L'étranger 2 - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L'étranger 2

Moi Luc,
De savoir Julie seule avec Rachid ne me laissait pas indifférent. Que pouvait il se passer? Tout au long de la journée je n'ai pas cesser d'y penser. J'ai cherché un prétexte pour l'appeler et essayer de comprendre s'il se passait quelque chose entre eux. Quand elle décrocha je la trouvai un peu vaseuse. Je me dis que je me faisais des idées. Mais je n'oubliais pas que j'avais vu les mains de Rachid sur ses fesses l'autre soir. Et sa posture la nuit dernière nue à plat ventre sur son lit!
Mais plutôt que me mettre en colère cela augmentait ma curiosité. Par contre je ne percevais pas vraiment dans son attitude vis à vis de moi d'indication sur une éventuelle tromperie. Sauf l'évolution de son habillement nettement plus sexy. Mais là aussi, cela ne me déplaisait pas. Cela m'excitait plutôt et qu'elle soit provocante pour d'autres hommes aussi. L'achat de ses vêtements l'autre jour chez une amie de Jeanne fut édifiant à ce niveau. La vendeuse s'appuya sur mon acceptation pour imposer à Julie les habits les plus hot de son magasin. J'ai toujours rêvé de la voir en porter de telles et l'occasion en était donné. A un moment donné Julie trouvait que ceux ci seraient difficile à porter, se fit recadrer par la vendeuse qui parla du souhait de Jeanne de voir son employée mieux habillé. Surprenant Julie se rendit immédiatement à l'avis de la vendeuse. Celle ci poussa alors son avantage en me faisant un petit clin d'œil complice. Elle lui fit prendre par exemple un short en jeans qui lui rentrait littéralement dans le cul et la moulait à faire bander un énuque!
Elle lui précisai aussi que son physique ne l'obligeait pas de porter un soutien gorge.
Peut être aurais je du freiner les choses sachant que je payais mais je n'osai pas.
À mon retour je les trouvai bien sage assis sur le canapé comme 2 vieux amis à regarder la télé! Même si Julie avec sa blouse qui ne cachait rien, ses grosses cuisses sous le nez de Rachid et même ses seins qu'elle dévoilaient avec les boutons supérieurs non fermés. Après avoir mangé seul je leur dit que j'allais me coucher car la journée fut fatigante. Ils restèrent sur le canapé. N'entendant pas de bruit je me relevai et si je voyais de dos Rachid, je ne voyais pas Julie!! C'est alors qu'elle releva la tête et aussitôt il lui appuya sur la nuque et la força à se baisser sur lui! Si ce n'était pas pour lui tailler une pipe je ne vois pas pourquoi d'autres. Plutôt que le précipiter sur eux, silencieusement je me retirai et allai me coucher. Julie vint assez tard me rejoindre mais ne se colla pas contre moi.
Je ne savais plus quoi penser.
Les soirées se ressemblaient. Quelques jours plus tard Julie me dit que Jeanne voulait me voir. Surprenant mais je me rendis à son rdv. Elle m'attendait de son air supérieur et intimidant.
- vous vouliez me voir, dis je timidement. ( je n'arrivais pas à m'imposer vis à vis d'elle alors que je n'avais pas de relation hiérarchique!)
- Oui assis toi. Comment ça se passe avec Rachid?
- Ça va.
- Bien?
- Oui.
- Voilà j'ai besoin de faire évoluer mon organisation car les besoins évoluent. J'ai décidé de prendre Julie a plein temps. Elle accompagnera Rachid dans ses tâches. C'est une grosse responsabilité pour elle. Comme ses horaires seront différents, surtout le soir, elle a besoin que tu sois plus présent à la maison.
- Ok
- C'est bien que tu comprennes ça. J'ai pris l'initiative pour te faciliter les choses de voir ton patron que je connais bien. Tu vas changer de travail et ton horaire sera 6h du matin à 17h l'après midi. Tu verras avec lui quel job tu auras mais le but est que tu ne fasses plus de déplacements. Ça te va.
- Ben oui je crois.
- C'est pas je crois, t'es ok oui ou non.
- Oui oui.
- Vois le aujourd'hui car je ne veux pas perdre de temps.
Je ne m'attendais pas à ca et j'étais quelque peu déstabilisé.
Je pense qu'elle le vit et elle ajouta.
- je voulais aussi te dire que j'aimerais bien que Rachid ne couche plus sur ce vieux matelas, ce n'est pas convenable pour un invité, ok?
- ...Oui.
- Je le verrais bien dans ta chambre, dit elle abruptement, comme tu partiras tôt le matin et te connaissant tu te coucheras tôt autant que ce soit toi qui utilises le vieux matelas.
- .....
- C'est quoi le problème.
- Je sais pas.
- Bien si tu sais pas c'est qu'il n'y pas de problème. Ok?
- Oui mais Julie?
- Tiens tu t'inquiètes d'elle, c'est nouveau.
- Non euh oui
- En fait tu sais pas hein?
- Non
- Alors écoutes moi j'ai besoin d'une Julie en forme. Tu trouveras bien d'autres moment pour être avec elle. À toi d'être imaginatif. Tu sais l'être quand tu veux. Je me trompes non?
- Non
- Bon je te laisse leur annoncer ce soir et n'oublie pas de voir ton patron. Tu peux y aller.
- Au revoir. Merci.
- Ah attend j'ai oublié quelque chose.
- Oui?
- Julie aura besoin d'une voiture.
- Ah bon, mais je ne sais pas si on peut en acheter une deuxième.
- Je n'ai pas dit ca, où tu vois que je parle d'acheter ?
- Mais comment elle va faire.
- Prendre la tienne, tu n'en a plus besoin puisque tu ne feras plus de déplacements.
- Oui mais pour aller au travail?
- T'es vraiment pas simple toi. T'as pas de vélo?
- Si mais...
- Mais quoi, tu es vraiment égoïste, je ne savais pas à ce point.
- Non, ... Écoutez je vais le prendre.
- Bien enfin t'as compris. Évites la prochaine fois de me contrarier ok?
- Oui, oui promis
- Allez file, c'est tout pour cette fois.
Et je sortis de son bureau complètement perdu.
Je me rendis à mon travail et allai voir mon patron.
- ah te voila.
- Oui
- Écoutes j'ai vu avec Jeanne pour te changer de job. Les déplacements c'est trop lourd pour toi, j'ai pensé que c'était mieux de te mettre au magasin.
- Ah oui, je vais faire quoi.
- Écoutes tu verras avec Ali, c'est lui ton chef maintenant. Tu as de la chance je te garde le même salaire.
- Oui merci.
- Allez au boulot tu commences maintenant.
Je n'attendais pas ça du tout. Bosser avec ce mec, et en plus l'avoir comme chef c'est trop. Il a une sale réputation. Je me rendis quand même au magasin car je ne voyais pas quoi faire d'autre. Je ne pouvais pas démissionner.
Il m'accueillit très froidement comme je le craignais.
Il me définit mes taches et fit d'entrée de jeu un commentaire.
- ici on veut des mecs courageux pas des faignasses des bureaux. Allez file!
Ça commençait bien. Je dus poser mon costume,cravate et mettre une combinaison bleue. Comme la décision était récente je dus prendre une déjà utilisée pas très propre. Ali ne me laissa pas un seul instant de libre, même pendant la pose des autres. Il me mettait a l'épreuve. Je me posai aussi la question comment j'allais annoncer les changements ce soir! Jeanne était vraiment dur avec moi. Mais je ne voulais pas la décevoir.
Arrivé 5h je retournai chez moi. Ils n'étaient pas là. Mais je trouvais un papier qui me demandait de préparer à manger pour 21h. Ce que je fis, je n'avais pas le choix car je ne voulais pas de conflits.

Moi Julie,
Luc est rentré visiblement inquiet de ce qu'il allait trouver, mais on l'attendait bien sagement assis sur le canapé. Bon d'accord j'avais mis la petite blouse qui m'arrive à ras du cul, il était d'accord quand je l'ai acheté, et j'avais boutonné le minimum de boutons permettant à Rachid de rester sous tension avec mes grosses miches sous les yeux en plus de mes cuisses, enfin pas uniquement car j'étais assise tournée vers lui et il avait aussi une vue plongeante sur ma chatte ( je n'avais bien-sûr pas mis de culotte)! On le laissa manger seul et il fila coucher visiblement sur les rotules. Pauvre chou! On attendit un peu que la lumière de la chambre soit fermée et Rachid n'y tenant plus me plia sur lui pour que je le suce. Il appuya tellement que j'avais sa grosse bite enfilée jusqu'à la glotte. On entendit du bruit alors je me relevai. Mais c'était une fausse alerte, il ne perdit pas de temps il me prit la nuque et me força à le reprendre pleine bouche. On ne vit pas la fin du film à la télé! Et ensuite au dodo car moi aussi j'étais sur les rotules!
Jeanne me tenu au courant de son rdv avec Luc. Elle m'avoua qu'elle l'avait bousculé et que tout avait bien marché, un vrai toutou m'a t elle dit. Je crois qu'elle sait mieux s'y prendre que moi. Elle me dit:
- il tremble devant moi, je te garantis que j'en fais ce que je veux.
La première fois qu'elle l'avait vu, elle l'avait jugé! Le lendemain au bureau elle me dit alors en parlant de Luc sur un ton sarcastique :
- j'espère qu'il te satisfait ton petit mari.
Je lui répondis un peu mollement ce qui la fit sourire, elle avait tout compris.
Quand nous sommes rentrés ce soir là Rachid et moi, visiblement il nous attendait. Il avait déjà mangé et pus ainsi nous servir à table. Nous étions à la fin du repas qu'il nous annonça qu'il avait quelque chose à dire. Il tremblait et était tout rouge.
- oui tu veux dire quoi, l'interpellais je pour l'aider à démarrer.
- Euh j'ai vu Jeanne.
- Oui et alors?
- Elle voudrait, enfin elle a vu pour que je change de boulot.
- Ah bon, dis je pour lui laisser croire que nous ne savions rien.
- Oui car tu vas travailler toute la semaine à l'association.
- Oui je sais mais tu sais que je vais rentrer tard?
- Oui elle me l'a dit c'est pour ça que je vais rentrer plus tôt.
- Ça te va comme horaire?
- Euh enfin oui.
- C'est ce qui compte hein?
- Oui
- C'est tout.
- Non, tu prendras la voiture.
- Et toi.
- J'irai en vélo.
- Ah t'es chou de te dévouer.
- Oui c'est normal je rentre plus tôt.
- Ok merci .
- Rachid peut coucher dans le lit, dit il tout fébrile et d'une seule traite.
- Oui, dans lequel?
- Euh de la chambre, .... la grande.
- Ok et toi?
- Sur le matelas, car je vais me lever tôt.
- Ah bon, à quelle heure.
- Vers 4h30 car je travaille à 5 et il faut un peu de temps pour y aller.
- Ah oui je comprends. C'est bien tout ça. T'es content, dis je un peu provocatrice.
- Euh oui oui. Tu diras à Jeanne que je te l'ai dit.
- Bien sûre je lui dirai. Bon ça commence quand.
- ..... ce soir, j'ai déjà commencé le job au magasin.
- Ça doit te changer.
- Oui, oui, c'est avec Ali.
- Ah le connard.
- Oui c'est mon chef.
- T'as intérêt à faire gaf c'est un vicieux mais tu vas bien te défendre.
- Oui pas de problème.
- Bon on peut peut être ouvrir une bouteille de champagne.
- Ok si tu veux.
C'était un peu sadique mais je n'ai pas pu m'en empêcher. Jeanne m'avait dit de ne pas hésiter à forcer la dose pour bien le mater. Elle veut en faire un vrai toutou.
Apres ça il est parti se coucher sur le vieux matelas. Nous on n'a pas tardé car se retrouver dans le nouveau lit "conjugal" avec mon amant !!!!
Je crois que Rachid était super excité et moi aussi. Je ne sais plus combien de fois il m'a fait jouir mais en tout les cas Luc a pu les compter car j'ai couiné comme je le fais depuis l'arrivée de Rachid entre mes cuisses. Les voisins aussi car ils ont dû entendre, le soir les bruits portent mieux. Et ils ont pu deviner d'où ça venait car le matin je suis sorti de l'immeuble avec Rachid et le soir rentrée encore avec lui et ça tous les jours.