Le tour de l’Europe du sexe (6): les airs d’autoroutes ukrainiennes
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le tour de l’Europe du sexe (6): les airs d’autoroutes ukrainiennes
Je suis arrivé hier en Ukraine, comme j’ai déjà visité ce pays et que je suis sûr que l’avenir me fera revenir, je ne fais que le traverser en stop. Les chauffeurs routiers sont assez sympas, je n’attends pas longtemps entre deux véhicules. Par contre je fais que des distances assez courtes. Boris vient de me lâcher sur une aire d’autoroute, je suis à un kilomètre d’une petite ville où je peux trouver à me loger.
Comme il est à peine après 17 heures, je décide de tenter ma chance pour avancer un peu plus et me rapprocher de la frontière. Je me donne une petite heure pour trouver une voiture ou un camion et sinon j’irai en ville. Mais tout d’abord, une pause pipi s’impose. Une fois dans les chiottes, je me libère de mon gros sac à dos et me place devant le premier urinoir.
C’est fou comme des petits plaisirs peuvent être jouissif, surtout que ça doit bien faire une demi heure que je me retiens. J’ai l’impression que ma vessie est un puit sans fond, heureusement la fontaine finie par arrêter de couler. J’arrange bien mon costume trois pièces dans mon boxer, je remets le tout dans mon jean et je vais me laver les mains. J’en profite pour faire un brin de toilette et me rafraichir avant de continuer le stop.
Des bruits de pas se rapprochent, je ne prête pas attention puisque les toilettes sont publiques. Quand je me détourne du lavabo, je découvre juste devant la porte d’entrée une plantureuse brune en train de tripoter ses seins qui sont à l’air. Je m’attendais pas à une telle rencontre mais je suis loin d’être déçu surtout qu’elle me regarde fixement tout en pinçant ses tétons.
Elle porte une robe courte et moulante noire dont les bretelles sont descendues pour laisser apparaitre son énorme poitrine. Le tissu s’arrête à mi cuisse et ses mollets sont entièrement recouvert par des bottes de cuire de la même couleur que sa robe. Son regard descend de mon visage à mon entrejambe alors qu’elle va investir le sien avec une de ses mains pour encore plus m’exciter. Pour briser la glace je lui lance un « hello » auquel elle répond avec un grand sourire.
Ses deux mains remontent sur ses seins qui sont tellement imposants qu’ils débordent entre ses doigts. Puis elle se caresse le ventre et continue sur ses cuisses jusqu’à atteindre le bas de sa robe. Elle se retourne et se penche en avant pour m’exposer ses fesses bien rebondies et me demande:« Do you like what you see? » (« Tu aimes ce que tu vois? »)Pour toute réponse je m’approche d’elle et remplace ses mains par les miennes sur son corps.
Je parcours d’abord le bas de son dos avant de descendre sur son cul. Mon inconnue se redresse et attrape mes mains pour les poser sur ses énormes seins que je malaxe immédiatement. Elle en profite pour remonter sa robe jusqu’à la taille et m’exposer son string noir en dentelle. Elle se retourne et je me penche sur sa poitrine, gobe son téton gauche que je m’amuse à pincer entre mes lèvres aspirer.
Alors que j’empoigne fermement son sein et que ma langue joue avec sa tetine, elle pose une de ses mains sur le devant de sa culotte et l’autre sur la bosse qui se forme sur mon jean. Elle se retourne complètement et m’offre son autre sein, surement pour pas qu’il y ait de jaloux alors que sa main continue à me faire gonfler dans mon boxer. Maintenant qu’elle est bien en face de moi, je passe d’un côté à l’autre de sa poitrine avec beaucoup de plaisir, apparement partagé.
J’en profite pour descendre une de mes mains sur son mont de Vénus. Je fais glisser mes doigts sous le tissu et remarque tout de suite que sa chatte est complètement lisse. Elle se met à gémir de plus en plus fort au milieu des toilettes des hommes. Au bout de quelques minutes, elle dégage ma main et sans dire un moment, elle s’agenouille devant moi.
Ma pulpeuse brune ouvre ma ceinture et mon jean qu’elle fait légèrement descendre. Elle attrape l’élastique de mon boxer et tire dessus, inévitablement ma queue sort, comme un diable de sa boite, et vient lui taper la joue. Elle pousse un petit « Oh! » de satisfaction et me caresse avec ses deux mains. Elle ouvre la bouche, tire la langue pour me lécher sur toute la longueur de ma tige, elle descend même jusqu’à mes couilles. Le hasard fait bien les choses car elle semble être une sacrée salope et ce n’est pas pour me déplaire.
Sa péninsule humide passe sur chaque centimètre de peau de ma bite alors que ses mains se baladent sur le reste de mon costume 3 pièces. Elle ouvre en grand la bouche et tape ma tige contre sa langue tendue ce qui me fait encore plus durcir. Ensuite, elle aspire mes couilles l’une après l’autre tout en me branlant énergiquement avant de faire taper ma queue contre ses gros seins.
Puis, elle enferme mon gland entre ses lèvres et alors qu’elle me branle de la main, sa bouche l’aspire fortement et sa langue tournoie tout autour. Quand elle relâche la pression, pour reprendre sa respiration, mon inconnue se remet à me lécher sous ma tige. Sa main continue de s’agiter sur ma queue alors que je remarque seulement que la deuxième est plongée dans son string pour se faire du bien.
Elle me gobe de nouveau, mais cette fois, sa bouche fait des allers retour sur ma bitte en me prenant, à chaque fois, plus profondément en bouche. Régulièrement, elle me recrache pour lécher mon gland, mon frein ou mes couilles avant de reprendre sa pipe. J’en profite pour malaxer ses gros seins et rapprocher, de plus en plus, mes doigts de ses tétons. Je les vois déjà bien tendus alors je n’hésite pas à les faire rouler sous mes doigts.
Ma plantureuse brune doit comprendre que je veux plus jouer avec car elle se relève et empoigne sa poitrine. Elle se cambre jusqu’à ce que ses mamelles se retrouve à hauteur de ma queue, dommage qu’on est pas trois parce que cette position invite à s’occuper de sa croupe. Elle serre, fermement, ses gros seins autour de ma tige et les fait monter et descendre dessus plutôt lentement. Elle libère son étreinte pour m’avaler directement en gorge profonde.
Après quelques visites dans sa trachée, ma bitte est recouverte de salive, elle m’emprisonne, de nouveau, au centre de sa poitrine et se remet à me branler à un rythme plus soutenu. Ma queue est perdu entre ses énormes seins mais sa branlette espagnole est divine. Elle varie la pression de ses mamelles mais aussi la vitesse de ses montées et descentes. Régulièrement, elle crache sur mon gland ou me refait des gorges profondes pour que ça continue de bien glisser.
Même si j’aime beaucoup les cravates de notaire, j’ai un faible pour les branlette espagnole. Par contre c’est la première fois qu’on m’en fait une debout et je préfère être allongé comme ça la bouche de la femme peut aussi s’occuper de mon gland quand il dépasse entre ses valons. Mais j’y prends quand même bien mon pied, surtout vu le regard cochon qu’elle me lance.
Après quelques minutes de ce traitement, ma chaude brune se relève, empoigne ma tige encore glissante et m’entraine à l’extérieur. Une fois sorti du bâtiment des toilettes je jette un rapidement coup d’oeil, nous avons l’air d’être seul. Elle me tire jusqu’à une table de pic-nique, avant de s’allonger sur le dos. Elle sort, de je ne sais où, un préservatif qu’elle me tend. Je retire mon pantalon et mon boxer et me dépêche de l’enfiler.
Une fois protégé, je monte sur le banc, avec ma main droite j’ouvre encore plus ses cuisses et de la gauche je malaxe son sein. Elle pousse le triangle de son string et me dévoile son entrejambe qui est, comme je l’avais deviné, aussi lisse que celui d’une enfant. Je me plante directement en elle et m’enfonce jusqu’à ce que mes couilles soient contre son cul.
Elle s’occupe de son deuxième sein et se met immédiatement à couiner comme une cochonne. Je la ramone directement férocement tant elle est ouverte et accueillante. Au bout de quelques minutes je ralentis la cadence, mes allers retours sont plus lent mais surtout plus ample. J’en profite pour me concentrer sur son téton alors que ma deuxième main quitte sa cuisse pour son clito qui est très proéminent. Mon index le malaxe un moment puis je le serre entre mon pouce et mon majeur pour le faire rouler.
Mon inconnue se mord les lèvres pour pas hurler son plaisir. J’en profite pour augmenter la vitesse de mes vas et viens en elle, alors que mes doigts s’excitent encore plus sur son petit bouton. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle ne se contient plus et se met à crier. La respiration de cette salope est de plus en plus forte, je vois sa peau se granuler et son corps être pris de spasmes. Puis je sens un fort jet venir taper la paume de ma main suivi d’un deuxième.
Mes doigts relâchent leurs emprises, je l’attrape sous les genoux pour bien relever ses jambes et je m’active comme un fou dans sa chatte tout en entendant des voitures et des camions passer sur l’autoroute voisine. Je dois bien avouer que je suis à la fois très excité de baiser en pleine air avec la possibilité d’être surpris mais vu la politique des pays de l’est, j’ai peur de tomber sur des flics. Mais j’essaye de ne pas y penser pour me concentrer sur notre plaisir.
Je me plante complètement dans sa moule et me penche sur mon inconnue. J’embrasse, d’abord, ses deux seins en lui donnant des petits coups de rein très secs. Quand je pince ses tétons entre mes lèvres, je deviens un peu plus bestiale mais vu ses gémissements elle aime ça. Alors je me laisse aller et je commence à la mordiller gentiment, elle en redemande encore alors je deviens plus bestiale et ferme mes dents autour de ses tétines.
Soudain j’entends un bruit de moteur plus fort que les autres, la peur d’une voiture de police ou même de choquer une famille reprend le dessus. Je quitte rapidement la chatte de mon inconnue malgré ses plaintes et je l’entraine dans le petit bosquet qui est derrière nous. Une fois qu’il me semble que nous sommes bien cachés, je retire mon t-shirt pour l’étendre sur l’herbe. Elle se met directement à 4 pattes, je me branle un peu car la crainte m’a fait légèrement ramollir puis je m’agenouille derrière elle.
Je l’attrape par la taille et me plante directement en elle. Je la lime comme un déchaîner mais je sens l’accumulation de l’excitation prendre le dessus alors je me calme rapidement. Je la ramone gentiment tout en malaxant son gros cul. J’écarte régulièrement ses fesses, toujours un peu plus, pour admirer ma tige rentrer et sortir de sa moule mais aussi voir son petit trou se contracter et dilater à chaque coup de rein.
Au bout de quelques minutes, j’ose enfin poser mon doigt sur sa rondelle mais elle se met à remuer son popotin, pas de plaisir mais comme pour m’ejecter. J’insiste un peu mais elle tourne la tête et entre 2 gémissements me lance un franc:« No! »J’obtempère mais maintiens ses globes fessiers bien ouvert pour voir ma queue la pénétrer de plus en plus rapidement.
Je deviens de plus en plus sauvage, je lui claque gentiment la fesse et elle pousse un miaulement. Prenant ça comme une invitation je la fesse régulièrement du côté droit comme du gauche mais jamais trop fort pour ne pas faire rougir son gros cul qui me nargue de plus en plus en remuant comme ça devant moi. Au bout de quelques minutes, je deviens tellement brutale que ma plantureuse brune en perd l’équilibre.
Elle se remet pas à 4 pattes mais s’allonge sur le côté en ouvrant en grand ses jambes toujours décorées de ses cuissardes en cuir. Je viens m’allonger derrière elle, j’empoigne ma queue et dépose mon gland entre ses grandes lèvres. Je me plante en elle et attrape fermement le sein du dessus comme pour m’agripper à quelques choses.
Je la laboure d’abord tranquillement pour être sûr de la stabilité de la position et augmente le rythme progressivement. Son bras du dessus se déplace et me fait lécher son sein, une fois qu’il est passé je me rattrape uniquement à son téton ce qui la fait crier de plaisir. Je sens sa main caresser sa vulve et ma bitte par la même occasion. Rapidement elle la fait remonter pour se concentrer uniquement sur son clito.
L’effet est presque immédiat, je sens ses parois internes palpiter. Elles m’enserre de plus en plus et fait encore plus monter la pression au niveau de mes couilles. Comme elle, je gémis de plus en plus, mais alors qu’elle atteint le septième ciel pour la deuxième fois elle arrive à peine à me demander:« Don’t come! » (« Ne jouis pas! »)Je continue à la ramoner comme un fou mais me concentre aussi pour ne pas lâcher la purée.
Son orgasme me semble interminable, j’ai de plus en plus de mal à me retenir mais je dois vous avouer qu’il y a beaucoup de plaisir à retenir la jouissance. Mon inconnue couine comme une cochonne, sa grotte se contracte pendant de longues secondes avant de me laisser continuer les vas et viens en elle. Puis d’un coup je ne sens plus sa chatte réagir mais elle se dandine pour me faire sortir.
Alors que je me relève comme un con avec ma queue raide et qui attend juste de se vider, elle s’assoit. Elle ouvre en grand les jambes et fait, avec une de ses mains, un mouvement d’éventail devant son con dégoulinant en répétant des « Oooooh! » plus ou moins long. Heureusement elle ne tarde pas à se rappeler que je suis là et elle se rapproche de moi.
Elle empoigne ma bitte et me suce avec la capote, surement pour profiter de ses sécrétions vaginales. Elle finit par me déplastifier et je sens enfin ses lèvres directement sur ma peau. Le plaisir reprend rapidement le dessus et je sens le point de non retour déjà là. Elle me fait une belle gorge profonde et me recrache alors qu’un filet de bave relie toujours mon gland à ses lèvres.
Elle m’empoigne fermement pour me branler énergiquement alors que son autre bras soulève sa poitrine qu’elle présente à mon méat pour se faire arroser. Je ne tarde pas à céder à ses caresses et recouvrir ses gros seins de 5 giclées bien fournies. Bien que je me sois complètement vider, elle continuer de me caresser en serrant de plus en plus ses doigts pour être sûre d’avoir tout récupérer.
Une fois que je suis presque redevenu flasque, elle relâche son emprise et me gobe directement. Alors que sa bouche et sa langue s’applique à me nettoyer ses mains étalent mon jus rependu sur sa généreuse poitrine. Je dois bien avouer que cette scène est très excitante et si elle continue ainsi, elle devrait pas tarder à me refaire bander. Mais elle finit de par relâcher la queue et alors que nous nous rhabillons nous discutons gentiment.
Elle est fière de me dire les quelques mots de français qu’elle connait. Non seulement c’est une nana bien chaude mais en plus assez sympathique. En plus quand elle comprend que je fais que sillonner l’Ukraine elle me propose de m’héberger pour la nuit. Je suis très étonné, en arrivant chez elle, de voir qu’elle est marié avec enfants mais ça ne nous a pas empêcher de remettre ça une fois toute la maison endormie.
Comme il est à peine après 17 heures, je décide de tenter ma chance pour avancer un peu plus et me rapprocher de la frontière. Je me donne une petite heure pour trouver une voiture ou un camion et sinon j’irai en ville. Mais tout d’abord, une pause pipi s’impose. Une fois dans les chiottes, je me libère de mon gros sac à dos et me place devant le premier urinoir.
C’est fou comme des petits plaisirs peuvent être jouissif, surtout que ça doit bien faire une demi heure que je me retiens. J’ai l’impression que ma vessie est un puit sans fond, heureusement la fontaine finie par arrêter de couler. J’arrange bien mon costume trois pièces dans mon boxer, je remets le tout dans mon jean et je vais me laver les mains. J’en profite pour faire un brin de toilette et me rafraichir avant de continuer le stop.
Des bruits de pas se rapprochent, je ne prête pas attention puisque les toilettes sont publiques. Quand je me détourne du lavabo, je découvre juste devant la porte d’entrée une plantureuse brune en train de tripoter ses seins qui sont à l’air. Je m’attendais pas à une telle rencontre mais je suis loin d’être déçu surtout qu’elle me regarde fixement tout en pinçant ses tétons.
Elle porte une robe courte et moulante noire dont les bretelles sont descendues pour laisser apparaitre son énorme poitrine. Le tissu s’arrête à mi cuisse et ses mollets sont entièrement recouvert par des bottes de cuire de la même couleur que sa robe. Son regard descend de mon visage à mon entrejambe alors qu’elle va investir le sien avec une de ses mains pour encore plus m’exciter. Pour briser la glace je lui lance un « hello » auquel elle répond avec un grand sourire.
Ses deux mains remontent sur ses seins qui sont tellement imposants qu’ils débordent entre ses doigts. Puis elle se caresse le ventre et continue sur ses cuisses jusqu’à atteindre le bas de sa robe. Elle se retourne et se penche en avant pour m’exposer ses fesses bien rebondies et me demande:« Do you like what you see? » (« Tu aimes ce que tu vois? »)Pour toute réponse je m’approche d’elle et remplace ses mains par les miennes sur son corps.
Je parcours d’abord le bas de son dos avant de descendre sur son cul. Mon inconnue se redresse et attrape mes mains pour les poser sur ses énormes seins que je malaxe immédiatement. Elle en profite pour remonter sa robe jusqu’à la taille et m’exposer son string noir en dentelle. Elle se retourne et je me penche sur sa poitrine, gobe son téton gauche que je m’amuse à pincer entre mes lèvres aspirer.
Alors que j’empoigne fermement son sein et que ma langue joue avec sa tetine, elle pose une de ses mains sur le devant de sa culotte et l’autre sur la bosse qui se forme sur mon jean. Elle se retourne complètement et m’offre son autre sein, surement pour pas qu’il y ait de jaloux alors que sa main continue à me faire gonfler dans mon boxer. Maintenant qu’elle est bien en face de moi, je passe d’un côté à l’autre de sa poitrine avec beaucoup de plaisir, apparement partagé.
J’en profite pour descendre une de mes mains sur son mont de Vénus. Je fais glisser mes doigts sous le tissu et remarque tout de suite que sa chatte est complètement lisse. Elle se met à gémir de plus en plus fort au milieu des toilettes des hommes. Au bout de quelques minutes, elle dégage ma main et sans dire un moment, elle s’agenouille devant moi.
Ma pulpeuse brune ouvre ma ceinture et mon jean qu’elle fait légèrement descendre. Elle attrape l’élastique de mon boxer et tire dessus, inévitablement ma queue sort, comme un diable de sa boite, et vient lui taper la joue. Elle pousse un petit « Oh! » de satisfaction et me caresse avec ses deux mains. Elle ouvre la bouche, tire la langue pour me lécher sur toute la longueur de ma tige, elle descend même jusqu’à mes couilles. Le hasard fait bien les choses car elle semble être une sacrée salope et ce n’est pas pour me déplaire.
Sa péninsule humide passe sur chaque centimètre de peau de ma bite alors que ses mains se baladent sur le reste de mon costume 3 pièces. Elle ouvre en grand la bouche et tape ma tige contre sa langue tendue ce qui me fait encore plus durcir. Ensuite, elle aspire mes couilles l’une après l’autre tout en me branlant énergiquement avant de faire taper ma queue contre ses gros seins.
Puis, elle enferme mon gland entre ses lèvres et alors qu’elle me branle de la main, sa bouche l’aspire fortement et sa langue tournoie tout autour. Quand elle relâche la pression, pour reprendre sa respiration, mon inconnue se remet à me lécher sous ma tige. Sa main continue de s’agiter sur ma queue alors que je remarque seulement que la deuxième est plongée dans son string pour se faire du bien.
Elle me gobe de nouveau, mais cette fois, sa bouche fait des allers retour sur ma bitte en me prenant, à chaque fois, plus profondément en bouche. Régulièrement, elle me recrache pour lécher mon gland, mon frein ou mes couilles avant de reprendre sa pipe. J’en profite pour malaxer ses gros seins et rapprocher, de plus en plus, mes doigts de ses tétons. Je les vois déjà bien tendus alors je n’hésite pas à les faire rouler sous mes doigts.
Ma plantureuse brune doit comprendre que je veux plus jouer avec car elle se relève et empoigne sa poitrine. Elle se cambre jusqu’à ce que ses mamelles se retrouve à hauteur de ma queue, dommage qu’on est pas trois parce que cette position invite à s’occuper de sa croupe. Elle serre, fermement, ses gros seins autour de ma tige et les fait monter et descendre dessus plutôt lentement. Elle libère son étreinte pour m’avaler directement en gorge profonde.
Après quelques visites dans sa trachée, ma bitte est recouverte de salive, elle m’emprisonne, de nouveau, au centre de sa poitrine et se remet à me branler à un rythme plus soutenu. Ma queue est perdu entre ses énormes seins mais sa branlette espagnole est divine. Elle varie la pression de ses mamelles mais aussi la vitesse de ses montées et descentes. Régulièrement, elle crache sur mon gland ou me refait des gorges profondes pour que ça continue de bien glisser.
Même si j’aime beaucoup les cravates de notaire, j’ai un faible pour les branlette espagnole. Par contre c’est la première fois qu’on m’en fait une debout et je préfère être allongé comme ça la bouche de la femme peut aussi s’occuper de mon gland quand il dépasse entre ses valons. Mais j’y prends quand même bien mon pied, surtout vu le regard cochon qu’elle me lance.
Après quelques minutes de ce traitement, ma chaude brune se relève, empoigne ma tige encore glissante et m’entraine à l’extérieur. Une fois sorti du bâtiment des toilettes je jette un rapidement coup d’oeil, nous avons l’air d’être seul. Elle me tire jusqu’à une table de pic-nique, avant de s’allonger sur le dos. Elle sort, de je ne sais où, un préservatif qu’elle me tend. Je retire mon pantalon et mon boxer et me dépêche de l’enfiler.
Une fois protégé, je monte sur le banc, avec ma main droite j’ouvre encore plus ses cuisses et de la gauche je malaxe son sein. Elle pousse le triangle de son string et me dévoile son entrejambe qui est, comme je l’avais deviné, aussi lisse que celui d’une enfant. Je me plante directement en elle et m’enfonce jusqu’à ce que mes couilles soient contre son cul.
Elle s’occupe de son deuxième sein et se met immédiatement à couiner comme une cochonne. Je la ramone directement férocement tant elle est ouverte et accueillante. Au bout de quelques minutes je ralentis la cadence, mes allers retours sont plus lent mais surtout plus ample. J’en profite pour me concentrer sur son téton alors que ma deuxième main quitte sa cuisse pour son clito qui est très proéminent. Mon index le malaxe un moment puis je le serre entre mon pouce et mon majeur pour le faire rouler.
Mon inconnue se mord les lèvres pour pas hurler son plaisir. J’en profite pour augmenter la vitesse de mes vas et viens en elle, alors que mes doigts s’excitent encore plus sur son petit bouton. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle ne se contient plus et se met à crier. La respiration de cette salope est de plus en plus forte, je vois sa peau se granuler et son corps être pris de spasmes. Puis je sens un fort jet venir taper la paume de ma main suivi d’un deuxième.
Mes doigts relâchent leurs emprises, je l’attrape sous les genoux pour bien relever ses jambes et je m’active comme un fou dans sa chatte tout en entendant des voitures et des camions passer sur l’autoroute voisine. Je dois bien avouer que je suis à la fois très excité de baiser en pleine air avec la possibilité d’être surpris mais vu la politique des pays de l’est, j’ai peur de tomber sur des flics. Mais j’essaye de ne pas y penser pour me concentrer sur notre plaisir.
Je me plante complètement dans sa moule et me penche sur mon inconnue. J’embrasse, d’abord, ses deux seins en lui donnant des petits coups de rein très secs. Quand je pince ses tétons entre mes lèvres, je deviens un peu plus bestiale mais vu ses gémissements elle aime ça. Alors je me laisse aller et je commence à la mordiller gentiment, elle en redemande encore alors je deviens plus bestiale et ferme mes dents autour de ses tétines.
Soudain j’entends un bruit de moteur plus fort que les autres, la peur d’une voiture de police ou même de choquer une famille reprend le dessus. Je quitte rapidement la chatte de mon inconnue malgré ses plaintes et je l’entraine dans le petit bosquet qui est derrière nous. Une fois qu’il me semble que nous sommes bien cachés, je retire mon t-shirt pour l’étendre sur l’herbe. Elle se met directement à 4 pattes, je me branle un peu car la crainte m’a fait légèrement ramollir puis je m’agenouille derrière elle.
Je l’attrape par la taille et me plante directement en elle. Je la lime comme un déchaîner mais je sens l’accumulation de l’excitation prendre le dessus alors je me calme rapidement. Je la ramone gentiment tout en malaxant son gros cul. J’écarte régulièrement ses fesses, toujours un peu plus, pour admirer ma tige rentrer et sortir de sa moule mais aussi voir son petit trou se contracter et dilater à chaque coup de rein.
Au bout de quelques minutes, j’ose enfin poser mon doigt sur sa rondelle mais elle se met à remuer son popotin, pas de plaisir mais comme pour m’ejecter. J’insiste un peu mais elle tourne la tête et entre 2 gémissements me lance un franc:« No! »J’obtempère mais maintiens ses globes fessiers bien ouvert pour voir ma queue la pénétrer de plus en plus rapidement.
Je deviens de plus en plus sauvage, je lui claque gentiment la fesse et elle pousse un miaulement. Prenant ça comme une invitation je la fesse régulièrement du côté droit comme du gauche mais jamais trop fort pour ne pas faire rougir son gros cul qui me nargue de plus en plus en remuant comme ça devant moi. Au bout de quelques minutes, je deviens tellement brutale que ma plantureuse brune en perd l’équilibre.
Elle se remet pas à 4 pattes mais s’allonge sur le côté en ouvrant en grand ses jambes toujours décorées de ses cuissardes en cuir. Je viens m’allonger derrière elle, j’empoigne ma queue et dépose mon gland entre ses grandes lèvres. Je me plante en elle et attrape fermement le sein du dessus comme pour m’agripper à quelques choses.
Je la laboure d’abord tranquillement pour être sûr de la stabilité de la position et augmente le rythme progressivement. Son bras du dessus se déplace et me fait lécher son sein, une fois qu’il est passé je me rattrape uniquement à son téton ce qui la fait crier de plaisir. Je sens sa main caresser sa vulve et ma bitte par la même occasion. Rapidement elle la fait remonter pour se concentrer uniquement sur son clito.
L’effet est presque immédiat, je sens ses parois internes palpiter. Elles m’enserre de plus en plus et fait encore plus monter la pression au niveau de mes couilles. Comme elle, je gémis de plus en plus, mais alors qu’elle atteint le septième ciel pour la deuxième fois elle arrive à peine à me demander:« Don’t come! » (« Ne jouis pas! »)Je continue à la ramoner comme un fou mais me concentre aussi pour ne pas lâcher la purée.
Son orgasme me semble interminable, j’ai de plus en plus de mal à me retenir mais je dois vous avouer qu’il y a beaucoup de plaisir à retenir la jouissance. Mon inconnue couine comme une cochonne, sa grotte se contracte pendant de longues secondes avant de me laisser continuer les vas et viens en elle. Puis d’un coup je ne sens plus sa chatte réagir mais elle se dandine pour me faire sortir.
Alors que je me relève comme un con avec ma queue raide et qui attend juste de se vider, elle s’assoit. Elle ouvre en grand les jambes et fait, avec une de ses mains, un mouvement d’éventail devant son con dégoulinant en répétant des « Oooooh! » plus ou moins long. Heureusement elle ne tarde pas à se rappeler que je suis là et elle se rapproche de moi.
Elle empoigne ma bitte et me suce avec la capote, surement pour profiter de ses sécrétions vaginales. Elle finit par me déplastifier et je sens enfin ses lèvres directement sur ma peau. Le plaisir reprend rapidement le dessus et je sens le point de non retour déjà là. Elle me fait une belle gorge profonde et me recrache alors qu’un filet de bave relie toujours mon gland à ses lèvres.
Elle m’empoigne fermement pour me branler énergiquement alors que son autre bras soulève sa poitrine qu’elle présente à mon méat pour se faire arroser. Je ne tarde pas à céder à ses caresses et recouvrir ses gros seins de 5 giclées bien fournies. Bien que je me sois complètement vider, elle continuer de me caresser en serrant de plus en plus ses doigts pour être sûre d’avoir tout récupérer.
Une fois que je suis presque redevenu flasque, elle relâche son emprise et me gobe directement. Alors que sa bouche et sa langue s’applique à me nettoyer ses mains étalent mon jus rependu sur sa généreuse poitrine. Je dois bien avouer que cette scène est très excitante et si elle continue ainsi, elle devrait pas tarder à me refaire bander. Mais elle finit de par relâcher la queue et alors que nous nous rhabillons nous discutons gentiment.
Elle est fière de me dire les quelques mots de français qu’elle connait. Non seulement c’est une nana bien chaude mais en plus assez sympathique. En plus quand elle comprend que je fais que sillonner l’Ukraine elle me propose de m’héberger pour la nuit. Je suis très étonné, en arrivant chez elle, de voir qu’elle est marié avec enfants mais ça ne nous a pas empêcher de remettre ça une fois toute la maison endormie.
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C’est 1 mytho qui est autant libertin que moi qui suis chirurgien.