A son insu

- Par l'auteur HDS Maxime45000 -
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Récit libertin : A son insu Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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A son insu
Mes affaires tournaient plutôt bien et ma notoriété se développait. Certes, mon investissement y était pour beaucoup, mais je pouvais également compter sur 3 atouts non négligeables :
Claude, mon meilleur client et ami, était un ambassadeur efficace et m'envoyait beaucoup de prospects. La présence de Nadia qui m’aidait beaucoup et me permettait de me dégager du temps commercial. Ses tenues moulantes et sa poitrine opulente qu’elle mettait savamment en valeur contribuaient également à fidéliser certains clients et en attirer d’autres.
J’avais également une salariée à l’époque, Charlène. C’était une jolie jeune femme de 24 ans, que j’ avais embauchée à sa sortie de l’école. Pas d’expérience, mais j’avais décelé en elle du potentiel : intelligente, volontaire et réactive, elle avait une personnalité bien plantée mais restait malléable ; j’allais pouvoir la former comme je le souhaitais... Charlène m’avait également séduit : Ses cheveux châtains, longs et légèrement ondulés, ses grands yeux noisette et sa délicate petite bouche aux lèvres charnues m’avaient ému. Son beau visage de poupée de porcelaine, qu’elle savait mettre en valeur par un maquillage léger mais très efficace faisait fondre mon cœur de papa. Délicieusement enrobée, mais terriblement pulpeuse, Charlène arborait fièrement son bonnet D ; ses hanches larges et ses fesses rebondies suscitaient l’envie chez les hommes qui promenaient leur regard sur ses courbes gourmandes. Un avantage commercial dont je tirais parti !

Les jours ou Nadia et Charlène étaient toutes deux présentes au magasin, c’était la fête des sens, pour moi et pour les clients et des prospects ! Nadia s’installait à l’accueil, face à la vitrine et à l’entrée. Le bureau que j’avais aménagé pour Charlène donnait sur la rue avec une grande fenêtre au travers de laquelle les passants pouvaient la voir. Les deux Grâces ainsi exposées en vitrine donnaient à mon échoppe à la devanture pourpre un air de bordel du quartier rouge d’Amsterdam. Je suis convaincu que beaucoup de passants et de clients partageaient mon analyse et tombaient dans mon stratagème. D’ailleurs Claude avait baptisé Nadia et Charlène « les putes ». De sa voix enjouée et avec son air graveleux, il envoyait souvent à mon égard des remarques telles que, « je vais passer voir les putes, comment vont tes putes, tiens v’la le maquereau, alors t’as relevé les compteurs ? les affaires vont bien : elles ont bien tapiné les putains ? tu leur a mis un petit coup ce matin à tes tapineuses pour leur donner de l’entrain ?"… Sacré Claude !

Généreux, il s’était pris d’une affection paternelle et protectrice pour Charlène : « t’es comme ma fille ! » lui disait-il souvent. La délicieuse jeune femme qui voyait clair dans le jeu du bellâtre avait deviné que son papa de cœur avait des vues incestueuses : « J’aime pas quand il vient quand vous n’ êtes pas là" - m’avait-elle confié un jour – "il arrête pas de me mater ». Je l’avais rassurée : « ne t’inquiète pas, il n’est pas méchant, tu ne risques rien. Et puis il a le cœur sur la main tu peux compter sur lui si tu as besoin. Il faut chercher le positif dans toutes choses… » lui avais-je conseillé...

J’avais beaucoup d’influence sur Charlène, professionnellement avant tout, et petit à petit sur un plan également personnel. J’avais entrepris avec elle un travail de mise en confiance machiavélique. Je suis quelqu’un de patient. Les graines que je plantais germeraient un jour… J’étais exigeant et directif quand nécessaire avec Charlène ; mais je la choyais également. j’avais opté pour un management tout à la fois paternaliste et ferme avec elle. Au bout d’une année, elle était devenue une collaboratrice efficace, dévouée et docile. Je saurai en tirer parti le moment venu.

Un samedi très chaud de juillet, Nadia Charlène et moi étions à l’agence où régnait une chaleur intense. Mes deux girondes avaient opté pour des tenues légères afin de supporter l’atmosphère suffoquent. Ma brune aux yeux verts portait une robe fine à bretelles, avec un imprimé fleuri sur fond blanc ; un wonderbra en fine dentelle blanche rehaussait sa poitrine. En s’attardant, on pouvait deviner la marque brune de ses larges auréoles mammaires. Lorsqu’elle passait devant les vitrines, Le soleil magicien jouait de sa lumière sur le fin tissu de sa robe pour laisser transparaître les courbes généreuses de ses fesses. Vue côté pile ou côté face, les rayons X laissaient deviner son entre cuisse et sa vulve bombée qui emplissait le fin triangle de dentelle du string assorti à son soutien-gorge.

La belle Charlène avait opté pour un top à bretelle en satin crème, légèrement décolleté, qui s’apparentait plutôt à un vêtement de nuit. Elle avait mis son magnifique céans en valeur avec un short seillant en lin. Ce tissu est insidieux : lorsqu’il se froisse, les plis formés ont tendance à se figer. Elle était restée un long moment les cuisses croisées derrière son bureau en début de matinée. Un mauvais pli s’était installé et dévoilait le renflement en haut des adducteurs majeurs de ses cuisses généreuses. Le traitre tissu m’avait laissé entrevoir les bords de la culotte grise en coton qui enveloppait son large pubis. Vu de derrière, le short complice laissait voir subrepticement le rebondi de sa fesses droite.
Lorsque durant la matinée, elle s’était penchée à côté de moi sur mon bureau pour discuter d’un dossier, j’avais pu me délecter discrètement du spectacle de ses énormes seins pesants dans son « soutif ». La vue plongeante de la gorge vertigineuse formée entre ses deux globes laiteux m’avait procuré des frissons dans le bas ventre. Son parfum frais, l'odeur de sa peau perlante de sueur, m'ennivrais. A plusieurs reprises ce matin-là, j’avais pu contempler ses tétons qui transperçaient le coton de sa protection mammaire et déformaient le satin de sa nuisette.

C’était plus fort que moi et j’avais beaucoup de mal à me concentrer sur mon labeur : je me laissais aller à imaginer des scénarios érotico-pornographiques ou Nadia et Charlène, complices, s’exhibaient devant moi, se fouillaient mutuellement la bouche à pleine langue, se partageaient ma queue agenouillées devant moi, leurs mamelles ballantes sorties de leurs vêtements. Je les imaginais le haut du corps penché sur mon bureau, leur cul dénudé tendu en arrière, les cuisses écartée, leur vagin écarlate, béants, luisants de cyprine, offerts à mes 10 doigts qui les fouillaient, pendant qu’elle s’adonnent à des jeux de langue baveux. Patience …

Un SMS de Claude me tira de mes songes libidineux : « elles ont pas trop chaud les deux putes ? » Une idée me traversa instantanément l’esprit : je devais faire profiter mon ami de ce merveilleux spectacle ; mais il me fallait quelques minutes pour lui donner encore plus d’intensité. « Viens à l’agence dans 45mn, tu vas pas être déçu. Apporte une bouteille fraîche de ton fameux rosé ».

Je devais faire vite pour mettre mon plan à exécution. Je convoquais Nadia dans mon bureau. Je l’accueillais avec un sourire qu’elle connaissait bien
« ferme la porte Chérie
- Oh toi, t’as une mauvaise idée derrière la tête
- Viens tout près de moi"
Docile elle s’exécuta. Je plaçais ma main sur sa cuisse et remontait immédiatement sur ses fesses que je flattais et palpais.
« Coquin » me dit-elle avec un sourire entendu. Je glissais ma main entre ses cuisses et poussais du revers de la main pour qu’elle les écarte. J’appuyai mon index et mon majeur sur sa vulve et insistais pour ouvrir la fente de ses grandes lèvres. Le tissu de son string était chaud et humide.
« Ma pauvre chérie, tu as chaud »
J’écartais le tissus et glissais mon index dans sa fente. Mon doigt pénétra sans difficulté dans son conduit gluant de cyprine et de sueur. Elle lâcha un petit gémissement et renversa légèrement la tête. Je la fouillai délicatement pour imbiber mon doigt de son nectar, je le sorti et je le portais à ma bouche pour me délecter de sa liqueur à la fois âpre et sucrée. Elle me regarda faire, un regard et un sourire acquiesçant. J’y retournais, mais cette fois l’index accompagné du majeur. Aucune résistance, ses chairs intimes étaient molles et suintantes. Elle s’inquiéta un peu :
« Attention si Charlène arrive …
- Elle est bien éduquée, elle sait qu’il ne faut pas me déranger quand je ferme la porte de mon bureau.
- Elle est mignone me dit elle
- Très » - confirmai-je

J’enfonçais avec force mes deux doigts au fond de son vagin pour atteindre son col de l’utérus et commençais de le masser. La salope délurée adore ça. Je ressortais de temps à autre mes doigts en prenant soin de les écarter pour bien dilater son vagin. J’effleurais son clitoris pour lui tirer de délicieux gémissement, puis j’enfonçais de nouveau mes doigts sans ménagement aux tréfonds de son conduit pour reprendre l’assaut de son col.
« Tu mouilles bien ma petite pute. T’aime ça te faire fouiller la chatte uhn ?
- Oui … oh oui … vas y
La chatte de Nadia était dégoulinante de mouille qui commençait de couler le long de l'intérieur de ses cuisses. Je retirai mes doigts et replaçai le string. Avec mes deux index et mes deux majeurs, J’appuyai pour le faire rentrer le tissu dans sa chatte afin qu’il s’imbibe de son jus. Puis je lui ordonnai de retirer le frêle vêtement. Docile, elle s’exécuta immédiatement et me le tendis. Je le saisis, le portai à mon nez pour le sentir, j’ouvris un tiroir de mon bureau pour y déposer mon butin. Je me saisis d’un mini stabilo.
« Ouvre ta chatte ». ordonnai-je
Un sourire et un regard pervers illuminaient son visage de femme fatale. Elle souleva le bas de sa robe, porta ses mains sur les côté se son pubis, ajusta ses index et écarta ses grandes et petites lèvres. J'adorai la voir dans ce type de position et d'attitude soumise qui me permettait de mesurer l'emprise perverse que j'avais sur elle. Nadia aimait être dominée ; mon côté pervers qui tranchait avec ma peronnalité sérieuse et BCBG, la troublait profondément et l'excitait terriblement. Je confirmai l’état de lubrification de son vagin, moullai le stabilo de salive, et le lui fourrai dans sa grotte, tout au fond.
« Je veux que tu le garde au chaud. J’irai le rechercher plus tard. Retourne travailler ».
Elle s’exécuta sans dire un mot. Lorsqu’elle ouvrit la porte, la lumière inonda mon bureau, et je pu distinguer les arêtes de ses grandes lèvres ouvertes à travers le tissu translucide de sa robe. D’après mes prévisions et en parfaite connaissance de son anatomie, j’étais certain que son abricot resterai à peu près dans cet état un bon moment. Suffisamment longtemps pour que Claude puisse lui aussi jouir du spectacle.

Nadia accueillit un client sans culotte et un stabilo dans la moule.

Je descendis la braguette de mon pantalon, masquée par les pans de ma chemise. Je rendis visite à Charlène dans son bureau prétextant un besoin de renseignement sur un dossier pour la reluquer de nouveau ; le gland trempé dans mon boxer souillé, les doigts imbibés du fumet de ma salope de femme, l’haleine que j’espérais chargée des effluves de sa liqueur savoureuse. Qui sait ? Cela produirait peut être quelques effets chimiques et des conséquences physiologiques sur la jeune naïve ? Je suis de nature curieuse et aventurière ; j’aime tenter des expériences …
Je m’approchais d’elle pour lui parler, Je gesticulais pour diffuser les parfums intimes de ma femelle. Je tournais autour de Charlène espérant qu’elle perçoive l’odeur dégagée par mon sexe suintant. Je la scrutais pour identifier sur les mimiques de son visage un signe qui confirmerait la réception des messages chimiques que j'envoyais. A un moment, Je crus percevoir une perte de concentration et un air interrogatif sur son visage angélique. J’interrompis mes explications :
« Il y a quelque chose que tu n’as pas compris Charlène ? tu veux que je précise certains points ?
- Euh non … pardon … j’ai été distraite un instant. Mais c’est bon je pense avoir compris. De toute façon, si j’ai besoin, je viendrai vous demander.
- Parfait Charlène. Viens me donner le dossier dès que tu as terminé ».

Claude franchit la porte de l’agence, un sac de papier dans la main, au moment où je quittais le bureau de ma collaboratrice.
Nous échangeâmes une cordiale poignée de main et les politesses habituelles. Je Regagnais mon bureau alors que Nadia s’était prudemment soulevée pour faire la bise à mon ami. L’homme du bâtiment s’engouffra ensuite dans le bureau de Charlène pour la saisir par ses épaules nue et lui asséner des bises appuyée, quatre, comme à son habitude. Il discuta quelques instants avec « les deux putes » et bien évidemment ne manqua pas de les reluquer. Je me satisfaisais déjà de l’émoi que la tenue des deux femelles avait imanquablement généré dans son cerveau pervers.
Il me rejoignit dans mon bureau. Je lui fis signe de fermer la porte. Il perçut immédiatement le sourire complice que je lui adressais. A peine assis devant moi il me lança tout bas :
« Oh putain comment elle sont bonnes aujourd’hui !
- A ton avis, pourquoi je t’ai fait venir
- T’es un ami ! un vrai ami !
- Et t’as pas tout vu et tu ne sais pas tout …
- Quoi ? raconte ! »
Impatient, j’ouvris mon tiroir, sorti le string de Nadia pour le déposer sur le bureau face à mon complice
« Bah c’est à qui ça ?
- A Nadia
Il se saisit du bout de tissu et le déchiffonna
- Putain c’est trempé ?! Nan ? elle est à poil sous sa robe là ? »
J’acquiesçais un sourire pervers aux lèvres. Il perdit son expression de surprise au profit d’un air satisfait et gourmant, tel un gamin devant son gâteau préféré. Il porta le string à son nez et inspira à plusieurs reprises.
- Ah la vache comment elle sent bon ta femelle. Tu me gâtes mon maxime. J’ai le droit de goûter ?
- Je t’en prie, fais-toi plaisir »
Claude posa délicatement le bout de sa langue sur les souillures qui ornaient la partie pleine de l’étoffe entourée de dentelle. Il l’humecta légèrement pour mieux imprégner ses capteurs linguaux, renifla de nouveau longuement et bruyamment. Je repris la parole :
« Non seulement elle a la chatte à l’air, mais elle se promène avec un stabilo enfourné dans le vagin
- Nan ! Tu déconnes là ?
- Chut … pas si fort
- Salaud ! et elle se laisse faire comme ça la salope ?

Satisfait de l’effet de surprise et du vif intérêt que je procurais à mon ami, je lui racontai fièrement, avec force de détails, l’exploration vaginale que j’avais imposée à Nadia quelques minutes auparavant. Je lui confiais que mon but ultime était de partager avec lui mon forfait et la pièce à conviction qu'il tenait en main. Le gaillard ne tarissait plus d'expression de reconnaissance.
Nous échangeâmes des commentaires graveleux sur les tenues et les formes généreuses et provocantes des deux putes. Je le briefai sur la transparence de la robe de Nadia et les plis inespérés du short de Charlène, en lui recommandant d’être attentif mais néanmoins discret. Ce qui, je le savais, revenait à demander à un ivrogne de ne pas toucher à une bouteille d’alcool posée sur une table …
Je me levai, demandai à Nadia de fermer la boutique et j'invitais nos deux victimes à nous rejoindre dans mon bureau pour boire un verre.
Claude n’en perdit pas une miette lorsque Nadia s’encadra dans la porte et lui offrit malgré elle, la vision brouillée des contours de son intimité. Nadia, qui gardait la plupart du temps les cuisses serrées, constata le regard appuyé et libidineux de mon ami sur le cul de Charlène lorsque, hissée sur la pointe des pieds, elle attrapa les verres rangés sur la plus haute étagère de mon armoire de bureau. Chaque déplacement, chaque mouvement des deux belles étaient l’occasion de détailler leur magnifique et généreuse anatomie. Claude était joyeux, nous échangions régulièrement des regards et des sourires entendus.

Nous décidâmes de passer la soirée ensemble autour d’un barbecue. Charlène fût invitée mais déclina : elle avait une soirée prévue de longue date. Qu’importe, c’était partie remise.
Claude et Charlène prirent congès. Nous allions partir à notre tour quand Nadia demanda à récupérer son string. Je refusai :
« Je veux que tu restes le cul et la chatte nue sous ta robe, j’aime bien te savoir prête à l’emploi. Ca m’excite. Et puis j’aurai plaisir à la renifler la semaine prochaine si je veux faire une pause.
Elle me sourit et nous primes le chemin du retour. Durant le trajet, je conduisis de la main gauche, ma main droite était, elle, afférée à inspecter le vagin de Nadia et à jouer avec l’objet intrus qu’il abritait.

Claude quant à lui, était impatient de rentrer chez lui. Il allait s’isoler dans son bureau , humer à nouveau les effluves du string de ma salope et mater les vidéos volées qu’il avait l’habitude de réaliser avec son téléphone portable qu'il rangeait dans la poche de sa chemise, caméra vers l’extérieur.

Nul doute qu’il était tout autant impatient que moi que nous nous retrouvions pour passer la soirée ensemble.

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