Le tour de l’Europe du sexe (3), Heraklion: j’adore négocier de cette façon
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le tour de l’Europe du sexe (3), Heraklion: j’adore négocier de cette façon
Après un trajet de 16 heures en bateau mais très animé grâce à mes 3 belles belges et 45 minutes de voitures avec un local très sympa, j’arrive enfin devant l’appartement que je loue pour quelques jours. J’attends au soleil Adria qui m’a prévenu qu’elle va avoir du retard. Effectivement, elle est pas du tout ponctuel car je reste plus d’une heure à l’attendre et commence à m’assoupir.
Je ne sais combien de temps après, je suis réveillé par une voix féminine qui s’excuse du retard, en français mais avec un fort accent. J’ouvre timidement les yeux et je découvre une brune à lunettes avec une robe rouge. Je repère immédiatement son tatouage sur le haut de son bras droit dénudé. Ensuite je vois ses seins qui sont ni trop petits ni trop gros. Ils doivent bien rentrer dans ma main.
Je me lève et elle se penche directement vers moi pour me faire la bise. Son visage est beaucoup moins beau que son corps mais très chaleureusement, elle me dit:« Encore pardon Romain, j’étais en réunion. »Elle m’attrape par le bras pour me faire visiter l’appartement. Nous discutons et j’apprends que son père est français c’est pour ça qu’elle s’est aussi bien parler.
L’appartement est dans une belle petite résidence avec piscine. Il est plus grand que je l’imaginais ou que j’en ai besoin. La cuisine est dans l’immense salon et la chambre à coucher donne sur une terrasse qui a une vue sur la mer. Mais ce que je préfère dans cette visite c’est l’accent d’Adria et les petits mots qu’elle glisse en grec même si je les comprends pas. Elle me plait de plus en plus et je sens que ma queue est de plus en plus d’accord avec moi.
Quand elle me montre le grand lit, elle me dit:« Tu as largement la place de faire plaisir à des femmes ici. »En rougissant elle ajoute:« Ici tu vas vraiment plaire en plus! »Je pensais pas qu’elle arriverai à me déstabiliser. Je sors sur la terrasse, c’est surtout pour cacher mon érection qui se voit de plus en dans mon short. Mais ça ne s’arrange pas quand elle vient se coller derrière moi pour me montrer les différents monuments que l’on voit de là.
J’ai du mal à penser qu’elle ne fait pas exprès de coller ses seins contre moi. J’en profite bien mais maintenant ça va être encore plus compliqué de cacher ma gaule. Elle se décolle lentement de moi et me propose de me montrer la cuisine. Je reste un instant seul dehors et quand je sens que ça redescend enfin dans mon boxer je pars la rejoindre.
Je la regarde le moins possible pour pas encore réveiller la bête. Ensuite, elle me propose de nous installer autour de la table pour signer le contrat. Evidement le texte est en grec mais elle a aussi une traduction en anglais que je lis rapidement. Elle m’explique différents points et deviens de plus en plus tactile. Heureusement que la table cache mon entre jambe!
Comme je suis quand même sur un budget plutôt restreint pour que mon périple aille jusqu’au bout, j’essaye de négocier. Je lui propose que l’on signe aucun papier pour que la location ne soit pas déclarée par contre je la paye tout de suite en liquide et je suis prêt à signer un règlement intérieur. Elle réfléchit et me demande d’attendre pour voir avec ses parents. Evidement, je ne comprends pas un mot à sa discussion.
Elle parle quelques minutes pendant lesquelles j’essaye de deviner la forme de ses fesses malgré la robe ample qu’elle porte. Adria me rejoint sans dire un mot et prend le contrat en anglais. Elle barre tous les montants en remplaçant par « free » (gratuit) et une fois qu’elle a fini, elle me tend les documents. Elle me laisse le temps de vérifier toute ses corrections.
Une fois que j’ai fini de relire, elle me tend un stylo en me précisant:« On te fait une réduction de 30 euros pour la semaine. »Je fais mine d’hésiter, même si ça me fait économiser plus d’une nuit, et lui demande si elle peut faire encore un effort. J’essaye de lui faire mon sourire le plus charmeur mais je m’attendais à ce qu’elle me caresse le bras en me disant:« Ca dépend de toi! »
Son visage s’approche du mien jusqu’à ce que ses lèvres se collent aux miennes. Nous nous embrassons tendrement pendant un moment, mes mains caresses son visage et son dos alors que les siennes se baladent sous mon t-shirt. Elle nous fait nous lever et nous allons vers la chambre à coucher. Plus nous avançons vers le lit, pas encore fait, plus notre étreinte devient sauvage. Je sens ses ongles me griffer de plus en plus fort.
Je descends mes mains sur ses cuisses et les remontent rapidement vers son entrejambe. Elle bouge tellement que ses seins sortent de son décolleté, elle porte même pas de soutien gorge. Avec mes mains je découvre, qu’elle a pas non plus de culotte et qu’elle est complètement épilée. Quand mon index caresse sa vulve, sa main se referme sur mes cheveux pour encore plus me coller à elle. Nos langues dansent encore plus vite.
Quand nos lèvres se décollent, j’embrasse ses seins en pensant de l’un à l’autre. Je me rapproche, lentement, de ses tétons que je pince dans ma bouche. Elle gémit et mouille de plus en plus. Pour être plus à l’aise, je l’allonge sur le dos et j’ouvre ses cuisses pour découvrir sa chatte. Comme je l’avais senti, elle mouille bien mais ses grandes lèvres sont bien pendantes. Sous ses petits airs, ça doit être une sacrée salope!
Même si je porte toujours mon short, je viens frotter mon érection contre sa moule trempée. Je fais mine de la baiser alors qu’elle se pince fermement la poitrine tout en gémissant. Nous jouons un moment ainsi puis je me dégage d’entres ses cuisses, fermées autour de ma taille, pour me déshabille entièrement. Adria ne fait que soulever sa jupe et la bloquer sous son dos, elle garde le haut avec toujours les seins à l’air.
Une fois à poil, je retourne entre ses jambes pour frotter ma queue, fièrement dressée depuis un moment, contre sa vulve. Nous jouons, sexe contre sexe, pendant un moment mais je ne veux prendre aucun risque alors je vais vite chercher une capote dans mon sac. Quand je reviens Adria est sur le ventre, elle me présente sa croupe en levrette avec la jambe droite à terre et l’autre levée sur le lit.
Je glisse ma bite plastifié sous elle et je lui donne quelques petites claques sur son con qui la font encore plus gémir. Je me retire pour venir me frotter entre ses fesses, elle crie de plus en plus fort surtout quand je la fesse avec mon sexe bien dur. Avec une main j’écarte bien ses deux globes tandis que de l’autre je fais titiller l’entrée de sa grotte avec mon gland. Même si elle me parait pas beaucoup mouiller, elle semble bien ouverte.
Je positionne ma tige et m’enfonce complètement en elle, ce qui lui arrache un petit cri de bonheur. Quand je suis bien planté en elle et que mes couilles sont contre ses lèvres intimes, je fais claquer sa fesse droite et me retire tout aussi sec. Je replace mon champignon entre ses petites lèvres et je bouge plus. Adria met un moment à comprendre que si elle me veut dans sa chatte, elle va devoir bouger.
Elle fait d’abord de tous petits mouvements de vas et viens puis se recule d’un coup sec pour que je la remplisse entièrement. De nouveau, elle fait de petits mouvements et avance tellement qu’elle me fait quitter sa grotte. Je repositionne mon gland et elle joue à me faire rentrer et sortir pendant un moment. J’écarte bien son cul pour admirer ma queue rentrer et sortir en elle. J’ai pas l’impression qu’elle mouille vraiment mais je glisse très bien en elle et vu ses hurlement, elle aime ça.
Elle profite que je sois plus en elle pour se retourner et ouvrir en grand ses cuisses. Je reprends place entre ses jambes mais aussi dans sa moule. Avec ma main droite j’attrape les bretelles de sa robe et je tire dessus pour bien faire ressortir sa poitrine mais aussi la faire monter et descendre sur ma queue. Elle ne retient plus du tout ses gémissements, vu que les maison sont mitoyennes, j’espère que les voisins sont absents ou sourds.
Même si je tire sur sa robe plus ou moins fort pour faire varier les plaisirs, j’arrive pas à la baiser comme je le souhaite alors je relâche son tissu pour attraper ses mollets. Je la lime plutôt violemment en admirant son clito déjà bien gonflé qui me donne plein d’envies. Je referme sa jambe droite en la bloquant sur mon épaule droite pour refermer ses parois autour de ma tige mais aussi avoir une main de libre et m’occuper de son petit bouton.
Adria se met à couiner comme une cochonne qu’on égorge, je sens rapidement ses muscles du périnée me contracter. Ses cris se font de plus en plus aiguë et quand ses muscles internes se relâchent, elle redescend dans les graves. Je la ramone encore quelques minutes dans cette position mais elle retire ma main de son mont de Vénus pour la placer sur son sein. Mes doigts se referment tout de suite autour de son téton et elle redécolle instantanément.
Je me penche sur elle pour l’embrasser à pleine bouche tout en continuant à la pilonner, mais encore plus sèchement, et passer à son autre tétine. Quand nos bouches se décollent, j’en profite pour me retirer. Je voulais changer de position mais elle vient s’agenouiller devant moi. Elle me fixe du regard alors qu’elle retire ma capote recouverte de sécrétions blanches.
Toujours les yeux dans les yeux, elle empoigne ma queue et ouvre en grand la bouche. Adria tire la langue et vient me titiller le dessous du gland mais aussi le frein. Je sais pas si je suis plus excité par sa bouche ou par son regard de salope qui ne quitte pas le mien. Puis sa langue vient tournoyer tout autour de mon champignon, elle la fait tourner de plus en plus vite. Elle retourne s’occuper de mon frein mais toujours sans ses lèvres ni le reste de sa bouche.
Elle recule un peu son visage, je pense qu’elle va enfin me gober mais sa main relève mon sexe et sa langue se pose sur la jonction de ma tige et mes couilles. Elle la fait remonter lentement jusqu’à mon méat qu’elle titille comme si elle voulait le pénétrer. Puis elle recommence l’opération 3 fois. Sa langue va de plus en plus vite et ne démarre plus qu’au milieu de ma tige mais s’attarde autant sur mon frein, mon gland et mon méat.
Sans même s’occuper de mes couilles ou réellement me sucer, Adria se relève et m’entraine sur le grand lit. Je m’installe bien au milieu alors qu’elle vient s’assoir sur mes cuisses après avoir sorti un préservatif de la table de nuit. Elle le déroule sur ma tige et se dépêche de venir s’empaler sur moi. Une fois que je suis bien au fond de sa grotte elle commence des mouvements d’avant en arrière avec son bassin.
Je l’attrape fermement par la taille et je commence à la faire monter et descendre sur moi. Je varie les rythmes et les plaisirs, ses mains passent de mon corps au sien comme si elle ne savait pas où les mettre. J’attrape ses poignets pour lui faire empoigner ses seins qui se balancent. Elle commence à se tripoter alors je la relâche et redescend mes mains sur son cul cette fois.
Alors que je la fais me chevaucher plus lentement, j’approche mes doigts de sa rosette. Elle se laisse faire, ce qui présage du bon pour la suite. Mon index titille sa rondelle et comme tout à l’heure avec son clito, ses hurlements se font de plus en plus puissants. J’essaye d’introduire un doigt dans ses entrailles mais elle est trop fermée alors je me contente de la ramoner fermement et masser son petit trou ce qui lui fait atteindre le septième ciel.
Quand elle redescend de son orgasme, son corps suit le mouvement et elle s’affale sur moi. Je la laisse reprendre sa respiration mais je suis encore bien excité, elle a déjà joui deux fois mais moi pas une seule. Je me dégage de sous elle et je m’installe entre ses jambes. Je l’attrape par les hanches pour la faire se mettre à 4 pattes et la prendre en levrette.
Dès que je m’introduis dans sa chatte, elle semble se réveiller tout comme ses gémissements. Avec ma main gauche, j’empoigne la fesse qui est devant et Adria s’occupe d’écarter l’autre. J’adore voir ma bite rentrer et sortir de sa moule, heureusement que j’ai baisé ce matin dans le bateau avec les 3 belges comme ça je peux faire durer le plaisir.
Je la baise tellement sauvagement qu’elle perd la position et s’affale sur le lit. Je suis le nouvement et continue de la ramoner. Sans quitter son sexe je la fais se redresser mais ses mains ne m’aident plus à écarter son cul pour que je profite du spectacle. Je calme mes coups de reins et écarte bien ses fesses à deux mains. Je ressors lentement jusqu’à ne plus avoir que mon gland en elle. Je reste immobile un moment et m’enfonce en elle. Je recommence plusieurs fois et à chaque fois que je glisse dans sa grotte, je lui arrache de longs gémissements.
Je sens que je suis proche du point de non retour mais en plus de la superbe vue que j’ai, je veux que ça soit encore plus sauvage. Je quitte sa moule pour me remettre au milieu du lit sur le dos. Elle revient me chevaucher comme tout à l’heure mais je lui demande de se retourner. Elle s’exécute et vient s’assoir sur moi pendant que je dirige ma queue vers sa vulve.
Une fois qu’elle est assise sur moi, j’empoigne ses globes pour écarter ses fesses mais aussi la faire monter et descendre sur moi férocement. J’adore cette position, non seulement pour la vue mais comme ses jambes sont serrées, elle m’enserre encore plus. Même si elle me tourne le dos, je devine bien qu’elle s’occupe de sa poitrine, elle a l’air d’y aller fermement.
Je la préviens que je vais bientôt jouir du coup elle se relève pour me faire ressortir et vient se mettre sur le dos à côté de moi. Elle empoigne ma queue pour me branler et après m’avoir embrasser langoureusement, elle me demande de gicler sur sa « mouni ». Même si je parle pas la langue, vu qu’elle se caresse fermement, je comprends qu’elle parle de sa chatte.
Je retourne entre ses cuisses, même si sa main a bien maintenu mon excitation, je la lime encore un peu. Elle continue de malaxer son clito fermement et décontracté ses muscles pour encore plus me faire décoller. Après seulement quelques allers retours, je me retire et tire sur la capote. Je me branle aussi vigoureusement qu’Adria en prenant bien soin de viser son mont de Vénus.
Moins d’une minute après, j’expulse un premier jet qui arrose sa moule et sa main mais aussi son ventre et une partie de son sein gauche. Les giclées suivantes sont moins puissantes mais viennent taper son clito ou ses lèvres intimes comme elle me l’a demandé. Sa main continue à tourner sur son petit bouton et mélange mon sperme à sa mouille. Je continue de me caresser en la regardant faire et quand ses doigts se calment, je viens m’allonger à côté d’elle alors qu’elle lèche sa main.
Adria se tourne vers moi et m’embrasse goulument, ses lèvres ont le goût de mon jus, puis elle me dit:« Si on se voit tous les jours, je suis d’accord pour 100 euros la semaine. »Je l’embrasse de nouveau pour sceller notre contrat. J’économise pas beaucoup mais je suis sûr de m’envoyer en l’air tous les jours et en plus avec une sacrée cochonne…
Je ne sais combien de temps après, je suis réveillé par une voix féminine qui s’excuse du retard, en français mais avec un fort accent. J’ouvre timidement les yeux et je découvre une brune à lunettes avec une robe rouge. Je repère immédiatement son tatouage sur le haut de son bras droit dénudé. Ensuite je vois ses seins qui sont ni trop petits ni trop gros. Ils doivent bien rentrer dans ma main.
Je me lève et elle se penche directement vers moi pour me faire la bise. Son visage est beaucoup moins beau que son corps mais très chaleureusement, elle me dit:« Encore pardon Romain, j’étais en réunion. »Elle m’attrape par le bras pour me faire visiter l’appartement. Nous discutons et j’apprends que son père est français c’est pour ça qu’elle s’est aussi bien parler.
L’appartement est dans une belle petite résidence avec piscine. Il est plus grand que je l’imaginais ou que j’en ai besoin. La cuisine est dans l’immense salon et la chambre à coucher donne sur une terrasse qui a une vue sur la mer. Mais ce que je préfère dans cette visite c’est l’accent d’Adria et les petits mots qu’elle glisse en grec même si je les comprends pas. Elle me plait de plus en plus et je sens que ma queue est de plus en plus d’accord avec moi.
Quand elle me montre le grand lit, elle me dit:« Tu as largement la place de faire plaisir à des femmes ici. »En rougissant elle ajoute:« Ici tu vas vraiment plaire en plus! »Je pensais pas qu’elle arriverai à me déstabiliser. Je sors sur la terrasse, c’est surtout pour cacher mon érection qui se voit de plus en dans mon short. Mais ça ne s’arrange pas quand elle vient se coller derrière moi pour me montrer les différents monuments que l’on voit de là.
J’ai du mal à penser qu’elle ne fait pas exprès de coller ses seins contre moi. J’en profite bien mais maintenant ça va être encore plus compliqué de cacher ma gaule. Elle se décolle lentement de moi et me propose de me montrer la cuisine. Je reste un instant seul dehors et quand je sens que ça redescend enfin dans mon boxer je pars la rejoindre.
Je la regarde le moins possible pour pas encore réveiller la bête. Ensuite, elle me propose de nous installer autour de la table pour signer le contrat. Evidement le texte est en grec mais elle a aussi une traduction en anglais que je lis rapidement. Elle m’explique différents points et deviens de plus en plus tactile. Heureusement que la table cache mon entre jambe!
Comme je suis quand même sur un budget plutôt restreint pour que mon périple aille jusqu’au bout, j’essaye de négocier. Je lui propose que l’on signe aucun papier pour que la location ne soit pas déclarée par contre je la paye tout de suite en liquide et je suis prêt à signer un règlement intérieur. Elle réfléchit et me demande d’attendre pour voir avec ses parents. Evidement, je ne comprends pas un mot à sa discussion.
Elle parle quelques minutes pendant lesquelles j’essaye de deviner la forme de ses fesses malgré la robe ample qu’elle porte. Adria me rejoint sans dire un mot et prend le contrat en anglais. Elle barre tous les montants en remplaçant par « free » (gratuit) et une fois qu’elle a fini, elle me tend les documents. Elle me laisse le temps de vérifier toute ses corrections.
Une fois que j’ai fini de relire, elle me tend un stylo en me précisant:« On te fait une réduction de 30 euros pour la semaine. »Je fais mine d’hésiter, même si ça me fait économiser plus d’une nuit, et lui demande si elle peut faire encore un effort. J’essaye de lui faire mon sourire le plus charmeur mais je m’attendais à ce qu’elle me caresse le bras en me disant:« Ca dépend de toi! »
Son visage s’approche du mien jusqu’à ce que ses lèvres se collent aux miennes. Nous nous embrassons tendrement pendant un moment, mes mains caresses son visage et son dos alors que les siennes se baladent sous mon t-shirt. Elle nous fait nous lever et nous allons vers la chambre à coucher. Plus nous avançons vers le lit, pas encore fait, plus notre étreinte devient sauvage. Je sens ses ongles me griffer de plus en plus fort.
Je descends mes mains sur ses cuisses et les remontent rapidement vers son entrejambe. Elle bouge tellement que ses seins sortent de son décolleté, elle porte même pas de soutien gorge. Avec mes mains je découvre, qu’elle a pas non plus de culotte et qu’elle est complètement épilée. Quand mon index caresse sa vulve, sa main se referme sur mes cheveux pour encore plus me coller à elle. Nos langues dansent encore plus vite.
Quand nos lèvres se décollent, j’embrasse ses seins en pensant de l’un à l’autre. Je me rapproche, lentement, de ses tétons que je pince dans ma bouche. Elle gémit et mouille de plus en plus. Pour être plus à l’aise, je l’allonge sur le dos et j’ouvre ses cuisses pour découvrir sa chatte. Comme je l’avais senti, elle mouille bien mais ses grandes lèvres sont bien pendantes. Sous ses petits airs, ça doit être une sacrée salope!
Même si je porte toujours mon short, je viens frotter mon érection contre sa moule trempée. Je fais mine de la baiser alors qu’elle se pince fermement la poitrine tout en gémissant. Nous jouons un moment ainsi puis je me dégage d’entres ses cuisses, fermées autour de ma taille, pour me déshabille entièrement. Adria ne fait que soulever sa jupe et la bloquer sous son dos, elle garde le haut avec toujours les seins à l’air.
Une fois à poil, je retourne entre ses jambes pour frotter ma queue, fièrement dressée depuis un moment, contre sa vulve. Nous jouons, sexe contre sexe, pendant un moment mais je ne veux prendre aucun risque alors je vais vite chercher une capote dans mon sac. Quand je reviens Adria est sur le ventre, elle me présente sa croupe en levrette avec la jambe droite à terre et l’autre levée sur le lit.
Je glisse ma bite plastifié sous elle et je lui donne quelques petites claques sur son con qui la font encore plus gémir. Je me retire pour venir me frotter entre ses fesses, elle crie de plus en plus fort surtout quand je la fesse avec mon sexe bien dur. Avec une main j’écarte bien ses deux globes tandis que de l’autre je fais titiller l’entrée de sa grotte avec mon gland. Même si elle me parait pas beaucoup mouiller, elle semble bien ouverte.
Je positionne ma tige et m’enfonce complètement en elle, ce qui lui arrache un petit cri de bonheur. Quand je suis bien planté en elle et que mes couilles sont contre ses lèvres intimes, je fais claquer sa fesse droite et me retire tout aussi sec. Je replace mon champignon entre ses petites lèvres et je bouge plus. Adria met un moment à comprendre que si elle me veut dans sa chatte, elle va devoir bouger.
Elle fait d’abord de tous petits mouvements de vas et viens puis se recule d’un coup sec pour que je la remplisse entièrement. De nouveau, elle fait de petits mouvements et avance tellement qu’elle me fait quitter sa grotte. Je repositionne mon gland et elle joue à me faire rentrer et sortir pendant un moment. J’écarte bien son cul pour admirer ma queue rentrer et sortir en elle. J’ai pas l’impression qu’elle mouille vraiment mais je glisse très bien en elle et vu ses hurlement, elle aime ça.
Elle profite que je sois plus en elle pour se retourner et ouvrir en grand ses cuisses. Je reprends place entre ses jambes mais aussi dans sa moule. Avec ma main droite j’attrape les bretelles de sa robe et je tire dessus pour bien faire ressortir sa poitrine mais aussi la faire monter et descendre sur ma queue. Elle ne retient plus du tout ses gémissements, vu que les maison sont mitoyennes, j’espère que les voisins sont absents ou sourds.
Même si je tire sur sa robe plus ou moins fort pour faire varier les plaisirs, j’arrive pas à la baiser comme je le souhaite alors je relâche son tissu pour attraper ses mollets. Je la lime plutôt violemment en admirant son clito déjà bien gonflé qui me donne plein d’envies. Je referme sa jambe droite en la bloquant sur mon épaule droite pour refermer ses parois autour de ma tige mais aussi avoir une main de libre et m’occuper de son petit bouton.
Adria se met à couiner comme une cochonne qu’on égorge, je sens rapidement ses muscles du périnée me contracter. Ses cris se font de plus en plus aiguë et quand ses muscles internes se relâchent, elle redescend dans les graves. Je la ramone encore quelques minutes dans cette position mais elle retire ma main de son mont de Vénus pour la placer sur son sein. Mes doigts se referment tout de suite autour de son téton et elle redécolle instantanément.
Je me penche sur elle pour l’embrasser à pleine bouche tout en continuant à la pilonner, mais encore plus sèchement, et passer à son autre tétine. Quand nos bouches se décollent, j’en profite pour me retirer. Je voulais changer de position mais elle vient s’agenouiller devant moi. Elle me fixe du regard alors qu’elle retire ma capote recouverte de sécrétions blanches.
Toujours les yeux dans les yeux, elle empoigne ma queue et ouvre en grand la bouche. Adria tire la langue et vient me titiller le dessous du gland mais aussi le frein. Je sais pas si je suis plus excité par sa bouche ou par son regard de salope qui ne quitte pas le mien. Puis sa langue vient tournoyer tout autour de mon champignon, elle la fait tourner de plus en plus vite. Elle retourne s’occuper de mon frein mais toujours sans ses lèvres ni le reste de sa bouche.
Elle recule un peu son visage, je pense qu’elle va enfin me gober mais sa main relève mon sexe et sa langue se pose sur la jonction de ma tige et mes couilles. Elle la fait remonter lentement jusqu’à mon méat qu’elle titille comme si elle voulait le pénétrer. Puis elle recommence l’opération 3 fois. Sa langue va de plus en plus vite et ne démarre plus qu’au milieu de ma tige mais s’attarde autant sur mon frein, mon gland et mon méat.
Sans même s’occuper de mes couilles ou réellement me sucer, Adria se relève et m’entraine sur le grand lit. Je m’installe bien au milieu alors qu’elle vient s’assoir sur mes cuisses après avoir sorti un préservatif de la table de nuit. Elle le déroule sur ma tige et se dépêche de venir s’empaler sur moi. Une fois que je suis bien au fond de sa grotte elle commence des mouvements d’avant en arrière avec son bassin.
Je l’attrape fermement par la taille et je commence à la faire monter et descendre sur moi. Je varie les rythmes et les plaisirs, ses mains passent de mon corps au sien comme si elle ne savait pas où les mettre. J’attrape ses poignets pour lui faire empoigner ses seins qui se balancent. Elle commence à se tripoter alors je la relâche et redescend mes mains sur son cul cette fois.
Alors que je la fais me chevaucher plus lentement, j’approche mes doigts de sa rosette. Elle se laisse faire, ce qui présage du bon pour la suite. Mon index titille sa rondelle et comme tout à l’heure avec son clito, ses hurlements se font de plus en plus puissants. J’essaye d’introduire un doigt dans ses entrailles mais elle est trop fermée alors je me contente de la ramoner fermement et masser son petit trou ce qui lui fait atteindre le septième ciel.
Quand elle redescend de son orgasme, son corps suit le mouvement et elle s’affale sur moi. Je la laisse reprendre sa respiration mais je suis encore bien excité, elle a déjà joui deux fois mais moi pas une seule. Je me dégage de sous elle et je m’installe entre ses jambes. Je l’attrape par les hanches pour la faire se mettre à 4 pattes et la prendre en levrette.
Dès que je m’introduis dans sa chatte, elle semble se réveiller tout comme ses gémissements. Avec ma main gauche, j’empoigne la fesse qui est devant et Adria s’occupe d’écarter l’autre. J’adore voir ma bite rentrer et sortir de sa moule, heureusement que j’ai baisé ce matin dans le bateau avec les 3 belges comme ça je peux faire durer le plaisir.
Je la baise tellement sauvagement qu’elle perd la position et s’affale sur le lit. Je suis le nouvement et continue de la ramoner. Sans quitter son sexe je la fais se redresser mais ses mains ne m’aident plus à écarter son cul pour que je profite du spectacle. Je calme mes coups de reins et écarte bien ses fesses à deux mains. Je ressors lentement jusqu’à ne plus avoir que mon gland en elle. Je reste immobile un moment et m’enfonce en elle. Je recommence plusieurs fois et à chaque fois que je glisse dans sa grotte, je lui arrache de longs gémissements.
Je sens que je suis proche du point de non retour mais en plus de la superbe vue que j’ai, je veux que ça soit encore plus sauvage. Je quitte sa moule pour me remettre au milieu du lit sur le dos. Elle revient me chevaucher comme tout à l’heure mais je lui demande de se retourner. Elle s’exécute et vient s’assoir sur moi pendant que je dirige ma queue vers sa vulve.
Une fois qu’elle est assise sur moi, j’empoigne ses globes pour écarter ses fesses mais aussi la faire monter et descendre sur moi férocement. J’adore cette position, non seulement pour la vue mais comme ses jambes sont serrées, elle m’enserre encore plus. Même si elle me tourne le dos, je devine bien qu’elle s’occupe de sa poitrine, elle a l’air d’y aller fermement.
Je la préviens que je vais bientôt jouir du coup elle se relève pour me faire ressortir et vient se mettre sur le dos à côté de moi. Elle empoigne ma queue pour me branler et après m’avoir embrasser langoureusement, elle me demande de gicler sur sa « mouni ». Même si je parle pas la langue, vu qu’elle se caresse fermement, je comprends qu’elle parle de sa chatte.
Je retourne entre ses cuisses, même si sa main a bien maintenu mon excitation, je la lime encore un peu. Elle continue de malaxer son clito fermement et décontracté ses muscles pour encore plus me faire décoller. Après seulement quelques allers retours, je me retire et tire sur la capote. Je me branle aussi vigoureusement qu’Adria en prenant bien soin de viser son mont de Vénus.
Moins d’une minute après, j’expulse un premier jet qui arrose sa moule et sa main mais aussi son ventre et une partie de son sein gauche. Les giclées suivantes sont moins puissantes mais viennent taper son clito ou ses lèvres intimes comme elle me l’a demandé. Sa main continue à tourner sur son petit bouton et mélange mon sperme à sa mouille. Je continue de me caresser en la regardant faire et quand ses doigts se calment, je viens m’allonger à côté d’elle alors qu’elle lèche sa main.
Adria se tourne vers moi et m’embrasse goulument, ses lèvres ont le goût de mon jus, puis elle me dit:« Si on se voit tous les jours, je suis d’accord pour 100 euros la semaine. »Je l’embrasse de nouveau pour sceller notre contrat. J’économise pas beaucoup mais je suis sûr de m’envoyer en l’air tous les jours et en plus avec une sacrée cochonne…
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