Eva et la mascotte de l'équipe de rugby.3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2021 dans la catégorie Plus on est
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Eva et la mascotte de l'équipe de rugby.3
EVA fait la connaissance de la mascotte de l’équipe de rugby. 3
Patrice vient de tarir la source mais si je veux sauver mes frustes, il faut que je les lave immédiatement sinon tout sera à jeter. Je reprends enfin mes esprits et l’engueule :-Mais t’es pas un peu malade ! Tu voulais m’asphyxier ou quoi ? Et mes habits, putain de merde !
T’es encore pire qu’une femme fontaine, je commence à comprendre pourquoi tu te fais traire par tant de personne. Un cas comme toi, on en rencontre-pas à chaque coin de rue.
Je me déshabille et vais mettre à tremper mes habits dans la salle de bain puis reviens en soutif et string vers les garçons. Vivien se moque de moi mais j’aurais bien voulu lui voir…On est les trois en petit tenue et il propose, au point où on en est, de finir à poil, aussitôt-dit, aussitôt-fait.
Suite :Patrice est étendu sur le coté, son sexe flasque touche presque le sol. Je ne peux m’empêcher de regarder le corps de ce jeune garçon pas encore adulte affublé d’un engin pareil que ne renieraient pas certains blacks. Je m'arrache avec un peu de volonté à cette vision érotique mais j’ai le front brûlant et une envie énorme de me faire culbuter par ce « cas », fantasmant avec un peu d’imagination sur la teub monstrueuse et disproportionnée par rapport à son physique de mon voisin. Je l'imagine en train de me contraindre à le sucer avant de me prendre, convaincu que j'aimerais me sentir toute distendue par un tel diamètre. Je m’y soumettrais volontiers, éprouvant des envies folles de le sentir boucher mes trous un à un.
Comme s’il avait entendu mes demandes muettes, Patrice recommence à se masturber lentement et quand son sexe reprend enfin du gourdin, il me caresse les mollets, les chevilles et les pieds avec son braquemart retrouvé. Sa tumescence rigide de dresse tel un étendard. Il s’allonge sur le dos, le sexe dressé comme une invitation à venir m’empaler dessus, mmmhhh… Je ne peux résister à son appel et je chevauche son corps, mes jambes repliées et mes chevilles à cheval sur ses cuisses, mes mains à plat sur sa poitrine. Je me laisse descendre sur le pic dressé qui coulisse en moi, c’est à la fois tendre et puissant, vu la grosseur de son gourdin. Je vais à mon rythme prenant mon pied gravement pendant qu’il émet des bruits rauques d’excitation.
Je lui fais découvrir le supplice du foulard, vous connaissez ? Vous nouez un foulard de soie plusieurs fois que vous introduisez dans le rectum de votre amant, (préalablement lubrifié par une la langue experte), et vous le retirez ensuite en passant une main derrière pour le saisir tandis que vous chevauchez votre partenaire comme un jockey monté sur un piston. Chaque nœud que vous retirez l’amenant à l’apothéose.
Les coups de queue que je me donne me font prendre un pied incroyable, je me lime comme jamais,accélérant et ralentissant le rythme à ma convenance. Je ne peux plus me retenir et geins de plus en plus. Ses mains accrochées à mes fesses me forcent à accélérer l’allure sur cette formidable pine qui me pénètre complètement. Je n’aurais jamais imaginé qu’une queue si grosse puisse donner tant de plaisir. Je viens d’avoir un orgasme. Je ne me souviens plus d’en avoir eu un d’une telle puissance.
Je redescends sur terre doucement, les muscles de mon vagin se contractent encore, indépendamment de ma volonté sur ce rostre fiché en moi, les yeux fermés. Je les ouvre et observe ce godelureau qui me sourit, comme si ça ne le concernait pas. Je retire son sexe de mon vagin d’où s’écoule ma mouille, je saisis sa queue que je viens frotter à mon minou trempé du dernier assaut.
Je le balade sur mon petit trou. Il comprend au quart de tour et je sens ses doigts glisser entre mes fesses et titiller mon petit trou, je suis toujours à quatre pattes, mes fesses dressées. Sa main passe de mon sexe gonflé et trempé à ma rondelle et ses doigts s’y frottent sous mes gémissements.
Il continue ses va et vient, crachant de temps en temps sur ses doigts ou me les faisant lécher.
Il me donne un de ses doigts à sucer que je prends en bouche comme si c’était sa queue, l’aspirant, le mouillant de ma salive… Puis il revient titiller mon petit orifice avec ce doigt, y enfonce une phalange, puis deux… Un soupir de plaisir s’échappe de ma bouche, humm quel plaisir ! Des frissons de peur ou de plaisir parcourent mon corps à l’idée de ce qui va suivre. Ce n’est pas la première fois que je me fais enculer, et je dois dire que j’aime assez ça, mais le gabarit qui va écarter ma mortaise est peu commun.
Il me ramone avec son doigt, puis un deuxième vient lui prêter « main forte », si je puis dire. Je n’y tiens plus, je veux qu’il me prenne!
- Viens, encule-moi, prends mon cul avec ta bite de poney!
- Puisque tu le demandes si gentiment, je vais te prendre ton cul de salope, mais cette fois, c’est moi qui mène la danse ! Me rétorque-t-il.
Il me repousse et s’installe derrière moi, mon cerveau est comme engourdi, ayant repoussé dans un coin la vue impressionnante de la taille de l’engin de ce jeune coq, mais Patrice me rappelle à la réalité en frappant violemment mes fesses avec son gourdin.
-Toutes les femmes n’acceptent pas d’avoir ça dans leur cul, Eva, j’espère que tu n’es pas comme elles!
D’un formidable coup de reins, il force l’entrée, propulsant dix bons centimètres entre mes fesses.
-OOOOOOHHHH !!! Putain de merde ! Outch ! Tu me casses le cul !
J’espère que les voisins de Vivien sont absents sinon ils risquent d’appeler police-secours.
Patrice a plaqué ses mains sur le haut de mes cuisses, j’ai la tête enfouie entre mes bras, mes ongles plantés dans mes paumes. Mais il a cure de mes jérémiades et sa queue s’enfonce toujours plus loin dans mon petit cul, son gourdin me remplit comme jamais, mon petit trou complètement distendu, mon cul entièrement offert à cet énorme défonce-cul. Encore une chance que je soie une habituée de telles pratiques !
Ses va et vient deviennent plus puissants, je râle de plaisir, de douleur aussi sous une fessées et des mots crus qui accompagnent son action et me font perdre la notion du temps.
Vivien se fout de moi, me traitant de sainte-nitouche qui ne sait pas ce qui est bon. Furieuse, je lui rétorque :-Je voudrais bien t’y voir, toi ! Et d’ailleurs, pourquoi-pas ? Je te mets au défi de faire comme moi, de te faire casser le cul par cette espèce de morpion monté comme un âne. Je suis sûre que tu n’oseras-pas !
Je l’ai pris de court, il est piégé et s’il ne veut pas passer pour une poule mouillée, il va devoir y passer… Mais il lui faut quand même un long moment avant de répondre.
-C’est à ton tour de me mettre au défi ? Je ne suis pas un PD mais il ne sera pas dit que je refuse ce que toi tu acceptes, et on dirait même que ça te plait, salope !
Vivien se met à coté de moi, Patrice décule, me permettant de préparer le trou identique chez les hommes et les femmes avec une bonne couche de lubrifiant et mes doigts inquisiteurs. Patrice me regarde faire, se branlant lentement pour entretenir son érection. Quand je considère que Vivien est près, j’attrape la queue de Patrice comme je tiendrais un chien en laisse et le guide vers l’anneau fripé de Vivien. Je passe l’engin entre ses fesses pour en graisser le gland puis je me recule pour profiter du spectacle.
L’image est saisissante. On dirait un basset qui essaie de sauter un doberman ! Le contraste entre le corps assez fluet de Patrice et celui, massif de Vivien est bizarre, anormal. Je vois Vivien serrer les dents quand Patrice, les mains sur les hanches de Vivien, donne un coup de reins, faisant disparaître son gland massif et quelques centimètres de son gourdin dans le fondement de son comparse.
On dirait un père qui porte son jeune fils sur son dos, mais le fils en question a planté son chibre au plus profond du paternel. Maintenant Patrice s’active sans plus aucune précaution entre les fesses de Vivien qui grogne comme un Chartier :-Putain de salaud, tu pourrais y aller plus doucement ! Comment peux-tu aimer ça Eva ? C’est atroce !
On voit que Vivien n’a pas ma longue expérience… Mais comme pour moi, Patrice ne tient pas compte des récriminations de sa « victime » et continue de le troncher avec vigueur, s’accrochant comme un morpion aux couilles et résistant aux ruades de Vivien pour ne pas choir de ce mustang fougueux et musclé presque deux fois plus lourd que lui, tel un cow-boy dans un rodéo.
A suivre…
Patrice vient de tarir la source mais si je veux sauver mes frustes, il faut que je les lave immédiatement sinon tout sera à jeter. Je reprends enfin mes esprits et l’engueule :-Mais t’es pas un peu malade ! Tu voulais m’asphyxier ou quoi ? Et mes habits, putain de merde !
T’es encore pire qu’une femme fontaine, je commence à comprendre pourquoi tu te fais traire par tant de personne. Un cas comme toi, on en rencontre-pas à chaque coin de rue.
Je me déshabille et vais mettre à tremper mes habits dans la salle de bain puis reviens en soutif et string vers les garçons. Vivien se moque de moi mais j’aurais bien voulu lui voir…On est les trois en petit tenue et il propose, au point où on en est, de finir à poil, aussitôt-dit, aussitôt-fait.
Suite :Patrice est étendu sur le coté, son sexe flasque touche presque le sol. Je ne peux m’empêcher de regarder le corps de ce jeune garçon pas encore adulte affublé d’un engin pareil que ne renieraient pas certains blacks. Je m'arrache avec un peu de volonté à cette vision érotique mais j’ai le front brûlant et une envie énorme de me faire culbuter par ce « cas », fantasmant avec un peu d’imagination sur la teub monstrueuse et disproportionnée par rapport à son physique de mon voisin. Je l'imagine en train de me contraindre à le sucer avant de me prendre, convaincu que j'aimerais me sentir toute distendue par un tel diamètre. Je m’y soumettrais volontiers, éprouvant des envies folles de le sentir boucher mes trous un à un.
Comme s’il avait entendu mes demandes muettes, Patrice recommence à se masturber lentement et quand son sexe reprend enfin du gourdin, il me caresse les mollets, les chevilles et les pieds avec son braquemart retrouvé. Sa tumescence rigide de dresse tel un étendard. Il s’allonge sur le dos, le sexe dressé comme une invitation à venir m’empaler dessus, mmmhhh… Je ne peux résister à son appel et je chevauche son corps, mes jambes repliées et mes chevilles à cheval sur ses cuisses, mes mains à plat sur sa poitrine. Je me laisse descendre sur le pic dressé qui coulisse en moi, c’est à la fois tendre et puissant, vu la grosseur de son gourdin. Je vais à mon rythme prenant mon pied gravement pendant qu’il émet des bruits rauques d’excitation.
Je lui fais découvrir le supplice du foulard, vous connaissez ? Vous nouez un foulard de soie plusieurs fois que vous introduisez dans le rectum de votre amant, (préalablement lubrifié par une la langue experte), et vous le retirez ensuite en passant une main derrière pour le saisir tandis que vous chevauchez votre partenaire comme un jockey monté sur un piston. Chaque nœud que vous retirez l’amenant à l’apothéose.
Les coups de queue que je me donne me font prendre un pied incroyable, je me lime comme jamais,accélérant et ralentissant le rythme à ma convenance. Je ne peux plus me retenir et geins de plus en plus. Ses mains accrochées à mes fesses me forcent à accélérer l’allure sur cette formidable pine qui me pénètre complètement. Je n’aurais jamais imaginé qu’une queue si grosse puisse donner tant de plaisir. Je viens d’avoir un orgasme. Je ne me souviens plus d’en avoir eu un d’une telle puissance.
Je redescends sur terre doucement, les muscles de mon vagin se contractent encore, indépendamment de ma volonté sur ce rostre fiché en moi, les yeux fermés. Je les ouvre et observe ce godelureau qui me sourit, comme si ça ne le concernait pas. Je retire son sexe de mon vagin d’où s’écoule ma mouille, je saisis sa queue que je viens frotter à mon minou trempé du dernier assaut.
Je le balade sur mon petit trou. Il comprend au quart de tour et je sens ses doigts glisser entre mes fesses et titiller mon petit trou, je suis toujours à quatre pattes, mes fesses dressées. Sa main passe de mon sexe gonflé et trempé à ma rondelle et ses doigts s’y frottent sous mes gémissements.
Il continue ses va et vient, crachant de temps en temps sur ses doigts ou me les faisant lécher.
Il me donne un de ses doigts à sucer que je prends en bouche comme si c’était sa queue, l’aspirant, le mouillant de ma salive… Puis il revient titiller mon petit orifice avec ce doigt, y enfonce une phalange, puis deux… Un soupir de plaisir s’échappe de ma bouche, humm quel plaisir ! Des frissons de peur ou de plaisir parcourent mon corps à l’idée de ce qui va suivre. Ce n’est pas la première fois que je me fais enculer, et je dois dire que j’aime assez ça, mais le gabarit qui va écarter ma mortaise est peu commun.
Il me ramone avec son doigt, puis un deuxième vient lui prêter « main forte », si je puis dire. Je n’y tiens plus, je veux qu’il me prenne!
- Viens, encule-moi, prends mon cul avec ta bite de poney!
- Puisque tu le demandes si gentiment, je vais te prendre ton cul de salope, mais cette fois, c’est moi qui mène la danse ! Me rétorque-t-il.
Il me repousse et s’installe derrière moi, mon cerveau est comme engourdi, ayant repoussé dans un coin la vue impressionnante de la taille de l’engin de ce jeune coq, mais Patrice me rappelle à la réalité en frappant violemment mes fesses avec son gourdin.
-Toutes les femmes n’acceptent pas d’avoir ça dans leur cul, Eva, j’espère que tu n’es pas comme elles!
D’un formidable coup de reins, il force l’entrée, propulsant dix bons centimètres entre mes fesses.
-OOOOOOHHHH !!! Putain de merde ! Outch ! Tu me casses le cul !
J’espère que les voisins de Vivien sont absents sinon ils risquent d’appeler police-secours.
Patrice a plaqué ses mains sur le haut de mes cuisses, j’ai la tête enfouie entre mes bras, mes ongles plantés dans mes paumes. Mais il a cure de mes jérémiades et sa queue s’enfonce toujours plus loin dans mon petit cul, son gourdin me remplit comme jamais, mon petit trou complètement distendu, mon cul entièrement offert à cet énorme défonce-cul. Encore une chance que je soie une habituée de telles pratiques !
Ses va et vient deviennent plus puissants, je râle de plaisir, de douleur aussi sous une fessées et des mots crus qui accompagnent son action et me font perdre la notion du temps.
Vivien se fout de moi, me traitant de sainte-nitouche qui ne sait pas ce qui est bon. Furieuse, je lui rétorque :-Je voudrais bien t’y voir, toi ! Et d’ailleurs, pourquoi-pas ? Je te mets au défi de faire comme moi, de te faire casser le cul par cette espèce de morpion monté comme un âne. Je suis sûre que tu n’oseras-pas !
Je l’ai pris de court, il est piégé et s’il ne veut pas passer pour une poule mouillée, il va devoir y passer… Mais il lui faut quand même un long moment avant de répondre.
-C’est à ton tour de me mettre au défi ? Je ne suis pas un PD mais il ne sera pas dit que je refuse ce que toi tu acceptes, et on dirait même que ça te plait, salope !
Vivien se met à coté de moi, Patrice décule, me permettant de préparer le trou identique chez les hommes et les femmes avec une bonne couche de lubrifiant et mes doigts inquisiteurs. Patrice me regarde faire, se branlant lentement pour entretenir son érection. Quand je considère que Vivien est près, j’attrape la queue de Patrice comme je tiendrais un chien en laisse et le guide vers l’anneau fripé de Vivien. Je passe l’engin entre ses fesses pour en graisser le gland puis je me recule pour profiter du spectacle.
L’image est saisissante. On dirait un basset qui essaie de sauter un doberman ! Le contraste entre le corps assez fluet de Patrice et celui, massif de Vivien est bizarre, anormal. Je vois Vivien serrer les dents quand Patrice, les mains sur les hanches de Vivien, donne un coup de reins, faisant disparaître son gland massif et quelques centimètres de son gourdin dans le fondement de son comparse.
On dirait un père qui porte son jeune fils sur son dos, mais le fils en question a planté son chibre au plus profond du paternel. Maintenant Patrice s’active sans plus aucune précaution entre les fesses de Vivien qui grogne comme un Chartier :-Putain de salaud, tu pourrais y aller plus doucement ! Comment peux-tu aimer ça Eva ? C’est atroce !
On voit que Vivien n’a pas ma longue expérience… Mais comme pour moi, Patrice ne tient pas compte des récriminations de sa « victime » et continue de le troncher avec vigueur, s’accrochant comme un morpion aux couilles et résistant aux ruades de Vivien pour ne pas choir de ce mustang fougueux et musclé presque deux fois plus lourd que lui, tel un cow-boy dans un rodéo.
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle image le rodéo
Ou du sport en chambre
C'est ça qu'on appelle la 3eme mi-temps ?