Un fils du vent
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 30 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Davidson ont reçu un total de 166 462 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 540 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un fils du vent
Juliette aurait préféré depuis toujours que son prénom soit associé au contexte de "Roméo et Juliette"; mais depuis toute petite le surnom de "Juju" lui avait pourri cette voie.
Maintenant vers la fin de la trentaine, mariée avec deux enfants en pleine adolescence, elle avait envie de vivre pleinement une histoire romantique sans être appelée "Juju".
C'était d'ailleurs le cas dans l'association des amis de Mistral où on l'appelait madame Doumaire.
Et un vendredi sur deux ils se retrouvaient dans une salle adjacente du musée Arlaren.
Madame Doumaire s'habillait de façon très élégante pour se rendre à ces réunions où elle était une des plus jeunes.
Entre la fente de sa jupe qui prouvait qu'elle portait des bas et l'échancrure de son chemisier qui établissait que son soutien-gorge était du genre "demi-seins", Juliette était pleinement femme.
Le soir de ses réunions elle garait sa voiture le long des quais du Rhône sur des emplacements relativement isolés.
Elle aimait bien ces réunions où les participants étaient tous très cultivés. A la sortie la plupart des participants se dirigeaient vers le centre ville où ils partageaient un repas dans un restaurant.
Juliette trouvait que cela faisait trop "repas des anciens" et elle préférait rejoindre sa voiture sur les quais du Rhône; elle était d'ailleurs la seule à prendre cette direction.
Ce soir là, penchée sur le siège arrière de sa voiture elle rangeait son sac de dossiers, un individu passant derrière elle lui caressa les fesses de façon insistante tout en poursuivant son chemin.
Normalement Juliette aurait dû se redresser en protestant, mais là l'attouchement l'avait plus excitée que choquée; elle avait poursuivi son pseudo rangement sur le siège arrière.
L'homme avait fait quelques pas et devant le manque de réaction de Juliette, venait de faire demi-tour et à son deuxième passage lui avait saisit les hanches à deux mains en collant son bassin contre ses fesses et lui avait demandé "je peux vous aider?"La voix avait un fort accent, certainement un gitan, ils étaient nombreux à passer par Arles pour se rendre aux Saintes Maries de la Mer.
Ne sachant quelle attitude adopter Juliette se contenta de murmurer "non, ça va aller" de façon tellement inaudible que l'homme n'entendit rien.
Il se pencha à l'intérieur de l'habitacle, le buste contre le dos de Juliette, de sa main droite il s'empara du sein droit et le caressa avec douceur.
Juliette cessa tout mouvement, en appui sur ses deux mains, se contentant de penser "qu'est ce que je suis en train de faire ?"De sa main gauche l'homme venait de lui retrousser la jupe sur les reins, il lui murmura "montes le pied dans la voiture".
Avec docilité elle monta le pied droit à l'intérieur du véhicule.
La position devenait plus qu'érotique, abandonnant le sein l'homme glissa sa main droite sous la culotte pour lui caresser le sexe. Il était très habile, avec des mouvements circulaires de deux doigts sur le clitoris il provoqua un orgasme, Juliette gémissait : "c'est bon, c'est bon, oh oui c'est bon"Puis l'homme introduisit deux doigts dans un vagin trempé de cyprine et se mit à la branler, le deuxième orgasme fut fulgurant, et là Juliette se mit à crier sa jouissance.
L'individu ressortit son buste de l'habitacle et recula d'un pas. Juliette se redressa également en sortant du véhicule, elle se retourna vers l'homme, il était grand, avec une fine moustache. Il la saisit par la nuque et l'embrassa, il avait une langue envahissante, Juliette se dit "on ne m'a jamais embrassée comme ça!" en essayant de répondre du mieux possible à ce baiser qui remplissait sa bouche.
Interrompant ce baiser il lui dit "donnes moi ta culotte", sans hésiter le moins du monde Juliette retroussa sa jupe et baissa sa culotte, elle s'assit sur le siège arrière pour passer les deux pieds et elle lui tendit le sous-vêtement comme si c'était naturel.
L'individu prit le sous-vêtement qu'il glissa dans sa poche et se mit tranquillement à défaire un par un les boutons du chemisier.
Il se pencha à nouveau vers elle pour l'embrasser, mais c'est elle qui lui saisit la nuque pour écraser ses lèvres contre la bouche de l'homme.
Lorsqu'elle cessa son baiser, essoufflée ,elle l'entendit dire "donnes moi ton soutien-gorge".
Juliette se débarrassa de sa veste et de son chemisier et dégrafa son soutien gorge qu'elle tendit à l'homme, celui-ci le glissa dans sa ceinture et se mit à pincer la pointe des deux seins tout en l'embrassant à nouveau.
Elle était prête à tout et elle le savait. Il la fit se mettre à quatre pattes sur le siège arrière et il la prit en levrette, les seins ballotant à chaque mouvement du bassin.
Elle eut un nouvel orgasme.
Un ou deux doigts coulissaient dans son anus, personne n'était jamais passé par là, elle se mit à penser "oh oui, encules moi, bien profond", et lorsqu'il sortit sa verge du vagin pour la présenter devant l'anus elle n'eut pas le moindre mouvement d'évitement.
La sodomie fut brutale, et douloureuse, mais c'est avec satisfaction qu'elle sentit l'éjaculation dans son conduit anal. L'homme la fit ressortir de la voiture et l'embrassa de nouveau, elle avait envie de dire "je t'aime, prends moi encore".
Le sexe de l'individu était toujours en érection, il la fit se mettre à genoux et introduisit l'engin fort imposant dans sa bouche. Elle le suçait avec application, excitée par l'humiliation d'avoir dans la bouche un sexe qui venait de la sodomiser.
Elle fur surprise par l'éjaculation au fond de sa gorge, elle avala le sperme dont la quantité l'étonnait. Il lui dit "demain, ici, à la même heure" et il s'éloigna.
Elle remit son chemisier qu'elle boutonna, enfila sa veste, prit le volant de sa voiture et reprit le chemin de son domicile.
Arrivée chez elle, le fait d'avoir les seins qui ballotaient et du sperme qui lui coulait entre les fesses la troublait.
Son mari s'était endormi devant la télévision, ses deux enfants étaient dans leurs chambres, elle fila directement sous la douche.
Elle était troublée, elle avait la nette impression d'être heureuse, ce qui n'était pas compréhensible.
Le lendemain elle prépara les petits déjeuners, son mari fut le premier à jaillir de la chambre, passer par la salle de bain, à avaler son café en bredouillant "hier je me suis endormi devant la télé"; les deux enfants furent moins rapides, discutant entre eux avant de prendre le chemin du collège.
Juliette alla s'étendre sur le lit en se caressant le clitoris tout en pensant à "son gitan". Elle rédigera un papier mentionnant "ce soir j'ai une réunion", puis elle se prépara en prenant soin de ne mettre ni soutien gorge ni culotte, puisqu'il devait les lui rendre.
Passer toute la journée avec les seins qui ballotaient sous son chemisier l'avait maintenue dans un état d'excitation permanent. Sentir la cyprine lui couler entre les lèvres et se sentir "le cul nu" la rendait "déraisonnable".
Elle se gara au même endroit sur les quais du Rhône, elle regarda le jour descendre et ne put s'empêcher de se masturber à plusieurs reprises.
La nuit était bien là lorsque sa portière s'ouvrit. L'ouverture de la portière avait enclanché le plafonnier, elle put apercevoir la fine moustache tandis qu'une main se glissait entre ses cuisses largement écartées.
"tu mouilles déjà" se contenta t il de remarquer. Elle jaillit de la voiture et se mit à l'embrasser avec passion.
Il la prit par la main et l'entraina vers le kiosque à musique. Il la fit s'allonger sur un banc sans dossier, une jambe de chaque côté et lui prodigua un cunnilingus qui la fit crier son plaisir. Elle jouissait comme jamais elle n'avait jouit.
Il déboutonna totalement le chemisier, martyrisa les deux seins, il la fit s'empaler à califourchon sur son sexe tout en l'embrassant.
Elle jouissait sans discontinuer. Il la prit en levrette sur ce même banc, la sodomisa à nouveau. Il lui fit quitter sa jupe et la raccompagna à sa voiture, le cul nu et les seins ballotant.
Il la baisa sur le capot de la voiture, elle avait certainement eu cinq ou six orgasmes, peut être plus.
Lorsqu'il l'embrassa une dernière fois elle lui demanda "je te revois quand?"Et il eut cette phrase à laquelle elle s'attendait: "tu sais, nous les gens du voyage nous sommes comme le vent, on passe ... le pèlerinage de Sarah est fini, je repasserai peut-être l'année prochaine, qui sait?"Il la baisa et la sodomisa encore à plusieurs reprises, elle se laissa submerger par ses orgasmes avec le délice du désespoir.
Elle regarda s'éloigner la silhouette de ce fils du vent avec la vue brouillée par les larmes.
Elle rentra chez elle, prit une douche, lorsque son mari la rejoint elle n'eut pas de mouvement d'échappatoire, allongée sur le ventre elle se laissa sodomiser, une larme au coin de l'oeil.
Maintenant vers la fin de la trentaine, mariée avec deux enfants en pleine adolescence, elle avait envie de vivre pleinement une histoire romantique sans être appelée "Juju".
C'était d'ailleurs le cas dans l'association des amis de Mistral où on l'appelait madame Doumaire.
Et un vendredi sur deux ils se retrouvaient dans une salle adjacente du musée Arlaren.
Madame Doumaire s'habillait de façon très élégante pour se rendre à ces réunions où elle était une des plus jeunes.
Entre la fente de sa jupe qui prouvait qu'elle portait des bas et l'échancrure de son chemisier qui établissait que son soutien-gorge était du genre "demi-seins", Juliette était pleinement femme.
Le soir de ses réunions elle garait sa voiture le long des quais du Rhône sur des emplacements relativement isolés.
Elle aimait bien ces réunions où les participants étaient tous très cultivés. A la sortie la plupart des participants se dirigeaient vers le centre ville où ils partageaient un repas dans un restaurant.
Juliette trouvait que cela faisait trop "repas des anciens" et elle préférait rejoindre sa voiture sur les quais du Rhône; elle était d'ailleurs la seule à prendre cette direction.
Ce soir là, penchée sur le siège arrière de sa voiture elle rangeait son sac de dossiers, un individu passant derrière elle lui caressa les fesses de façon insistante tout en poursuivant son chemin.
Normalement Juliette aurait dû se redresser en protestant, mais là l'attouchement l'avait plus excitée que choquée; elle avait poursuivi son pseudo rangement sur le siège arrière.
L'homme avait fait quelques pas et devant le manque de réaction de Juliette, venait de faire demi-tour et à son deuxième passage lui avait saisit les hanches à deux mains en collant son bassin contre ses fesses et lui avait demandé "je peux vous aider?"La voix avait un fort accent, certainement un gitan, ils étaient nombreux à passer par Arles pour se rendre aux Saintes Maries de la Mer.
Ne sachant quelle attitude adopter Juliette se contenta de murmurer "non, ça va aller" de façon tellement inaudible que l'homme n'entendit rien.
Il se pencha à l'intérieur de l'habitacle, le buste contre le dos de Juliette, de sa main droite il s'empara du sein droit et le caressa avec douceur.
Juliette cessa tout mouvement, en appui sur ses deux mains, se contentant de penser "qu'est ce que je suis en train de faire ?"De sa main gauche l'homme venait de lui retrousser la jupe sur les reins, il lui murmura "montes le pied dans la voiture".
Avec docilité elle monta le pied droit à l'intérieur du véhicule.
La position devenait plus qu'érotique, abandonnant le sein l'homme glissa sa main droite sous la culotte pour lui caresser le sexe. Il était très habile, avec des mouvements circulaires de deux doigts sur le clitoris il provoqua un orgasme, Juliette gémissait : "c'est bon, c'est bon, oh oui c'est bon"Puis l'homme introduisit deux doigts dans un vagin trempé de cyprine et se mit à la branler, le deuxième orgasme fut fulgurant, et là Juliette se mit à crier sa jouissance.
L'individu ressortit son buste de l'habitacle et recula d'un pas. Juliette se redressa également en sortant du véhicule, elle se retourna vers l'homme, il était grand, avec une fine moustache. Il la saisit par la nuque et l'embrassa, il avait une langue envahissante, Juliette se dit "on ne m'a jamais embrassée comme ça!" en essayant de répondre du mieux possible à ce baiser qui remplissait sa bouche.
Interrompant ce baiser il lui dit "donnes moi ta culotte", sans hésiter le moins du monde Juliette retroussa sa jupe et baissa sa culotte, elle s'assit sur le siège arrière pour passer les deux pieds et elle lui tendit le sous-vêtement comme si c'était naturel.
L'individu prit le sous-vêtement qu'il glissa dans sa poche et se mit tranquillement à défaire un par un les boutons du chemisier.
Il se pencha à nouveau vers elle pour l'embrasser, mais c'est elle qui lui saisit la nuque pour écraser ses lèvres contre la bouche de l'homme.
Lorsqu'elle cessa son baiser, essoufflée ,elle l'entendit dire "donnes moi ton soutien-gorge".
Juliette se débarrassa de sa veste et de son chemisier et dégrafa son soutien gorge qu'elle tendit à l'homme, celui-ci le glissa dans sa ceinture et se mit à pincer la pointe des deux seins tout en l'embrassant à nouveau.
Elle était prête à tout et elle le savait. Il la fit se mettre à quatre pattes sur le siège arrière et il la prit en levrette, les seins ballotant à chaque mouvement du bassin.
Elle eut un nouvel orgasme.
Un ou deux doigts coulissaient dans son anus, personne n'était jamais passé par là, elle se mit à penser "oh oui, encules moi, bien profond", et lorsqu'il sortit sa verge du vagin pour la présenter devant l'anus elle n'eut pas le moindre mouvement d'évitement.
La sodomie fut brutale, et douloureuse, mais c'est avec satisfaction qu'elle sentit l'éjaculation dans son conduit anal. L'homme la fit ressortir de la voiture et l'embrassa de nouveau, elle avait envie de dire "je t'aime, prends moi encore".
Le sexe de l'individu était toujours en érection, il la fit se mettre à genoux et introduisit l'engin fort imposant dans sa bouche. Elle le suçait avec application, excitée par l'humiliation d'avoir dans la bouche un sexe qui venait de la sodomiser.
Elle fur surprise par l'éjaculation au fond de sa gorge, elle avala le sperme dont la quantité l'étonnait. Il lui dit "demain, ici, à la même heure" et il s'éloigna.
Elle remit son chemisier qu'elle boutonna, enfila sa veste, prit le volant de sa voiture et reprit le chemin de son domicile.
Arrivée chez elle, le fait d'avoir les seins qui ballotaient et du sperme qui lui coulait entre les fesses la troublait.
Son mari s'était endormi devant la télévision, ses deux enfants étaient dans leurs chambres, elle fila directement sous la douche.
Elle était troublée, elle avait la nette impression d'être heureuse, ce qui n'était pas compréhensible.
Le lendemain elle prépara les petits déjeuners, son mari fut le premier à jaillir de la chambre, passer par la salle de bain, à avaler son café en bredouillant "hier je me suis endormi devant la télé"; les deux enfants furent moins rapides, discutant entre eux avant de prendre le chemin du collège.
Juliette alla s'étendre sur le lit en se caressant le clitoris tout en pensant à "son gitan". Elle rédigera un papier mentionnant "ce soir j'ai une réunion", puis elle se prépara en prenant soin de ne mettre ni soutien gorge ni culotte, puisqu'il devait les lui rendre.
Passer toute la journée avec les seins qui ballotaient sous son chemisier l'avait maintenue dans un état d'excitation permanent. Sentir la cyprine lui couler entre les lèvres et se sentir "le cul nu" la rendait "déraisonnable".
Elle se gara au même endroit sur les quais du Rhône, elle regarda le jour descendre et ne put s'empêcher de se masturber à plusieurs reprises.
La nuit était bien là lorsque sa portière s'ouvrit. L'ouverture de la portière avait enclanché le plafonnier, elle put apercevoir la fine moustache tandis qu'une main se glissait entre ses cuisses largement écartées.
"tu mouilles déjà" se contenta t il de remarquer. Elle jaillit de la voiture et se mit à l'embrasser avec passion.
Il la prit par la main et l'entraina vers le kiosque à musique. Il la fit s'allonger sur un banc sans dossier, une jambe de chaque côté et lui prodigua un cunnilingus qui la fit crier son plaisir. Elle jouissait comme jamais elle n'avait jouit.
Il déboutonna totalement le chemisier, martyrisa les deux seins, il la fit s'empaler à califourchon sur son sexe tout en l'embrassant.
Elle jouissait sans discontinuer. Il la prit en levrette sur ce même banc, la sodomisa à nouveau. Il lui fit quitter sa jupe et la raccompagna à sa voiture, le cul nu et les seins ballotant.
Il la baisa sur le capot de la voiture, elle avait certainement eu cinq ou six orgasmes, peut être plus.
Lorsqu'il l'embrassa une dernière fois elle lui demanda "je te revois quand?"Et il eut cette phrase à laquelle elle s'attendait: "tu sais, nous les gens du voyage nous sommes comme le vent, on passe ... le pèlerinage de Sarah est fini, je repasserai peut-être l'année prochaine, qui sait?"Il la baisa et la sodomisa encore à plusieurs reprises, elle se laissa submerger par ses orgasmes avec le délice du désespoir.
Elle regarda s'éloigner la silhouette de ce fils du vent avec la vue brouillée par les larmes.
Elle rentra chez elle, prit une douche, lorsque son mari la rejoint elle n'eut pas de mouvement d'échappatoire, allongée sur le ventre elle se laissa sodomiser, une larme au coin de l'oeil.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Davidson
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...