Caroline et JP, son frère de sang
Récit érotique écrit par Maxime45000 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2010 dans la catégorie Plus on est
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Caroline et JP, son frère de sang
Le Bon JP … je haïssais ce type et je le hais encore … Il avait dévoyé Caroline …
Après leur première expérience quasi adultère, (voir récit n°3), il poursuivirent leurs jeux érotiques…
Le bon JP s’en était vanté à C qui me rapportait aujourd’hui ses confidences.
Un jour que JP et C étaient en pause et qu’ils contemplaient tous deux Caroline en train de discuter en fumant avec une collègue à quelques mètres d’eux, JP lança à C :
«- Elle est pas mal Caroline non ? (C qui à cette époque, n’avait pas encore gouté à sa collègue)
- oui elle est bonne … ça doit être un bon coup
- tu sais garder un secret ?
- oui bien sûr
- Elle m’a montré ses seins … ils sont bandant … je me suis branlé en les regardant un soir qu’elle m’avait ramené chez moi …. Je compte bien la baiser cette salope ….
- c’est pas vrai ! Tu partageras j’espère !!! …
- t’inquiètes …. Je suis pas chien avec mes potes … tu le sais … »
Un Jour C reçu un texto de JP en milieu d’après midi : « rapplique chez moi ya caro ça vo lcou d’oeil tu frappes et tu rentres . Code immeuble xxxx*»
15 mn plus tard, C tapait 2 coup à la porte du salopard et entrait dans la foulée, respectant les consignes du sms … la porte d’entrée donnait dans un vestibule qui communiquait avec le salon juste en face .
En entrant, C vit de suite caroline à genou à l’envers dans le canapé, accoudée au dossier, regardant dans sa direction l’air très étonnée et les yeux exorbités. Elle portait une robe printanière fleurie, remontée sur ses hanches. Son cul raisonnablement charnu était cambré à l’extrême ; ses cuisses étaient largement écartée. Son sexe luisait, la fente entrouverte, ses deux grandes lèvres roses plissées pendaient délicatement de chaque côté de son vagin, comme deux pétales rose humides, encadrées par un duvet blond.
Le haut de la robe avait été dégrafé et descendu sur son ventre rebondi. Positionnée ainsi, Caroline avait ses deux mamelles qui pendaient vulgairement, telle une vache prête pour la traite.
Son corps était tendu en arrière vers JP qui était assis dans un fauteuil en osier à 1m d’elle. Il avait le pantalon sur les chevilles, le bassin basculé en avant sur l’assise. Il tenait sa bite dans une main et le string de la blonde salope de l’autre, qu’il avait porté à son visage. IL souriait à C encadré dans la porte d’entrée en se masturbant.
Caroline revenue de sa surprise se redressa dans un sursaut, tournant le dos à C. la robe se rabattit sur ses fesses, comme tombe un rideau sur la scène d’un théâtre. Elle enfila le haut de sa robe à la hate, sans toutefois pouvoir remonter la fermeture.
« Entre C ! » lança Jp. C revint de sa surprise (il s’attendait à quelque chose de sympa mais ne s’attendait pas à voir cette scène). C referma la porte d’entrée, traversa le vestibule et pénétra dans la pièce, rendant son sourire à JP et regardant ensuite Caroline toujours de dos.
« Salut Caro »… puis il la rassura … « t’inquiète pas ça ne sortira pas de cette pièce ! »
Caroline ne répondit pas et se décida à se retourner vers JP et C. elle était rouge pivoine, l’air franchement gênée et décontenancée.
« ne t’en fait pas Caro, personne ne saura… notre secret est bien gardé avec C »
Caroline saisit son paquet de cigarette et s’asseyant dans le canapé, sortit une tige, la porta à ses lèvre et l’alluma toute tremblante … toujours silencieuse …
JP proposa un café à C qui refusa…
« je te rapporte tes CD » dit il … »cool comme morceau de blues … tu connais Caro ? »..
- non » dit elle imperceptiblement.
Jp pris le CD et alla le placer dans le lecteur, pendant que C s’installait dans l’autre fauteuil face à Caroline, assise dans le canapé, jambe croisée . Sa robe toujours dégrafée, le décolleté baillant, la belle serrait ses bras contre sa poitrine, les mains posées sur ses cuisses ; cette position qu’elle voulait protectrice serrait ses nichons l’un contre l’autre et lui faisait une poitrine provocante. Ses cuisses étaient dénudée jusqu’à mi hauteur.
Un morceau de blues langoureux emplie la pièce. C sortit un pétard et l’alluma . Il tira une bouffée puis le tendit à Caroline :
- » tient … ça va te remettre de tes émotions »
Hésitante, elle pris le joint et tira 2 bouffées
Le joint tourna quelques minutes et le visage de Caroline qui en avait avalée plusieurs bouffées, reprit peu à peu une couleur normale…
La Belle blonde ne semblait plus gênée, les effets du joint y aidant sans doute. Au contraire, elle ricanait à présent aux plaisanteries de JP et C qui tournaient en dérision ce qui venait de se passer. Elle avait desserrés les bras. Les 2 hommes pouvaient désormais se rincer l’œil sur ses nichons qui transparaissaient à travers le haut de la robe légère. Les deux tétons pointaient sous le tissus. Caroline toujours assise décroisa les jambes et s’avança pour saisir une clope dans le paquet posé sur la table basse. Ce faisant, la robe remonta sur ses cuisses entrouvertes. JP et C penchèrent la tête pour mater son entrecuisse alors qu’elle allumait sa clope en riant…
Caroline s’en aperçu et un sourire au coin des lèvre et le regard coquin, elle écarta un peu plus les jambes.
-« On voit pas très bien » remarqua JP
La coquine sépara encore plus ses genou, la robe se releva comme par magie et ses deux admirateur pure admirer sa blonde toison.
-« t’as l’air d’avoir le poil soyeux dis donc » dit C … »on peut toucher ?
- non répondit elle … les règles sont claires, on regarde mais on ne touche pas !
- ben dans ce cas allonge-toi un peu qu’on puisse admirer ta chatte ! »
Elle s’exécuta en gloussant bêtement… la substance illicite avait altéré sa raison … elle écarta encore plus ses cuisses rondes et remonta le bas de la robe sur son ventre. Cette fois elle offrait son sexe rose au regard des deux mâles excités. Ses deux grandes lèvres se décolèrent l’une de l’autre, accentuant la fissure sombre qu’elles protégeaient. La mouille qu’elle avait produite lors de sa précédente exhibition s’était un peu solidifiée et deux filets blanchâtres frémissant reliaient les ailes du papillon. Un dépôt laiteux stagnait dans les plis de son sexe béant. Les deux salopards se délectaient de cette vision autant émouvante que vulgaire.
- « fais voir tes Nibards Caro ! » ordonna JP
Mon ex femme, nouvelle salope, s’exécuta, toujours avec son sourire idiot aux lèvres et le regard un peu plus provocant. Ses yeux gris bleus métal plissés étaient vitreux et s’allumèrent alors qu’elle haussait les sourcils en baissant le haut de sa robe et déballant ses deux monts blancs qui tressautèrent légèrement sous le mouvement. Les deux boutons étaient érigés et les auréoles plissés. Elle avait avancé un peu plus son bassin qui dépassait de l’assise du canapé.
-« ouvre ta chatte maintenant salope » … dit JP d’un ton sec .
L’infirmière répondit à l’ordre derechef ; à l’aide de l’index du majeur et du pouce de ses deux mains dont elle fit deux pinces, elle saisit ses grandes lèvres et les sépara délicatement. Les deux morceaux de peau élastique se tendirent de part et d’autre de son trou et les deux étalons se penchèrent en avant pour observer le conduit rouge sombre humide qui s’ouvrait à eux. Un liquide mousseux reposait dans la cavité.
- « Tu mouille petite pute » dis C
- Attends ..dit JP … on a pas le droit de la toucher directement, mais les règles nous permettent de jouer un peu.
Il se leva et parti dans le placard de l’entrée. C et Caroline le virent revenir avec un balai. Il se rassit sur le fauteuil en osier à côté de C à environ 2m de la blondasse avachie dans le canapé, tête rentrée dans son coup, qui surprise d’abord émit un ricanement saccadé en lançant un « ah ouais » discret ….
JP baissa le manche en bois du balai et l’approcha des seins de Caroline… il caressa les pointes de la salope avec l’extrémité arrondi. Il passait de l’un à l’autre, les faisant vibrer à chaque caresses. Puis il approcha le manche de la bouche de mon ex. Elle sortit sa langue et le lécha, en regardant successivement ses deux maîtres d’un regard moelleux, haussant de nouveau les sourcils de temps à autre et riant la bouche ouverte. Elle accéléra le mouvement de sa langue et titilla l’extrémité du manche. Puis elle en engloutit 4 bon cm et le suçotât.
-« fout de la bave dessus ! »
Caroline qui devinait où JP voulait en venir, saliva, et fit couler successivement deux langues de bave sur le bout de bois. JP le ramena immédiatement vers lui, une goute de la salive de caroline perlait et oscillait sur le bout du manche qu’il approchait doucement du sexe de la blonde, qu’elle tenait toujours ouvert… elle releva légèrement la tête et regarda son entrecuisse.
JP présenta la tige de bois sur le bord du conduit luisant, et y déposa la bave fraichement récoltée. Le liquide s’insinua dans le vagin de la blondasse offerte. Puis d’un geste lent, il enfonça longuement et profondément le manche de l’heureux balai dans le tunnel. Caroline se tendit, relevant le bassin et tendant le cou. Le balai s’enfonça jusqu’à cogner et Jp le maintint contre la paroi de son utérus.
-« danse maintenant sale pute ! »
Caroline, les yeux révulsés, la bouche ouverte et la respiration haletante ondula ; alternant mouvement de haut en bas et mouvements circulaires. Elle lançait de petit cris étouffés rythmés de petits « oui » discrets … JP fit coulisser le manche dans le con de la truie qui râlait de plus en plus fort. Caroline regardait ses deux mâles l’un après l’autre puis son regard se posa sur le sexe de C qui se branlait, pantalon ouvert et baissé sur ses hanches.
C intervint : « fout toi en levrette petite cochonne » .
Le balai fut retourné, Caroline haletant s’exécuta et se remis dans la position dans laquelle C l’avait trouvée. Elle cambra les reins et le manche disparu de nouveau dans sa fente trempée.
Elle s’empalait elle-même sur le jouet improvisé, dans des mouvement langoureux qui mettait sa croupe merveilleusement en valeur et permettait aux deux pervers une observation précise. Elle tendait tellement son gros cul qu’il semblait que son anus gonflé allait éclater.
C pris le balai en main. JP le lui céda en lui faisant un clin d’œil. Il reprit le mouvement de va et vient, puis essaya une variante : il planta la tige au fond de la chatte de Caro et lui fit faire des mouvements circulaires, de plus en plus larges, comme pour élargir le trou déjà bien distendu. La chienne se rétracta en laissant s’échapper des cris longs et stridents, mais C poussa le balai pour suivre son mouvement de fuite et continua son mouvement sadique.
La blonde faisait le dos rond, les mamelles pendantes, la tête baissée à présent, regardant sous elle l’air inquiet, elle haletait rapidement.
- « putain faut trouver un truc plus gros, c’est pas suffisant » dis JP…
- Ouais t’as raison … hein grosse salope ? t’as envie de te la faire bien remplir ta grosse chatte ? … répond ! … »
- Oui … allez y … oui … c’est bon …. Remplissez moi …
- Hein que t’es une pute Caro?
- Oui je suis une pute ! vas y …. continue !!!
JP pantalon ouvert, la bite à la main, après avoir réfléchi quelques secondes, fit un saut éclair dans la cuisine pour revenir avec un concombre à la main …
- « vire le balai, on va la défoncer avec l’ami géant vert ! »
- Génial !!! s’amusa C en retirant le balai … alors que leur jolie collègue le rouge aux joues, reprenant son souffle, jetait un œil ahuri par-dessus son épaule au trente centimètre de longueur et au 15 cm de diamètre du légume qui se présentait déjà au bord de son con ….
- « t’es prête ? » interrogea JP ? … « tu vas en prendre plein la chatte grosse truie »
- Attends, faut le lubrifier sinon elle va morfler tempéra C»
C se pencha et lâcha un flot de salive sur le concombre posé au bord des lèvres, imité juste après par son acolyte … JP fit tourner le légume afin d’humecter l’entrée du conduit de la blonde qui, les yeux vitreux et la bouche bée, expirait bruyamment et par à-coup, attendant immobile et inquiète le moment fatidique.
« Tiens grosse salope … prends ça ! » : JP la poignarda d’un coup enfonçant le légume jusqu’au fond du vagin de l’infirmière qui hurla en grimaçant, en relevant la tête brusquement, la croupe tendue. JP maintenait le concombre contre l’utérus de Caro qui grogna longuement … son grognement s’étouffa peu à peu au fond de sa gorge… ses cuisses tremblait et sa croupe tressautait…elle se mit à hoqueter sous la pression maintenu par la main ferme de JP…Les deux salopard avaient un sourire sadique et les yeux exorbités devant le spectacle de sa chatte élargie, distendu par le pieu qui la transperçait.
JP sans desserrer les dents se pencha vers mon ex salope qui respirait comme une femme qui accouche :
- « tu le sens bien celui là hein sale chienne ? … il te remplit bien ta grosse chatte hein ? Ça te plait ça de te faire défoncer le conduit »
Carole ne répondit pas… sa respiration se coupa quand JP entama un mouvement de va et vient lent avec le légume, en donnant des torsions du poignet le faisant tourner dans l’orifice. Le pourtour de son sexe distendu épousait hermétiquement le concombre ; Un bourrelet rosâtre couronné de cyprine mousseuse se formait autour du chibre vert lors de ses mouvements de recul, pour disparaître lorsqu’il la pénétrait de nouveau. Le mouvement se fit plus rapide … l’infirmière salope laissait échapper des cri rauques incontrôlés à chaque assaut.
C se branlait et n’en pu plus ….
« -putain j’vai éjaculer ! »
Attend » dit JP en retirant d’un coup son arme de poing … un bruit de décompression vulgaire se fit entendre plusieurs secondes et descendit dans un espèce de « P » obscène … la chatte vibra mais resta affreusement ouverte… on voyait les entrailles sanguines du vagin de Caro, ses muqueuse suintantes de mouille, le fond de son trou visqueux.
« Il va te remplir Caro … t’en as envie chère collègue hein ? … dis le que t’ en as envie !!!
- oui rempli moi C … remplie moi ….vas y »
C s’approcha sur la pointe des pieds et tendit sa queue nerveuse bandée à l’extrême près du vagin déformé. Il râla alors qu’un jet de sperme frappait l’anus gonflé de la belle…. Les 4 ou 5 autres jets firent mouche et se perdirent dans le trou de la salope dont chaque expiration était ponctuée d’un « oui » aigue ….
La première salve redescendait déjà en une coulée lente et épaisse dans le cratère de mon ex ….
Elle souriait encore d’avoir senti le foutre s’insinuer en elle lorsque JP planta de nouveau le concombre dans ses chaires …. Elle hurla de nouveau ….. JP confia le manche à C qui se reprenait à peine … il repris le va et vient
L’hôte des lieux attrapa la blonde par sa tignasse légèrement crépue et la tira sur le côté vers lui, de côté
« Haaaann … » fit la soumise en quittant le dossier du canapé pour se retrouver à 4 pattes sur l’assise. C avait suivi le mouvement et maintenait la croupe tendue en hauteur. Une poignet de cheveux dans le poing serré, JP approcha le visage de sa proie près de sa queue qu’il masturbait toujours frénétiquement …. Carole rouvrit les yeux, sa bouche ouverte lui donnait un air hébété, elle le va le regard vers son ami de toujours …. JP avait un air presque méchant qui l’étonna sans doute …
« j’vai te salir ta jolie petite gueule d’infirmière bien sage … oh oui tu va tout prendre sur ta gueule de petite salope….hein ma Carole ? Tu vas voir tu vas aimer ça … demande le moi ! »
- Oui mon JP viens sur ma gueule … oui …
- encore…
- viens …. Asperge moi le visage …. Salie moi
- dis ce que tu es Carole … dis le …. Tu m’excite ….
- j’suis une pute …. J’suis ta pute mon JP …. Viens …. J’veux ton sperme… donne moi ton sperme…vas y … »
A ces mots, le bon JP retint sa bite décalottée jusqu’au frein … l’engin se tendit et un jet de foutre frappa le front de la blonde, éclata en perles qui se perdirent dans ses cheveux, un second tire atteignit le nez de la salope qui fronça les sourcils. Le liquide commençait déjà a descendre le long de l’appendice nasale épousant sa forme. Un peu du sperme stagna sous son œil droit. Les 2 rasades suivantes se déposèrent sur la joue droite de l’infirmière qui soufflait déjà pour repousser le liquide chaud et gélatineux qui s’immisçait entre ses lèvres gonflées… les deux derniers jets tombèrent sur le canapé …
Tout ce beau monde s’affala sur le canapé … Carole allongée sur le côté sur le canapé la joue sur la cuisse de son ami…les jambes recroquevillées, le légume toujours en elle, qui pendait. … C assis derrière elle, une main posée sur sa hanche … La blonde reprenait son souffle …. Le visage souillé de foutre déformé ….
Ils se rhabillèrent en riant … Carole gloussait … en leur disant … « vous êtes vraiment des enfoirés« …. Tout en leur lançant des regards complices ….
C’est en retard qu’elle rentra à la maison …. Me prévenant de son portable
- « je suis désolé chérie, j’ai passé un peu de temps avec JP, tu sais il ne va vraiment pas bien en ce moment, il a besoin d’aide … et je n‘ai pas vu le temps passer»…
Ma douce femme si altruiste … si dévouée à son frère de sang… n’était en réalité qu’une truie offerte à son frère de foutre ….
Ce soir là, il me semble que nous nous sommes engueulés, j’acceptais de plus en plus mal sa relation avec l’autre dégénéré, alcoolo dépressif …. Elle a du pleurer comme à chaque fois… me culpabilisant … le lendemain déjà je lui présentais mes excuses pour mon incompréhension …
Après leur première expérience quasi adultère, (voir récit n°3), il poursuivirent leurs jeux érotiques…
Le bon JP s’en était vanté à C qui me rapportait aujourd’hui ses confidences.
Un jour que JP et C étaient en pause et qu’ils contemplaient tous deux Caroline en train de discuter en fumant avec une collègue à quelques mètres d’eux, JP lança à C :
«- Elle est pas mal Caroline non ? (C qui à cette époque, n’avait pas encore gouté à sa collègue)
- oui elle est bonne … ça doit être un bon coup
- tu sais garder un secret ?
- oui bien sûr
- Elle m’a montré ses seins … ils sont bandant … je me suis branlé en les regardant un soir qu’elle m’avait ramené chez moi …. Je compte bien la baiser cette salope ….
- c’est pas vrai ! Tu partageras j’espère !!! …
- t’inquiètes …. Je suis pas chien avec mes potes … tu le sais … »
Un Jour C reçu un texto de JP en milieu d’après midi : « rapplique chez moi ya caro ça vo lcou d’oeil tu frappes et tu rentres . Code immeuble xxxx*»
15 mn plus tard, C tapait 2 coup à la porte du salopard et entrait dans la foulée, respectant les consignes du sms … la porte d’entrée donnait dans un vestibule qui communiquait avec le salon juste en face .
En entrant, C vit de suite caroline à genou à l’envers dans le canapé, accoudée au dossier, regardant dans sa direction l’air très étonnée et les yeux exorbités. Elle portait une robe printanière fleurie, remontée sur ses hanches. Son cul raisonnablement charnu était cambré à l’extrême ; ses cuisses étaient largement écartée. Son sexe luisait, la fente entrouverte, ses deux grandes lèvres roses plissées pendaient délicatement de chaque côté de son vagin, comme deux pétales rose humides, encadrées par un duvet blond.
Le haut de la robe avait été dégrafé et descendu sur son ventre rebondi. Positionnée ainsi, Caroline avait ses deux mamelles qui pendaient vulgairement, telle une vache prête pour la traite.
Son corps était tendu en arrière vers JP qui était assis dans un fauteuil en osier à 1m d’elle. Il avait le pantalon sur les chevilles, le bassin basculé en avant sur l’assise. Il tenait sa bite dans une main et le string de la blonde salope de l’autre, qu’il avait porté à son visage. IL souriait à C encadré dans la porte d’entrée en se masturbant.
Caroline revenue de sa surprise se redressa dans un sursaut, tournant le dos à C. la robe se rabattit sur ses fesses, comme tombe un rideau sur la scène d’un théâtre. Elle enfila le haut de sa robe à la hate, sans toutefois pouvoir remonter la fermeture.
« Entre C ! » lança Jp. C revint de sa surprise (il s’attendait à quelque chose de sympa mais ne s’attendait pas à voir cette scène). C referma la porte d’entrée, traversa le vestibule et pénétra dans la pièce, rendant son sourire à JP et regardant ensuite Caroline toujours de dos.
« Salut Caro »… puis il la rassura … « t’inquiète pas ça ne sortira pas de cette pièce ! »
Caroline ne répondit pas et se décida à se retourner vers JP et C. elle était rouge pivoine, l’air franchement gênée et décontenancée.
« ne t’en fait pas Caro, personne ne saura… notre secret est bien gardé avec C »
Caroline saisit son paquet de cigarette et s’asseyant dans le canapé, sortit une tige, la porta à ses lèvre et l’alluma toute tremblante … toujours silencieuse …
JP proposa un café à C qui refusa…
« je te rapporte tes CD » dit il … »cool comme morceau de blues … tu connais Caro ? »..
- non » dit elle imperceptiblement.
Jp pris le CD et alla le placer dans le lecteur, pendant que C s’installait dans l’autre fauteuil face à Caroline, assise dans le canapé, jambe croisée . Sa robe toujours dégrafée, le décolleté baillant, la belle serrait ses bras contre sa poitrine, les mains posées sur ses cuisses ; cette position qu’elle voulait protectrice serrait ses nichons l’un contre l’autre et lui faisait une poitrine provocante. Ses cuisses étaient dénudée jusqu’à mi hauteur.
Un morceau de blues langoureux emplie la pièce. C sortit un pétard et l’alluma . Il tira une bouffée puis le tendit à Caroline :
- » tient … ça va te remettre de tes émotions »
Hésitante, elle pris le joint et tira 2 bouffées
Le joint tourna quelques minutes et le visage de Caroline qui en avait avalée plusieurs bouffées, reprit peu à peu une couleur normale…
La Belle blonde ne semblait plus gênée, les effets du joint y aidant sans doute. Au contraire, elle ricanait à présent aux plaisanteries de JP et C qui tournaient en dérision ce qui venait de se passer. Elle avait desserrés les bras. Les 2 hommes pouvaient désormais se rincer l’œil sur ses nichons qui transparaissaient à travers le haut de la robe légère. Les deux tétons pointaient sous le tissus. Caroline toujours assise décroisa les jambes et s’avança pour saisir une clope dans le paquet posé sur la table basse. Ce faisant, la robe remonta sur ses cuisses entrouvertes. JP et C penchèrent la tête pour mater son entrecuisse alors qu’elle allumait sa clope en riant…
Caroline s’en aperçu et un sourire au coin des lèvre et le regard coquin, elle écarta un peu plus les jambes.
-« On voit pas très bien » remarqua JP
La coquine sépara encore plus ses genou, la robe se releva comme par magie et ses deux admirateur pure admirer sa blonde toison.
-« t’as l’air d’avoir le poil soyeux dis donc » dit C … »on peut toucher ?
- non répondit elle … les règles sont claires, on regarde mais on ne touche pas !
- ben dans ce cas allonge-toi un peu qu’on puisse admirer ta chatte ! »
Elle s’exécuta en gloussant bêtement… la substance illicite avait altéré sa raison … elle écarta encore plus ses cuisses rondes et remonta le bas de la robe sur son ventre. Cette fois elle offrait son sexe rose au regard des deux mâles excités. Ses deux grandes lèvres se décolèrent l’une de l’autre, accentuant la fissure sombre qu’elles protégeaient. La mouille qu’elle avait produite lors de sa précédente exhibition s’était un peu solidifiée et deux filets blanchâtres frémissant reliaient les ailes du papillon. Un dépôt laiteux stagnait dans les plis de son sexe béant. Les deux salopards se délectaient de cette vision autant émouvante que vulgaire.
- « fais voir tes Nibards Caro ! » ordonna JP
Mon ex femme, nouvelle salope, s’exécuta, toujours avec son sourire idiot aux lèvres et le regard un peu plus provocant. Ses yeux gris bleus métal plissés étaient vitreux et s’allumèrent alors qu’elle haussait les sourcils en baissant le haut de sa robe et déballant ses deux monts blancs qui tressautèrent légèrement sous le mouvement. Les deux boutons étaient érigés et les auréoles plissés. Elle avait avancé un peu plus son bassin qui dépassait de l’assise du canapé.
-« ouvre ta chatte maintenant salope » … dit JP d’un ton sec .
L’infirmière répondit à l’ordre derechef ; à l’aide de l’index du majeur et du pouce de ses deux mains dont elle fit deux pinces, elle saisit ses grandes lèvres et les sépara délicatement. Les deux morceaux de peau élastique se tendirent de part et d’autre de son trou et les deux étalons se penchèrent en avant pour observer le conduit rouge sombre humide qui s’ouvrait à eux. Un liquide mousseux reposait dans la cavité.
- « Tu mouille petite pute » dis C
- Attends ..dit JP … on a pas le droit de la toucher directement, mais les règles nous permettent de jouer un peu.
Il se leva et parti dans le placard de l’entrée. C et Caroline le virent revenir avec un balai. Il se rassit sur le fauteuil en osier à côté de C à environ 2m de la blondasse avachie dans le canapé, tête rentrée dans son coup, qui surprise d’abord émit un ricanement saccadé en lançant un « ah ouais » discret ….
JP baissa le manche en bois du balai et l’approcha des seins de Caroline… il caressa les pointes de la salope avec l’extrémité arrondi. Il passait de l’un à l’autre, les faisant vibrer à chaque caresses. Puis il approcha le manche de la bouche de mon ex. Elle sortit sa langue et le lécha, en regardant successivement ses deux maîtres d’un regard moelleux, haussant de nouveau les sourcils de temps à autre et riant la bouche ouverte. Elle accéléra le mouvement de sa langue et titilla l’extrémité du manche. Puis elle en engloutit 4 bon cm et le suçotât.
-« fout de la bave dessus ! »
Caroline qui devinait où JP voulait en venir, saliva, et fit couler successivement deux langues de bave sur le bout de bois. JP le ramena immédiatement vers lui, une goute de la salive de caroline perlait et oscillait sur le bout du manche qu’il approchait doucement du sexe de la blonde, qu’elle tenait toujours ouvert… elle releva légèrement la tête et regarda son entrecuisse.
JP présenta la tige de bois sur le bord du conduit luisant, et y déposa la bave fraichement récoltée. Le liquide s’insinua dans le vagin de la blondasse offerte. Puis d’un geste lent, il enfonça longuement et profondément le manche de l’heureux balai dans le tunnel. Caroline se tendit, relevant le bassin et tendant le cou. Le balai s’enfonça jusqu’à cogner et Jp le maintint contre la paroi de son utérus.
-« danse maintenant sale pute ! »
Caroline, les yeux révulsés, la bouche ouverte et la respiration haletante ondula ; alternant mouvement de haut en bas et mouvements circulaires. Elle lançait de petit cris étouffés rythmés de petits « oui » discrets … JP fit coulisser le manche dans le con de la truie qui râlait de plus en plus fort. Caroline regardait ses deux mâles l’un après l’autre puis son regard se posa sur le sexe de C qui se branlait, pantalon ouvert et baissé sur ses hanches.
C intervint : « fout toi en levrette petite cochonne » .
Le balai fut retourné, Caroline haletant s’exécuta et se remis dans la position dans laquelle C l’avait trouvée. Elle cambra les reins et le manche disparu de nouveau dans sa fente trempée.
Elle s’empalait elle-même sur le jouet improvisé, dans des mouvement langoureux qui mettait sa croupe merveilleusement en valeur et permettait aux deux pervers une observation précise. Elle tendait tellement son gros cul qu’il semblait que son anus gonflé allait éclater.
C pris le balai en main. JP le lui céda en lui faisant un clin d’œil. Il reprit le mouvement de va et vient, puis essaya une variante : il planta la tige au fond de la chatte de Caro et lui fit faire des mouvements circulaires, de plus en plus larges, comme pour élargir le trou déjà bien distendu. La chienne se rétracta en laissant s’échapper des cris longs et stridents, mais C poussa le balai pour suivre son mouvement de fuite et continua son mouvement sadique.
La blonde faisait le dos rond, les mamelles pendantes, la tête baissée à présent, regardant sous elle l’air inquiet, elle haletait rapidement.
- « putain faut trouver un truc plus gros, c’est pas suffisant » dis JP…
- Ouais t’as raison … hein grosse salope ? t’as envie de te la faire bien remplir ta grosse chatte ? … répond ! … »
- Oui … allez y … oui … c’est bon …. Remplissez moi …
- Hein que t’es une pute Caro?
- Oui je suis une pute ! vas y …. continue !!!
JP pantalon ouvert, la bite à la main, après avoir réfléchi quelques secondes, fit un saut éclair dans la cuisine pour revenir avec un concombre à la main …
- « vire le balai, on va la défoncer avec l’ami géant vert ! »
- Génial !!! s’amusa C en retirant le balai … alors que leur jolie collègue le rouge aux joues, reprenant son souffle, jetait un œil ahuri par-dessus son épaule au trente centimètre de longueur et au 15 cm de diamètre du légume qui se présentait déjà au bord de son con ….
- « t’es prête ? » interrogea JP ? … « tu vas en prendre plein la chatte grosse truie »
- Attends, faut le lubrifier sinon elle va morfler tempéra C»
C se pencha et lâcha un flot de salive sur le concombre posé au bord des lèvres, imité juste après par son acolyte … JP fit tourner le légume afin d’humecter l’entrée du conduit de la blonde qui, les yeux vitreux et la bouche bée, expirait bruyamment et par à-coup, attendant immobile et inquiète le moment fatidique.
« Tiens grosse salope … prends ça ! » : JP la poignarda d’un coup enfonçant le légume jusqu’au fond du vagin de l’infirmière qui hurla en grimaçant, en relevant la tête brusquement, la croupe tendue. JP maintenait le concombre contre l’utérus de Caro qui grogna longuement … son grognement s’étouffa peu à peu au fond de sa gorge… ses cuisses tremblait et sa croupe tressautait…elle se mit à hoqueter sous la pression maintenu par la main ferme de JP…Les deux salopard avaient un sourire sadique et les yeux exorbités devant le spectacle de sa chatte élargie, distendu par le pieu qui la transperçait.
JP sans desserrer les dents se pencha vers mon ex salope qui respirait comme une femme qui accouche :
- « tu le sens bien celui là hein sale chienne ? … il te remplit bien ta grosse chatte hein ? Ça te plait ça de te faire défoncer le conduit »
Carole ne répondit pas… sa respiration se coupa quand JP entama un mouvement de va et vient lent avec le légume, en donnant des torsions du poignet le faisant tourner dans l’orifice. Le pourtour de son sexe distendu épousait hermétiquement le concombre ; Un bourrelet rosâtre couronné de cyprine mousseuse se formait autour du chibre vert lors de ses mouvements de recul, pour disparaître lorsqu’il la pénétrait de nouveau. Le mouvement se fit plus rapide … l’infirmière salope laissait échapper des cri rauques incontrôlés à chaque assaut.
C se branlait et n’en pu plus ….
« -putain j’vai éjaculer ! »
Attend » dit JP en retirant d’un coup son arme de poing … un bruit de décompression vulgaire se fit entendre plusieurs secondes et descendit dans un espèce de « P » obscène … la chatte vibra mais resta affreusement ouverte… on voyait les entrailles sanguines du vagin de Caro, ses muqueuse suintantes de mouille, le fond de son trou visqueux.
« Il va te remplir Caro … t’en as envie chère collègue hein ? … dis le que t’ en as envie !!!
- oui rempli moi C … remplie moi ….vas y »
C s’approcha sur la pointe des pieds et tendit sa queue nerveuse bandée à l’extrême près du vagin déformé. Il râla alors qu’un jet de sperme frappait l’anus gonflé de la belle…. Les 4 ou 5 autres jets firent mouche et se perdirent dans le trou de la salope dont chaque expiration était ponctuée d’un « oui » aigue ….
La première salve redescendait déjà en une coulée lente et épaisse dans le cratère de mon ex ….
Elle souriait encore d’avoir senti le foutre s’insinuer en elle lorsque JP planta de nouveau le concombre dans ses chaires …. Elle hurla de nouveau ….. JP confia le manche à C qui se reprenait à peine … il repris le va et vient
L’hôte des lieux attrapa la blonde par sa tignasse légèrement crépue et la tira sur le côté vers lui, de côté
« Haaaann … » fit la soumise en quittant le dossier du canapé pour se retrouver à 4 pattes sur l’assise. C avait suivi le mouvement et maintenait la croupe tendue en hauteur. Une poignet de cheveux dans le poing serré, JP approcha le visage de sa proie près de sa queue qu’il masturbait toujours frénétiquement …. Carole rouvrit les yeux, sa bouche ouverte lui donnait un air hébété, elle le va le regard vers son ami de toujours …. JP avait un air presque méchant qui l’étonna sans doute …
« j’vai te salir ta jolie petite gueule d’infirmière bien sage … oh oui tu va tout prendre sur ta gueule de petite salope….hein ma Carole ? Tu vas voir tu vas aimer ça … demande le moi ! »
- Oui mon JP viens sur ma gueule … oui …
- encore…
- viens …. Asperge moi le visage …. Salie moi
- dis ce que tu es Carole … dis le …. Tu m’excite ….
- j’suis une pute …. J’suis ta pute mon JP …. Viens …. J’veux ton sperme… donne moi ton sperme…vas y … »
A ces mots, le bon JP retint sa bite décalottée jusqu’au frein … l’engin se tendit et un jet de foutre frappa le front de la blonde, éclata en perles qui se perdirent dans ses cheveux, un second tire atteignit le nez de la salope qui fronça les sourcils. Le liquide commençait déjà a descendre le long de l’appendice nasale épousant sa forme. Un peu du sperme stagna sous son œil droit. Les 2 rasades suivantes se déposèrent sur la joue droite de l’infirmière qui soufflait déjà pour repousser le liquide chaud et gélatineux qui s’immisçait entre ses lèvres gonflées… les deux derniers jets tombèrent sur le canapé …
Tout ce beau monde s’affala sur le canapé … Carole allongée sur le côté sur le canapé la joue sur la cuisse de son ami…les jambes recroquevillées, le légume toujours en elle, qui pendait. … C assis derrière elle, une main posée sur sa hanche … La blonde reprenait son souffle …. Le visage souillé de foutre déformé ….
Ils se rhabillèrent en riant … Carole gloussait … en leur disant … « vous êtes vraiment des enfoirés« …. Tout en leur lançant des regards complices ….
C’est en retard qu’elle rentra à la maison …. Me prévenant de son portable
- « je suis désolé chérie, j’ai passé un peu de temps avec JP, tu sais il ne va vraiment pas bien en ce moment, il a besoin d’aide … et je n‘ai pas vu le temps passer»…
Ma douce femme si altruiste … si dévouée à son frère de sang… n’était en réalité qu’une truie offerte à son frère de foutre ….
Ce soir là, il me semble que nous nous sommes engueulés, j’acceptais de plus en plus mal sa relation avec l’autre dégénéré, alcoolo dépressif …. Elle a du pleurer comme à chaque fois… me culpabilisant … le lendemain déjà je lui présentais mes excuses pour mon incompréhension …
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