Nadia exhibée

- Par l'auteur HDS Maxime45000 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Nadia exhibée Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Nadia exhibée
Après la matinée délurée à l’agence, Nadia et moi étions rentrés chez nous. Je l’avais chauffée à blanc dans la voiture, en lui fouillant le vagin à la recherche du mini stabilo que je lui avais ordonné de garder en elle jusqu’à notre retour au bercail. En arrivant dans notre village, j’eu envie de continuer à exhiber ma femelle.

J’avais l’esprit en feu, mais j’en voulais encore tel un drogué qui en veut toujours plus. Je décidai de faire un détour par le bar du village que nous fréquentions régulièrement. Je ne demandais pas son avis à la belle brune décoiffée, aux joues rouges et au regard vitreux de plaisir qui siégeait à mes côtés, les cuisses largement écartée et la chatte béante. Elle avait abondamment mouillé et avait souillé le siège de notre berline italienne.

« Tu ne préfères pas que l’on rentre directement ? On va chez Claude ce soir ».
Je décelai une pointe de déception mêlée d’impatience dans le ton de Nadia. Je pris le soin de garer l’italienne précautionneusement et lui répondis :
« Plus les préliminaires sont longs, plus intense est la jouissance ma Chérie. Tu sais à quel point observer les regards des mecs sur ton corps m’excite ? Et tu sais que plus je suis échauffé, plus tu prends ton pied ? Alors sois patiente, provoque raisonnablement les mâles présents dans le bar et je te promets que tu seras récompensée comme il se doit ».
A ces mots, Nadia arbora un large sourire accompagné d’un ronronnement et d’un regard de chatte affectueuse ; elle déposa un baiser sur ma joue gauche.

« Tu sais que tu es un grand malade toi ?
- Je sais surtout que tu aimes ça
- Mmmhhhhh, mon pervers
- Je t’aime ma petite salope
- Je t’aime mon pervers ».

Sortie de la voiture, Nadia rajusta sa robe légère, gênée sans doute de ne porter aucune protection sur son intimité.

La plupart des habitués du samedi, que nous connaissions bien et avec lesquels nous avions de cordiales relations, étaient présents au bar. Tout le monde se connaissait dans le petit village et nous y avions une certaine notoriété et une bonne réputation. Nadia y était reconnue et admirée (ou jalousée) pour sa beauté et sa prestance. Ses tenues toujours soignées la mettait à son avantage sans jamais la moindre vulgarité. Jamais en public en tout cas, mais en privé, la collection de tenue commandées sur des sites spécialisés ou débusqués dans des sex shop parisien que nous fréquentions de temps en temps, me permettaient de la transformer en vulgaire « pute à bordel ». J’adore jouer à la poupée avec elle.

Nous fûmes accueillis par Pascale, la patronne du bar et Annie, avec lesquelles Nadia était amie. Le bar était maintenu par ses piliers habituels ; des agriculteurs et divers artisans qui n’en finissaient plus de prendre leur pause déjeuner côtoyaient des chasseurs, des couples venant tuer l’ennui, des hommes fuyant leur mégère, des divorcés notoires des deux sexes et j’en passe. Ca puait l’alcool et le tabac, ça s’esclaffait, le verbe était haut et les rires gras. L’ambiance habituelle du samedi midi dans ce lieu où Nadia n’avait pas le même comportement que d’habitude. Entraînée par ses deux amies, bon publique aux blagues salaces et à l’humour souvent graveleux elle aimait s’encanailler et ne lésinait pas sur la boisson.

Les mâles plus ou moins alcoolisés se réjouissaient toujours de la voir arriver, friands de ses mamelles imposantes, gourmands de son fessier envoutant et de ses cuisses charnues. Lorsque j’étais présent, il n’y avait aucun mot disconvenant ni aucun geste déplacé à son égard. Avec le temps, j’avais gagné leur respect et Nadia également par translation. En mon absence en revanche, je pense que les deux garces qui servaient d’amies à ma compagne l’entraînaient dans leurs « délires spiritueux ». Je l’espérais même. Mais je vous en dirai plus sur ce sujet à l’occasion d’un futur récit.

Plusieurs regards masculins s’étaient d’abord posés sur nos visages, puis sur le bas ventre de Nadia lorsqu’elle passa la porte de l’établissement. Soleil ! mon ami, mon complice ! Nul doute que les plus observateurs avaient percé notre secret et bavaient déjà intérieurement.
Allez-y messieurs, me disais-je intérieurement. Reluquez bien ma pute de femme. Salissez-la de vos regards vicieux. Ejaculez virtuellement sur ses mamelles et sur son cul ! Sur son visage ? Dans sa bouche grande ouverte ? Délicieusement dégradant, je l’imaginais souvent.

Nadia s’était installée sur un tabouret haut, parallèlement au bar. Le bas de sa robe remontait haut sur ses cuisses. Elle avait maintenu le tissu coincé entre ses cuisses jointes avec le tranchant de sa main gauche la plupart du temps. Mais elle avait relâchée son attention à plusieurs reprises. Deux chasseurs à l’affût et un artisan à l’air vicieux, s’étaient stratégiquement installés à une table en face d’elle après notre arrivée ; ceux-là même qui avaient constaté grâce au jeu perfide du soleil, qu’elle se baladait le cul et la chatte à l’air. Ils scrutaient l’entre jambe de ma femelle dès qu’elle relâchait son attention et écartait négligemment les cuisses.

J’aurai voulu me joindre à eux et leur demander tout bas « alors messieurs, le spectacle est à votre goût ? la bourgeoise vous plait ? Ca vous dirait de nous accompagner dans un coin tranquille et que je l’oblige à s’exhiber devant vous ? Offrez-lui un ou deux verres de plus et, qui sait, peut-être qu’elle sera suffisamment désinhibée pour vous pomper et vous vider les couilles chacun votre tour » ?
J’avais mon compte d’excitation, je n’en pouvais plus. Il fallait que l’on rentre chez nous et que je la baise ; Fort, très fort. Nous saluâmes les ami(e)s et nos connaissances, déclinâmes une invitation à dîner de Pascale et l’offre d’un dernier verre et rejoignîmes notre voiture. Passé la porte, je me retournai ver les trois lascars qui reluquaient les fesses et la fente de Nadia.

Alors que je démarrais le moteur, ma belle s’informa :
« alors, tu t’es bien amusé ?
- Enormément
- Je me suis fait mater ?
- Ose me dire que tu ne l’as pas remarqué ?
- Ça t’a excité mon cochon ?
- Plus que je l’espérai
- Tu vas bien me baiser ?
- Comme tu le mérites
- Ah oui ?

La porte d’entrée du domicile à peine refermée, j’entraînai Nadia dans le salon, la poussai sur le canapé et lui écartai ses cuisses charnues. Elle avait l’entrecuisse poisseux et odorant; ses grandes lèvres luisantes s’échappaient par la fente de sa vulve gonflée.
« Écarte-toi la chatte que je vois si tu es bien mouillée »
Elle obéit
« Tu m’as l’air bien humide dis-moi ? Combien de doigt tu peux te fourrer ? »
Elle eut pour seule réponse un léger grognement de chienne en chaleur. Avec un sourire malsain et les dents serrés, son regard libidineux planté dans le mien, elle introduisit les deux premières phalanges de son majeur et de son index droit dans son vagin. Sa main gauche passée sous ses fesses écartelait ses chairs intimes. Constatant que ça passait largement, elle ressortit immédiatement ses longs doigts pour leur adjoindre l’annulaire. La manœuvre s’était accompagnée d’un clapotis visqueux qui me rendit fou. Je contemplais les 3 doigts plantés dans son conduit écarlate et gluant. Je pénétrai de nouveau son regard.
« Voyons mon amour, je suis certain que tu peux faire mieux »
Soutenant mon regard, elle bascula légèrement sa nuque en arrière en relevant son bassin, ajusta sa main gauche pour tirer ses chairs plus fort encore. Elle desserra les dents et entrouvrit légèrement la bouche en extirpant ses trois phalange de son orifice. Elle fit un cône avec l’ensemble de ses doigts et les présenta au bord de ses lèvres. Ses paupières se baissèrent, ses sourcils se froncèrent sa bouche forma un « o » qu’elle laissa s échapper alors qu’elle se pénétrait elle-même. Les doigts disparaissaient jusqu’à la moitié des dernière phalanges. Elle poussait, ressortit ses doigts à plusieurs reprises pour pousser de nouveau mais semblait ne pas parvenir à aller plus loin.

Je m’agenouillai devant elle, et mis ma bouche près de son sexe et de ses doigts. Je pris quelques secondes pour rassembler une bonne dose de salive que j’éjectai doucement en visant ses doigts. Je réitérai cette action trois fois, puis j’étalai ma salive sur ses doigts et au pourtour de son conduit distendu avec ma langue souple. J’en profitai pour titiller son clitoris fièrement dressé du boult de la langue. Elle se tendit de tout son corps et gémit. J’éjectai un peu plus de salive encore. Pour terminer mon opération d’assistance, je lançai deux crachas abondamment fournis en salive sur ses doigts et sa moule. Je me redressai :
« Allez, enfonce salope ! Resserre tes doigts et baise toi avec ta main »
Elle s’exécuta, le visage grave, le regard sombre, la bouche ouverte. Elle semblait possédée.
On progressait : Les bosses des dernières phalanges rentraient à moitié.
« t’as la chatte bien ouverte ! C’est de t’être exhibée au bar comme une putain qui t’as mis dans cet état ? … réponds !
- Ouffff oui … oui
- Ça te plait de te faire reluquer
- Ouiiiiii
- Dis le !
- Oui j’aime ça me faire reluquer
- Développe !
- Ca m’excite que les mecs regardent mes seins et mes fesses.
- Continue !
- Ça me fais mouiller de les provoquer, de les allumer
- Tu savais que les trois mecs assis en face de toi avaient vu que tu étais à poil sous ta robe ; avoue le
- Oui… je le savais.
- Dis-moi ce que tu as fait ?
- J’ai écarté un peu les cuisses pour qu’ils puissent voir ; plusieurs fois
- J’ai vu. Ça te plaisait de les provoquer ?
- Ohh … oui ça me plaisait
- Vraiment ? pourquoi ?
- Parce que je sais que ça t’excite.
- Et pourquoi encore ?
- Parce que je suis ta pute
- Tu es quoi ?
- Je suis une pute, une salope
- Quoi d’autre encore ?
- Une trainée
- Oui tu es une salope, une pute et une traînée. Tu mériterais que je t’emmène te faire baiser à la chaîne. Que je te force à sucer plusieurs queues devant moi. Mais pour le moment, tu vas t’occuper de la mienne en continuant à te branler la chatte.

Il ne fallait pas que j’aille trop loin. Nadia devait être en forme ce soir pour notre soirée barbecue chez Claude. Je m’agenouillai près de son visage et présentai ma queue tendue à l’extrême au bord de ses lèvres.

« Ouvre grand ta bouche que je la baise »
Je m’enfonçai d’abord doucement et entamai quelques doux va et vient dans sa bouche. Me retirant, je lui ordonnai de me pomper le gland, ce qu’elle fit consciencieusement et bruyamment. Nadia était une suceuse hors pair !
En copain partageur, Je pensais à Claude en me disant que ce serait égoïste de ma part de ne pas partager ce talent de ma douce avec lui.

Je repris ma pénétration buccale, puis, exigeant de Nadia qu’elle « ouvre plus grand sa jolie petite gueule », j’investissais délicatement l’entrée de son larynx. Cette pratique excitait la délicieuse brune à l’extrême. Généralement, quand elle se caressait avec ses doigts ou un godemichet pendant qu’ elle me prenait en gorge, elle atteignait rapidement l’orgasme. Je constatais du coin de l’œil que son bassin commençait de trembler. On y étais presque.
J’accentuais les mouvements de mon bassin pour m’enfoncer plus loin dans son larynx. Elle se tendit à plusieurs reprises et eut quelques haut le cœur. Sa gorge se mit à gargouiller de façon obscène. Elle ne put contenir plusieurs toux destinées à évacuer le corps étranger qui l’étouffait. Elle éructait, éjectait de la bave qui jaillissait autour de mon pieu qui, maintenant, lui poignardait virulemment la gorge.
Elle sortit les doigts de son vagin et se mit immédiatement à astiquer vigoureusement son clitoris. Elle allait succomber d’un instant à l’autre. Je sentais le plaisir monter en moi. Il fallait que je la remplisse. Sentir mon sperm inonder sa gorge décuplait son plaisir. J’eu la vision de Nadia, totalement nue, accroupie, entrain de sucer les voyeurs du bar. Puis c’est la bite de Claude que je vis assaillie par les coups de langue et les aspirations buccales de ma divine salope.
Cette dernière me fût fatale : Je plantais mon sexe au fond de la gorge malmenée et j’explosais dans un râle bruyant. La sensation du foutre coulant dans sa gorge acheva ma partenaire. Elle se tendit de tout son corps et jouit à son tour. J’entendis trois jets provenant du calice de ma belle éclabousser le carrelage.
Elle éjecta mon sexe de sa gorge et retomba sur le canapé. Je m’affalai à ses côtés.
Il nous fallut quelques longues minutes pour reprendre nos esprits. Je la pris dans mes bras, déposai plusieurs doux baisers sur ses lèvres merveilleuses. Comblés, nous échangeâmes de doux regards complices et satisfaits.

« Il faut qu’on se prépare et qu’on aille chercher un bouquet pour Nathalie et une bonne bouteille pour Claude » me dit-elle.
- Tu as raison, ça ne se fait pas d’arriver les mains vides.

Les avis des lecteurs

C'est une très jolie plume que vous avez là. Bravo !



Texte coquin : Nadia exhibée
Histoire sexe : Une rose rouge
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