L’arroseur arrosé (2): Une partouze en limousine
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’arroseur arrosé (2): Une partouze en limousine
Après ma nuit folle avec Catherine, la secrétaire de la boite dans laquelle je bosse, Thomas, son mari brutal mais dans le bon sens du terme et Titi un pote de monsieur encore mieux monté que lui, j’attendais de repasser un moment avec mes 3 nouveaux amis. A chaque fois que je passe du temps avec Catherine, nous sommes très complice mais elle parle jamais de notre partie de jambe en l’air. Quand j’aborde le sujet, elle me coupe en me disant simplement:« Pas ici! »
Cela fait tout juste deux semaines que nous avons baisé ensemble et je vois pas la prochaine fois venir. Comme nous sommes en fin de semaine, je propose à Catherine d’aller boire un apéro, elle refuse mais d’autres collègues proposent de m’accompagner. Avant de partir la belle blonde me conseille de ne pas trop trainé. Nous allons, avec les autres, boire un verre et vers 20h30 le petit groupe se sépare.
Quand j’arrive chez moi, j’ai un message sur mon répondeur. Alors que je me mets à l’aise, j’écoute le message. Je reconnais immédiatement la voix et le ton directif de Thomas qui me dit:« Bonsoir ma petite tarlouze. On t’attend à 21 heures précise en bas de chez toi. Tu porteras un jean bleu et un t-shirt blanc sans rien en dessous. Evidement chaque seconde de retard vaudra une punition. »
Il est 19h48, je me dépêche de me déshabiller et filer sous la douche. Le temps de me laver, me faire un bon lavement et m’habiller dans la tenue exigée et à 20 heures précise je suis dans les escaliers de mon immeuble. Avec quelques dizaines de secondes de retard j’arrive devant une grande limousine blanche. Un chauffeur noir, qui doit bien faire 2 têtes de plus que moi, me tient la portière ouverte.
Je me penche pour y rentrer et découvrir mes 3 amis déjà réunis. Catherine porte une magnifique robe noire échancrée jusqu’au dessus de son pubis. Elle laisse dévoiler une partie de ses seins et ses tétons, qui pointent à travers le tissu, prouvent qu’elle porte pas de soutien gorge. Sa robe, qui arrive à mi cuisse, laisse apparaître ses longues fines jambes nues. Je lui adresse un sourire, elle me fait un petit rictus et baisse la tête sans répondre à mon bonjour.
Je m’assois à côté de Titi qui porte une costume noir et une chemise grise. Il me fait un grand sourire et caresse déjà son énorme mat très apparent, à travers le pantalon. Thomas est habillé de kaki et je remarque seulement qu’il porte une tenue militaire. Au début je suis choqué mais en le détaillant mieux je me rend compte que cela met encore plus en valeur sa carrure et son physique de rugbyman.
Il me regarde sévèrement et en tapotant sa montre il me dit sur un ton sévère:« Tu es en retard mais salope comme tu es, je suis sur que tu l’as fait exprès! »Sa voix devient plus grave et en me gueulant dessus il rajoute:« Ta punition commence tout de suite. Tu vas te mettre à genoux sur le plancher pour prendre ta place de chienne. C’est la seule que tu mérites. »Je m’exécute en baissant le regard et remarque que Titi a déjà sorti son énorme queue. La vision de ce monstre de chair me fait déjà bandé, ce qui est pas le mieux dans mon jean moulant et ma position. Il dirige son gland vers moi mais Thomas nous arrête en lui disant:« Chaque chose en son temps! »
Le militaire attrape mes mains et les maintient dans mon dos. Il plonge son regard, bleu glacial, dans le mien et me dit:« Ecoute moi petite tapette, tout ce que tu vas voir, vivre et faire doit rester secret. Je fais parti d’une confrérie très puissante qui a les moyens de te retrouver n’importe où dans le monde. Soit tu dégages maintenant et tu entends plus parler de nous soit tu promets de te taire. »
J’ai pas l’impression d’avoir le choix et encore moins l’envie alors j’accepte du coup, il dit au chauffeur:« Omar, on y va. »Le grand black, qui m’a ouvert la portière, ferme la vitre de séparation et démarre alors que l’on me met un bandeau sur les yeux. Nous roulons pendant un bon moment, pendant ce temps des mains me tripote les tétons, le cul et la bitte mais je sais pas qui fait quoi.
Au bout d’une bonne demi heure, Thomas annonce que nous allons nous échauffer en commençant par un petit jeu. Puis il lance à l’intention du chauffeur:« Trouves nous un endroit tranquille où s’arrêter. »Une fois la voiture garer, on m’enlève mon bandeau. Thomas attrape sa femme par les cheveux et la fait me rejoindre sur le plancher de la voiture puis nous informe:« Vous allez faire un concours de déshabillage. Le gagnant aura l’honneur d’être pour moi et l’autre sera la chose de Titi. »
Thomas donne le top départ et aussitôt les habits commence à voler. Catherine à un avantage sur moi car elle doit retirer que sa robe, elle porte rien en dessous. Evidement je perds. Elle se tourne vers moi et me lance un timide:« Désolée »J’ai pas le temps de lui demander une explication que son homme nous ordonne:« Au boulot! »
J’empoigne à deux mains le braquemard de Titi pour le caresser pendant qu’il se déshabille. J’admire Catherine ouvrir la braguette de son homme, sa queue sort d’un coup et vient taper le menton de madame. Elle descend rapidement le pantalon jusqu’aux chevilles de monsieur et commence par lui lécher ses couilles poilues. Thomas relève ses jambes pour que sa femme puisse aussi atteindre son cul avec sa bouche.
Elle lui lèche la rondelle, remonte vers ses couilles et le long de ses 25 centimètres bien durs. Elle fait quelques allers retour sur l’énorme bitte, en laissant plein de salive et retourne lui bouffer le cul. Je prends le gland de Titi en bouche, j’ai l’impression que mes lèvres sont tirées au maximum. Pendant que je fais tournoyer ma langue entre son prépuce et son champignon, je vois ma collègue sodomiser son mari avec sa bouche.
J’essaye de le prendre un peu plus en bouche mais j’ai du mal. Il met ses mains sur ma tête et appuie dessus pour me faire plus descendre. J’ai trop rapidement des hauts le coeur alors je le recrache. Je m’applique à le lécher sur toute la longueur en m’attardant sur son gland, que j’ai décalotté et son frein. Catherine fait des gorges profondes à son mari, on voit qu’elle a plus l’habitude de ses calibres que moi, puis récupère avec deux doigts sa salive et va les planter directement dans les entrailles de Thomas.
Alors qu’elle le lime vigoureusement, il l’encourage en lui lancant, entre deux gémissements:« Tu es ma bonne pute. Tu sais vraiment comment faire du bien à ton mari. Vas-y, ramone moi plus fort et suce moi en même temps. »Alors qu’elle s’exécute, je m’occupe des énormes couilles de Titi qui ressemble à des mandarines. Elles sont tellement grosses que j’arrive pas à en prendre une en bouche, maintenant je comprends comment ça se fait qu’il gicle autant.
Thomas gémit de plus en plus fort sous les coups de doigts et langue de sa femme, je suis étonné de l’entendre dire:« Tu me fais tellement de bien que tu pourrais me faire changer de bord. »Alors que je tente de reprendre Titi entre mes lèvres, la portière s’ouvre sur Omar, il est complètement nu. Je sors la tête pour l’admirer et constate qu’en plus de mesurer plus de deux mettre, il est tout en muscle. Titi vient sur la banquette derrière moi pour céder sa place au chauffeur.
Omar est pas en érection et pourtant son gland atteint presque son genou. Même dans les films j’ai jamais vu ça. J’ai l’impression que flasque il fait le double de moi quand je bande. Mes yeux sont partagés entre cette énorme mat et les doigts de madame qui doigte ce cul poilu et viril tout en le suçant. Je regard fixement le chauffeur qui ressemble plus à un boxeur, son regard lubrique me fait encore plus gonfler mais ce n’est rien à côté de quand il attrape ma tête pour la plaquer contre son paquet.
Sa queue sent la pisse et le sperme, ça pourrait en rebuter certains mais ça m’excite encore plus. Je profite un moment de cette odeur mais Omar croit desseller une réticence de ma part car il me lance avec sa voix très grave:« La petite tarlouze fait des manières? Qu’est ce qui t’empêche de te mettre au boulot? Mon calibre ou mes odeurs? Un vrai mal ça sent et je vais pas tarder à te prouver que je suis un vrai mal. »
Pour lui prouver que je suis prêt à m’occuper de lui, j’ouvre la bouche et commence à le lécher. Il sent fort mais son goût est tout aussi puissant. Mais ça ne lui suffit pas car il soulève mon visage et me pince le nez pour que j’ouvre la bouche, il en profite pour me rentrer son énorme gland circoncis entre les lèvres. Malgré des hauts le coeur, plus du à la taille qu’au goût, je m’applique à le sucer. Thomas me lance tout en couinant:« Je te conseille de bien le lubrifier pour la suite. »
Rien qu’en entendant ça je frissonne et enfonce un peu plus cette queue hors norme dans la gueule. Mais en fait c’est pas à moi qu’il parlait puisque je sens la grosse langue de Titi, que j’avais oublié, se poser sur mes couilles et remonter le long de ma raie. Maintenant que j’ai sa langue râpeuse sur ma rondelle, je comprends mieux pourquoi Catherine disait, la dernière fois, que personne ne lèche comme lui. En seulement quelques allers retours je me sens assez ouvert et il en profite pour rentrer, directement, deux doigts dans mes entrailles.
La bitte d’Omar continue de grandir dans ma bouche, j’ai l’impression qu’elle fait la même taille, en longueur et largeur, que mon avant bras. Alors que pour bien l’excité je le branle en même temps à deux mains, il attrape ma tête et s’enfonce encore plus en moins. Heureusement que Titi me fait autant de bien au cul parce que je commence à avoir peur. Je suce, le chauffeur, comme un fou espérant le faire jouir et éviter qu’il m’explose les entrailles.
J’ai rapidement les lèvres qui tirent alors pour soulager ma bouche, je me dégage et m’occupe de ses couilles. Si celles de Titi ressemblent à des mandarines, celles la ont la taille d’oranges. Je les suce, les lèche, les aspire sans les prendre en bouche et je les mordille même. Alors qu’un troisième doigt me pénètre, je descends sur le périnée d’Omar. Je me délecte de son odeur intime en le léchant avec frénésie.
Tout d’un coup il se retourne pour m’offrir ses fesses à déguster. Heureusement que je suis vachement excité parce que son cul est pas mieux point de vue hygiène! J’écarte ses globes au maximum et je plonge mon visage dans sa raie pour mieux le titiller. Une fois que ma bouche est bien calée, mes mains contournent ses jambes pour empoigner son manche et le branler en même temps. Je me déchaîne complètement toujours dans le but de le faire jouir et éviter qu’il m’encule.
Alors que j’essaye de lui faire le même traitement que celui que je reçois par Titi, le chauffeur se met à me dire, tout en gémissant:« Tu l’aimes mon cul!…. Tu es une infatigable petite chienne… Ca tombe bien parce que moi aussi je suis infatigable… Comme ça ton petit cul de pute va bien me sentir passer… »
Au bout de seulement quelques minutes, il me fait me retourner de nouveau. Il plante directement son gland dans ma bouche, comme je suis sûr d’y passer, je m’applique à le lubrifier au maximum. Titi en fait autant car j’ai maintenant 4 doigts dans mon cul. Je regrette de pas être un adepte du fist, ça m’aurait bien préparer pour accueillir cette énorme mat. Pour m’exciter encore Omar lance:« Regardez boss. Une tapette dans toute sa splendeur, qui prend son pied avec une grosse queue tout en se faisant bouffer le cul! »
Pour encore plus me ramener au niveau d’un objet sexuel, il lui répond:« C’est bon pour les préliminaires, passons aux choses sérieuses. Eclate lui le cul! »Le chauffeur se fait pas prier et me retourne pour me mettre en levrette devant lui. Il introduit directement 3 doigts en moi, comme ils sont plus gros que les 4 de Titi, je pousse un petit cri. Pour me faire taire, celui qui me bouffait le cul, m’enfonce sa grosse bitte entre les lèvres. Je l’accueil plus facilement que la première fois et avec plaisir.
Je sens le gros gland d’Omar forcer entre mes fesses, Mon oeillet ne s’ouvre pas. Il fait plusieurs tentatives, tout en râlant, mais rien à faire, c’est comme si mon cul le refuser. Je reçois une énorme fessée, qui me fait encore plus crier que ses doigts et en profite pour se planter à moitié en moi. Je hurle de douleur alors que Thomas rigole de ma souffrance. J’ai l’impression qu’il a coupé mes entrailles en deux, je sens des larmes couler sur ma joue. Je n’ai jamais senti ma rondelle tirer autant. Je le supplie de se retirer mais il en fait rien.
Catherine se rapproche de moi et commence à me caresser les fesses et le dos. Alors que ses mains passent sous moi pour cajoler mon costume 3 pièces et mes tétons, pour que le plaisir prenne le dessus, son mari enfonce sa tige, qui maintenant me semble « petite » dans la bouche. Omar en profite pour finir de s’enfoncer en moins jusqu’a ce que je sente taper au fond, ses couilles semblent loin de mes fesses. De douleur ma bouche se crispe et je mords la queue de Thomas qui me donne une énorme fessée en me lançant:« Tu voulais faire quoi là! Tu vas voir ce que tu vas prendre! »
Il dégage sa femme de mon corps et lui ordonne:« Omar adore qu’une femme lui dévore son trou à merde alors au travail! »Il se tourne vers son chauffeur et ajoute:« J’espère que ça te motivera pour bien le défoncer. »Sans déculer, il me retourne pour me triturer les tétons pendant que cette queue, qui semble pas humaine, se met à coulisser en moi. Rapidement le plaisir prend le dessus et je me délecte des coups de reins que je reçois. Mes cris se transforment en hurlements de plaisir.
Pour me faire taire, Thomas vient poser son entrejambe sur mon visage pour que je le suce et demande à son pote de lui bouffer le cul. Pour un mec qui utilise des mots comme « fiote », « pédale »… il adore se faire sucer et lécher la rondelle! Omar en profite pour accélérer la cadence et encore plus électriser ma prostate à chaque passage. Une odeur de sexe envahi la voiture où les cris de plaisir mettent une bonne ambiance.
Le chauffeur me retourne en levrette, en restant planté dans mes entrailles. Il se déchaîne encore plus en moi, tout en fessant chaque côté de mon cul de plus en plus fort pendant que Catherine continue de lui lécher la rondelle. Titi se met sous moi et me lape la bitte de la même façon qu’il le faisait sur mon petit trou. Thomas reprends place devant mon visage pour que je reprenne ma pipe là où je m’étais arrêté.
Omar me laboure de plus en plus vigoureusement tout en commentant à quel point il apprécie mon cul. Sa queue, qui me faisait très peur au début, me donne un plaisir intense, je contracte mes muscles pour encore plus le sentir dans ma gaine anale. Il flatte aussi le talent des coups de langue de la femme de son patron. Il a de plus en plus de mal à parler et passe son temps à gémir.
Au bout de quelques minutes, il annonce qu’il va jouir. Thomas lui ordonne de déculer pour nous faire admirer son éjaculation. Omar se retire d’un coup sec, ce qui me fait pousser un petit cri mais surtout ressentir un grand vide. Je sens mon dos et mes fesses se recouvrir de sperme. J’ai l’impression qu’il s’arrête pas de grogner et de gicler, je sens comme une petite marre se former dans le creux de mes reins. Je sens aussi son jus dégouliner sur mes fesses et couler sur mes couilles et mes cuisses.
Comme il nous l’a prouvé la dernière fois, Titi est un grand amateur de sperme du coup il abandonne ma tige pour venir me lécher le dos et les fesses. Il en profite aussi pour me lécher les couilles et me sodomiser avec sa langue. Comme mon trou est toujours béant, il a aucun mal à rentrer entièrement sa péninsule et il me titille les parois internes avec. C’est la première fois que l’on me fait ça et c’est divin. Non seulement elle agit comme un baume réparateur mais elle me donne des sensations jusqu’alors inconnues.
Je pousse bien sur mes muscles pour rester ouvert et je me balance en arrière pour qu’il aille encore plus profondément en moi. Thomas remarque mon manège et lance à la cantonade:« Regardez cette cochonne balancer ses fesses pour bien profitez de la langue de Titi. Une vraie chienne en chaleur dommage qu’on est pas un chien pour l’assouvir. »Un frisson me parcours le corps, malheureusement la langue de Titi me quitte mais elle est rapidement remplacer par sa bite.
Omar a tellement bien ouvert le chemin qu’il a aucun mal à me sodomiser d’un coup sec et contrairement à la première fois je prends tout de suite du plaisir. Alors que Titi décule pour se replanter encore plus vigoureusement en moi, Thomas vient s’assoir devant moi. Je me penche pour m’occuper de sa bitte, qui me semble plus si énorme que ça, mais il me repousse. Il attrape sa femme et vient l’assoir sur lui en se plantant directement dans son cul.
Catherine pousse un hurlement de douleur. Pour atténuer sa douleur et augmenter son plaisir, tout comme elle tout à l’heure, je me penche sur son con dégoulinant. Ma langue passe sur toute sa vulve avant de partir à la recherche de son clito. Elle commence à gémir et malgré les coups de boutoirs de son homme me caresse la tête pour m’encourager. Quand je me mets à mordiller son son petit bouton, elle pousse des petits cris de plaisir et se pince les tétons.
Ne sachant toujours pas que je suis bi, Thomas est étonné des résultats de mon cunni, il lance même:« Notre larvette de Romain deviendrait hétéro? Regardez comme il bouffe bien la chatte de ma femme! »Il se retire des entrailles de sa femme pour encore mieux m’admirer faire, je suis sûr qu’il jette aussi des coups d’oeil sur le mat de son pote qui continue de rentrer et sortir complètement d’entre mes fesses.
Au bout d’un moment il se met à 4 pattes et demande à son chauffeur de venir s’occuper de son cul. J’en reviens pas d’entendre ce macho qui me traite sans cesse de pd, pédale, tarlouze… demander ça. Omar vient derrière son patron et, après avoir dérouler un préservatif qui ressemble à un sac tant il est grand, frotter son gland le long de la raie de son boss. Thomas se dégage et engueule son employé:« Pas avec ta bitte, triple idiot! Je suis pas une fiotte! Fouille moi le cul avec ta langue! »
Immédiatement le chauffeur change de position pour lui bouffer le trou comme je fais à sa femme. Ses gémissements et encouragements pour qu’il aille encore plus profondément, prennent le dessus sur ceux de madame. Pour un homme qui se dit « 100% mec », il adore qu’on s’occupe de son petit trou poilu. Alors que je cajole le clito de Catherine et que je la doigte, elle branle énergiquement son mari.
Une avalanche de jouissance arrive. Titi ne quitte plus mon cul et me défonce frénétiquement. Sa queue se met à palpiter en moi, dommage qu’il porte un préservatif car j’aurai adoré sentir la lave de son volcan érupter dans mon cul. En gonflant son mat titille encore plus ma prostate, alors que personne s’occupe de ma queue je la sens tressauter toute seule. J’éjacule pas par gicler, comme d’habitude, mais j’ai l’impression que mon sperme coule comme de la pisse.
Je suis tellement excité que je rentre un troisième doigt dans la moule de Catherine et la ramone sauvagement. Je sens son petit bouton gonfler entre mes lèvres et mes dents. Je lève les yeux vers son visage qui est rayonnant. Avec la main qui masturbe pas son homme, elle pince ses tétons chacun leur tour. Sa peau se granule et son corps est pris de spasme alors que Titi se retire de mon cul dans un énorme bruit.
Quand Catherine reprend ses esprits, elle s’allonge sous mari pour le sucer, je continue de lécher son con mais plus délicatement et retire mes doigts les uns après les autres. Elle prend Thomas en bouche et en seulement quelques secondes, il jouit à son tour. Il remplit tellement la bouche de sa femme qu’elle est obligée d’avaler plusieurs gorgées pour pouvoir accueillir le reste.
Je m’affale, totalement nu est recouvert de sperme, salive et cyprine sur le plancher de la voiture. Les autres s’affalent sur les fauteuils et, tout comme moi, reprennent leurs esprits. J’ai besoin de me dégourdir les jambes alors j’ouvre la portière et sors, à poil. Nous sommes au milieu d’un petit bois avec aucune habitation autour. J’ai vraiment pas vu le temps passer puisque le jour commence à pointer le bout de son nez.
Thomas sors me rejoindre, lui aussi est resté nu, sa queue lui arrive à mi cuisse. Il empoigne une de mes fesses puis rentre 2 doigts dans mes entrailles encore ouvertes. Alors qu’il les fait aller et venir, il me dit:« Tu as été au delà de mes espérances. On va pouvoir encore bien s’amuser ensemble surtout que tu es bien résistant. »
Il fait déculer ses doigts et me les donne à lécher en me demandant:« Avoue que tu as aimé lécher ma femme! »Pendant que je fais tournoyer ma langue autour de son index et son majeur, je fais oui de la tête. Il sort ses doigts recouvert de ma salive et claque, férocement, chacune de mes fesses et m’ordonne de retourner m’habiller pour qu’il me ramène chez moi.
Quand la grosse voiture se gare devant mon immeuble je salue tout le monde. Thomas m’attrape par les cheveux et plaque mon visage contre son entrejambe. Avant de me relâcher, il me dit sur un ton sévère:« Tiens toi prêt, je te rappelle très vite! »Une fois chez moi, je vais me coucher à poil alors que je sens ma rondelle toujours palpiter suite à tout ce qu’elle a subi. Je me demande bien ce qu’il va me réserver pour notre prochaine rencontre…
Cela fait tout juste deux semaines que nous avons baisé ensemble et je vois pas la prochaine fois venir. Comme nous sommes en fin de semaine, je propose à Catherine d’aller boire un apéro, elle refuse mais d’autres collègues proposent de m’accompagner. Avant de partir la belle blonde me conseille de ne pas trop trainé. Nous allons, avec les autres, boire un verre et vers 20h30 le petit groupe se sépare.
Quand j’arrive chez moi, j’ai un message sur mon répondeur. Alors que je me mets à l’aise, j’écoute le message. Je reconnais immédiatement la voix et le ton directif de Thomas qui me dit:« Bonsoir ma petite tarlouze. On t’attend à 21 heures précise en bas de chez toi. Tu porteras un jean bleu et un t-shirt blanc sans rien en dessous. Evidement chaque seconde de retard vaudra une punition. »
Il est 19h48, je me dépêche de me déshabiller et filer sous la douche. Le temps de me laver, me faire un bon lavement et m’habiller dans la tenue exigée et à 20 heures précise je suis dans les escaliers de mon immeuble. Avec quelques dizaines de secondes de retard j’arrive devant une grande limousine blanche. Un chauffeur noir, qui doit bien faire 2 têtes de plus que moi, me tient la portière ouverte.
Je me penche pour y rentrer et découvrir mes 3 amis déjà réunis. Catherine porte une magnifique robe noire échancrée jusqu’au dessus de son pubis. Elle laisse dévoiler une partie de ses seins et ses tétons, qui pointent à travers le tissu, prouvent qu’elle porte pas de soutien gorge. Sa robe, qui arrive à mi cuisse, laisse apparaître ses longues fines jambes nues. Je lui adresse un sourire, elle me fait un petit rictus et baisse la tête sans répondre à mon bonjour.
Je m’assois à côté de Titi qui porte une costume noir et une chemise grise. Il me fait un grand sourire et caresse déjà son énorme mat très apparent, à travers le pantalon. Thomas est habillé de kaki et je remarque seulement qu’il porte une tenue militaire. Au début je suis choqué mais en le détaillant mieux je me rend compte que cela met encore plus en valeur sa carrure et son physique de rugbyman.
Il me regarde sévèrement et en tapotant sa montre il me dit sur un ton sévère:« Tu es en retard mais salope comme tu es, je suis sur que tu l’as fait exprès! »Sa voix devient plus grave et en me gueulant dessus il rajoute:« Ta punition commence tout de suite. Tu vas te mettre à genoux sur le plancher pour prendre ta place de chienne. C’est la seule que tu mérites. »Je m’exécute en baissant le regard et remarque que Titi a déjà sorti son énorme queue. La vision de ce monstre de chair me fait déjà bandé, ce qui est pas le mieux dans mon jean moulant et ma position. Il dirige son gland vers moi mais Thomas nous arrête en lui disant:« Chaque chose en son temps! »
Le militaire attrape mes mains et les maintient dans mon dos. Il plonge son regard, bleu glacial, dans le mien et me dit:« Ecoute moi petite tapette, tout ce que tu vas voir, vivre et faire doit rester secret. Je fais parti d’une confrérie très puissante qui a les moyens de te retrouver n’importe où dans le monde. Soit tu dégages maintenant et tu entends plus parler de nous soit tu promets de te taire. »
J’ai pas l’impression d’avoir le choix et encore moins l’envie alors j’accepte du coup, il dit au chauffeur:« Omar, on y va. »Le grand black, qui m’a ouvert la portière, ferme la vitre de séparation et démarre alors que l’on me met un bandeau sur les yeux. Nous roulons pendant un bon moment, pendant ce temps des mains me tripote les tétons, le cul et la bitte mais je sais pas qui fait quoi.
Au bout d’une bonne demi heure, Thomas annonce que nous allons nous échauffer en commençant par un petit jeu. Puis il lance à l’intention du chauffeur:« Trouves nous un endroit tranquille où s’arrêter. »Une fois la voiture garer, on m’enlève mon bandeau. Thomas attrape sa femme par les cheveux et la fait me rejoindre sur le plancher de la voiture puis nous informe:« Vous allez faire un concours de déshabillage. Le gagnant aura l’honneur d’être pour moi et l’autre sera la chose de Titi. »
Thomas donne le top départ et aussitôt les habits commence à voler. Catherine à un avantage sur moi car elle doit retirer que sa robe, elle porte rien en dessous. Evidement je perds. Elle se tourne vers moi et me lance un timide:« Désolée »J’ai pas le temps de lui demander une explication que son homme nous ordonne:« Au boulot! »
J’empoigne à deux mains le braquemard de Titi pour le caresser pendant qu’il se déshabille. J’admire Catherine ouvrir la braguette de son homme, sa queue sort d’un coup et vient taper le menton de madame. Elle descend rapidement le pantalon jusqu’aux chevilles de monsieur et commence par lui lécher ses couilles poilues. Thomas relève ses jambes pour que sa femme puisse aussi atteindre son cul avec sa bouche.
Elle lui lèche la rondelle, remonte vers ses couilles et le long de ses 25 centimètres bien durs. Elle fait quelques allers retour sur l’énorme bitte, en laissant plein de salive et retourne lui bouffer le cul. Je prends le gland de Titi en bouche, j’ai l’impression que mes lèvres sont tirées au maximum. Pendant que je fais tournoyer ma langue entre son prépuce et son champignon, je vois ma collègue sodomiser son mari avec sa bouche.
J’essaye de le prendre un peu plus en bouche mais j’ai du mal. Il met ses mains sur ma tête et appuie dessus pour me faire plus descendre. J’ai trop rapidement des hauts le coeur alors je le recrache. Je m’applique à le lécher sur toute la longueur en m’attardant sur son gland, que j’ai décalotté et son frein. Catherine fait des gorges profondes à son mari, on voit qu’elle a plus l’habitude de ses calibres que moi, puis récupère avec deux doigts sa salive et va les planter directement dans les entrailles de Thomas.
Alors qu’elle le lime vigoureusement, il l’encourage en lui lancant, entre deux gémissements:« Tu es ma bonne pute. Tu sais vraiment comment faire du bien à ton mari. Vas-y, ramone moi plus fort et suce moi en même temps. »Alors qu’elle s’exécute, je m’occupe des énormes couilles de Titi qui ressemble à des mandarines. Elles sont tellement grosses que j’arrive pas à en prendre une en bouche, maintenant je comprends comment ça se fait qu’il gicle autant.
Thomas gémit de plus en plus fort sous les coups de doigts et langue de sa femme, je suis étonné de l’entendre dire:« Tu me fais tellement de bien que tu pourrais me faire changer de bord. »Alors que je tente de reprendre Titi entre mes lèvres, la portière s’ouvre sur Omar, il est complètement nu. Je sors la tête pour l’admirer et constate qu’en plus de mesurer plus de deux mettre, il est tout en muscle. Titi vient sur la banquette derrière moi pour céder sa place au chauffeur.
Omar est pas en érection et pourtant son gland atteint presque son genou. Même dans les films j’ai jamais vu ça. J’ai l’impression que flasque il fait le double de moi quand je bande. Mes yeux sont partagés entre cette énorme mat et les doigts de madame qui doigte ce cul poilu et viril tout en le suçant. Je regard fixement le chauffeur qui ressemble plus à un boxeur, son regard lubrique me fait encore plus gonfler mais ce n’est rien à côté de quand il attrape ma tête pour la plaquer contre son paquet.
Sa queue sent la pisse et le sperme, ça pourrait en rebuter certains mais ça m’excite encore plus. Je profite un moment de cette odeur mais Omar croit desseller une réticence de ma part car il me lance avec sa voix très grave:« La petite tarlouze fait des manières? Qu’est ce qui t’empêche de te mettre au boulot? Mon calibre ou mes odeurs? Un vrai mal ça sent et je vais pas tarder à te prouver que je suis un vrai mal. »
Pour lui prouver que je suis prêt à m’occuper de lui, j’ouvre la bouche et commence à le lécher. Il sent fort mais son goût est tout aussi puissant. Mais ça ne lui suffit pas car il soulève mon visage et me pince le nez pour que j’ouvre la bouche, il en profite pour me rentrer son énorme gland circoncis entre les lèvres. Malgré des hauts le coeur, plus du à la taille qu’au goût, je m’applique à le sucer. Thomas me lance tout en couinant:« Je te conseille de bien le lubrifier pour la suite. »
Rien qu’en entendant ça je frissonne et enfonce un peu plus cette queue hors norme dans la gueule. Mais en fait c’est pas à moi qu’il parlait puisque je sens la grosse langue de Titi, que j’avais oublié, se poser sur mes couilles et remonter le long de ma raie. Maintenant que j’ai sa langue râpeuse sur ma rondelle, je comprends mieux pourquoi Catherine disait, la dernière fois, que personne ne lèche comme lui. En seulement quelques allers retours je me sens assez ouvert et il en profite pour rentrer, directement, deux doigts dans mes entrailles.
La bitte d’Omar continue de grandir dans ma bouche, j’ai l’impression qu’elle fait la même taille, en longueur et largeur, que mon avant bras. Alors que pour bien l’excité je le branle en même temps à deux mains, il attrape ma tête et s’enfonce encore plus en moins. Heureusement que Titi me fait autant de bien au cul parce que je commence à avoir peur. Je suce, le chauffeur, comme un fou espérant le faire jouir et éviter qu’il m’explose les entrailles.
J’ai rapidement les lèvres qui tirent alors pour soulager ma bouche, je me dégage et m’occupe de ses couilles. Si celles de Titi ressemblent à des mandarines, celles la ont la taille d’oranges. Je les suce, les lèche, les aspire sans les prendre en bouche et je les mordille même. Alors qu’un troisième doigt me pénètre, je descends sur le périnée d’Omar. Je me délecte de son odeur intime en le léchant avec frénésie.
Tout d’un coup il se retourne pour m’offrir ses fesses à déguster. Heureusement que je suis vachement excité parce que son cul est pas mieux point de vue hygiène! J’écarte ses globes au maximum et je plonge mon visage dans sa raie pour mieux le titiller. Une fois que ma bouche est bien calée, mes mains contournent ses jambes pour empoigner son manche et le branler en même temps. Je me déchaîne complètement toujours dans le but de le faire jouir et éviter qu’il m’encule.
Alors que j’essaye de lui faire le même traitement que celui que je reçois par Titi, le chauffeur se met à me dire, tout en gémissant:« Tu l’aimes mon cul!…. Tu es une infatigable petite chienne… Ca tombe bien parce que moi aussi je suis infatigable… Comme ça ton petit cul de pute va bien me sentir passer… »
Au bout de seulement quelques minutes, il me fait me retourner de nouveau. Il plante directement son gland dans ma bouche, comme je suis sûr d’y passer, je m’applique à le lubrifier au maximum. Titi en fait autant car j’ai maintenant 4 doigts dans mon cul. Je regrette de pas être un adepte du fist, ça m’aurait bien préparer pour accueillir cette énorme mat. Pour m’exciter encore Omar lance:« Regardez boss. Une tapette dans toute sa splendeur, qui prend son pied avec une grosse queue tout en se faisant bouffer le cul! »
Pour encore plus me ramener au niveau d’un objet sexuel, il lui répond:« C’est bon pour les préliminaires, passons aux choses sérieuses. Eclate lui le cul! »Le chauffeur se fait pas prier et me retourne pour me mettre en levrette devant lui. Il introduit directement 3 doigts en moi, comme ils sont plus gros que les 4 de Titi, je pousse un petit cri. Pour me faire taire, celui qui me bouffait le cul, m’enfonce sa grosse bitte entre les lèvres. Je l’accueil plus facilement que la première fois et avec plaisir.
Je sens le gros gland d’Omar forcer entre mes fesses, Mon oeillet ne s’ouvre pas. Il fait plusieurs tentatives, tout en râlant, mais rien à faire, c’est comme si mon cul le refuser. Je reçois une énorme fessée, qui me fait encore plus crier que ses doigts et en profite pour se planter à moitié en moi. Je hurle de douleur alors que Thomas rigole de ma souffrance. J’ai l’impression qu’il a coupé mes entrailles en deux, je sens des larmes couler sur ma joue. Je n’ai jamais senti ma rondelle tirer autant. Je le supplie de se retirer mais il en fait rien.
Catherine se rapproche de moi et commence à me caresser les fesses et le dos. Alors que ses mains passent sous moi pour cajoler mon costume 3 pièces et mes tétons, pour que le plaisir prenne le dessus, son mari enfonce sa tige, qui maintenant me semble « petite » dans la bouche. Omar en profite pour finir de s’enfoncer en moins jusqu’a ce que je sente taper au fond, ses couilles semblent loin de mes fesses. De douleur ma bouche se crispe et je mords la queue de Thomas qui me donne une énorme fessée en me lançant:« Tu voulais faire quoi là! Tu vas voir ce que tu vas prendre! »
Il dégage sa femme de mon corps et lui ordonne:« Omar adore qu’une femme lui dévore son trou à merde alors au travail! »Il se tourne vers son chauffeur et ajoute:« J’espère que ça te motivera pour bien le défoncer. »Sans déculer, il me retourne pour me triturer les tétons pendant que cette queue, qui semble pas humaine, se met à coulisser en moi. Rapidement le plaisir prend le dessus et je me délecte des coups de reins que je reçois. Mes cris se transforment en hurlements de plaisir.
Pour me faire taire, Thomas vient poser son entrejambe sur mon visage pour que je le suce et demande à son pote de lui bouffer le cul. Pour un mec qui utilise des mots comme « fiote », « pédale »… il adore se faire sucer et lécher la rondelle! Omar en profite pour accélérer la cadence et encore plus électriser ma prostate à chaque passage. Une odeur de sexe envahi la voiture où les cris de plaisir mettent une bonne ambiance.
Le chauffeur me retourne en levrette, en restant planté dans mes entrailles. Il se déchaîne encore plus en moi, tout en fessant chaque côté de mon cul de plus en plus fort pendant que Catherine continue de lui lécher la rondelle. Titi se met sous moi et me lape la bitte de la même façon qu’il le faisait sur mon petit trou. Thomas reprends place devant mon visage pour que je reprenne ma pipe là où je m’étais arrêté.
Omar me laboure de plus en plus vigoureusement tout en commentant à quel point il apprécie mon cul. Sa queue, qui me faisait très peur au début, me donne un plaisir intense, je contracte mes muscles pour encore plus le sentir dans ma gaine anale. Il flatte aussi le talent des coups de langue de la femme de son patron. Il a de plus en plus de mal à parler et passe son temps à gémir.
Au bout de quelques minutes, il annonce qu’il va jouir. Thomas lui ordonne de déculer pour nous faire admirer son éjaculation. Omar se retire d’un coup sec, ce qui me fait pousser un petit cri mais surtout ressentir un grand vide. Je sens mon dos et mes fesses se recouvrir de sperme. J’ai l’impression qu’il s’arrête pas de grogner et de gicler, je sens comme une petite marre se former dans le creux de mes reins. Je sens aussi son jus dégouliner sur mes fesses et couler sur mes couilles et mes cuisses.
Comme il nous l’a prouvé la dernière fois, Titi est un grand amateur de sperme du coup il abandonne ma tige pour venir me lécher le dos et les fesses. Il en profite aussi pour me lécher les couilles et me sodomiser avec sa langue. Comme mon trou est toujours béant, il a aucun mal à rentrer entièrement sa péninsule et il me titille les parois internes avec. C’est la première fois que l’on me fait ça et c’est divin. Non seulement elle agit comme un baume réparateur mais elle me donne des sensations jusqu’alors inconnues.
Je pousse bien sur mes muscles pour rester ouvert et je me balance en arrière pour qu’il aille encore plus profondément en moi. Thomas remarque mon manège et lance à la cantonade:« Regardez cette cochonne balancer ses fesses pour bien profitez de la langue de Titi. Une vraie chienne en chaleur dommage qu’on est pas un chien pour l’assouvir. »Un frisson me parcours le corps, malheureusement la langue de Titi me quitte mais elle est rapidement remplacer par sa bite.
Omar a tellement bien ouvert le chemin qu’il a aucun mal à me sodomiser d’un coup sec et contrairement à la première fois je prends tout de suite du plaisir. Alors que Titi décule pour se replanter encore plus vigoureusement en moi, Thomas vient s’assoir devant moi. Je me penche pour m’occuper de sa bitte, qui me semble plus si énorme que ça, mais il me repousse. Il attrape sa femme et vient l’assoir sur lui en se plantant directement dans son cul.
Catherine pousse un hurlement de douleur. Pour atténuer sa douleur et augmenter son plaisir, tout comme elle tout à l’heure, je me penche sur son con dégoulinant. Ma langue passe sur toute sa vulve avant de partir à la recherche de son clito. Elle commence à gémir et malgré les coups de boutoirs de son homme me caresse la tête pour m’encourager. Quand je me mets à mordiller son son petit bouton, elle pousse des petits cris de plaisir et se pince les tétons.
Ne sachant toujours pas que je suis bi, Thomas est étonné des résultats de mon cunni, il lance même:« Notre larvette de Romain deviendrait hétéro? Regardez comme il bouffe bien la chatte de ma femme! »Il se retire des entrailles de sa femme pour encore mieux m’admirer faire, je suis sûr qu’il jette aussi des coups d’oeil sur le mat de son pote qui continue de rentrer et sortir complètement d’entre mes fesses.
Au bout d’un moment il se met à 4 pattes et demande à son chauffeur de venir s’occuper de son cul. J’en reviens pas d’entendre ce macho qui me traite sans cesse de pd, pédale, tarlouze… demander ça. Omar vient derrière son patron et, après avoir dérouler un préservatif qui ressemble à un sac tant il est grand, frotter son gland le long de la raie de son boss. Thomas se dégage et engueule son employé:« Pas avec ta bitte, triple idiot! Je suis pas une fiotte! Fouille moi le cul avec ta langue! »
Immédiatement le chauffeur change de position pour lui bouffer le trou comme je fais à sa femme. Ses gémissements et encouragements pour qu’il aille encore plus profondément, prennent le dessus sur ceux de madame. Pour un homme qui se dit « 100% mec », il adore qu’on s’occupe de son petit trou poilu. Alors que je cajole le clito de Catherine et que je la doigte, elle branle énergiquement son mari.
Une avalanche de jouissance arrive. Titi ne quitte plus mon cul et me défonce frénétiquement. Sa queue se met à palpiter en moi, dommage qu’il porte un préservatif car j’aurai adoré sentir la lave de son volcan érupter dans mon cul. En gonflant son mat titille encore plus ma prostate, alors que personne s’occupe de ma queue je la sens tressauter toute seule. J’éjacule pas par gicler, comme d’habitude, mais j’ai l’impression que mon sperme coule comme de la pisse.
Je suis tellement excité que je rentre un troisième doigt dans la moule de Catherine et la ramone sauvagement. Je sens son petit bouton gonfler entre mes lèvres et mes dents. Je lève les yeux vers son visage qui est rayonnant. Avec la main qui masturbe pas son homme, elle pince ses tétons chacun leur tour. Sa peau se granule et son corps est pris de spasme alors que Titi se retire de mon cul dans un énorme bruit.
Quand Catherine reprend ses esprits, elle s’allonge sous mari pour le sucer, je continue de lécher son con mais plus délicatement et retire mes doigts les uns après les autres. Elle prend Thomas en bouche et en seulement quelques secondes, il jouit à son tour. Il remplit tellement la bouche de sa femme qu’elle est obligée d’avaler plusieurs gorgées pour pouvoir accueillir le reste.
Je m’affale, totalement nu est recouvert de sperme, salive et cyprine sur le plancher de la voiture. Les autres s’affalent sur les fauteuils et, tout comme moi, reprennent leurs esprits. J’ai besoin de me dégourdir les jambes alors j’ouvre la portière et sors, à poil. Nous sommes au milieu d’un petit bois avec aucune habitation autour. J’ai vraiment pas vu le temps passer puisque le jour commence à pointer le bout de son nez.
Thomas sors me rejoindre, lui aussi est resté nu, sa queue lui arrive à mi cuisse. Il empoigne une de mes fesses puis rentre 2 doigts dans mes entrailles encore ouvertes. Alors qu’il les fait aller et venir, il me dit:« Tu as été au delà de mes espérances. On va pouvoir encore bien s’amuser ensemble surtout que tu es bien résistant. »
Il fait déculer ses doigts et me les donne à lécher en me demandant:« Avoue que tu as aimé lécher ma femme! »Pendant que je fais tournoyer ma langue autour de son index et son majeur, je fais oui de la tête. Il sort ses doigts recouvert de ma salive et claque, férocement, chacune de mes fesses et m’ordonne de retourner m’habiller pour qu’il me ramène chez moi.
Quand la grosse voiture se gare devant mon immeuble je salue tout le monde. Thomas m’attrape par les cheveux et plaque mon visage contre son entrejambe. Avant de me relâcher, il me dit sur un ton sévère:« Tiens toi prêt, je te rappelle très vite! »Une fois chez moi, je vais me coucher à poil alors que je sens ma rondelle toujours palpiter suite à tout ce qu’elle a subi. Je me demande bien ce qu’il va me réserver pour notre prochaine rencontre…
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