Albert, le routier, en Allemagne
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Albert, le routier, en Allemagne
J’ai réussi à faire travailler les méninges d’Albert, mon pote routier, et il s’est souvenu de cette histoire. Certes elle est un peu courte mais elle m’a bien excité alors pourquoi pas vous!
Cette fois encore je vais rentrer dans le personnage d’Albert et utiliser le « je » à sa place.
J’étais dans mon camion en direction de Hambourg, en Allemagne, je devais décharger de la poudre à l’usine Calgon. Quand j’arrive enfin à l’entrée de l’usine, il est plus de 19 heures et la grille est déjà fermée. Je descends de mon bahut pour aller sonner. J’attends un petit moment quand un mec vient enfin vers moi. Il doit avoir une quarantaine d’années, il est légèrement plus petit que moi, porte un costume avec un écusson d’une société de gardiennage, sa chemise est grande ouverte sur un torse poilu. Nos yeux se croisent et ne se quitte plus jusqu’à ce qu’il arrive à ma hauteur et ouvre la grille. Sans dire un mot il m’indique la balance. Pour ce genre de livraison, il y a toujours quelqu’un qui pèse le camion à l’entrée et à la sortie.
Je remonte dans mon camion et le déplace jusqu’à la bascule pour la pesée. Quand je redescends nous continuons à nous fixer sans ciller, puis il passe sa langue lentement sur ses lèvres. Maintenant c’est sa bouche que je fixe. Une fois la pesée fini, il me donne le formulaire pour que le vérifie et que je le signe. Dès qu’il à sa main libre, il m’attrape le paquet à travers mon jean. Je signe rapidement son papier et je fais la même chose. Le salaud à l’air d’être bien monté surtout s’il ne bande pas à fond, je le malaxe aussi à travers son pantalon. Sans lâcher prise il me demande si je parle allemand, heureusement pour moi je me débrouille bien dans cette langue alors il me demande:
« Jusqu’où du doit rouler ce soir? » tout en continuant à me faire malaxer la bite et à malaxer la sienne je lui répond qu’après avoir déchargé le camion je vais chercher un parking et m’y poser pour la nuit.
« Si tu veux il y a un garage à 500 mètres d’ici, je finis de travailler à 22H30 on peut s’y retrouver là bas et passer un petit moment ensemble. »
Il serre plus fort sa main autour de mon entrejambe mais j’arrive quand même à sortir un « Avec plaisir ». Il lâche son étreinte, je fais pareil, il dépose ses lèvres contre les miennes puis s’éloigne.
Je vais vider le camion, il est plus de 21H30 quand je me dirige vers la sortie avec mon camion, il est devant la grille. Pendant qu’elle s’ouvre il sort sa queue du pantalon, elle n’est pas très dur mais à une très belle taille et se caresse un peu en me faisant à nouveau courir sa langue sur ses lèvres. Une fois la grille entièrement ouverte, il range son matériel et me laisse passer. Quand j’arrive à sa hauteur je lui dit: « Viens dès que tu peux, je t’attendrai avec impatience ».
J’arrive au niveau du parking qu’il m’a indiqué. Je profite du temps que j’ai avant qu’il arrive pour casser la croute et faire un brin de toilette. Ensuite je retourne dans mon camion, je ferme les rideaux et me déshabille entièrement. Je feuillette une revue gay qui traine dans ma cabine ce qui me fait immédiatement bander. Heureusement pour moi pas longtemps après on toque à la portière de mon camion, j’entrouvre le rideau et je vois mon gardien de tout à l’heure, il ne m’a pas fait un faux plan. J’ouvre la portière et le fais monter, quand il voit que je suis entièrement nu il se dépêche de refermer la portière et se déshabille à son tour avant de me rouler une bonne pelle baveuse. Nous nous embrassons et nous caressons entièrement nu pendant un bon quand je lui propose de passer à l’arrière de la cabine pour être plus à l’aise.
Il passe le premier ce qui me permet de mater et tâter son cul, je rentre à mon tour dans la couchette avec la queue déjà bien dressée qu’il avale directement et commence à me sucer. Pendant qu’il fait de plus en plus rentrer ma bite dans sa bouche je lui caresse les deux tétons en même temps, il a l’air de beaucoup aimer ça et moi aussi. Alors que sa bouche monte et descend le long de ma tige ses mains me caressent les couilles et le cul, un de ses doigt commence même à forcer le passage entre mes fesses. Je descends mon regard pour voir si tout ça l’excite autant que moi et là je vois un sexe énorme, il doit bien faire 20 cm de long et 6 de diamètre, extrêmement gonflé et veiné. J’ai envie de le toucher et le goûter. Je plie encore plus les genoux pour m’allonger, mais mon gardien allemand dont je ne connais toujours pas le prénom ne lâche pas ma queue. Une fois étendu ma bouche n’arrive pas à atteindre son sexe mais mes mains oui alors je commence à le caresser. Mon pouce et mon index n’arrive pas à en faire le tour tellement qu’il est large. J’espère qu’il a des capotes sur lui parce que j’ai très envie de sentir cet engin en moi. Je ne peux plus résister à l’envie de le goûter alors je l’attrape par les fesses et fais venir ce magnifique morceau de chair jusqu’à ma bouche, ce qui l’oblige à lâcher ma queue. Ce n’est pas grave, l’action va quand même continuer. Je pose ma langue sur son frein et je remonte doucement en appuyant bien avec ma langue. Une fois arrivé à la base de son gland je redescend ma langue au début de son frein et je recommence la même opération plusieurs fois alors que mes mains se ballade sur ses couilles qui m’ont l’air très pleines.
Mes lèvres remontent, cette fois, jusqu’à son gland que je lèche aussi avant de le gober alors que main redescendent et vont caresser son cul qui lui aussi est poilu. J’avale de plus en plus sa bite dans des petits mouvements d’allers retours avec mes lèvres, mes mains, ou plutôt mes doigts, se rapprochent de son trou. J’ai les lèvres qui sont très tirées tellement qu’il a un calibre important, j’arrive tout juste à prendre les 3/4 de son sexe en bouche. Ma salive dégouline le long de son mat, alors que mon index droit appuies sur sa rosette qui est très fermée.
Je monte et descend avec ma bouche depuis plus de 5 minutes mais son cul ne se détend pas énormément sous mes massages alors je décide de délaisser ses fesses pour me concentrer sur sa bite et ses couilles que je caresse sans arrêt avec mes lèvres et ma langue. Au bout de 10 minutes il m’attrape la tête et l’immobilise en me disant:
« Arrêtes sinon je vais jouir » puis il m’attrape par les épaules et m’allonge sur le dos en remontant mes jambes contre ses épaules. Il descend sa tête vers mon entre jambe tout en mettant mes jambes en l’air, il pose sa langue le plus bas possible sur ma raie et remonte tout doucement. Sa langue fait un premier stop sur mon oeillet et joue avec quelques instants avant de continuer son chemin. Il continue à remonter et cette fois s’arrête au niveau de mes couilles qu’il gobe l’une après l’autre à plusieurs reprises. Encore une fois sa langue reprend son chemin et remonte le long de ma queue jusqu’à mon méat qui commence à chuinter, il lèche le liquide et empale sa bouche sur mon sexe jusqu’à l’avaler entièrement. Apres il commence un va et vient énergique le long de ma queue en jouant avec sa langue mais aussi ses lèvres et ses dents. Je sens que je continue de couler.
Subitement il abandonne mon sexe et replace sa langue au même endroit qu’au début et refait la même chose sauf qu’il s’attarde plus à chaque arrêt. Cette fois il me bouffe le cul jusqu’à y faire rentrer sa langue, ensuite il me lèche les couilles, les pinces avec ses lèvres et tire dessus avant de les gober à nouveau et il me suce de nouveau mais pendant plus longtemps et aspire régulièrement ma bite comme s’il buvait à la paille.
Sa bouche abandonne encore une fois mon sexe mais cette fois il place directement sa langue dans mes entrailles et me sodomise avec pendant de longues minutes. Puis il se met à genoux et place son sexe contre mon trou et se frotte dessus, j’empoigne mon sexe et me masturbe en même temps. Avec toute la salive qu’il a déposé entre mes fesses, son chibre glisse comme il le faut, je sens même des fois son gland qui rentre légèrement en moi, du coup je lui demande:
« Tu as des préservatifs? », malheureusement il me répond par la négative. Il remplace ma main qui me caresse le sexe par la sienne tout en continuant à me branler la rondelle avec sa grosse queue. Sa poigne est forte et très agréable, sa bite me fait mouiller du cul. J’ai très envie qu’il me déchire le fion mais sans capote je ne suis pas rassuré alors nous continuons ainsi pendant de longues minutes. Cela fait un moment que je me retiens de jouir quand il me dit:
« J’ai envie qu’on se finisse en 69 », sans attendre ma réponse il nous place, me fourre sa bite dans la bouche que j’accueille avec plaisir et avale la mienne qui est sur le point d’exploser. Mes lèvres courent le long de sa chair veinée, je sens les goûts de mes sécrétions en le léchant, tout cela m’excite tellement que je n’arrive pas à me retenir et j’explose de 4 grosses giclées dans sa bouche. Il continue de me sucer au même rythme que je m’occupe de son sexe, je malaxe aussi ses couilles quand il s’immobilise, enserre mes fesses avec ses mains et me rempli la bouche de son liquide chaud et épais alors que mes lèvres ne bougent plus mais que ma langue continue de titiller son frein.
Il retire sa bite de ma bouche, j’allais avaler sa semence quand il attrape mon visage et me roule une pelle. Il a toujours mon sperme en bouche et nos langues mélangent nos deux liqueurs. Au moment où nos bouches se séparent nous avalons chacun ce que nous avons dans la bouche avant de nous rouler une nouvelle pelle en étant dans les bras l’un de l’autre à nous caresser et nous embrasser.
Nous restons ainsi 10 bonnes minutes puis il me dit qu’il doit y aller, sa femme l’attend à la maison. Je suis un peu déçu j’avais espéré passer plus de temps avec lui et peut être même la nuit, mais bon… Il se rhabille, m’embrasse une dernière fois la queue et en ouvrant la portière il me dit qu’il espère que la prochaine fois un de nous deux aura des capotes.
Plus tard je me suis branlé en sentant nos odeurs sur le matelas et en me rappelant ce moment très chaud et j’ai avalé mon sperme.
Je suis retourné plusieurs fois dans cette usine, toujours avec des préservatifs dans ma cabine mais je ne l’ai jamais revu.
Cette fois encore je vais rentrer dans le personnage d’Albert et utiliser le « je » à sa place.
J’étais dans mon camion en direction de Hambourg, en Allemagne, je devais décharger de la poudre à l’usine Calgon. Quand j’arrive enfin à l’entrée de l’usine, il est plus de 19 heures et la grille est déjà fermée. Je descends de mon bahut pour aller sonner. J’attends un petit moment quand un mec vient enfin vers moi. Il doit avoir une quarantaine d’années, il est légèrement plus petit que moi, porte un costume avec un écusson d’une société de gardiennage, sa chemise est grande ouverte sur un torse poilu. Nos yeux se croisent et ne se quitte plus jusqu’à ce qu’il arrive à ma hauteur et ouvre la grille. Sans dire un mot il m’indique la balance. Pour ce genre de livraison, il y a toujours quelqu’un qui pèse le camion à l’entrée et à la sortie.
Je remonte dans mon camion et le déplace jusqu’à la bascule pour la pesée. Quand je redescends nous continuons à nous fixer sans ciller, puis il passe sa langue lentement sur ses lèvres. Maintenant c’est sa bouche que je fixe. Une fois la pesée fini, il me donne le formulaire pour que le vérifie et que je le signe. Dès qu’il à sa main libre, il m’attrape le paquet à travers mon jean. Je signe rapidement son papier et je fais la même chose. Le salaud à l’air d’être bien monté surtout s’il ne bande pas à fond, je le malaxe aussi à travers son pantalon. Sans lâcher prise il me demande si je parle allemand, heureusement pour moi je me débrouille bien dans cette langue alors il me demande:
« Jusqu’où du doit rouler ce soir? » tout en continuant à me faire malaxer la bite et à malaxer la sienne je lui répond qu’après avoir déchargé le camion je vais chercher un parking et m’y poser pour la nuit.
« Si tu veux il y a un garage à 500 mètres d’ici, je finis de travailler à 22H30 on peut s’y retrouver là bas et passer un petit moment ensemble. »
Il serre plus fort sa main autour de mon entrejambe mais j’arrive quand même à sortir un « Avec plaisir ». Il lâche son étreinte, je fais pareil, il dépose ses lèvres contre les miennes puis s’éloigne.
Je vais vider le camion, il est plus de 21H30 quand je me dirige vers la sortie avec mon camion, il est devant la grille. Pendant qu’elle s’ouvre il sort sa queue du pantalon, elle n’est pas très dur mais à une très belle taille et se caresse un peu en me faisant à nouveau courir sa langue sur ses lèvres. Une fois la grille entièrement ouverte, il range son matériel et me laisse passer. Quand j’arrive à sa hauteur je lui dit: « Viens dès que tu peux, je t’attendrai avec impatience ».
J’arrive au niveau du parking qu’il m’a indiqué. Je profite du temps que j’ai avant qu’il arrive pour casser la croute et faire un brin de toilette. Ensuite je retourne dans mon camion, je ferme les rideaux et me déshabille entièrement. Je feuillette une revue gay qui traine dans ma cabine ce qui me fait immédiatement bander. Heureusement pour moi pas longtemps après on toque à la portière de mon camion, j’entrouvre le rideau et je vois mon gardien de tout à l’heure, il ne m’a pas fait un faux plan. J’ouvre la portière et le fais monter, quand il voit que je suis entièrement nu il se dépêche de refermer la portière et se déshabille à son tour avant de me rouler une bonne pelle baveuse. Nous nous embrassons et nous caressons entièrement nu pendant un bon quand je lui propose de passer à l’arrière de la cabine pour être plus à l’aise.
Il passe le premier ce qui me permet de mater et tâter son cul, je rentre à mon tour dans la couchette avec la queue déjà bien dressée qu’il avale directement et commence à me sucer. Pendant qu’il fait de plus en plus rentrer ma bite dans sa bouche je lui caresse les deux tétons en même temps, il a l’air de beaucoup aimer ça et moi aussi. Alors que sa bouche monte et descend le long de ma tige ses mains me caressent les couilles et le cul, un de ses doigt commence même à forcer le passage entre mes fesses. Je descends mon regard pour voir si tout ça l’excite autant que moi et là je vois un sexe énorme, il doit bien faire 20 cm de long et 6 de diamètre, extrêmement gonflé et veiné. J’ai envie de le toucher et le goûter. Je plie encore plus les genoux pour m’allonger, mais mon gardien allemand dont je ne connais toujours pas le prénom ne lâche pas ma queue. Une fois étendu ma bouche n’arrive pas à atteindre son sexe mais mes mains oui alors je commence à le caresser. Mon pouce et mon index n’arrive pas à en faire le tour tellement qu’il est large. J’espère qu’il a des capotes sur lui parce que j’ai très envie de sentir cet engin en moi. Je ne peux plus résister à l’envie de le goûter alors je l’attrape par les fesses et fais venir ce magnifique morceau de chair jusqu’à ma bouche, ce qui l’oblige à lâcher ma queue. Ce n’est pas grave, l’action va quand même continuer. Je pose ma langue sur son frein et je remonte doucement en appuyant bien avec ma langue. Une fois arrivé à la base de son gland je redescend ma langue au début de son frein et je recommence la même opération plusieurs fois alors que mes mains se ballade sur ses couilles qui m’ont l’air très pleines.
Mes lèvres remontent, cette fois, jusqu’à son gland que je lèche aussi avant de le gober alors que main redescendent et vont caresser son cul qui lui aussi est poilu. J’avale de plus en plus sa bite dans des petits mouvements d’allers retours avec mes lèvres, mes mains, ou plutôt mes doigts, se rapprochent de son trou. J’ai les lèvres qui sont très tirées tellement qu’il a un calibre important, j’arrive tout juste à prendre les 3/4 de son sexe en bouche. Ma salive dégouline le long de son mat, alors que mon index droit appuies sur sa rosette qui est très fermée.
Je monte et descend avec ma bouche depuis plus de 5 minutes mais son cul ne se détend pas énormément sous mes massages alors je décide de délaisser ses fesses pour me concentrer sur sa bite et ses couilles que je caresse sans arrêt avec mes lèvres et ma langue. Au bout de 10 minutes il m’attrape la tête et l’immobilise en me disant:
« Arrêtes sinon je vais jouir » puis il m’attrape par les épaules et m’allonge sur le dos en remontant mes jambes contre ses épaules. Il descend sa tête vers mon entre jambe tout en mettant mes jambes en l’air, il pose sa langue le plus bas possible sur ma raie et remonte tout doucement. Sa langue fait un premier stop sur mon oeillet et joue avec quelques instants avant de continuer son chemin. Il continue à remonter et cette fois s’arrête au niveau de mes couilles qu’il gobe l’une après l’autre à plusieurs reprises. Encore une fois sa langue reprend son chemin et remonte le long de ma queue jusqu’à mon méat qui commence à chuinter, il lèche le liquide et empale sa bouche sur mon sexe jusqu’à l’avaler entièrement. Apres il commence un va et vient énergique le long de ma queue en jouant avec sa langue mais aussi ses lèvres et ses dents. Je sens que je continue de couler.
Subitement il abandonne mon sexe et replace sa langue au même endroit qu’au début et refait la même chose sauf qu’il s’attarde plus à chaque arrêt. Cette fois il me bouffe le cul jusqu’à y faire rentrer sa langue, ensuite il me lèche les couilles, les pinces avec ses lèvres et tire dessus avant de les gober à nouveau et il me suce de nouveau mais pendant plus longtemps et aspire régulièrement ma bite comme s’il buvait à la paille.
Sa bouche abandonne encore une fois mon sexe mais cette fois il place directement sa langue dans mes entrailles et me sodomise avec pendant de longues minutes. Puis il se met à genoux et place son sexe contre mon trou et se frotte dessus, j’empoigne mon sexe et me masturbe en même temps. Avec toute la salive qu’il a déposé entre mes fesses, son chibre glisse comme il le faut, je sens même des fois son gland qui rentre légèrement en moi, du coup je lui demande:
« Tu as des préservatifs? », malheureusement il me répond par la négative. Il remplace ma main qui me caresse le sexe par la sienne tout en continuant à me branler la rondelle avec sa grosse queue. Sa poigne est forte et très agréable, sa bite me fait mouiller du cul. J’ai très envie qu’il me déchire le fion mais sans capote je ne suis pas rassuré alors nous continuons ainsi pendant de longues minutes. Cela fait un moment que je me retiens de jouir quand il me dit:
« J’ai envie qu’on se finisse en 69 », sans attendre ma réponse il nous place, me fourre sa bite dans la bouche que j’accueille avec plaisir et avale la mienne qui est sur le point d’exploser. Mes lèvres courent le long de sa chair veinée, je sens les goûts de mes sécrétions en le léchant, tout cela m’excite tellement que je n’arrive pas à me retenir et j’explose de 4 grosses giclées dans sa bouche. Il continue de me sucer au même rythme que je m’occupe de son sexe, je malaxe aussi ses couilles quand il s’immobilise, enserre mes fesses avec ses mains et me rempli la bouche de son liquide chaud et épais alors que mes lèvres ne bougent plus mais que ma langue continue de titiller son frein.
Il retire sa bite de ma bouche, j’allais avaler sa semence quand il attrape mon visage et me roule une pelle. Il a toujours mon sperme en bouche et nos langues mélangent nos deux liqueurs. Au moment où nos bouches se séparent nous avalons chacun ce que nous avons dans la bouche avant de nous rouler une nouvelle pelle en étant dans les bras l’un de l’autre à nous caresser et nous embrasser.
Nous restons ainsi 10 bonnes minutes puis il me dit qu’il doit y aller, sa femme l’attend à la maison. Je suis un peu déçu j’avais espéré passer plus de temps avec lui et peut être même la nuit, mais bon… Il se rhabille, m’embrasse une dernière fois la queue et en ouvrant la portière il me dit qu’il espère que la prochaine fois un de nous deux aura des capotes.
Plus tard je me suis branlé en sentant nos odeurs sur le matelas et en me rappelant ce moment très chaud et j’ai avalé mon sperme.
Je suis retourné plusieurs fois dans cette usine, toujours avec des préservatifs dans ma cabine mais je ne l’ai jamais revu.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi aussi j’ai beaucoup aimé mes moments avec des routiers. Dommage qu’Albert ne l’ai jamais revu! Merci pour cette belle histoire, comme pour les autres
de jose merci superbe belle histoire et bon plant cul j'aurais kiff être a la place de albert pour faire ma salope soumis au plaisir bisous
Je vais finir par regretter de ne pas avoir été routier.
J’aime ce genre de situation pour avoir eu quelques aventures sur les aires d’autoroute, pour l’exemple : dans une camionnette de chantier avec deux travailleurs qui rentrés dans leurs pays (Portugal). Un superbe moment.
J’aime ce genre de situation pour avoir eu quelques aventures sur les aires d’autoroute, pour l’exemple : dans une camionnette de chantier avec deux travailleurs qui rentrés dans leurs pays (Portugal). Un superbe moment.