Le tour de l’Europe du sexe (4), les mères bulgares sont des chaudasses
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le tour de l’Europe du sexe (4), les mères bulgares sont des chaudasses
Après mes quelques jours à Heraklion et mes chauds moments avec Adria, je reprends un bateau pour rejoindre le continent. Je passe quelques jours dans la capitale, je fais que visiter car je trouve pas de boulot et que nous sommes avant la crise alors les prix sont pas encore très bas. Il faut dire que le côté historique d’Athènes est incroyable. J’aimerai y rester plus longtemps mais je dois tailler la route.
Je fais du stop pour remonter vers le nord et faire un tour en Bulgarie. Je m’arrête dans la région de Plovdiv, j’ai déjà visiter Sofia alors inutile pour moi d’aller plus haut avant de continuer vers la Turquie. C’est une région très interessante car c’est un mélange d’anciennes cultures comme les ottomans, les romains, les thraces et évidement les bulgares (je vous assure, je suis pas payé par l’office du tourisme).
Sur place je vie chez une famille de fermier qui me loge et me nourrit contre quelques heures de travail. Ils ont 2 jeunes enfants et malgré les kilos de grossesse qu’elle a pas perdu, Galina, la mère de famille, est très séduisante. Elle doit avoir mon âge, c’est une fausse blonde avec une belle paire de sein peut être encore remplie de lait vu que le plus jeune a pas 6 mois. Ses fesses sont bien rebondies comme j’aime et elle porte uniquement des tenues courtes ou qui mettent bien ses formes en valeur.
Lubomir, le père, doit avoir bien 15 ans de plus que nous. Il est très porté sur la bouteille et comme, contrairement à sa femme, il parle pas l’anglais nous échangeons presque pas. Une fois que son mari et les enfants dorment, je passe la première soirée à discuter avec Galina en buvant de la vodka maison. Même si elle aide son mari à la ferme, elle est loin d’être bête. Elle a commencé une licence d’anglais mais à dû arrêter suite à la mort de ses parents dans un accident de voiture.
Comme elle pouvait plus payer le loyer du grand appartement de ses parents, elle a dû déménager et abandonner ses études pour trouver du travail. C’est comme ça qu’elle s’est résignée à épouser Lubomir. Certes ce n’est pas l’homme le plus beau, l’alcool aidant elle m’avoue que ce n’est pas le meilleur amant non plus, mais il est doux et gentil. En plus grâce à lui, même sans vivre dans l’opulence, elle peut avoir un bon niveau de vie.
Nous continuons à échanger, je lui parle aussi de mon mariage raté et de mes projections d’avenir. Entre le voyage et la vodka, je fatigue de plus en plus même si j’aime beaucoup sa compagnie. Il est déjà 2 heures du matin quand je lui dis que je vais aller me coucher. Ma chambre est sous les toits, elle monte avec moi pour vérifier que j’ai besoin de rien. Je suis tellement crevé que je m’endors rapidement.
Le lendemain matin, j’ai réglé le réveil car je dois aider Lubomir de 9 heures à 11 heures avant d’aller visiter la ville qui m’a l’air très animé par tous les étudiants qui l’habitent. Je pars vers 11h30, plein de bonnes recommandations de la part de la mère de famille qui a étudié là bas. Elle me prête un vélo pour que je puisse rentrer tranquillement et à l’heure que je veux. Il faut juste que j’ai assez d’énergie pour pédaler les quelques kilomètres qui sépare la ferme de la ville.
Je passe une journée et une soirée extraordinaire. L’architecture et la culture régionale sont très impressionnantes. Même si je connais personne, un groupe d’étudiants, rencontré dans un bar, me fait découvrir la vie nocturne de la ville. J’essaye de pas trop boire pour pouvoir rentrer sans problème avec mon vélo et surtout réussir à lire la carte au cas ou je me perds.
Une fois arrivé à la ferme, je fais le moins de bruit possible afin de monter rejoindre mon lit. Dans les escaliers je suis arrêté par Galina qui s’inquiéter de pas me voir rentrer. Je la rassure et lui souhaite une bonne nuit. Je monte me coucher et comme la veille je mets que quelques instants à m’endormir.
Je lendemain, je suis réveillé par une lumière qui envahit soudainement toute la chambre. La maitresse des lieux est en train d’ouvrir mes rideaux en m’annonçant qu’il est déjà 11 heures et qu’elle trouve dommage que je gâche ma journée à dormir. Je tâte mon corps et vérifie que je porte bien quelque chose. Heureusement j’ai pas enlever mon caleçon pour dormir.
Alors qu’elle me demande comment s’est passée ma journée et ma soirée. Je reste dans le lit pour cacher mon érection matinale tout en lui racontant tout ce que j’ai vu. Alors que je lui parle du groupe d’étudiants que j’ai rencontré, je l’admire dans son petit top à bretelles rose pale qui moule bien ses seins et son short, très très, court qui dévoile le bas de ses fesses.
Elle m’interrompt pour me demander si j’ai fait une rencontre coquine avec une des filles. Vexé qu’elle me prenne pour un chasseur de gamines, je réponds un franc « Non ». Elle interprète mal ma réponse car elle me demande:« A boy maybe? » (« Peut être un garçon? »)Un grand silence suit sa question, est ce que je lui parle de ma bisexualité?
Finalement, je rigole et lui réponds aussi négativement. Pour qu’elle comprenne bien, je lui explique que je suis pas très attiré par les gamines et préfèrent les femmes de mon âge ou plus mûres. Elle rougit et embraye en me demandant où nous sommes allés? Je lui parle de la boite où nous sommes allés danser, immédiatement elle s’excite et se met à se trémousser en me disant:« J’adore cette boite! J’y allais tout le temps quand j’étais étudiante. »
Comme je bande plus, je sors de mon lit pour encore mieux l’admirer onduler. Elle en profite pour prendre appuie sur le lit et se mettre a twerker devant moi. Ses magnifiques globes fessiers se balancent au rythme de son bassin. Elle m’offre un si beau spectacle que je reste pas flasque très longtemps. Elle se redresse et se retourne en rigolant de gêne. Je la rassure en lui disant que c’était génial et l’invite même à recommencer.
Elle hésite un instant puis finit par se pencher pour refaire bouger son cul devant mon regard médusé. Si tout à l’heure elle a pas remarqué mon érection, cette fois ça sera pas le cas, je bande comme un cheval. Sans tourner la tête, je me décale pour cacher au maximum mon entrejambe et continuer à l’admirer s’agiter. Plus elle se penche plus son petit short remonte sur ses fesses pour encore mieux me les dévoiler. Soit elle porte un string en dessous, soit elle a rien.
Quand elle se retourne, je tends ma jambe qui et vers elle et glisse ma main entre mes cuisses pour encore mieux ensevelir ma gaule. Je sais pas trop comment enchainer, j’ai très envie qu’elle continue de me chauffer comme ça mais j’ai pas envie de me retrouver à la rue pour les deux prochaines nuits. On vit qu’une fois alors je lui lance:« Si tu avais été en boite hier et que tu avais dansé comme ça devant moi, c’est sûr que je t’aurais abordé. »
Elle prend mes mots pour des encouragements à recommencer et se repenche sur le lit pour recommencer à faire onduler son popotin devant moi. Quand elle tourne la tête pour voir ma réaction, elle voit immédiatement le tissu de mon caleçon être tendu au maximum, elle arrête immédiatement de remuer son bassin mais reste dans cette position.
Au bout d’un moment elle se redresse mais reste tourner pour me demander timidement:« C’est moi qui te met dans cet état? »J’hésite pas une seconde et lui réponds:« Evidement, tu es tellement excitante! »Elle me donne toujours le dos et tout en caressant la partie de ses fesses qui est pas recouverte par son short, elle me dit:« C’est pas bien… je suis une femme mariée… même si on a envie, il faut pas… »
Je jalouse ses doigts qui ont le droit de toucher son magnifique postérieur. De toutes les façons, elle a très bien compris mes attentions alors je tente le tout pour le tout en lui lançant en pointant ses globes fessiers:« Comme résister à ça. Si tu étais ma femme, j’aurai tout le temps envie de toi! »Après un moment d’hésitation elle se penche de nouveau en me provoquant avec un:« Si mon cul te plait autant, pourquoi tu en reste aussi loin. »
Je m’agenouille pour l’admirer de plus prêt mais je me décale rapidement pour aller m’assoir sur la table de nuit. Galina se retourne et me demande avec un air de petite fille déçue:« Il te plait plus? »Je lui réponds immédiatement que non mais que j’ai peur de pas résister à l’envie de le toucher. Elle tend la main vers la partie tendue de mon caleçon et tout en caressant mon érection, elle me dit:« C’est pas interdit de toucher. »
Je me laisse faire quelques instants puis me lève pour me libérer de son emprise. Pour la rassurer je lui explique que j’ai peur de pas réussir à me contrôler si elle continue. Elle semble flattée parce que je viens de lui dire et pour encore plus me chauffer, elle se penche sur le lit en faisant semblant de fouiller en dessous. Je résiste plus et lui dit:« Ok, ok. Mais tu l’auras cherché. »
Pendant qu’elle se redresse, je fais tomber mon caleçon et me retrouve à poil devant elle en exhibant bien ma queue. Quand elle voit ma bitte bien raide et dure, elle peut pas s’empêcher de tendre la main et l’empoigner pour me branler doucement. Le message est reçu et c’est parti. Je caresse sa vulve à travers son short et je peux enfin confirmer qu’elle porte rien en dessous. Elle est tellement ouverte que malgré le tissu j’arrive à faire rentrer un doigt en elle.
Sa main s’excite un peu plus sur mon sexe mais rapidement elle s’agenouille devant moi et engloutit directement ma tige. Elle fait courir ses lèvres sur toute ma longueur alors que ses mains malaxent mes couilles. Au bout de quelques minutes elle échange, sa bouche descend s’occuper de mes bourses alors que ses mains remontent sur ma queue. Elle s’en donne à coeur joie de me lécher, m’aspirer et même me mordiller.
Depuis Héraklion, j’ai plus baisé alors je suis rassuré quand elle me recrache. Encore une fois, elle se penche pour chercher un truc sous le lit mais surtout m’exhiber de nouveau son magnifique cul. Elle ressort une boite qu’elle ouvre, elle prend un des préservatifs qui est dedans et me le tend en prenant position, de nouveau, en levrette après avoir baisser son short.
Pendant que j’enfile la capote d’une main, je caresse son dos et fait tomber les bretelles de son top. Elle comprend le message et le retire pour se retrouver complètement nue comme moi. J’empoigne ma tige et vais titiller sa fente, même si du latex nous sépare, je sens qu’elle mouille bien tellement que ça glisse. Je m’immobilise et me plante en elle d’un coup sec, ce qui lui arrache un petit cri de surprise et plaisir.
Je ressors complètement, j’écarte à deux mains son cul pour positionner mon gland et me replante en elle. Je recommence comme ça quelques fois jusqu’à ce qu’elle me supplie de la baiser. Je me mets à la limer dans de grands mouvements amples et lents. Je fais bien attention de m’enfoncer au maximum en elle et m’arrête qu’une fois mes couilles sont contre ses cuisses.
J’accélère progressivement le rythme jusqu’à totalement changer de mode. Je me colle bien à elle, j’empoigne ses gros nichons et je la ramone ardemment avec des petits mouvements très secs. Je m’applique à lui donner de fort coup de bite pour bien faire claquer ses fesses avec mon ventre. Mes doigts se concentre uniquement sur ses tétons ce qui la fait couiner de plus belle.
Je sens la sauce qui recommence à monter alors je ralentis la cadence pour économiser de l’énergie. Je varie les plaisirs pendant un bon moment et quand je sens le point de non retour trop proche, je me retire complètement. Je m’agenouille derrière et écarte encore plus ses jambes. Je glisse ma tête entre ses cuisses à la recherche de son petit bouton.
Non seulement elle est totalement rasée mais en plus son clito est très proéminent, elle ressemble au zizi d’un bébé tellement qu’il sort. Je le prend en bouche et le suce comme si c’était une vraie bitte. C’est la première fois que je vois ça, la ressemblance avec un sexe masculin est hallucinante. Au niveau de la tête, il y a même un petit repli qui fait penser à un gland. Si elle avait pas d’enfant, je penserai qu’elle est hermaphrodite.
Après un long moment à la faire gémir ainsi, je sens son petit bouton convulser entre mes lèvres. J’accélère le rythme de ma langue pour la faire encore plus prendre son pied. Je sens qu’elle coule sur mon menton, elle se déverse tellement que sa cyprine dégouline le long de mon cou. Elle respire de plus en plus fort et ses ongles viennent se planter dans mon crâne.
Quand elle relâche la pression, je ralentis la cadence. En quittant son mont de Vénus, je passe ma langue le long de sa vulve ce qui la fait frissonner. Je me redresse et la retourne pour l’allonger sur le dos dans le lit. Je plaque ses jambes sur mes épaules et je la prends d’un coup sec. Pendant que je la ramone vigoureusement mon pouce et mon majeur triture son clito comme je le ferai avec un téton.
Même si elle vient de jouir, elle se remet rapidement à couiner ce qui fait encore plus monter mon excitation. Je dois bien avouer que je prends aussi beaucoup de plaisir à malaxer son bouton hors norme. Avec ma main de libre, je claque régulièrement ses fesses. Je fais de grands mouvements de bassin pour bien regarder ma queue rentrer et sortir de sa grotte mais sans lâcher son petit zizi qui lui sert de Clito.
Elle se met à beugler des trucs en bulgare, je comprends rien mais elle à l’air d’apprécier surtout que ses muscles internes se mettent à comprimer ma tige en elle. Si sa chatte continue de me compresser autant je vais moi aussi jouir. Je profite d’un relâchement pour sortir et je la finis avec ma bouche et mes doigts. Elle se met à couler comme une fontaine, directement entre mes lèvres. Je m’applique à avaler tout son élixir mais elle dégouline tellement qu’il en coule sur mes joues.
Une fois qu’elle redescend doucement, je continue à lui bouffer la moule pour maintenir son excitation. Je passe de ses lèvres intimes à son clito mais je descends aussi régulièrement vers son périnée. Entre ses deux orifices, elle se laisse faire mais plus je m’approche de sa rondelle plus je sens son petit trou se contracter. Pour être sûre que je comprenne son message, elle me dit entre deux gémissements:« Not this way » (« Pas par là »)
Je remonte avec regret vers sa grotte, je la dévore encore un peu puis je réajuste mon préservatif. Je me plante en elle et la ramone vigoureusement en ne pensant plus qu’à mon plaisir, vu qu’elle a déjà joui au moins 2 fois. Je l’assène de coups de bitte de plus en plus violent mais elle me coupe dans le plaisir. Elle se redresse vers moi et me pince les tétons du coup je retourne m’occuper de son clito.
Alors que je me déchaîne en elle, je me retire d’un coup sec et retourne Galina. Je monte debout sur le lit et l’attrape par la taille pour encore plus soulever sa croupe. Mes jambes sont contre les siennes et je me plante en elle dans cette position. Je pense même plus à la personne que je baise et me concentre uniquement sur son trou. Je la martèle de coups de rein de plus en plus violent, elle change de position et plonge son bras vers son entrejambe.
Alors qu’elle se caresse passionnément, je continue à la ramoner comme un fou. Pour rythmer mes allers retours dans sa chatte, qu’elle s’applique à contracter, je la fesse. D’abord plutôt gentiment mais plus je fais claquer son cul plus elle en redemande. Elle pousse un long hurlement alors que sa grotte m’enferme tellement qu’elle finit par me faire jouir. A chaque saccade je sens ma capote se remplir encore plus.
Je continue à la limer tant que je suis assez dur, mais en ralentissant la cadence progressivement. Alors que je me retire progressivement de son antre, on entend la voix de son mari qui l’appelle. Pendant qu’elle remet ses courts habits, elle lui répond. Elle quitte rapidement ma chambre alors que je suis toujours sur mon petit nuage.
Une fois que j’ai repris mes esprits, je file directement me doucher puis je descends les rejoindre. Lubomir est plus là et Galina s’est changé pour un jogging et un t-shirt qui recouvre plus sa poitrine. En me voyant arriver, elle se remet à twerker puis rigole ce qui me fait dire que je vais encore pouvoir m’amuser avec elle. J’ai raison car les deux soirs suivants nous avons encore couché ensemble mais elle m’a jamais offert son cul.
Il est temps pour moi de reprendre la route en direction d’Istanbul où je le sais pas encore mais une belle aventure m’attend…
Je fais du stop pour remonter vers le nord et faire un tour en Bulgarie. Je m’arrête dans la région de Plovdiv, j’ai déjà visiter Sofia alors inutile pour moi d’aller plus haut avant de continuer vers la Turquie. C’est une région très interessante car c’est un mélange d’anciennes cultures comme les ottomans, les romains, les thraces et évidement les bulgares (je vous assure, je suis pas payé par l’office du tourisme).
Sur place je vie chez une famille de fermier qui me loge et me nourrit contre quelques heures de travail. Ils ont 2 jeunes enfants et malgré les kilos de grossesse qu’elle a pas perdu, Galina, la mère de famille, est très séduisante. Elle doit avoir mon âge, c’est une fausse blonde avec une belle paire de sein peut être encore remplie de lait vu que le plus jeune a pas 6 mois. Ses fesses sont bien rebondies comme j’aime et elle porte uniquement des tenues courtes ou qui mettent bien ses formes en valeur.
Lubomir, le père, doit avoir bien 15 ans de plus que nous. Il est très porté sur la bouteille et comme, contrairement à sa femme, il parle pas l’anglais nous échangeons presque pas. Une fois que son mari et les enfants dorment, je passe la première soirée à discuter avec Galina en buvant de la vodka maison. Même si elle aide son mari à la ferme, elle est loin d’être bête. Elle a commencé une licence d’anglais mais à dû arrêter suite à la mort de ses parents dans un accident de voiture.
Comme elle pouvait plus payer le loyer du grand appartement de ses parents, elle a dû déménager et abandonner ses études pour trouver du travail. C’est comme ça qu’elle s’est résignée à épouser Lubomir. Certes ce n’est pas l’homme le plus beau, l’alcool aidant elle m’avoue que ce n’est pas le meilleur amant non plus, mais il est doux et gentil. En plus grâce à lui, même sans vivre dans l’opulence, elle peut avoir un bon niveau de vie.
Nous continuons à échanger, je lui parle aussi de mon mariage raté et de mes projections d’avenir. Entre le voyage et la vodka, je fatigue de plus en plus même si j’aime beaucoup sa compagnie. Il est déjà 2 heures du matin quand je lui dis que je vais aller me coucher. Ma chambre est sous les toits, elle monte avec moi pour vérifier que j’ai besoin de rien. Je suis tellement crevé que je m’endors rapidement.
Le lendemain matin, j’ai réglé le réveil car je dois aider Lubomir de 9 heures à 11 heures avant d’aller visiter la ville qui m’a l’air très animé par tous les étudiants qui l’habitent. Je pars vers 11h30, plein de bonnes recommandations de la part de la mère de famille qui a étudié là bas. Elle me prête un vélo pour que je puisse rentrer tranquillement et à l’heure que je veux. Il faut juste que j’ai assez d’énergie pour pédaler les quelques kilomètres qui sépare la ferme de la ville.
Je passe une journée et une soirée extraordinaire. L’architecture et la culture régionale sont très impressionnantes. Même si je connais personne, un groupe d’étudiants, rencontré dans un bar, me fait découvrir la vie nocturne de la ville. J’essaye de pas trop boire pour pouvoir rentrer sans problème avec mon vélo et surtout réussir à lire la carte au cas ou je me perds.
Une fois arrivé à la ferme, je fais le moins de bruit possible afin de monter rejoindre mon lit. Dans les escaliers je suis arrêté par Galina qui s’inquiéter de pas me voir rentrer. Je la rassure et lui souhaite une bonne nuit. Je monte me coucher et comme la veille je mets que quelques instants à m’endormir.
Je lendemain, je suis réveillé par une lumière qui envahit soudainement toute la chambre. La maitresse des lieux est en train d’ouvrir mes rideaux en m’annonçant qu’il est déjà 11 heures et qu’elle trouve dommage que je gâche ma journée à dormir. Je tâte mon corps et vérifie que je porte bien quelque chose. Heureusement j’ai pas enlever mon caleçon pour dormir.
Alors qu’elle me demande comment s’est passée ma journée et ma soirée. Je reste dans le lit pour cacher mon érection matinale tout en lui racontant tout ce que j’ai vu. Alors que je lui parle du groupe d’étudiants que j’ai rencontré, je l’admire dans son petit top à bretelles rose pale qui moule bien ses seins et son short, très très, court qui dévoile le bas de ses fesses.
Elle m’interrompt pour me demander si j’ai fait une rencontre coquine avec une des filles. Vexé qu’elle me prenne pour un chasseur de gamines, je réponds un franc « Non ». Elle interprète mal ma réponse car elle me demande:« A boy maybe? » (« Peut être un garçon? »)Un grand silence suit sa question, est ce que je lui parle de ma bisexualité?
Finalement, je rigole et lui réponds aussi négativement. Pour qu’elle comprenne bien, je lui explique que je suis pas très attiré par les gamines et préfèrent les femmes de mon âge ou plus mûres. Elle rougit et embraye en me demandant où nous sommes allés? Je lui parle de la boite où nous sommes allés danser, immédiatement elle s’excite et se met à se trémousser en me disant:« J’adore cette boite! J’y allais tout le temps quand j’étais étudiante. »
Comme je bande plus, je sors de mon lit pour encore mieux l’admirer onduler. Elle en profite pour prendre appuie sur le lit et se mettre a twerker devant moi. Ses magnifiques globes fessiers se balancent au rythme de son bassin. Elle m’offre un si beau spectacle que je reste pas flasque très longtemps. Elle se redresse et se retourne en rigolant de gêne. Je la rassure en lui disant que c’était génial et l’invite même à recommencer.
Elle hésite un instant puis finit par se pencher pour refaire bouger son cul devant mon regard médusé. Si tout à l’heure elle a pas remarqué mon érection, cette fois ça sera pas le cas, je bande comme un cheval. Sans tourner la tête, je me décale pour cacher au maximum mon entrejambe et continuer à l’admirer s’agiter. Plus elle se penche plus son petit short remonte sur ses fesses pour encore mieux me les dévoiler. Soit elle porte un string en dessous, soit elle a rien.
Quand elle se retourne, je tends ma jambe qui et vers elle et glisse ma main entre mes cuisses pour encore mieux ensevelir ma gaule. Je sais pas trop comment enchainer, j’ai très envie qu’elle continue de me chauffer comme ça mais j’ai pas envie de me retrouver à la rue pour les deux prochaines nuits. On vit qu’une fois alors je lui lance:« Si tu avais été en boite hier et que tu avais dansé comme ça devant moi, c’est sûr que je t’aurais abordé. »
Elle prend mes mots pour des encouragements à recommencer et se repenche sur le lit pour recommencer à faire onduler son popotin devant moi. Quand elle tourne la tête pour voir ma réaction, elle voit immédiatement le tissu de mon caleçon être tendu au maximum, elle arrête immédiatement de remuer son bassin mais reste dans cette position.
Au bout d’un moment elle se redresse mais reste tourner pour me demander timidement:« C’est moi qui te met dans cet état? »J’hésite pas une seconde et lui réponds:« Evidement, tu es tellement excitante! »Elle me donne toujours le dos et tout en caressant la partie de ses fesses qui est pas recouverte par son short, elle me dit:« C’est pas bien… je suis une femme mariée… même si on a envie, il faut pas… »
Je jalouse ses doigts qui ont le droit de toucher son magnifique postérieur. De toutes les façons, elle a très bien compris mes attentions alors je tente le tout pour le tout en lui lançant en pointant ses globes fessiers:« Comme résister à ça. Si tu étais ma femme, j’aurai tout le temps envie de toi! »Après un moment d’hésitation elle se penche de nouveau en me provoquant avec un:« Si mon cul te plait autant, pourquoi tu en reste aussi loin. »
Je m’agenouille pour l’admirer de plus prêt mais je me décale rapidement pour aller m’assoir sur la table de nuit. Galina se retourne et me demande avec un air de petite fille déçue:« Il te plait plus? »Je lui réponds immédiatement que non mais que j’ai peur de pas résister à l’envie de le toucher. Elle tend la main vers la partie tendue de mon caleçon et tout en caressant mon érection, elle me dit:« C’est pas interdit de toucher. »
Je me laisse faire quelques instants puis me lève pour me libérer de son emprise. Pour la rassurer je lui explique que j’ai peur de pas réussir à me contrôler si elle continue. Elle semble flattée parce que je viens de lui dire et pour encore plus me chauffer, elle se penche sur le lit en faisant semblant de fouiller en dessous. Je résiste plus et lui dit:« Ok, ok. Mais tu l’auras cherché. »
Pendant qu’elle se redresse, je fais tomber mon caleçon et me retrouve à poil devant elle en exhibant bien ma queue. Quand elle voit ma bitte bien raide et dure, elle peut pas s’empêcher de tendre la main et l’empoigner pour me branler doucement. Le message est reçu et c’est parti. Je caresse sa vulve à travers son short et je peux enfin confirmer qu’elle porte rien en dessous. Elle est tellement ouverte que malgré le tissu j’arrive à faire rentrer un doigt en elle.
Sa main s’excite un peu plus sur mon sexe mais rapidement elle s’agenouille devant moi et engloutit directement ma tige. Elle fait courir ses lèvres sur toute ma longueur alors que ses mains malaxent mes couilles. Au bout de quelques minutes elle échange, sa bouche descend s’occuper de mes bourses alors que ses mains remontent sur ma queue. Elle s’en donne à coeur joie de me lécher, m’aspirer et même me mordiller.
Depuis Héraklion, j’ai plus baisé alors je suis rassuré quand elle me recrache. Encore une fois, elle se penche pour chercher un truc sous le lit mais surtout m’exhiber de nouveau son magnifique cul. Elle ressort une boite qu’elle ouvre, elle prend un des préservatifs qui est dedans et me le tend en prenant position, de nouveau, en levrette après avoir baisser son short.
Pendant que j’enfile la capote d’une main, je caresse son dos et fait tomber les bretelles de son top. Elle comprend le message et le retire pour se retrouver complètement nue comme moi. J’empoigne ma tige et vais titiller sa fente, même si du latex nous sépare, je sens qu’elle mouille bien tellement que ça glisse. Je m’immobilise et me plante en elle d’un coup sec, ce qui lui arrache un petit cri de surprise et plaisir.
Je ressors complètement, j’écarte à deux mains son cul pour positionner mon gland et me replante en elle. Je recommence comme ça quelques fois jusqu’à ce qu’elle me supplie de la baiser. Je me mets à la limer dans de grands mouvements amples et lents. Je fais bien attention de m’enfoncer au maximum en elle et m’arrête qu’une fois mes couilles sont contre ses cuisses.
J’accélère progressivement le rythme jusqu’à totalement changer de mode. Je me colle bien à elle, j’empoigne ses gros nichons et je la ramone ardemment avec des petits mouvements très secs. Je m’applique à lui donner de fort coup de bite pour bien faire claquer ses fesses avec mon ventre. Mes doigts se concentre uniquement sur ses tétons ce qui la fait couiner de plus belle.
Je sens la sauce qui recommence à monter alors je ralentis la cadence pour économiser de l’énergie. Je varie les plaisirs pendant un bon moment et quand je sens le point de non retour trop proche, je me retire complètement. Je m’agenouille derrière et écarte encore plus ses jambes. Je glisse ma tête entre ses cuisses à la recherche de son petit bouton.
Non seulement elle est totalement rasée mais en plus son clito est très proéminent, elle ressemble au zizi d’un bébé tellement qu’il sort. Je le prend en bouche et le suce comme si c’était une vraie bitte. C’est la première fois que je vois ça, la ressemblance avec un sexe masculin est hallucinante. Au niveau de la tête, il y a même un petit repli qui fait penser à un gland. Si elle avait pas d’enfant, je penserai qu’elle est hermaphrodite.
Après un long moment à la faire gémir ainsi, je sens son petit bouton convulser entre mes lèvres. J’accélère le rythme de ma langue pour la faire encore plus prendre son pied. Je sens qu’elle coule sur mon menton, elle se déverse tellement que sa cyprine dégouline le long de mon cou. Elle respire de plus en plus fort et ses ongles viennent se planter dans mon crâne.
Quand elle relâche la pression, je ralentis la cadence. En quittant son mont de Vénus, je passe ma langue le long de sa vulve ce qui la fait frissonner. Je me redresse et la retourne pour l’allonger sur le dos dans le lit. Je plaque ses jambes sur mes épaules et je la prends d’un coup sec. Pendant que je la ramone vigoureusement mon pouce et mon majeur triture son clito comme je le ferai avec un téton.
Même si elle vient de jouir, elle se remet rapidement à couiner ce qui fait encore plus monter mon excitation. Je dois bien avouer que je prends aussi beaucoup de plaisir à malaxer son bouton hors norme. Avec ma main de libre, je claque régulièrement ses fesses. Je fais de grands mouvements de bassin pour bien regarder ma queue rentrer et sortir de sa grotte mais sans lâcher son petit zizi qui lui sert de Clito.
Elle se met à beugler des trucs en bulgare, je comprends rien mais elle à l’air d’apprécier surtout que ses muscles internes se mettent à comprimer ma tige en elle. Si sa chatte continue de me compresser autant je vais moi aussi jouir. Je profite d’un relâchement pour sortir et je la finis avec ma bouche et mes doigts. Elle se met à couler comme une fontaine, directement entre mes lèvres. Je m’applique à avaler tout son élixir mais elle dégouline tellement qu’il en coule sur mes joues.
Une fois qu’elle redescend doucement, je continue à lui bouffer la moule pour maintenir son excitation. Je passe de ses lèvres intimes à son clito mais je descends aussi régulièrement vers son périnée. Entre ses deux orifices, elle se laisse faire mais plus je m’approche de sa rondelle plus je sens son petit trou se contracter. Pour être sûre que je comprenne son message, elle me dit entre deux gémissements:« Not this way » (« Pas par là »)
Je remonte avec regret vers sa grotte, je la dévore encore un peu puis je réajuste mon préservatif. Je me plante en elle et la ramone vigoureusement en ne pensant plus qu’à mon plaisir, vu qu’elle a déjà joui au moins 2 fois. Je l’assène de coups de bitte de plus en plus violent mais elle me coupe dans le plaisir. Elle se redresse vers moi et me pince les tétons du coup je retourne m’occuper de son clito.
Alors que je me déchaîne en elle, je me retire d’un coup sec et retourne Galina. Je monte debout sur le lit et l’attrape par la taille pour encore plus soulever sa croupe. Mes jambes sont contre les siennes et je me plante en elle dans cette position. Je pense même plus à la personne que je baise et me concentre uniquement sur son trou. Je la martèle de coups de rein de plus en plus violent, elle change de position et plonge son bras vers son entrejambe.
Alors qu’elle se caresse passionnément, je continue à la ramoner comme un fou. Pour rythmer mes allers retours dans sa chatte, qu’elle s’applique à contracter, je la fesse. D’abord plutôt gentiment mais plus je fais claquer son cul plus elle en redemande. Elle pousse un long hurlement alors que sa grotte m’enferme tellement qu’elle finit par me faire jouir. A chaque saccade je sens ma capote se remplir encore plus.
Je continue à la limer tant que je suis assez dur, mais en ralentissant la cadence progressivement. Alors que je me retire progressivement de son antre, on entend la voix de son mari qui l’appelle. Pendant qu’elle remet ses courts habits, elle lui répond. Elle quitte rapidement ma chambre alors que je suis toujours sur mon petit nuage.
Une fois que j’ai repris mes esprits, je file directement me doucher puis je descends les rejoindre. Lubomir est plus là et Galina s’est changé pour un jogging et un t-shirt qui recouvre plus sa poitrine. En me voyant arriver, elle se remet à twerker puis rigole ce qui me fait dire que je vais encore pouvoir m’amuser avec elle. J’ai raison car les deux soirs suivants nous avons encore couché ensemble mais elle m’a jamais offert son cul.
Il est temps pour moi de reprendre la route en direction d’Istanbul où je le sais pas encore mais une belle aventure m’attend…
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