Puis je léchai servilement ses couilles. Je voulais lui montrer combien je l'étais.
- à plat ventre et vite, dit il.
Sa queue était bien tendue et il se positionna entre mes cuisses, écartai mes fesses puis se planta d'un seul coup dans mon trou du cul.
Je criais sous la douleur. Il se retira et recommença. Il se mît à faire ça un nombre incalculable de fois. Il voulait me mater et ne pas me laisser la possibilité de prendre du plaisir, seul lui y avait droit. Il faisait des poses visiblement pour ne pas ejaculer trop vite. Et recommençait. Je n'arrivais pas à ne pas pousser des petits cris. Cela avait l'air de lui plaire.
Puis il s'arrêta ficher au plus profond de mon cul, me le remplissant de son gros dard.
- Je veux que ton cul m'appartienne, tu comprends?
- Oui oui ok
- Alors laisse toi faire et souffre en silence.
Et il recommença . Je compris que la nuit serait longue.
Il me fit me retourner et vint se planter au-dessus de ma figure. Je dus prendre sa grosse mentule dans la bouche. Elle était souillée de mon cul mais je dus l'accepter comme tel. Il me pistonna pareillement, me faisant mal aux mâchoires. Son gland allait jusqu'à ma glotte. J'aurais aimé qu'il y reste mais il se retirait pour mieux se planter. Le plaisir devait être pour lui. Jusqu'au moment où il dégorgea. Il me remplit la bouche et me força à tout avaler. Je dus ensuite bien le nettoyer avec ma langue et le sucer jusqu'à ce qu'il rebande pour recommencer à m'enculer.
A une pose il me dit :
- t'es une bonne femelle, même si tu pourrais être encore plus disponible.
- Oui... Aidez moi à l'être je vous en prie.
- On verra, tout dépend de demain.....
Je crus comprendre un message caché et je me dis que je devais être à la hauteur si je voulais le garder. Il ajouta:
- et je connais des méthodes très efficaces pour avoir une femelle comme je les aime.
- Oui svp
- Tu n'as qu'une chose à faire c'est d'écouter Valérie. Et que demain soir tout soit clair entre nous. Tu n'auras pas de deuxième chance.
- Promis je ferais ce qu'il faut.
Le lendemain je me réveillai seul, Robert était déjà partis.
J'allais rejoindre Valérie au déjeuner. Elle était en nuisette ultra courte et transparente. J'avais du mal à ne pas la regarder.
- alors tu as passé une bonne nuit? Dit elle trés ironique.
- Oui super.
- Racontes moi.
- Robert s'est bien occupé de moi.
- J'ai entendu, tu as dégusté, non?
- Oui pas mal
- C'était violent
- Oui
- Tu aimes quand il est brutal avec toi
- Oui j'aime beaucoup
- Tu veux qu'il recommence
- Ah oui et souvent
- Faut lui donner des raisons
- Oui je veux bien
- Viens on va faire ce qu'il faut pour que tu puisses le garder, ok?
- Ah oui je suis d'accord.
Nous nous installames. Elle me dit que je devais d'abord commencé par écrire à Robert tout les engagements que je suis prêt à prendre vis à vis de lui.
Comme j'hésitais elle me dit qu'elle avait préparé quelque chose si je voulais qu'elle me dicterais. J'acquiesçai car je ne savais pas par où commencer et je ne voulais pas me tromper.
Je lus son texte. Pas un seul mot ne me déplaisait et j'étais prêt à le retranscrire de ma main.

Il définissait 3 points pour lesquels j'étais à la disposition de Robert.
A savoir physiquement, psychologiquement et matériellement.
Tout mon corps se soumettait aux désirs de Robert.
Tout mon esprit se soumettait à la volonté de Robert.
Tout mes biens seraient gérés par Robert.
Il était aussi précisé que j'acceptais les sanctions que je mériterais en cas de toute transgression. Sanctions physiques ou psychologiques.
Je précisais que j'avais écrit en toute connaissance de cause et en toute conscience.
Puis je signai.
Robert rentra assez vite. Valérie lui remis le mot, qu'il lu rapidement, ainsi que le " bon pour pouvoir " pour gérer les biens que je possédais. En tout occasion il était mon représentant.
je n'avais qu'un objectif, c'était me retrouver dans les bras de Robert pour me faire baiser.
Robert et Valérie l'avait compris. Ils voulurent boire le champagne mais seul 2 verres étaient préparés! Moi je devais me contenter du service. A ce moment Robert pris la parole et m'expliqua que des travaux seraient entrepris et que je devrais coucher dans le cellier, pièce attenante a la cuisine, sans fenêtre et dont la porte ne s'ouvrait que de l'extérieur. Aussi il me remit 3 tenues, genre tablier, un blanc pour le service, un noir pour les tâches ménagères et un rose quand il y aurait des invités.
Il me présenta aussi un collier formé d'anneaux. C'est Valérie qui me le présenta. Il y avait une plaque qui portait le nom de Lucie. Robert me précisa que ce serait dorénavant mon seul nom utilisé. Il me le mirent autour du coup et précisera que le fermoir se soudait et ne pourrait plus être ouvert !!! Il y avait aussi un gros anneau pour je suppose attacher une laisse. J'avais la nette impression que c'était comme un collier de chien. Ils me présentèrent une liste de tâches particulièrement longue et que je devais effectuer chaque jour.
Valérie précisai sur un ton particulièrement froid que je devrais mettre désormais mon corps à la disposition de Robert qui pourrait s'en servir quand bon lui semblera. Toute incartade serait sévèrement sanctionné. Et ce serait elle qui s'en chargerait. Je dus me mettre immédiatement au travail car la maison était un peu négligé.
Avant de se coucher ils me conduisirent dans le cellier. Il servait à entreposer des bouteilles. Il avait été aménagé avec juste un petit matelas. Je dus me baisser pour y rentrer et ils attendirent que je sois allongé. Ils me précisèrent que je ne pourrais pas en sortir tant qu'ils le désiraient. Et ils fermèrent la porte à triple tour. Il n'y avait pas de lumière. Je compris qu'ils m'avaient transformé en esclave. Avais je le choix? Très vite je compris que je ne pourrais m'échapper. Je décidai donc de jouer le jeu et puis être le soumis m'avait toujours attiré.
Le lendemain je me mis au travail défini. En fin de journée Valérie fit une inspection qui se révéla négative et me promis une sanction en conséquence.
Ils m'installeront sur un chevalet qui visiblement était dédié aux punitions.
Une fois attaché elle commença par me tanner le cul avec une cravache. À chaque coup je devais la remercier et compter. Mon cul me faisait de plus en plus souffrir.
Robert lui fit remarquer qu'elle pouvait frapper plus fort. Je fus surpris de la hargne qu'elle mît, je ne la croyais pas si forte. Je ne pus m'empêcher d'hurler. Les 20 coups promis se transformèrent en 30 car j'en avais sauté car la douleur m'avait empêché de bien les compter. Ils me laissèrent sur le chevalet pendant toute la soirée.
Ils étaient assis enlacé sur le canapé en train de boire un whisky. Ils échangèrent librement sans se soucier de ma présence sur la bonne méthode pour faire de moi une bonne totalement servile. Valérie à ma grande surprise était la plus radicale et prônait l'humiliation pour mieux me soumettre car pour elle j'avais un caractère de soumis, alors autant en profiter un max. Je compris que je dégusterai.
Ce qui est sûre c'est que cela ne me déplaisait pas.