Annie "contrôle"

- Par l'auteur HDS Davidson -
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Annie  "contrôle" Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2022 dans la catégorie A dormir debout
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Annie "contrôle"
Annie avait un visage ingrat mais possédait un corps de rêve. En fait elle était un canon! Mais effectivement son visage n'était pas d'une finesse absolue. Aussi à l'époque où ses copines étaient abordées par les jeunes garçons pour aller flirter dans les coins, elle était abandonnée à ses études, et de fait elle avait fait des études brillantes.
Ses parents, agriculteurs, l'avaient incité à opter pour l'administration plutôt qu'à l'incertitude du monde paysan; et c'est ainsi qu'à moins de trente ans elle se retrouvait à un poste élevé dans la hiérarchie des services fiscaux.
Ce matin là le service était perturbé par le fait que le directeur avait eu un accident de voiture (de la tôle froissée, rien de bien grave) et qu'il avait donné rendez vous à un avocat fiscaliste célèbre.
Cet avocat n'avait pas l'habitude de se retrouver devant une porte close, aussi c'est Annie, par un coup de téléphone portable, qui avait été chargée de le recevoir.
C'était un gros dossier (en terme d'euros) sur une société qui gérait un établissement très discret mais dont le chiffre d'affaire semblait étrange.
L'avocat était très brillant, maitrisant tous les cas que la jurisprudence pouvait lui offrir, et qui plus est le monde de la nuit concerné avait des relations discrètes dans les secteurs les plus élevés.
Annie assura l'avocat qu'elle allait étudier ce dossier avec la plus grande attention, mais aussi avec la plus grande précision.
A son arrivée le directeur fut enchanté qu'Annie ait reçu l'avocat et lui dit "puisque vous avez entamé cette affaire je vous laisse la gérer jusqu'au bout, mais faites bien attention où vous mettez les pieds, car cet avocat, vu les sommes en jeu, n'hésitera pas à nous traîner devant le tribunal administratif".
Annie qui jouait dans l'équipe féminine première de hand-ball eut la surprise d'entendre sous les douches, des membres de l'équipe évoquer l'établissement géré par la société dont elle venait d'hériter du dossier. La réputation du lieu semblait sulfureuse.
Elle chargea un jeune inspecteur des contrôles de base, et notamment du contrôle de la comptabilité. Le cabinet comptable avait géré la comptabilité du lieu d'une façon très maligne, utilisant au maximum le fait que les clients de l'établissement préféraient payer leur entrée et leurs boissons plutôt en argent liquide que par chèques ou par cartes bancaires.
Elle se dit que seul un contrôle sur place leur permettrait une approche conforme à la réalité, et pour ce faire, une expédition incognito lui semblait une bonne méthode. Elle prévint son jeune inspecteur de son projet; il trouva l'idée amusante, et relativement simple pour lui. Par contre elle sut tout de suite que cela ne serait pas aussi simple pour elle; elle se dit que pour être "invisible" dans ce genre d'endroit, plus elle serait excessive, moins on la remarquerait. Elle fit donc l'acquisition d'une robe longue de Catanzaro, dont les fentes étaient d'une générosité extrême, éliminant le fait de porter le moindre sous-vêtement.
Son corps de sportive lui offrait des seins d'une arrogance naturelle absolue et des fesses orgueilleuses. Elle trouvait l'expérience amusante, mais au dernier moment elle se demanda si ce n'était pas du domaine de la folie!
C'est donc uniquement vêtue de la robe qu'elle accompagna le jeune inspecteur qui lui, s'était contenté du costume-cravate classique.
Elle envisageait de décompter le nombre de couples et d'hommes seuls, d'en établir une moyenne et de comparer ses résultats aux chiffres annoncés dans les pièces comptables.
Ce sont les chaussures à talons aiguilles qui lui posaient le plus de problème. Dès l'entrée elle reçut un loup type carnaval de Venise et c'est ainsi qu'elle pénétra dans le club.
Elle plaça le jeune inspecteur près du comptoir avec pour mission de quantifier les boissons servies. Elle, de son côté se donnant pour tâche de comptabiliser les personnes présentes.
Elle commença par la piste de danse où elle se mit en frontière de l'espace entre les danseurs et les spectateurs (ou voyeurs).
Mais en se plaçant ainsi elle se retrouvait à portée de mains des voyeurs, et la générosité des fentes de sa robe fit que très rapidement elle se retrouva avec des mains sur ses fesses, et même assez souvent dans la raie des fesses. Pour éviter les incursions trop profondes elle se déplaçait souvent pour ne pas paraitre trop "offerte" et il n'était pas question de jouer les vierges effarouchées, elle était loin d'être naïve.
Loin d'être naïve, mais manquant réellement d'expérience, elle se retrouva coincée entre un pilier et un individu qui lui fit glisser une bretelle de sa robe, et ce faisant offrit sa poitrine dénudée. Se penchant il en profita pour prendre un sein à pleine bouche et le sucer avec avidité. Par ailleurs il avait glissé une main sur son pubis et en caressait les grandes lèvres. Elle essayait de se dégager sans paraitre trop brutale, mais elle se rendait compte que son sexe s'humidifiait largement. Elle avait une certaine expérience avec ses sex-toys, mais là ce n'était pas elle qui choisissait le rythme, la pression, et les angles d'attaque des doigts inquisiteurs.
La bouche de l'homme venait de s'emparer de ses lèvres et la langue venait à la rencontre de sa propre langue avec vivacité. De ce côté là elle n'avait aucune expérience et elle se dit que le plus simple était de laisser les choses se dérouler, en essayant de suivre les mouvements.
Non seulement la langue était inquisitrice, mais les doigts avaient écartées les grandes lèvres, les petites lèvres et deux d'entre eux pénétraient le vestibule, aidés par une quantité de cyprine importante qui lubrifiait le secteur. Elle eut un sursaut, les deux doigts la branlaient avec ardeur et tout ce qu'elle pouvait faire c'était de gémir à l'intérieur de la bouche de son partenaire.
Elle était parvenue à se dégager du pilier, mais c'était pour se retrouver contre le corps d'un homme dont le sexe en érection se glissait entre ses cuisses. Ce second partenaire la tenait par les hanches et l'embrassait dans le cou, lui mordillant la nuque.
Elle eut des contractions soudaines des muscles et un haut le corps, elle éprouvait son premier orgasme de la soirée.
Le partenaire qui la branlait lui saisit les cheveux pour la faire se pencher en avant, et elle se retrouva avec un phallus en érection devant sa bouche. Elle se mit à le masturber avec la ferme intention de ne pas lui faire une fellation.
Mais sa position penchée en avant avait fait que son bassin était offert au partenaire de derrière et ce fut un phallus qui succéda aux doigts dans son vagin.
Le sexe n'était pas beaucoup plus gros que les deux doigts, mais il pénétrait plus profondément. Lorsqu'il atteignit le fond de l'utérus elle poussa un "ho!" de surprise, et elle se retrouva avec un phallus qui lui baisait la bouche.
Le sexe dans son vagin semblait sortir presque intégralement pour repénétrer avec vigueur, aidé par les deux mains qui la tenait par les hanches.
Elle eut un deuxième orgasme au moment où le sexe dans sa bouche éjaculait une quantité impressionnante de sperme, et cet orgasme fit qu'elle avala une bonne part de ce sperme.
Le sexe qui la baisait continuait de la faire jouir, elle gémissait de façon très audible, elle avait peur de se mettre à crier. L'homme éjacula dans son vagin en lui enfonçant un doigt dans le rectum, et là elle poussa quelques petits cris provoqués par son troisième orgasme.
Elle aurait été incapable de dire comment ses deux partenaires l'avaient abandonnée. Elle était debout les seins à l'air quand elle réalisa que l'homme qui venait vers elle était l'avocat du club libertin; elle porta ses mains à son visage, ouf, le masque était bien en place, il ne pouvait la reconnaitre.

"Mais quelle beauté!" s'exclama t il en lui prenant les lèvres à pleine bouche. Elle répondit à son baiser avec la courte expérience qu'elle avait du baiser profond.
Il se mit à la branler avec un ou deux doigts, elle avait l'impression que son vagin lui fournissait du plaisir en permanence.
Il lui fit glisser les deux bretelles des épaules, descendre sa robe sur ses chevilles et lui tendant un bras la conduisit vers un grand salon. Là, au centre, entouré de banquettes, un lit circulaire trônait. Il la fit s'y installer en lui disant "il parait que je dois tout à ma langue", et il lui prodigua un cunnilingus qui la conduisit à des spasmes de plaisir, ceci fait il lui fit prendre la position de l'enclume (elle n'en apprendrait le nom que bien plus tard) et la baisa ainsi, lui procurant un nouvel orgasme. Lorsque épuisé il se retira, son successeur la fit se mettre à quatre pattes et la prit en levrette, ses partenaires et ses orgasmes se succédèrent dans différentes positions.
A un moment, alors qu'elle était prise en double pénétration, un partenaire allongé sur le dos qui la pénétrait vaginalement, et un partenaire à genoux derrière elle qui la pénétrait par l'anus, elle se mit à jouir en criant "oh oui, oh oui, comme ça, bien au fond, baisez moi, dans le cul, dans le cul aussi!" Il eut un éclair, "mais cette voix, je connais cette voix, non ce n'est pas possible!"Après avoir vécu son premier gang bang (ça aussi elle n'en apprit le nom que bien plus tard) toujours à poil, trainant sa robe d'une main, elle retrouva le jeune inspecteur endormi au comptoir. Reprenant ses esprits elle renfila sa robe puis secoua le jeunot en lui disant "et bien si c'est comme ça qu'on peut compter sur vous!" il se confondit en excuses, disant qu'il n'avait pas l'habitude de veiller aussi tard.
Sur le chemin du retour elle lui dit, "notre expérience est insuffisante, nous y sommes allé un vendredi, mais ne savons pas si c'est édifiant par rapport à un samedi ou à un soir de semaine. Il faudra renouveler l'expérience, mais je ne peux pas compter sur vous!"Le jeune inspecteur n'insista pas. Par contre Annie y retourna un samedi soir, puis un mercredi soir (soirée trio) pour comparer; puis y retourna en début de mois pour comparer avec des fins de mois; puis pendant les vacances scolaires par rapport aux périodes de scolarité, en bref elle y retourna environ cent cinquante fois, et à plusieurs reprises elle y rencontra l'avocat qui la baisa allègrement.
Un jour en rendant visite à ses parents dans leur ferme, elle vit une imposante voiture de marque allemande stationnée dans la cour. En pénétrant dans la cuisine/salle à manger elle découvrit l'avocat attablé avec son père, un verre de vin à la main. Elle remarqua que sa mère avait les larmes aux yeux. Elle fut perturbée, que foutait il là?
Sa mère alla se placer derrière son père, tenant le dossier de la chaise à deux mains. Son père, sans préambule lui dit "Maitre Machin est venu pour nous demander ta main, et comme c'est un bon parti pour toi, j'ai dit oui!"Toute discussion semblait inutile, l'avocat se leva et vint l'embrasser sur le joue en lui murmurant "et ce soir je te baise au club"La mère entraina sa fille dans sa chambre pour lui transmettre sa couronne de mariée tandis que les hommes réglaient les détails matériels.
Ils se marièrent et fréquentèrent tous les clubs de la région pendant quelques années.
Puis un jour ses parents leur annoncèrent leur intention de vendre la ferme. L'avocat leur indiqua qu'il avait sous le coude une société qui était prête à investir. Et quelques mois plus tard les parents se retiraient sur la côte d'azur, tandis que le hangar était transformé en club libertin ultra-chic disposant d'un parking privé.
Et c'est ainsi qu'Annie passa les vingt années suivantes à baiser tous les soirs et dans toutes les positions dans le club le plus fréquenté de la région.
Puis un jour ils reçurent une convocation des services fiscaux qui s'étonnaient de leur chiffre d'affaire!

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