Premiers émois 8.1
Récit érotique écrit par Misous [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Premiers émois 8.1
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Marcel affirmait de jour en jour son emprise sur moi. J'étais complètement dépendant matériellement parlant car il avait récupéré mes biens et percevai sur son compte mes pensions . Et il me logeait.
Mais j'étais aussi complètement dépendant psychologiquement parlant, chaque jour, chaque fait cette dépendance s'affirmait. J'en étais à ne plus rien lui cacher, pas uniquement ce que je faisais mais aussi ce à quoi je pensais. On en était arrivé à un point où il ne me questionnait plus, ce n'était pas nécessaire, c'est moi de mon propre chef qui allait vers lui et lui confiait une pensée que je venais d'avoir. Ainsi il pouvait mieux me maîtriser. A la sortie du cagibi passé dans le noir le plus total, je lui dit que je m'étais dit que je méritais cette punition, même si c'était très violent car je ne pouvais pas bouger et que je ne voyais rien. Je le remerciai que j'avais pu me mettre allongé même si je devais plier les jambes. J'avais donc pu dormir. La punition aurait été plus dure si aucune position n'avait été possible. Il me dit qu'il existait des cages qui correspondait à ça . Elles avaient été inventé au moyen âge pour punir des personnes récalcitrantes. Dans son regard je vis qu'il pensait à moi. Il me dit aussi que c'était encore plus efficace qu'une dérouillée mais une nuit ce n'est rien. Il faut plus longtemps pour que psychologiquement cela soit efficace. Je lui demandai alors s'il était satisfait de moi. Il hésita à répondre et convint que pas totalement, laissant ouvert ainsi d'autres méthodes pour y arriver.
- je ne désespère pas y arriver.
- Ah oui. J'ai encore beaucoup de progrès à faire.
- Oui pas mal.
- Je veux bien faire tout les efforts
- On verra ce dont tu es capable.
J'osai aussi lui demander quand mon inscription étudiante sera faite.
Il me précisa que pour l'instant ce n'était pas d'actualité car le contexte de logement nécessitait un comportement de ma part pas encore approprié. J'avouerai que je ne comprenais pas mais visiblement c'était en lien avec ma docilité . Je me dis alors que j'allais faire tous les efforts pour le satisfaire.
Malgré l'épisode avec l'épicier arabe il m'y renvoya pour le pain.
Je m'y rendis alors. Je ne lui dit pas la réaction de Marcel. Il me pris à nouveau à part et me confia que je pourrais intéresser des amis à lui, qui aimait bien la chair fraîche. Comme j'hésitais il me proposa 2€ par personne. Je lui dit que je réfléchirais. Bien sûr j'en parlais à Marcel qui me dit fais le.
La fois suivante je confirmais à l'épicier.
- Va attendre au fond et prépare toi, j'appelle le premier.
Très vite un vieux arriva, il me voulu tout nu. Me pelota partout, me pinça les tétons, me serra bien fort mes couilles. Et me fit mettre à genoux. Il me mît sa bite dans la bouche.
- allez suce sale petite pute. Tu aimes faire la chienne pour avoir une grosse bite dans la bouche. Il continua sur le même registre pendant tout le temps que je le suçai, puis se vida les couilles dans ma bouche. J'avalai tout son jus.
Quand je rentrai, j'avais gagné 2€. J'hésitai a les donner à Marcel. J'avais été humilié et je me disais que c'était un salaire chèrement gagné.
Marcel ne me demanda rien. Mais c'était plus fort que moi, je le lui donnai. Il ne me dit pas merci, faisant ainsi comprendre que c'était normal. Deux jours plus tard je suis retourné au pain. Rebelote, l'épicier appela un autre ami à lui. Encore plus vieux que le précédent et encore plus vicieux. Il explora tout mon corps tout en m'insultant, m'humiliant. Je ne disais rien ce qui les incitait à continuer. Il faut dire que la situation me faisait beaucoup d'effet. Être traité ainsi et être considéré de pute qui le fait pour le plaisir augmentait mon excitation. Quand il me présenta sa bite je n'hésitai pas, je la pris en pleine bouche comme si je ne l'avait pas fait depuis des années. Il en fut de même quand il me l'a mis dans le cul. Je me cambrais au maximum pour qu'il aille bien au fond. Attitude qui d'ailleurs les faisait jouir assez rapidement.
Avant de partir, l'épicier me prit à part.
- tu as l'air d'aimer ça?
- ...
- Faire la pute pour les vieux arabes.
- Oui un peu.
- Un peu beaucoup. Je n'ai jamais vu quelqu'un se jeter comme toi sur une vieille bite. Plus salopes que toi tu meurs!
- ....
- Tu sais, je connais du monde, on peut augmenter la cadence.
- Ah bon. Mais Marcel que va t il dire.
- Tu veux que je lui en parles?
- Je ne sais pas.
- Écoutes laisse moi faire. Tu vas pouvoir t'éclater.
- Comment?
- Tu sais dans mon petit café, il y a du monde qui vient. Bon d'accord ils ne sont pas bien jeunes mais ca n'a pas l'air de te gêner.
- Oui enfin non.
- T'es d'accord?
- C'est Marcel qui décide.
- J'ai bien compris. Il t'a bien pris en main ce vieux salop. Il a touché le jackpot avec toi! Les 2€ tu les a gardé ?
- Non je dois tout lui donner.
- Il est fort! Même le prix du pain tu lui a donné?
- Oui. C'est comme ça.
- Ok je vois avec lui.
Il faut dire que à côté de son épicerie, ouverte tous les jours et très tard, il y a un petit café ouvert aussi. Dans le café on n'y voit que des arabes plutôt vieux qui jouent pour se passer le temps. Il est situé dans une petite ruelle du vieux quartier peu éclairée.
De retour je ne dis rien à Marcel car je préférais laisser l'épicier lui dire.
Puis un jour Marcel me prit entre quatre yeux.
- tu me caches des choses.
- Non quoi?
- Déballes et vite.
- Pour l'épicier?
- La suite
- C'est lui qui doit t'en parler.
- Ce n'est pas à lui à décider de qui dit à qui. Ok?
- Oui Marcel, j'ai cru bien faire.
- Le mieux c'est que tu dises tout.
- Oui oui.
- Bon visiblement tu plais à ces vieux potes. Et ça à l'air de te plaire.
- Oui
- T'aimes bien quand il t'humilie? Quand il te traite comme une salope de pute?
- Oui
- Dis toi bien ce n'est pas ton plaisir qui compte. Tu es là pour faire ce que je te demande de faire, tout. Avec l'épicier on a décidé de faire de toi un vide couilles pour ces vieux. Tu ne vas y aller que pour ça. Ok?
- Oui
- Et le fric pour qui?
- Pour toi
- Ne l'oublies jamais.
J'avais l'impression que les choses prenaient une tournure auxquelles je ne m'attendais pas. Excepté l'épisode du notaire, je n'avais connu que Marcel et Robert! Et là je me retrouvais à sucer et me faire mettre par de vieux. Je crois bien que Marcel a organisé tout ça. Je lui fait confiance car il sait ce qui est bon pour moi. Si cela est nécessaire pour ma progression je dois l'accepter. Même si la honte était grande de subir le vieil arabe et surtout ses insultes.
Je me mis à penser à ma situation. Est ce que ce que je vis c'est ce que inconsciemment je souhaitais. Je crois que oui car à chaque étape, cela me procurait du plaisir. De mon propre chef je n'aurais jamais pris une quelconque initiative. Je suis trop timide et réservé. Par contre si on me pousse ou si on me met en situation de ne pas à voir à choisir ou mieux je crois si on me force à le faire, alors je fais tout. Je crois même que c'est quand on me force que j'aime le mieux. Il m'est arrivé de dire oui à Marcel force moi. De toute façon il le sait et il me guide à merveille , me force quand il faut ou me mets en situation de ne pas refuser. Mais faire la pute à arabe, je n'y avais pas pensé. Mais j'ai vraiment envie qu'il me fasse vivre des choses très très particulières.
Très vite alors je dus aller chez l'épicier. Il me conduisit dans une arrière salle du café, au fond de la cour. Un matelas était posé sur le sol. Il me fit mettre à poil et récupéra mes habits. Tu es la jusqu'à minuit. Tu acceptes tout ce que l'on te demande. Je ne veux aucun cri. Le premier arriva. Entre deux âges et très typé probablement venant de la campagne de son pays , je me mis à genoux pour le sucer. Sa queue était tellement large que je ne pus la rentrer dans la bouche. Je me contentai de le lécher. Il voulut que je lui lèche aussi les couilles. Puis il m'embrocha. Je me souviens de la remarque de l'épicier, je serrai les dents car la taille de sa bite me fit plus mal que celle du notaire. Il juta assez vite et me laissa sans oublier de m'insulter . Ils se succédèrent alors pratiquement sans discontinuer.
À minuit l'épicier me rapporta mes affaires et je rentrai chez Marcel complètement cassé, surtout le cul et la mâchoire!
Le lendemain il voulut tout savoir de ma soirée de pute comme il disait.
Je lui expliquai chacune des rencontres, ce que j'avais subi et aussi comment chacun d'eux me traitait.
Il voulut savoir quels étaient mes sentiments par rapport à la situation. J'avouais qu'être humilié m'excitait et m'aidait à tout accepter.
- tu aimes faire la pute alors dit il.
- Je sais pas, peut être oui
- En tout les cas tu sembles avoir pris du plaisir qu'il te traite comme une chienne
- Oui un peu
- Un peu beaucoup
Je lui dit aussi qu'ils me traitaient de petite fille, de petite salope. Il me répondit que mon corps fin, ma peau douce et peu poilu l'expliquait. Il dit que c'était quelque chose à améliorer et qu'il envisageait de me faire totalement épilé et soigné ma peau pour me rendre plus "attirante" ! Il utilisait lui aussi le féminin, ce qui me troubla.
- je vais te prendre un rdv chez une esthéticienne que je connais.
- Ah bon.
- Oui et elle fait aussi coiffeuse, comme tes cheveux ont bien poussé on pourrait te faire de belles boucles.
- ....
- Tu verras tu vas aimer
Je restai sans voix car il semblait vouloir me rendre attirante comme une fille. C'est sur que cela ne déplaira pas à ces vieux et les exciter encore plus sur moi. Mais je reconnais que l'idée de Marcel commençait à faire son chemin dans ma tête.
Il revint plusieurs fois sur le sujet en me demandant des précisions sur les commentaires que j'avais subis.
Il m'mena alors chez l'esthéticienne quelques jours plus tard. C'était une femme mûre et visiblement de fort caractère. Il me laissa avec elle. Elle m'entraîna dans une pièce après avait fermé le salon. Elle me fit mettre complètement nu. À plat ventre sur la table et se mît à enlever poils après poils ce qui chaque fois me provoquait de petites douleurs. Elle me traita de douillet. Puis elle utilisa la cire pour la raie des fesses, je fis un sacré bond, ce qui l'énerva. Elle me mis une grosse claque sur les fesses.
- ne recommence pas. Dit elle méchamment .
Je me cramponnai à la table.
Elle me fit me retourner et se moqua de mon petit sexe.
- c'est mignon tout plein, mais ça doit pas être très efficace avec les filles, hein?
- ....
- Je t'ai posé une question
- Oui
- Mais ça doit plaire au mec?
- ... Oui
- On va améliorer tout ça pour que ça leur plaise encore plus!
Elle commença par m'enlever les poils de ma poitrine avec la cire. La douleur me faisait sortir les larmes. Puis elle s'attaqua aux jambes, ce fut assez rapide car peu poilu. Arriva la partie la plus délicate. Elle me prit les couilles, les serra d'une main et avec une pince à épiler dans l'autre main elle m'arrache poil après poil. Elle faisait preuve de sadisme en me les arrachant pour que je le sente bien! Sans compter qu'elle serrait mes couilles de plus en plus fort. Alors que je m'agitais elle me dit:
- t'as peur que je te les écrase tes petites noisettes? De toute façon tu ne t'en sert pas!
Bientôt plus un seul poil n'apparaissait sur mon corps. Elle était très satisfaite d'elle.
Puis entreprit mes sourcils qu'elle affina.
Elle m'amena ensuite, toujours nu, sur le fauteuil pour me coiffer.
Le résultat fut "bluffant". De belles boucles encadrait mon visage.
Elle me fit ensuite un masque comme pour les femmes pour rendre ma peau plus agréable encore. Je commençais à aimer ce qu'elle me faisait.
- ça a l'air de te plaire
- Ah oui
- Tu es sûr de bons chemins ma chérie !!! Marcel va être content.
- Oui
- Tu diras à Marcel que s'il veut aller plus loin pour toi... je suis disponible!
- Oui
Je ne comprenais pas bien.
Quand elle eut fini, elle me renvoya en me disant qu'elle me reverrait bientôt!
Marcel voulut tout savoir de la séance. Je lui dit le message, et visiblement cela ne le laissait pas indifférent.
- elle a raison, si ton aspect est encore plus féminin, tu vas faire un malheur chez tes petits vieux . Je vais lui en parler.
Je compris alors que l'idée était de me féminiser. C'est vrai que je mettais mon corps à la disposition de mecs comme le font des femmes de petite vertu et cela ne me déplaisait pas. Mais je voyais bien qu'ils imaginaient que c'était une fille qu'ils sautaient. Comme ils me traitaient de fille, je me sentais humilié mais cela m'excitait. Comme la remarque de l'esthéticienne qui m'appelait "ma chérie" ! Est ce le fait d'être humilier ou d'être considéré comme une fille? Pour l'instant je n'avais pas la réponse. De toute façon c'est Marcel qui va décider.
Marcel affirmait de jour en jour son emprise sur moi. J'étais complètement dépendant matériellement parlant car il avait récupéré mes biens et percevai sur son compte mes pensions . Et il me logeait.
Mais j'étais aussi complètement dépendant psychologiquement parlant, chaque jour, chaque fait cette dépendance s'affirmait. J'en étais à ne plus rien lui cacher, pas uniquement ce que je faisais mais aussi ce à quoi je pensais. On en était arrivé à un point où il ne me questionnait plus, ce n'était pas nécessaire, c'est moi de mon propre chef qui allait vers lui et lui confiait une pensée que je venais d'avoir. Ainsi il pouvait mieux me maîtriser. A la sortie du cagibi passé dans le noir le plus total, je lui dit que je m'étais dit que je méritais cette punition, même si c'était très violent car je ne pouvais pas bouger et que je ne voyais rien. Je le remerciai que j'avais pu me mettre allongé même si je devais plier les jambes. J'avais donc pu dormir. La punition aurait été plus dure si aucune position n'avait été possible. Il me dit qu'il existait des cages qui correspondait à ça . Elles avaient été inventé au moyen âge pour punir des personnes récalcitrantes. Dans son regard je vis qu'il pensait à moi. Il me dit aussi que c'était encore plus efficace qu'une dérouillée mais une nuit ce n'est rien. Il faut plus longtemps pour que psychologiquement cela soit efficace. Je lui demandai alors s'il était satisfait de moi. Il hésita à répondre et convint que pas totalement, laissant ouvert ainsi d'autres méthodes pour y arriver.
- je ne désespère pas y arriver.
- Ah oui. J'ai encore beaucoup de progrès à faire.
- Oui pas mal.
- Je veux bien faire tout les efforts
- On verra ce dont tu es capable.
J'osai aussi lui demander quand mon inscription étudiante sera faite.
Il me précisa que pour l'instant ce n'était pas d'actualité car le contexte de logement nécessitait un comportement de ma part pas encore approprié. J'avouerai que je ne comprenais pas mais visiblement c'était en lien avec ma docilité . Je me dis alors que j'allais faire tous les efforts pour le satisfaire.
Malgré l'épisode avec l'épicier arabe il m'y renvoya pour le pain.
Je m'y rendis alors. Je ne lui dit pas la réaction de Marcel. Il me pris à nouveau à part et me confia que je pourrais intéresser des amis à lui, qui aimait bien la chair fraîche. Comme j'hésitais il me proposa 2€ par personne. Je lui dit que je réfléchirais. Bien sûr j'en parlais à Marcel qui me dit fais le.
La fois suivante je confirmais à l'épicier.
- Va attendre au fond et prépare toi, j'appelle le premier.
Très vite un vieux arriva, il me voulu tout nu. Me pelota partout, me pinça les tétons, me serra bien fort mes couilles. Et me fit mettre à genoux. Il me mît sa bite dans la bouche.
- allez suce sale petite pute. Tu aimes faire la chienne pour avoir une grosse bite dans la bouche. Il continua sur le même registre pendant tout le temps que je le suçai, puis se vida les couilles dans ma bouche. J'avalai tout son jus.
Quand je rentrai, j'avais gagné 2€. J'hésitai a les donner à Marcel. J'avais été humilié et je me disais que c'était un salaire chèrement gagné.
Marcel ne me demanda rien. Mais c'était plus fort que moi, je le lui donnai. Il ne me dit pas merci, faisant ainsi comprendre que c'était normal. Deux jours plus tard je suis retourné au pain. Rebelote, l'épicier appela un autre ami à lui. Encore plus vieux que le précédent et encore plus vicieux. Il explora tout mon corps tout en m'insultant, m'humiliant. Je ne disais rien ce qui les incitait à continuer. Il faut dire que la situation me faisait beaucoup d'effet. Être traité ainsi et être considéré de pute qui le fait pour le plaisir augmentait mon excitation. Quand il me présenta sa bite je n'hésitai pas, je la pris en pleine bouche comme si je ne l'avait pas fait depuis des années. Il en fut de même quand il me l'a mis dans le cul. Je me cambrais au maximum pour qu'il aille bien au fond. Attitude qui d'ailleurs les faisait jouir assez rapidement.
Avant de partir, l'épicier me prit à part.
- tu as l'air d'aimer ça?
- ...
- Faire la pute pour les vieux arabes.
- Oui un peu.
- Un peu beaucoup. Je n'ai jamais vu quelqu'un se jeter comme toi sur une vieille bite. Plus salopes que toi tu meurs!
- ....
- Tu sais, je connais du monde, on peut augmenter la cadence.
- Ah bon. Mais Marcel que va t il dire.
- Tu veux que je lui en parles?
- Je ne sais pas.
- Écoutes laisse moi faire. Tu vas pouvoir t'éclater.
- Comment?
- Tu sais dans mon petit café, il y a du monde qui vient. Bon d'accord ils ne sont pas bien jeunes mais ca n'a pas l'air de te gêner.
- Oui enfin non.
- T'es d'accord?
- C'est Marcel qui décide.
- J'ai bien compris. Il t'a bien pris en main ce vieux salop. Il a touché le jackpot avec toi! Les 2€ tu les a gardé ?
- Non je dois tout lui donner.
- Il est fort! Même le prix du pain tu lui a donné?
- Oui. C'est comme ça.
- Ok je vois avec lui.
Il faut dire que à côté de son épicerie, ouverte tous les jours et très tard, il y a un petit café ouvert aussi. Dans le café on n'y voit que des arabes plutôt vieux qui jouent pour se passer le temps. Il est situé dans une petite ruelle du vieux quartier peu éclairée.
De retour je ne dis rien à Marcel car je préférais laisser l'épicier lui dire.
Puis un jour Marcel me prit entre quatre yeux.
- tu me caches des choses.
- Non quoi?
- Déballes et vite.
- Pour l'épicier?
- La suite
- C'est lui qui doit t'en parler.
- Ce n'est pas à lui à décider de qui dit à qui. Ok?
- Oui Marcel, j'ai cru bien faire.
- Le mieux c'est que tu dises tout.
- Oui oui.
- Bon visiblement tu plais à ces vieux potes. Et ça à l'air de te plaire.
- Oui
- T'aimes bien quand il t'humilie? Quand il te traite comme une salope de pute?
- Oui
- Dis toi bien ce n'est pas ton plaisir qui compte. Tu es là pour faire ce que je te demande de faire, tout. Avec l'épicier on a décidé de faire de toi un vide couilles pour ces vieux. Tu ne vas y aller que pour ça. Ok?
- Oui
- Et le fric pour qui?
- Pour toi
- Ne l'oublies jamais.
J'avais l'impression que les choses prenaient une tournure auxquelles je ne m'attendais pas. Excepté l'épisode du notaire, je n'avais connu que Marcel et Robert! Et là je me retrouvais à sucer et me faire mettre par de vieux. Je crois bien que Marcel a organisé tout ça. Je lui fait confiance car il sait ce qui est bon pour moi. Si cela est nécessaire pour ma progression je dois l'accepter. Même si la honte était grande de subir le vieil arabe et surtout ses insultes.
Je me mis à penser à ma situation. Est ce que ce que je vis c'est ce que inconsciemment je souhaitais. Je crois que oui car à chaque étape, cela me procurait du plaisir. De mon propre chef je n'aurais jamais pris une quelconque initiative. Je suis trop timide et réservé. Par contre si on me pousse ou si on me met en situation de ne pas à voir à choisir ou mieux je crois si on me force à le faire, alors je fais tout. Je crois même que c'est quand on me force que j'aime le mieux. Il m'est arrivé de dire oui à Marcel force moi. De toute façon il le sait et il me guide à merveille , me force quand il faut ou me mets en situation de ne pas refuser. Mais faire la pute à arabe, je n'y avais pas pensé. Mais j'ai vraiment envie qu'il me fasse vivre des choses très très particulières.
Très vite alors je dus aller chez l'épicier. Il me conduisit dans une arrière salle du café, au fond de la cour. Un matelas était posé sur le sol. Il me fit mettre à poil et récupéra mes habits. Tu es la jusqu'à minuit. Tu acceptes tout ce que l'on te demande. Je ne veux aucun cri. Le premier arriva. Entre deux âges et très typé probablement venant de la campagne de son pays , je me mis à genoux pour le sucer. Sa queue était tellement large que je ne pus la rentrer dans la bouche. Je me contentai de le lécher. Il voulut que je lui lèche aussi les couilles. Puis il m'embrocha. Je me souviens de la remarque de l'épicier, je serrai les dents car la taille de sa bite me fit plus mal que celle du notaire. Il juta assez vite et me laissa sans oublier de m'insulter . Ils se succédèrent alors pratiquement sans discontinuer.
À minuit l'épicier me rapporta mes affaires et je rentrai chez Marcel complètement cassé, surtout le cul et la mâchoire!
Le lendemain il voulut tout savoir de ma soirée de pute comme il disait.
Je lui expliquai chacune des rencontres, ce que j'avais subi et aussi comment chacun d'eux me traitait.
Il voulut savoir quels étaient mes sentiments par rapport à la situation. J'avouais qu'être humilié m'excitait et m'aidait à tout accepter.
- tu aimes faire la pute alors dit il.
- Je sais pas, peut être oui
- En tout les cas tu sembles avoir pris du plaisir qu'il te traite comme une chienne
- Oui un peu
- Un peu beaucoup
Je lui dit aussi qu'ils me traitaient de petite fille, de petite salope. Il me répondit que mon corps fin, ma peau douce et peu poilu l'expliquait. Il dit que c'était quelque chose à améliorer et qu'il envisageait de me faire totalement épilé et soigné ma peau pour me rendre plus "attirante" ! Il utilisait lui aussi le féminin, ce qui me troubla.
- je vais te prendre un rdv chez une esthéticienne que je connais.
- Ah bon.
- Oui et elle fait aussi coiffeuse, comme tes cheveux ont bien poussé on pourrait te faire de belles boucles.
- ....
- Tu verras tu vas aimer
Je restai sans voix car il semblait vouloir me rendre attirante comme une fille. C'est sur que cela ne déplaira pas à ces vieux et les exciter encore plus sur moi. Mais je reconnais que l'idée de Marcel commençait à faire son chemin dans ma tête.
Il revint plusieurs fois sur le sujet en me demandant des précisions sur les commentaires que j'avais subis.
Il m'mena alors chez l'esthéticienne quelques jours plus tard. C'était une femme mûre et visiblement de fort caractère. Il me laissa avec elle. Elle m'entraîna dans une pièce après avait fermé le salon. Elle me fit mettre complètement nu. À plat ventre sur la table et se mît à enlever poils après poils ce qui chaque fois me provoquait de petites douleurs. Elle me traita de douillet. Puis elle utilisa la cire pour la raie des fesses, je fis un sacré bond, ce qui l'énerva. Elle me mis une grosse claque sur les fesses.
- ne recommence pas. Dit elle méchamment .
Je me cramponnai à la table.
Elle me fit me retourner et se moqua de mon petit sexe.
- c'est mignon tout plein, mais ça doit pas être très efficace avec les filles, hein?
- ....
- Je t'ai posé une question
- Oui
- Mais ça doit plaire au mec?
- ... Oui
- On va améliorer tout ça pour que ça leur plaise encore plus!
Elle commença par m'enlever les poils de ma poitrine avec la cire. La douleur me faisait sortir les larmes. Puis elle s'attaqua aux jambes, ce fut assez rapide car peu poilu. Arriva la partie la plus délicate. Elle me prit les couilles, les serra d'une main et avec une pince à épiler dans l'autre main elle m'arrache poil après poil. Elle faisait preuve de sadisme en me les arrachant pour que je le sente bien! Sans compter qu'elle serrait mes couilles de plus en plus fort. Alors que je m'agitais elle me dit:
- t'as peur que je te les écrase tes petites noisettes? De toute façon tu ne t'en sert pas!
Bientôt plus un seul poil n'apparaissait sur mon corps. Elle était très satisfaite d'elle.
Puis entreprit mes sourcils qu'elle affina.
Elle m'amena ensuite, toujours nu, sur le fauteuil pour me coiffer.
Le résultat fut "bluffant". De belles boucles encadrait mon visage.
Elle me fit ensuite un masque comme pour les femmes pour rendre ma peau plus agréable encore. Je commençais à aimer ce qu'elle me faisait.
- ça a l'air de te plaire
- Ah oui
- Tu es sûr de bons chemins ma chérie !!! Marcel va être content.
- Oui
- Tu diras à Marcel que s'il veut aller plus loin pour toi... je suis disponible!
- Oui
Je ne comprenais pas bien.
Quand elle eut fini, elle me renvoya en me disant qu'elle me reverrait bientôt!
Marcel voulut tout savoir de la séance. Je lui dit le message, et visiblement cela ne le laissait pas indifférent.
- elle a raison, si ton aspect est encore plus féminin, tu vas faire un malheur chez tes petits vieux . Je vais lui en parler.
Je compris alors que l'idée était de me féminiser. C'est vrai que je mettais mon corps à la disposition de mecs comme le font des femmes de petite vertu et cela ne me déplaisait pas. Mais je voyais bien qu'ils imaginaient que c'était une fille qu'ils sautaient. Comme ils me traitaient de fille, je me sentais humilié mais cela m'excitait. Comme la remarque de l'esthéticienne qui m'appelait "ma chérie" ! Est ce le fait d'être humilier ou d'être considéré comme une fille? Pour l'instant je n'avais pas la réponse. De toute façon c'est Marcel qui va décider.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
deplus en plus sans aucun interet vivement qu'il reprenne la suite de la tunisie, beaucoup plus hard, excitant, bandant, il s'acharme à écrire des textes sur premiers emoits sans interret alors que tout le monde attend la suite de la tunisie
Franchement, est-ce bien nécessaire de continuer ce récit qui semble en fait tourner en rond sans aboutir? On avait deux autres histoires qui étaient bien excitantes, on se retrouve avec "les Misérables" version bon marché....
Ce serait vraiment une TRES bonne idée de reprendre les autres sagas!
Ce serait vraiment une TRES bonne idée de reprendre les autres sagas!
Cela devient chiant