Alors ça, c'est ballot
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Alors ça, c'est ballot
Alors ça, c'est ballot
Il y avait de l'ambiance dans le club privé l'autre soir. Il faisait froid dehors mais chaud, très chaud dedans. Et puis il y avait aussi ce petit gars, il avait bien la trentaine mais je préfère dire ce petit gars. Belle allure, beau cul, silhouette mince, cuisses forte, et belle bosse en haut des cuisses justement.
Il me regardait, je le regardais, on se regardait et forcément on s'est retrouvé au bar pour discuter. Il y avait beaucoup de monde et on était serré. Je sentais la chaleur de son corps ou bien c'était la chaleur ambiante.
Nos corps se touchaient, se caressaient l'un l'autre.
Dehors il faisait froid et quand on est sorti, il me proposait de se mettre au chaud chez lui. Il habitait dans le quartier.
Je n'ai pas hésité bien longtemps et quelques dizaines de minutes plus tard on se retrouvait chez lui. Bein oui, c'était pas tout à fait dans le quartier qu'il habitait !
Là aussi il faisait chaud mais c'est pas pour ça qu'on n'allait pas se réchauffer l'un contre l'autre. On se serrait dans les bras, on s'embrassait, on se caressait. Ses mains glissaient sur presque tout mon corps, il n'essayait pas toutefois de me tripoter la bite ou les couille. Il voulait prendre son temps.
J'appréciais d'autant plus que je portais une cage à bite, ce serait une surprise qui apparaîtrait au moment le plus chaud, j'aime bien cette situation. Je prenais le plus grand soin de ne pas, moi non plus, tenter de lui caresser les couilles.
Un rapide instant ma main est descendue trop bas, il me retenait. Il me retenait avec douceur mais il me retenait. Je n'insistais pas.
Je me concentrais sur son torse, je me vengeais sur sa chemise. Je faisais sauter chacun des boutons de sa chemise, lui donnais un baiser après chacun, il me regardait faire en me souriant.
Je glissais une main sur son torse, il était doux et chaud, sa chemise était complètement ouverte et le prenais dans mes bras il refermait ses bras sur moi. Puis c'est lui qui ouvrait ma chemise, elle tombait sur le sol en même temps que la sienne.
On s'étreignaient alors avec autant de force que de douceur et nos corps se caressaient et se réchauffaient encore plus. Pourtant là il ne faisait plus froid du tout.
Deux bosses se faisaient un peu plus remarquer, celle qu'il avait en haut de ses cuisse et la mienne qui était au même endroit. On s'appuyaient l'un contre l'autre, chacun essayant d'écraser la bosse de l'autre avec la sienne. Nos pantalons semblaient bien mouler nos corps et ne rien cacher.
J'ouvrais avec le plus grand soin son pantalon, don ceinturon en premier puis le premier bouton, les autres suivaient, il me laissait faire en me regardant. Je passais ma main sur ses couilles, entre les jambes, en dessous. Il me laissait faire. Puis je baissais son pantalon.
Et là c'était un choc. Il portait un dispositif de chasteté.
Il avait replié la peau de ses couilles par dessus sa cage et rien ne se voyait, rien ne se sentait non plus, à moins de bien tâter, je n'avais que caressé. Il me regardait avec un large sourire.
Je lui rendais son sourire et je l'embrassais. Puis avec un mouvement rapide je lui baissais son pantalon sur ses chevilles. Il dégageait ses pieds et se présentait devant moi totalement nu.
Il était magnifique, je ne l'avais pas imaginé avec un dispositif de chasteté mais avec ou sans il était magnifique. Je lui aurais bien sucé la queue mais il portait un dispositif de chasteté. Je passais ma main sur son torse, je le caressais, ma main glissait sur sa peau, arrivait sur son dispositif de chasteté puis s'arrêtait sur ses couilles.
– Tu n'as pas la clé ?
Il me faisait non de la tête.
Je me redressais alors devant lui, nous étions arrivé à la chambre, il se laissait tomber sur le lit. Les bras en crois, les jambes écartées il me regardait avec un large sourire.
Prenant un air très décidé, j'ouvrais mon ceinturon, j'ouvrais ensuite mon pantalon, puis tout en cherchant à dissimuler le plus longtemps possible ma cage je baissais mon pantalon et le faisais tomber sur mes chevilles. C'est au moment ou je me relevais qu'il remarquait ma cage à bite.
– Mince ! S'exclamait-il.
– Bein oui ! Lui répondais-je.
– Et tu n'as pas la clé, toi non plus ?
– Bein non !
– Alors ça, c'est ballot !
Je pouffais de rire.
Il m'ouvrait ses bras, je me laissais tomber sur lui. On s'empoignait, on s'embrassait, on se caressait, on roulait l'un sur l'autre.
– Alors, juste câlin ? Me glissait-il à l'oreille.
Alors on en restait au câlin. On se caressait tout le corps, on s'embrassait un peu partout et finalement sans me prévenir il me glissait un doigt ans le cul. J'ai pas protesté, au cas ou il y en a qui se poseraient la question. J'ai laissé faire et rapidement je lui rendais la politesse.
On se caressait les couilles, par moment elles se contractaient pourtant il faisait chaud. Le plaisir montait, il me massait longuement la prostate. Vous savez il ne nous reste plus grand chose d'autre quand on porte en permanence un dispositif de chasteté. C'était la première fois que je me retrouvais dans cette situation.
En temps normal, s'il n'y a pas erreur, je me fait défoncer le cul, mais là qu'est-ce que vous voulez faire. Il se relevait au bout d'un moment, il se dirigeait vers son placard en ressortait une sorte de ceinture, je le regardais faire. C'était un harnais, il le positionnait autour de sa taille, des lanières passaient entre ses cuisses, d'autres sur la partie extérieure de ses fesses. Son cul restait totalement accessible.
Il fixait un gros gode sur ce harnais et ainsi équipé, il se retournait vers moi.
– J'ai pas plus petit ! Me disait-il.
Il se penchait vers moi, j'étais allongé sur le dos, il écartait mes jambes et posais mes chevilles sur ses épaules. Je commençais à frissonner, un peu d’appréhension, c'est vrai que son gode était de belle taille.
Il se lubrifiait longuement, me lubrifiait le cul puis il positionnait son gode contre mon cul. Je soupirais longuement, je respirait fort et lentement, je me préparais. Je me préparait psychologiquement !
Je sentais une forte pression contre mon anus, au dessus de moi il y avait son sourire. Je vous ai dit qu'il avait une belle gueule ?
Son visage se penchait sur mon visage, il m'embrassait sur les lèvres, je me détendais. C'est à ce moment qu'il poussait fort. La pression devenait intense et mon cul s'ouvrait. Le gode était gros mais j'étais habitué à un truc de ce diamètre.
Le gode glissait lentement, il ne forçait pas, il glissait lentement je le sentais qui élargissait, qui dilatait mon anus. Je le sentais qui s'installait en moi.
C'était bon, très bon.
Je gémissais très fort sans cacher mon plaisir, il me souriait et me balançait un violent coup de bassin qui m'arrachait un cri.
C'était bon, il poussait alors son ventre contre mes fesses.
– Ça va ? Me demandait-il.
Je faisais oui de la tête. Il continuait, se retirait totalement avant de revenir bien à fond. Je respirais fort en gémissant, il restait concentré sur mes réactions. Il s'enfonçait et ressortait puis recommençait. Son gode s'installait confortablement dans mes entrailles.
Il me limait de plus en plus vite, ses mouvements restaient fluides. Pas de violence inutile, juste un peu de virilité artificielle. Je n'oubliais pas un instant que ce n'était pas sa queue qui me limait le cul mais le plaisir montait, et finalement je m'en moquais.
Ma queue frissonnait dans sa cage. Il me caressait les couilles avec force et douceur à la fois. Là encore c'était une marque de virilité. Ma queue protestait en poussant contre les barreaux de sa cage. Il s'en amusait.
Avec une régularité de métronome, il me limait le cul. Il n'avait pas peur de débander, et nous savions tous les deux qu'il pourrait continuer pendant des heures, des jours, des … Mais sans aller jusque là, il tiendrait assez longtemps pour me satisfaire.
Le plaisir montait encore, c'était autant la taille de l'objet que la régularité des caresses intimes qu'il me prodiguait. Je gémissais de plus en plus fort, là je râlais, je criais, je finissait par gueuler de plaisir.
Il me serrait dans ses bras et je convulsais. Il ralentissais le mouvement, il m'embrassait et avec une infinie tendresse se relevait et se retirait.
Il attrapait un autre harnais, et me le tendais, j'étais essoufflé. Je récupérais et en hésitant un peu je tentais de passer le harnais. Il m'aidait et quelques instant plus tard, j'étais équipé.
Il me montrait alors un gros gode, un peu plus gros que celui avec lequel il me défonçait le cul depuis un moment. Je me sentais tout fier avec cet appendice de synthèse qui ressemblait bien à une vraie queue, une grosse queue de mec.
Il me lubrifiait généreusement puis me chevauchait. Je le regardais faire, il posait son cul contre ce gode et rapidement, sans même faire la moindre pause, il s'empalait sur cet énorme gode.
Celui-ci était énorme, comme je vous le disais il était plus gros que celui qu'il avait utilisé sur moi qui était pourtant déjà de belle taille. Je ne pense pas que celui-là je l'aurait enfilé. Je le voyait disparaître, s'enfoncer dans son cul. C'était à la fois fascinant et effrayant.
Il s'écrasait sur mon ventre, le gode avait totalement disparu. Il râlait et respirait fort. Il avait posé ses pieds à côté de moi, un de chaque côté. Ma queue protestait toujours et cas maintenant, la sensation de confinement autour de ma queue était intense, agréable mais intense.
Avec le temps on fini par trouver très agréable cette pression permanente. J'en étais là.
Il soulevait les pieds ne reposant plus que sur le gode. Il allongeait les pieds le long de mon corps. Son gode lui entrait bien à fond dans le cul et il faisait une grimace qui faisait presque peur.
Je me redressait, repliais les jambes en tailleur pendant que lui repliait ses jambes dans mon dos. Nous nous retrouvions enlacés, il était totalement empalé sur un gode qu'il avait choisi. Je me balançais lentement d'avant en arrière et je le sentais contracter tout son corps, resserrer ses jambes et se cambrer.
Là encore nous nous embrassions, nous nous caressions. Pendant de très longues minutes, je continuais à me balancer d'avant en arrière et je le sentais trembler dans mes bras.
Il me faisait signe d'arrêter. Je le laissais alors se relever, il se retirait, le gode sortait lentement de son cul.
– Vingt six centimètres ! Me disait-il avec un sourire forcé.
Il disparaissait un petit moment dans la salle de bain et revenait. Il portait toujours le harnais et je le voyais le lubrifier généreusement. Il s'approchait de moi.
– Allez on se retourne sur le ventre et on écarte les jambes.
Je m'exécutais sans aucune hésitation, je savais ou il voulait en venir. Il me tombait sur le dos, et rapidement me pénétrait avec sa fausse queue.
J'ai crié de plaisir, j'en ai redemandé. J'ai joui plus fort que la première fois. C'était bon, c'était le pied.
Après une pause, on a de nouveau inversé les rôles, puis encore. Quand on s'est enfin endormi, on était au septième ciel. D'habitude je me fais défoncé le cul par un mec qui ne porte pas ce genre de gadget mais, je vous jure que là, même avec c'était bon.
On s'est revu, on a toujours porté et on porte toujours ce dispositif mais … comment dire … on a trouvé la parade !
Fin de l'épisode
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il y avait de l'ambiance dans le club privé l'autre soir. Il faisait froid dehors mais chaud, très chaud dedans. Et puis il y avait aussi ce petit gars, il avait bien la trentaine mais je préfère dire ce petit gars. Belle allure, beau cul, silhouette mince, cuisses forte, et belle bosse en haut des cuisses justement.
Il me regardait, je le regardais, on se regardait et forcément on s'est retrouvé au bar pour discuter. Il y avait beaucoup de monde et on était serré. Je sentais la chaleur de son corps ou bien c'était la chaleur ambiante.
Nos corps se touchaient, se caressaient l'un l'autre.
Dehors il faisait froid et quand on est sorti, il me proposait de se mettre au chaud chez lui. Il habitait dans le quartier.
Je n'ai pas hésité bien longtemps et quelques dizaines de minutes plus tard on se retrouvait chez lui. Bein oui, c'était pas tout à fait dans le quartier qu'il habitait !
Là aussi il faisait chaud mais c'est pas pour ça qu'on n'allait pas se réchauffer l'un contre l'autre. On se serrait dans les bras, on s'embrassait, on se caressait. Ses mains glissaient sur presque tout mon corps, il n'essayait pas toutefois de me tripoter la bite ou les couille. Il voulait prendre son temps.
J'appréciais d'autant plus que je portais une cage à bite, ce serait une surprise qui apparaîtrait au moment le plus chaud, j'aime bien cette situation. Je prenais le plus grand soin de ne pas, moi non plus, tenter de lui caresser les couilles.
Un rapide instant ma main est descendue trop bas, il me retenait. Il me retenait avec douceur mais il me retenait. Je n'insistais pas.
Je me concentrais sur son torse, je me vengeais sur sa chemise. Je faisais sauter chacun des boutons de sa chemise, lui donnais un baiser après chacun, il me regardait faire en me souriant.
Je glissais une main sur son torse, il était doux et chaud, sa chemise était complètement ouverte et le prenais dans mes bras il refermait ses bras sur moi. Puis c'est lui qui ouvrait ma chemise, elle tombait sur le sol en même temps que la sienne.
On s'étreignaient alors avec autant de force que de douceur et nos corps se caressaient et se réchauffaient encore plus. Pourtant là il ne faisait plus froid du tout.
Deux bosses se faisaient un peu plus remarquer, celle qu'il avait en haut de ses cuisse et la mienne qui était au même endroit. On s'appuyaient l'un contre l'autre, chacun essayant d'écraser la bosse de l'autre avec la sienne. Nos pantalons semblaient bien mouler nos corps et ne rien cacher.
J'ouvrais avec le plus grand soin son pantalon, don ceinturon en premier puis le premier bouton, les autres suivaient, il me laissait faire en me regardant. Je passais ma main sur ses couilles, entre les jambes, en dessous. Il me laissait faire. Puis je baissais son pantalon.
Et là c'était un choc. Il portait un dispositif de chasteté.
Il avait replié la peau de ses couilles par dessus sa cage et rien ne se voyait, rien ne se sentait non plus, à moins de bien tâter, je n'avais que caressé. Il me regardait avec un large sourire.
Je lui rendais son sourire et je l'embrassais. Puis avec un mouvement rapide je lui baissais son pantalon sur ses chevilles. Il dégageait ses pieds et se présentait devant moi totalement nu.
Il était magnifique, je ne l'avais pas imaginé avec un dispositif de chasteté mais avec ou sans il était magnifique. Je lui aurais bien sucé la queue mais il portait un dispositif de chasteté. Je passais ma main sur son torse, je le caressais, ma main glissait sur sa peau, arrivait sur son dispositif de chasteté puis s'arrêtait sur ses couilles.
– Tu n'as pas la clé ?
Il me faisait non de la tête.
Je me redressais alors devant lui, nous étions arrivé à la chambre, il se laissait tomber sur le lit. Les bras en crois, les jambes écartées il me regardait avec un large sourire.
Prenant un air très décidé, j'ouvrais mon ceinturon, j'ouvrais ensuite mon pantalon, puis tout en cherchant à dissimuler le plus longtemps possible ma cage je baissais mon pantalon et le faisais tomber sur mes chevilles. C'est au moment ou je me relevais qu'il remarquait ma cage à bite.
– Mince ! S'exclamait-il.
– Bein oui ! Lui répondais-je.
– Et tu n'as pas la clé, toi non plus ?
– Bein non !
– Alors ça, c'est ballot !
Je pouffais de rire.
Il m'ouvrait ses bras, je me laissais tomber sur lui. On s'empoignait, on s'embrassait, on se caressait, on roulait l'un sur l'autre.
– Alors, juste câlin ? Me glissait-il à l'oreille.
Alors on en restait au câlin. On se caressait tout le corps, on s'embrassait un peu partout et finalement sans me prévenir il me glissait un doigt ans le cul. J'ai pas protesté, au cas ou il y en a qui se poseraient la question. J'ai laissé faire et rapidement je lui rendais la politesse.
On se caressait les couilles, par moment elles se contractaient pourtant il faisait chaud. Le plaisir montait, il me massait longuement la prostate. Vous savez il ne nous reste plus grand chose d'autre quand on porte en permanence un dispositif de chasteté. C'était la première fois que je me retrouvais dans cette situation.
En temps normal, s'il n'y a pas erreur, je me fait défoncer le cul, mais là qu'est-ce que vous voulez faire. Il se relevait au bout d'un moment, il se dirigeait vers son placard en ressortait une sorte de ceinture, je le regardais faire. C'était un harnais, il le positionnait autour de sa taille, des lanières passaient entre ses cuisses, d'autres sur la partie extérieure de ses fesses. Son cul restait totalement accessible.
Il fixait un gros gode sur ce harnais et ainsi équipé, il se retournait vers moi.
– J'ai pas plus petit ! Me disait-il.
Il se penchait vers moi, j'étais allongé sur le dos, il écartait mes jambes et posais mes chevilles sur ses épaules. Je commençais à frissonner, un peu d’appréhension, c'est vrai que son gode était de belle taille.
Il se lubrifiait longuement, me lubrifiait le cul puis il positionnait son gode contre mon cul. Je soupirais longuement, je respirait fort et lentement, je me préparais. Je me préparait psychologiquement !
Je sentais une forte pression contre mon anus, au dessus de moi il y avait son sourire. Je vous ai dit qu'il avait une belle gueule ?
Son visage se penchait sur mon visage, il m'embrassait sur les lèvres, je me détendais. C'est à ce moment qu'il poussait fort. La pression devenait intense et mon cul s'ouvrait. Le gode était gros mais j'étais habitué à un truc de ce diamètre.
Le gode glissait lentement, il ne forçait pas, il glissait lentement je le sentais qui élargissait, qui dilatait mon anus. Je le sentais qui s'installait en moi.
C'était bon, très bon.
Je gémissais très fort sans cacher mon plaisir, il me souriait et me balançait un violent coup de bassin qui m'arrachait un cri.
C'était bon, il poussait alors son ventre contre mes fesses.
– Ça va ? Me demandait-il.
Je faisais oui de la tête. Il continuait, se retirait totalement avant de revenir bien à fond. Je respirais fort en gémissant, il restait concentré sur mes réactions. Il s'enfonçait et ressortait puis recommençait. Son gode s'installait confortablement dans mes entrailles.
Il me limait de plus en plus vite, ses mouvements restaient fluides. Pas de violence inutile, juste un peu de virilité artificielle. Je n'oubliais pas un instant que ce n'était pas sa queue qui me limait le cul mais le plaisir montait, et finalement je m'en moquais.
Ma queue frissonnait dans sa cage. Il me caressait les couilles avec force et douceur à la fois. Là encore c'était une marque de virilité. Ma queue protestait en poussant contre les barreaux de sa cage. Il s'en amusait.
Avec une régularité de métronome, il me limait le cul. Il n'avait pas peur de débander, et nous savions tous les deux qu'il pourrait continuer pendant des heures, des jours, des … Mais sans aller jusque là, il tiendrait assez longtemps pour me satisfaire.
Le plaisir montait encore, c'était autant la taille de l'objet que la régularité des caresses intimes qu'il me prodiguait. Je gémissais de plus en plus fort, là je râlais, je criais, je finissait par gueuler de plaisir.
Il me serrait dans ses bras et je convulsais. Il ralentissais le mouvement, il m'embrassait et avec une infinie tendresse se relevait et se retirait.
Il attrapait un autre harnais, et me le tendais, j'étais essoufflé. Je récupérais et en hésitant un peu je tentais de passer le harnais. Il m'aidait et quelques instant plus tard, j'étais équipé.
Il me montrait alors un gros gode, un peu plus gros que celui avec lequel il me défonçait le cul depuis un moment. Je me sentais tout fier avec cet appendice de synthèse qui ressemblait bien à une vraie queue, une grosse queue de mec.
Il me lubrifiait généreusement puis me chevauchait. Je le regardais faire, il posait son cul contre ce gode et rapidement, sans même faire la moindre pause, il s'empalait sur cet énorme gode.
Celui-ci était énorme, comme je vous le disais il était plus gros que celui qu'il avait utilisé sur moi qui était pourtant déjà de belle taille. Je ne pense pas que celui-là je l'aurait enfilé. Je le voyait disparaître, s'enfoncer dans son cul. C'était à la fois fascinant et effrayant.
Il s'écrasait sur mon ventre, le gode avait totalement disparu. Il râlait et respirait fort. Il avait posé ses pieds à côté de moi, un de chaque côté. Ma queue protestait toujours et cas maintenant, la sensation de confinement autour de ma queue était intense, agréable mais intense.
Avec le temps on fini par trouver très agréable cette pression permanente. J'en étais là.
Il soulevait les pieds ne reposant plus que sur le gode. Il allongeait les pieds le long de mon corps. Son gode lui entrait bien à fond dans le cul et il faisait une grimace qui faisait presque peur.
Je me redressait, repliais les jambes en tailleur pendant que lui repliait ses jambes dans mon dos. Nous nous retrouvions enlacés, il était totalement empalé sur un gode qu'il avait choisi. Je me balançais lentement d'avant en arrière et je le sentais contracter tout son corps, resserrer ses jambes et se cambrer.
Là encore nous nous embrassions, nous nous caressions. Pendant de très longues minutes, je continuais à me balancer d'avant en arrière et je le sentais trembler dans mes bras.
Il me faisait signe d'arrêter. Je le laissais alors se relever, il se retirait, le gode sortait lentement de son cul.
– Vingt six centimètres ! Me disait-il avec un sourire forcé.
Il disparaissait un petit moment dans la salle de bain et revenait. Il portait toujours le harnais et je le voyais le lubrifier généreusement. Il s'approchait de moi.
– Allez on se retourne sur le ventre et on écarte les jambes.
Je m'exécutais sans aucune hésitation, je savais ou il voulait en venir. Il me tombait sur le dos, et rapidement me pénétrait avec sa fausse queue.
J'ai crié de plaisir, j'en ai redemandé. J'ai joui plus fort que la première fois. C'était bon, c'était le pied.
Après une pause, on a de nouveau inversé les rôles, puis encore. Quand on s'est enfin endormi, on était au septième ciel. D'habitude je me fais défoncé le cul par un mec qui ne porte pas ce genre de gadget mais, je vous jure que là, même avec c'était bon.
On s'est revu, on a toujours porté et on porte toujours ce dispositif mais … comment dire … on a trouvé la parade !
Fin de l'épisode
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