Caroline ou l'héritage d'une mère salope
Récit érotique écrit par Maxime45000 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2010 dans la catégorie En solitaire
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Caroline ou l'héritage d'une mère salope
… J’avais donc appris la relation particulière de mon ex femme Caroline avec « le bon JP » de la bouche de C, leur collègue de travail. JP s’était à mainte reprise confié à lui …
Pourquoi C me confiait il tout cela ? Cette question que je m’étais bien entendu posée me paraissait accessoire : Je m’interrogeais plus sur le comportement de Caroline et ses raisons.
Il est vrai que notre relation s’était détériorée au fil des années … comme pour beaucoup de couples … Moi-même, délaissé et affligé par le manque de libido de mon ex, je passais plus de temps devant mon écran d’ordinateur à visiter certains sites pornos plutôt que de me coucher à ses côtés.
C. fantasmait il ? Etait il mythomane ? Certains détails qu’il donnait sur la physionomie intime de Caroline prouvaient qu’il l’avait vue nue …
Dans ma réflexion, j’explorais l’hypothèse d’un incidence « génétique » dans le comportement de mon ex femme. Il est vrai que son père avait un penchant certain pour le libertinage … sa mère n’étais pas en reste d’ailleurs …
Le père de Caroline multipliait les relations extra conjugales. VRP, il était loin de son foyer des semaines entières. Caroline avouait qu’elle avait souffert de ses absences durant l’enfance et l’adolescence ….
Il y a quelques années, alors que l’ex beau père s’était fait démasquer lors d’une aventure adultère, je m’étais rapproché de mon ex belle mère, qui s’était confiée à moi … Elle en avait beaucoup souffert, mais désireuse de garder son mari et de sauver son couple, elle avait fait de nombreux efforts … notamment sur le plan sexuel m’avait elle confié en répondant à la question que j’avais osé poser lors de l’une de nos conversation en voiture : « ah ça … il n’a pas à se plaindre à ce niveau là … j’ai beaucoup pris sur moi-même … je ne peux pas te dire de quoi il s’agit, mais j’ai accepté certaines choses qui lui tenaient à cœur pour répondre à ses attentes … »
…. Mon ex belle mère …. Une femme très jolie dans sa jeunesse et à la cinquantaine merveilleusement bien conservée, extrêmement séduisante … oui je le confesse, j’ai fantasmé sur elle… un sourire et un regard qui lui faisaient le visage d’une douceur apaisante qui m’émouvait… une bouche fine …1m68, brune coupée court aux yeux verts, une poitrine généreuse (un bon 95C), des hanches raisonnablement larges… … des épaules dont la rondeur inspirait les caresses … un fessier légèrement enrobé qui me fascinait… Oui je le confesse, Martine fut bien souvent l’objet fantasmagorique de mes plaisirs solitaires…
Lorsque nous allions passer le week-end chez mes ex beau parents, je me laissais régulièrement aller à quelques perverses « fouilleries » …P
arfois, volontairement, je déclinais l’invitation d’aller faire une ballade digestive, afin de me retrouver seul dans leur maison. J’avais suffisamment de temps pour aller farfouiller dans la chambre de l’envoutante Martine, visitant vicieusement ses armoires et ses tiroirs ; j’admirais ses dessous, ses nuisettes et fit un jour quelques découvertes percutantes :
La belle mature empilait sous son lit des revues libertines, notamment Union … La pauvre, seule toute la semaine, il fallait bien qu’elle passe le temps lors des longues soirées.
Tout troublé par ma découverte, je menais plus loin mes recherches et découvrit sur le dessus de l’armoire poussiéreux, un coffret qui lui ne l’était pas ! coffret qui renfermait 2 godemichets : un rose d’une bonne vingtaine de cm, superbement bien nervé et un blanc beaucoup plus petit … Martine était parfaitement bien équipée pour satisfaire à ses pulsions solitaires !
Dans un carton dans le bas du placard, étaient soigneusement rangés des dessous beaucoup plus extravagant, combinaison résille intégrale ouverte au niveau des seins et de l’entrejambe, nuisette noire entièrement translucide, menottes, corset en latex avec portes jarretelles, un ensemble fait de lanières et d’anneaux de cuir destinés à encadrer la poitrine et les fesses ; maintien seins en dentelle rouge et string ouvert assorti… mini jupe en cuir noir, boules de geisha …
Mon trouble se muta en excitation. Des images de la douce cinquantenaire en train de se goder, affublée des tenues que je venais de découvrir assaillaient mon esprit. Je repris mes investigation et découvrit quelques DVD porno ainsi qu’une mini cassette de caméscope sans aucune inscription. J’étais persuadé d’avoir découvert le pot aux roses !
Je décidais après réflexion de remplacer la cassette par une autre subtilisée dans la vidéothèque, que je rendais d’abord inutilisable, afin de masquer mon forfait …
Je la visionnerai de retour chez moi.
Ce jour là, tout excité, j’allais dans la salle de bain, je fouillais le bac à linge sale. J’en extirpais ses dessous salis, souillés et en les respirant, en les léchant, en les suçant, je me masturbais… elle avait un gout à la fois aigre et sucré qui me rendait fou.
Dans un état second, j’allais m’allonger sur son lit, je pris le gode rose et je le léchais en me masturbant plus fort ; puis j’éclatais et recueillant ma semence étalée sur mon ventre, j’en enduisais le gode… je nettoyais le reste de mon sperme sur son oreiller … l’idée que mon jus participe à ses prochains jeux solitaires (peut être le gouterait elle en léchant le jouet) et que sa tête repose sur mon venin me rendait dingue !
…
Je passais le reste de la journée en regardant Martine d’un autre œil, fasciné par ses seins imposants et son cul avenant, l’imaginant nue… nos discussions auraient désormais pour moi une autre saveur
…Le soir même, alors que tout le monde était endormi, je restais dans le bureau prétextant des recherches à faire sur le net pour mon travail (ce qui m’arrivait régulièrement). En réalité, j’avais prévu de réaliser une fouille en règle du PC familial. Je n’étais pas au bout de mes surprises
J’entrais sur le « bureau » de Martine et je fouillais ses documents et images personnels … j’y trouvais quelques photo prises avec la webcam : bingo … j’y des captures de cam montrant la vieille perverse à différentes étapes d’un chaud streap tease… son visage était illuminé de regards et de sourires que je ne lui connaissais pas… des expressions provocantes bouche ouverte tête relevée ; ou tête baissée regardant l’objectif par le bas, langue tirée mimant le léchage d’un seins échappé du corsage qu’elle remontait à l’extrême vers son visage. Je la découvrais à califourchon sur la chaise de bureau, de dos, le tissu de son slip baissé, distendu entre ses cuisses écartées … elle exhibait sa vulve gonflée et entrouvertes de laquelle dépassaient ses deux grandes lèvres … sa toison, était fournie, des poils foncés encadraient son fruit dont la dimension m’impressionna. La même photo ensuite, sauf que deux doigts écartaient les lèvres intimes et laissaient entrevoir un vagin rouge sombre, luisant de cyprine.
La suivante : encore la même position, mais cette fois ci deux doigts étaient enfoui dans la chatte béante ; elle regardait l’objectif par-dessus son épaule d’un regard lubrique.
Sur Les prises suivantes elle était vautrée sur le siège de bureau, le corsage totalement ouvert, le soutient gorge baissé sous les seins. Ses deux globes laiteux étaient magnifiques. Ils semblaient lourds. Me paraissaient doux. Deux tétons d’un bon centimètre trônaient à leur sommet, deux framboises rouges sur des auréoles larges et fripés par l’excitation. Elle empoignait ses deux nichons à pleine main et les pressaient l’un contre l’autre en les remontant, les distordant presque ; le slip avait disparu et les cuisses étaient largement ouverte. Sa chatte était offerte, large, accueillante, suintante, le poil fourni. Là encore le regard et le sourire d’une femme que je ne reconnaissais pas, qui n’avait plus rien à voir avec la douce et réservée Martine que je côtoyais.
L’image suivante, dans la même position mais 3 doigts enfoncés jusqu’à la garde dans le vagin…
Celle d’après : l’index et le majeur de chaque main légèrement insérés dans le vagin écartant violemment les grandes lèvre et offrant un trou qui me semblait démesurément large ; et profond et toujours ce regard obscène, semblant dire, « vient me baiser » , ce sourire invitant à la luxure et la débauche.
Je visitais les autres fichiers personnels de Martine sans plus rien trouver… Je décidais de voir si je pouvais accéder à ses Emails. J’ouvrais l’icône des courriels : Connexion automatique, le mot de passe était enregistré ! Je pouvais lire les courriers reçus et envoyés.
Au milieu des messages communs, j’en découvrais certains plus chauds, pour la plupart des échanges avec son mari, certains banal mais d’autres plus coquins voire carrément chauds.
Puis un message échangé avec une de ses amies intitulée : « souvenir d’une soirée inoubliable »
Le texte du message disait à peu prêt ceci : « Chère Claire, nous avons passé une excellent soirée en votre compagnie au club. Ce sera à refaire dès que possible. Ci-joint une photo souvenir. Bisous coquins … Martine
J’ouvrais le fichier joint : une photo apparu. Je reconnu la Claire en question, une femme d’une cinquantaine d’année que j’avais croisée une fois. Moins jolie que Martine. Les deux femme mures étaient assises sur un canapé rouge, dans ce qui me semblait être une discothèque. Elles étaient toute deux côte à côte, serrée l’une contre l’autre, joue contre joue. Elles brandissaient chacune un verre de champagne vers l’objectif, un beau sourire et un regard évocateur illuminaient leur visage.
Je détaillais Martine, délaissant Claire, une blonde trop maigre, qui n’était pas vraiment à mon gout …
Mon ex belle mère semblait nue sous la robe longue fendue très haut. Assise comme elle l’était, sa jambe droite était dévoilée jusqu’en haut. Elle était positionnée de ¾ et j’entrevoyais dans le décolleté très profond une mamelle presque intégralement dénudée. Claire avait une main posée sur sa cuisse gauche… il devait s’agir d’un club libertin vue la tenue et l’attitude des deux coquines.
Incroyable ! je n’en revenais pas … je me souvenais des confidences de Martine dans la voiture :
« il n’a pas à se plaindre à ce niveau là … j’ai beaucoup pris sur moi-même … je ne peux pas te dire de quoi il s’agit, mais j’ai accepté certaines choses qui lui tenaient à cœur pour répondre à ses attentes … »
Ainsi donc pour sauver son couple, Martine était passée du côté obscur de la force. Je la pensais frêle, timide, réservée ; elle s’était vraisemblablement mutée en une chaude libertine, en une comtesse de la nuit. La femme que je redécouvrais ce soir tenais plus de la vieille salope que de la bonne mère de famille…. Miss Hyde …
Il se faisait tard …. Mais je n’avais pas envie d’abandonner mes recherches…
Je fermais la messagerie qui m’avait livré tous ses secrets. J’ouvrais un tiroir du bureau puis un autre … rien … Je vis le cartable du beau père. Je le fouillais. Dans une pochette à fermeture, je découvrais une clef USB. Je l’insérais et l’explorais. Un fichier « perso » attira mon œil. Je l’ouvrais ….
Des dizaines de photos de Martine, habillée, dénudée légèrement, carrément nue …. D’autres de groupe… Il me fallait une copie du fichier avant d’aller plus loin dans mes investigations. Je le copiais sur ma propre clef. Alors que je terminais ma manipulation, du bruit au rez de chaussée…. Quelques clics et j’étais revenu sur mon fichier alibi. La porte du bureau s’ouvrit et Martine passa la tête :
« Tu n’es pas couché ? il est tard tu vas être crevé ! Mon pauvre ton boulot te prend beaucoup de temps ! Penses à toi un peu … Je me fais une eau chaude … tu en veux une ? « … j’acceptais et fermant le PC, je la rejoignais dans la cuisine … »… ce qui me laissait également le temps de me remettre de mes émotions, de me ressaisir … j’avais du lui sembler confus et limite pris en faute …. Je la rejoignais après m’être « repris en main »…
Elle était de dos, devant le plan de travail. Mon regard se posa d’emblée sur son beau cul généreux. Elle était en peignoir de bain bleu noué à la ceinture.. pas très sexy. Elle se tourna et me sourit… « t’as avancé dans ce que tu avais à faire ?
- plus que je ne l’imaginais … oui …
- tant mieux ! »
Elle se tourna pour me tendre mon eau chaude et je ne pu m’empêcher de plonger mon regard dans son décolleté … elle s’en aperçu. Nous nous sommes assis au bar séparant la cuisine de la salle à manger - salon. Elle resserra le peignoir sur son décolleté… Nous avons échangé quelques banalités.
J’avais bien du mal à donner le change après ce que j’avais découvert ! J’avais Martine en face de moi et Miss Hyde à l’esprit … j’avais envie de la prendre là maintenant, de lui arracher son peignoir de bonne mère de famille, de la plaquer contre le mur de lui bouffer la bouche, de lui pétrir ses gros nichons et de fouiller sa grosse chatte à pleine main…. De lui dire …. « je sais ce que tu es en réalité Martine, je sais ce que tu fais la nuit devant ta web cam… » …. J’avais envie qu’elle me suce goulument ….
Elle mit un terme à la conversation en lançant « je vais me recoucher » … elle déposa une bise sur ma joue et disparu ….
Je restais seul quelques instants avant de monter moi même … Je revoyais des images. >il fallait que je me branle … que je me purge …. Ce que je fis …
Je montais me coucher ensuite près de Caroline …qui se détourna… Caroline, pourquoi n’es tu pas comme ta mère ?
C’est ce que j’ai pensé avant de m’endormir …. J’étais bien loin d’imaginer à l’époque que la génétique avait bien œuvré dans ce sens ! Mais ça n’est pas moi qui en profitais ….
Pourquoi C me confiait il tout cela ? Cette question que je m’étais bien entendu posée me paraissait accessoire : Je m’interrogeais plus sur le comportement de Caroline et ses raisons.
Il est vrai que notre relation s’était détériorée au fil des années … comme pour beaucoup de couples … Moi-même, délaissé et affligé par le manque de libido de mon ex, je passais plus de temps devant mon écran d’ordinateur à visiter certains sites pornos plutôt que de me coucher à ses côtés.
C. fantasmait il ? Etait il mythomane ? Certains détails qu’il donnait sur la physionomie intime de Caroline prouvaient qu’il l’avait vue nue …
Dans ma réflexion, j’explorais l’hypothèse d’un incidence « génétique » dans le comportement de mon ex femme. Il est vrai que son père avait un penchant certain pour le libertinage … sa mère n’étais pas en reste d’ailleurs …
Le père de Caroline multipliait les relations extra conjugales. VRP, il était loin de son foyer des semaines entières. Caroline avouait qu’elle avait souffert de ses absences durant l’enfance et l’adolescence ….
Il y a quelques années, alors que l’ex beau père s’était fait démasquer lors d’une aventure adultère, je m’étais rapproché de mon ex belle mère, qui s’était confiée à moi … Elle en avait beaucoup souffert, mais désireuse de garder son mari et de sauver son couple, elle avait fait de nombreux efforts … notamment sur le plan sexuel m’avait elle confié en répondant à la question que j’avais osé poser lors de l’une de nos conversation en voiture : « ah ça … il n’a pas à se plaindre à ce niveau là … j’ai beaucoup pris sur moi-même … je ne peux pas te dire de quoi il s’agit, mais j’ai accepté certaines choses qui lui tenaient à cœur pour répondre à ses attentes … »
…. Mon ex belle mère …. Une femme très jolie dans sa jeunesse et à la cinquantaine merveilleusement bien conservée, extrêmement séduisante … oui je le confesse, j’ai fantasmé sur elle… un sourire et un regard qui lui faisaient le visage d’une douceur apaisante qui m’émouvait… une bouche fine …1m68, brune coupée court aux yeux verts, une poitrine généreuse (un bon 95C), des hanches raisonnablement larges… … des épaules dont la rondeur inspirait les caresses … un fessier légèrement enrobé qui me fascinait… Oui je le confesse, Martine fut bien souvent l’objet fantasmagorique de mes plaisirs solitaires…
Lorsque nous allions passer le week-end chez mes ex beau parents, je me laissais régulièrement aller à quelques perverses « fouilleries » …P
arfois, volontairement, je déclinais l’invitation d’aller faire une ballade digestive, afin de me retrouver seul dans leur maison. J’avais suffisamment de temps pour aller farfouiller dans la chambre de l’envoutante Martine, visitant vicieusement ses armoires et ses tiroirs ; j’admirais ses dessous, ses nuisettes et fit un jour quelques découvertes percutantes :
La belle mature empilait sous son lit des revues libertines, notamment Union … La pauvre, seule toute la semaine, il fallait bien qu’elle passe le temps lors des longues soirées.
Tout troublé par ma découverte, je menais plus loin mes recherches et découvrit sur le dessus de l’armoire poussiéreux, un coffret qui lui ne l’était pas ! coffret qui renfermait 2 godemichets : un rose d’une bonne vingtaine de cm, superbement bien nervé et un blanc beaucoup plus petit … Martine était parfaitement bien équipée pour satisfaire à ses pulsions solitaires !
Dans un carton dans le bas du placard, étaient soigneusement rangés des dessous beaucoup plus extravagant, combinaison résille intégrale ouverte au niveau des seins et de l’entrejambe, nuisette noire entièrement translucide, menottes, corset en latex avec portes jarretelles, un ensemble fait de lanières et d’anneaux de cuir destinés à encadrer la poitrine et les fesses ; maintien seins en dentelle rouge et string ouvert assorti… mini jupe en cuir noir, boules de geisha …
Mon trouble se muta en excitation. Des images de la douce cinquantenaire en train de se goder, affublée des tenues que je venais de découvrir assaillaient mon esprit. Je repris mes investigation et découvrit quelques DVD porno ainsi qu’une mini cassette de caméscope sans aucune inscription. J’étais persuadé d’avoir découvert le pot aux roses !
Je décidais après réflexion de remplacer la cassette par une autre subtilisée dans la vidéothèque, que je rendais d’abord inutilisable, afin de masquer mon forfait …
Je la visionnerai de retour chez moi.
Ce jour là, tout excité, j’allais dans la salle de bain, je fouillais le bac à linge sale. J’en extirpais ses dessous salis, souillés et en les respirant, en les léchant, en les suçant, je me masturbais… elle avait un gout à la fois aigre et sucré qui me rendait fou.
Dans un état second, j’allais m’allonger sur son lit, je pris le gode rose et je le léchais en me masturbant plus fort ; puis j’éclatais et recueillant ma semence étalée sur mon ventre, j’en enduisais le gode… je nettoyais le reste de mon sperme sur son oreiller … l’idée que mon jus participe à ses prochains jeux solitaires (peut être le gouterait elle en léchant le jouet) et que sa tête repose sur mon venin me rendait dingue !
…
Je passais le reste de la journée en regardant Martine d’un autre œil, fasciné par ses seins imposants et son cul avenant, l’imaginant nue… nos discussions auraient désormais pour moi une autre saveur
…Le soir même, alors que tout le monde était endormi, je restais dans le bureau prétextant des recherches à faire sur le net pour mon travail (ce qui m’arrivait régulièrement). En réalité, j’avais prévu de réaliser une fouille en règle du PC familial. Je n’étais pas au bout de mes surprises
J’entrais sur le « bureau » de Martine et je fouillais ses documents et images personnels … j’y trouvais quelques photo prises avec la webcam : bingo … j’y des captures de cam montrant la vieille perverse à différentes étapes d’un chaud streap tease… son visage était illuminé de regards et de sourires que je ne lui connaissais pas… des expressions provocantes bouche ouverte tête relevée ; ou tête baissée regardant l’objectif par le bas, langue tirée mimant le léchage d’un seins échappé du corsage qu’elle remontait à l’extrême vers son visage. Je la découvrais à califourchon sur la chaise de bureau, de dos, le tissu de son slip baissé, distendu entre ses cuisses écartées … elle exhibait sa vulve gonflée et entrouvertes de laquelle dépassaient ses deux grandes lèvres … sa toison, était fournie, des poils foncés encadraient son fruit dont la dimension m’impressionna. La même photo ensuite, sauf que deux doigts écartaient les lèvres intimes et laissaient entrevoir un vagin rouge sombre, luisant de cyprine.
La suivante : encore la même position, mais cette fois ci deux doigts étaient enfoui dans la chatte béante ; elle regardait l’objectif par-dessus son épaule d’un regard lubrique.
Sur Les prises suivantes elle était vautrée sur le siège de bureau, le corsage totalement ouvert, le soutient gorge baissé sous les seins. Ses deux globes laiteux étaient magnifiques. Ils semblaient lourds. Me paraissaient doux. Deux tétons d’un bon centimètre trônaient à leur sommet, deux framboises rouges sur des auréoles larges et fripés par l’excitation. Elle empoignait ses deux nichons à pleine main et les pressaient l’un contre l’autre en les remontant, les distordant presque ; le slip avait disparu et les cuisses étaient largement ouverte. Sa chatte était offerte, large, accueillante, suintante, le poil fourni. Là encore le regard et le sourire d’une femme que je ne reconnaissais pas, qui n’avait plus rien à voir avec la douce et réservée Martine que je côtoyais.
L’image suivante, dans la même position mais 3 doigts enfoncés jusqu’à la garde dans le vagin…
Celle d’après : l’index et le majeur de chaque main légèrement insérés dans le vagin écartant violemment les grandes lèvre et offrant un trou qui me semblait démesurément large ; et profond et toujours ce regard obscène, semblant dire, « vient me baiser » , ce sourire invitant à la luxure et la débauche.
Je visitais les autres fichiers personnels de Martine sans plus rien trouver… Je décidais de voir si je pouvais accéder à ses Emails. J’ouvrais l’icône des courriels : Connexion automatique, le mot de passe était enregistré ! Je pouvais lire les courriers reçus et envoyés.
Au milieu des messages communs, j’en découvrais certains plus chauds, pour la plupart des échanges avec son mari, certains banal mais d’autres plus coquins voire carrément chauds.
Puis un message échangé avec une de ses amies intitulée : « souvenir d’une soirée inoubliable »
Le texte du message disait à peu prêt ceci : « Chère Claire, nous avons passé une excellent soirée en votre compagnie au club. Ce sera à refaire dès que possible. Ci-joint une photo souvenir. Bisous coquins … Martine
J’ouvrais le fichier joint : une photo apparu. Je reconnu la Claire en question, une femme d’une cinquantaine d’année que j’avais croisée une fois. Moins jolie que Martine. Les deux femme mures étaient assises sur un canapé rouge, dans ce qui me semblait être une discothèque. Elles étaient toute deux côte à côte, serrée l’une contre l’autre, joue contre joue. Elles brandissaient chacune un verre de champagne vers l’objectif, un beau sourire et un regard évocateur illuminaient leur visage.
Je détaillais Martine, délaissant Claire, une blonde trop maigre, qui n’était pas vraiment à mon gout …
Mon ex belle mère semblait nue sous la robe longue fendue très haut. Assise comme elle l’était, sa jambe droite était dévoilée jusqu’en haut. Elle était positionnée de ¾ et j’entrevoyais dans le décolleté très profond une mamelle presque intégralement dénudée. Claire avait une main posée sur sa cuisse gauche… il devait s’agir d’un club libertin vue la tenue et l’attitude des deux coquines.
Incroyable ! je n’en revenais pas … je me souvenais des confidences de Martine dans la voiture :
« il n’a pas à se plaindre à ce niveau là … j’ai beaucoup pris sur moi-même … je ne peux pas te dire de quoi il s’agit, mais j’ai accepté certaines choses qui lui tenaient à cœur pour répondre à ses attentes … »
Ainsi donc pour sauver son couple, Martine était passée du côté obscur de la force. Je la pensais frêle, timide, réservée ; elle s’était vraisemblablement mutée en une chaude libertine, en une comtesse de la nuit. La femme que je redécouvrais ce soir tenais plus de la vieille salope que de la bonne mère de famille…. Miss Hyde …
Il se faisait tard …. Mais je n’avais pas envie d’abandonner mes recherches…
Je fermais la messagerie qui m’avait livré tous ses secrets. J’ouvrais un tiroir du bureau puis un autre … rien … Je vis le cartable du beau père. Je le fouillais. Dans une pochette à fermeture, je découvrais une clef USB. Je l’insérais et l’explorais. Un fichier « perso » attira mon œil. Je l’ouvrais ….
Des dizaines de photos de Martine, habillée, dénudée légèrement, carrément nue …. D’autres de groupe… Il me fallait une copie du fichier avant d’aller plus loin dans mes investigations. Je le copiais sur ma propre clef. Alors que je terminais ma manipulation, du bruit au rez de chaussée…. Quelques clics et j’étais revenu sur mon fichier alibi. La porte du bureau s’ouvrit et Martine passa la tête :
« Tu n’es pas couché ? il est tard tu vas être crevé ! Mon pauvre ton boulot te prend beaucoup de temps ! Penses à toi un peu … Je me fais une eau chaude … tu en veux une ? « … j’acceptais et fermant le PC, je la rejoignais dans la cuisine … »… ce qui me laissait également le temps de me remettre de mes émotions, de me ressaisir … j’avais du lui sembler confus et limite pris en faute …. Je la rejoignais après m’être « repris en main »…
Elle était de dos, devant le plan de travail. Mon regard se posa d’emblée sur son beau cul généreux. Elle était en peignoir de bain bleu noué à la ceinture.. pas très sexy. Elle se tourna et me sourit… « t’as avancé dans ce que tu avais à faire ?
- plus que je ne l’imaginais … oui …
- tant mieux ! »
Elle se tourna pour me tendre mon eau chaude et je ne pu m’empêcher de plonger mon regard dans son décolleté … elle s’en aperçu. Nous nous sommes assis au bar séparant la cuisine de la salle à manger - salon. Elle resserra le peignoir sur son décolleté… Nous avons échangé quelques banalités.
J’avais bien du mal à donner le change après ce que j’avais découvert ! J’avais Martine en face de moi et Miss Hyde à l’esprit … j’avais envie de la prendre là maintenant, de lui arracher son peignoir de bonne mère de famille, de la plaquer contre le mur de lui bouffer la bouche, de lui pétrir ses gros nichons et de fouiller sa grosse chatte à pleine main…. De lui dire …. « je sais ce que tu es en réalité Martine, je sais ce que tu fais la nuit devant ta web cam… » …. J’avais envie qu’elle me suce goulument ….
Elle mit un terme à la conversation en lançant « je vais me recoucher » … elle déposa une bise sur ma joue et disparu ….
Je restais seul quelques instants avant de monter moi même … Je revoyais des images. >il fallait que je me branle … que je me purge …. Ce que je fis …
Je montais me coucher ensuite près de Caroline …qui se détourna… Caroline, pourquoi n’es tu pas comme ta mère ?
C’est ce que j’ai pensé avant de m’endormir …. J’étais bien loin d’imaginer à l’époque que la génétique avait bien œuvré dans ce sens ! Mais ça n’est pas moi qui en profitais ….
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