Véronique
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 30 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Davidson ont reçu un total de 166 510 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 365 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Véronique
Jacques, un de ses anciens flirt, venait de reprendre contact avec elle en lui proposant une "bouffe" dans un restaurant d'Aix en Provence. Elle était enchantée de cela, d'autant plus qu'elle avait gardé un bon souvenir de leur relation, et que dans sa vie un peu terne "elle s'ennuyait ferme". Paradoxalement, malgré leur flirt poussé du passé ils se vouvoyaient toujours.
Pour cette rencontre elle s'était habillée de façon un peu neutre; arrivée la première dans le restaurant elle s'installa devant un apéritif et fut fort surprise de le voir arriver appuyé sur une canne anglaise (résultat d'un accident de moto).
Durant le repas alors qu'elle exprimait sa solitude et son ennui, il lui proposa de "sortir"; elle refusait, arguant que ce n'était plus de son âge. Il lui citait une discothèque pas très éloignée dont la clientèle avait une moyenne d'âge élevée, et qu'elle, avec sa fin de quarantaine y serait une des plus jeunes, et que d'ailleurs, la preuve de l'adaptation des lieux, que c'était un endroit où la musique était celle des années 80 et qu'on y dansait encore des slows!
En dernier argument de résistance, en désignant du regard la canne anglaise, elle dit "Mais vous, vous ne dansez plus!"Et pour emporter son acceptation il avança "Non, je ne danse pas, mais vous voir vous éclater me suffit, et dans le pire des cas si vous vous faites chier on pourra toujours flirter! Elle finit par accepter d'y aller "juste pour voir", un mardi après midi, une séance en après-midi de semaine lui semblait moins impliquante.
Rentrés chez eux ils préparèrent cette sortie par échange de mails; il parvint à lui faire accepter d'acheter à "la redoute" des collants ouverts et des soutien-gorge "demi-seins" qui la rendraient "plus jeune dans sa tête".
Le jour dit, il passa la chercher en voiture, la discothèque en question était à Châteauneuf-les- Martigues; elle s'était réfugiée dans un tailleur, mais effectivement elle avait été excitée en se voyant en collant ouvert et soutien-gorge demi-seins dans le miroir de sa penderie.
Pendant le voyage elle lui confia:- j'ai l'impression d'être habillée comme une salope.
- mais c'est le but du jeu, nous sommes dans un jeu de rôle, ce n'est pas vous qui allez en boite, vous jouez le rôle d'une salope qui va en boite, et c'est le personnage que vous jouez qui est en première ligne et vous protège- mais vous dans tout ça?
- moi je prends du plaisir à vous voir jouer un rôle de salope, et à sortir avec un canon qui n'a pas froid aux yeux, d'ailleurs montrez moi à quoi ressemble votre collant-là, comme ça, dans la voiture?
-vous préférez le faire une fois arrivée?
Haussant les épaules elle retroussa sa jupe pour montrer un superbe collant ouvert qui imitait parfaitement des bas soutenus par des porte-jarretelles.
-c'est parfait, avec ça vous feriez bander un mort!
-pourquoi, cela vous fait bander?
-vous voulez vérifier?
Elle croisa les bras comme si elle se mettait à bouder.
Ils arrivèrent sur le parking de la discothèque où une affiche annonçait "thé dansant tous les mardi, samedi et dimanche".
Ils s'installèrent à une petite table ronde, genre "bistrot", dans un coin, la plupart des autres tables étant occupées, souvent par des petits groupes de femmes, presque toutes frôlaient manifestement la cinquantaine. La majorité des hommes restaient debout à proximité du comptoir. Visiblement les couples déjà constitués étaient minoritaires.
Ils se firent servir du thé, il demanda à Véronique de quitter sa veste, elle allait avoir rapidement chaud après la première série de rock and roll. Elle posa sa veste sur le dossier de sa chaise en précisant "si personne ne vient m'inviter je ne risque pas d'avoir chaud en dansant!"Dès les premières notes de musique la lumière baissa d'intensité tandis que des rayons lumineux de couleurs balayaient l'espace, cela faisait vraiment "rétro". Assez rapidement les hommes debout se dirigèrent vers les femmes qu'ils avaient repérées pour les inviter, et bien sûr, Véronique vit venir vers elle un homme d'une cinquantaine d'années qui s'inclina devant elle.
Véro jeta un regard vers Jacques en lui disant "je vous laisse mon sac à main" et sur ce elle prit la main que son premier cavalier venait de lui tendre.
Dès qu'ils furent sur la piste de danse elle put constater que son cavalier dansait bien, et qu'il la serrait de très près, il savait bien glisser sa jambe entre celles de sa cavalière tout en la tenant fermement par le creux des reins.
Elle sentit assez vite une excroissance contre son pubis, mais elle savait que pas mal d'hommes glissaient parfois un objet (ou parfois un légume cru) dans la poche du pantalon pour laisser croire à une érection à leur partenaire de danse. Elle se persuada que ce devait être le cas, car elle estimait qu'il ne pouvait pas s'être excité aussi vite à son contact. Il y eut toute une série de tango pendant lesquels l'homme continua à se frotter contre le pubis de Véronique, la main posée au creux des reins glissant progressivement vers les fesses.
Véronique qui aimait danser, appréciait la technique de son partenaire, elle aimait bien cette sensation d'intimité avec cette jambe qui s'insinuait entre ses cuisses suivant les pas de danse prévus.
A la fin de la série de tango ils étaient blottis l'un contre l'autre, la main était descendue sur le haut des fesses qu'elle caressait ouvertement.
Ce fut des passes-doble qui succédèrent aux tango. L'homme la raccompagna à sa place.
Elle était radieuse et tout sourire à son retour "alors, c'était bien?" lui demanda Jacques en lui restituant son sac à main; -oui, il dansait bien et on s'entendait bien sur la piste-c'est ce qu'il m'a semblé!
Lui dit il avec un sourire grivois. Un autre homme s'approcha pour inviter Véro pour le passes-doble, flattée d'être ainsi sollicitée elle accepta. Mais le passes-doble étant une danse beaucoup moins de "proximité" que le tango, elle n'eut pas à "sentir" la proximité physique de son cavalier qu'elle considéra comme "quelconque". Mais les pas de cette danse étant plus "dynamiques" et plus expansifs que ceux du tango, firent que la jupe moulante qu'elle portait se retroussa légèrement, mais régulièrement tout au cours de la danse.
Véronique ne s'en aperçut qu'au moment où le bas de sa jupe atteignit la lisière des ouvertures du collant. "on va voir mes cuisses" se dit elle, et effectivement, le nombre de couples à danser étant plus réduit, elle était plus "visible", et le contraste entre la jupe foncée et sa peau blanche évident. Mais préoccupée à suivre le rythme de la musique elle oublia ce détail.
A son retour à sa table elle dit-je préfère le tango!
Elle n'eut pas le loisir de rester assise bien longtemps. C'est un rock and roll qui suivait et trois individus se dirigèrent vers elle, elle était plus que flattée, elle accepta la main du premier qui se présenta devant elle, le second, dépité, lui dit au passage "vous me réservez le suivant!"Dès le début du premier rock, Véro dut se séparer de ses chaussures à talon-aiguille, peu adaptées à ce type de danse.
Et effectivement il y eut une succession de rock endiablés au cours desquels un bouton de son chemisier céda, elle ne s'en rendit pas compte, et comme entre chaque rock elle se retrouvait à changer de cavalier elle n'eut pas l'occasion de songer à sa jupe qui était remontée à ras de ses fesses. Elle ne se rendait pas compte, mais une bonne dizaine de mâles ne la quittait plus des yeux.
A la fin de la série de rock elle songea d'abord à récupérer ses chaussures en bord de piste, elle revint s'assoir ses chaussures à la main, son décolleté rendu plus généreux par le bouton défaillant.
Elle s'assit pour remettre ses chaussures, et l'ensemble des mouvements furent d'un érotisme absolu: le fait de croiser les jambes, la cheville sur le genoux opposé pour remettre ses chaussures, qui offrit une vue directe sur son entre-jambe à la dizaine d'individus qui ne la quittait plus du regard, et le décolleté qui permit à ceux qui étaient dans le bon angle de vue de constater qu'elle portait un soutien-gorge "demi-sein" très généreux.
Il y eut presque une bousculade entre les hommes qui se précipitèrent vers elle au début du premier slow, elle accepta la main du premier qui se présenta devant elle, laissant les autres sur leur déception.
D'emblée son cavalier lui posa les deux mains sur les hanches, ce faisant elle dut se contenter de poser ses mains sur les épaules de l'homme.
Le slow est le type même de danse très intime. D'entrée elle sentit la protubérance contre son pubis, rapidement les mains de l'individu descendirent sur ses fesses, l'attirant dans un contact plus étroit, bassin contre bassin. Ils dansaient joue à joue, il lui murmurait des trucs qu'elle n'écoutait pas vraiment, elle se disait "je me comporte comme une salope de dix huit ans, et j'aime ça!"A un moment son cavalier l'embrassa sous l'oreille, le contact de la langue de l'homme sur sa peau la fit frémir. Puis tout comme les mains qui avaient fait la conquête de ses fesses, la bouche se déplaça, le baiser suivant fut dans le cou, la langue très active sur sa peau; "il va me laisser une marque" se dit elle, puis il arriva à ses lèvres.
Plutôt que de se livrer à une résistance inutile au point où ils en étaient arrivés, elle ouvrit la bouche et leurs langues se mêlèrent.
Profitant de son consentement apparent il se mit à lui caresser un sein, en lui pinçant parfois le téton qui s'érigeait sous le fin tissu du chemisier.
Ils étaient arrivés dans un coin où ils ne dansaient plus, ils s'embrassaient goulûment. Sa jupe était retroussée et ressemblait plus à une ceinture qu'à une jupe.
Deux doigts venaient de bousculer sa culotte et sa protection contre les fuites urinaires et de s'introduire dans son vagin. Elle était en train de se laisser branler!
Emportée par la situation elle l'embrassait presque avec fureur.
Les deux doigts étaient très efficaces, elle sentait monter le plaisir. En plus une autre main venait d'écarter sa culotte côté dos et un doigt venait de s'introduire dans son anus. Elle sentait bien les pressions des deux mains distinctes à travers les parois vaginale et anale; elle se mit à penser "je suis une vraie salope et je vais jouir".
Mais son partenaire côté face interrompit leur baiser pour lui dire "j'ai des préservatifs dans la voiture"; d'un coup son excitation retomba, elle n'allait pas baiser avec n'importe qui, et elle répondit "je ne sort pas, je suis accompagnée!"Il lui appuya sur les épaules pour qu'elle s'agenouille, mais étant totalement refroidit elle lui dit: "je ne suce pas!"L'homme la repoussa brutalement en lui disant " tu ne baises pas, tu ne suces pas, casses toi salope!" et il s'éloigna.
Le fait d'être repoussée fit qu'elle se retrouvait tout contre l'homme qui lui doigtait l'anus. Celui ci venait de s'emparer d'un sein tout en continuant sa sodomie, il lui murmura à l'oreille "mais il me semble que tu embrasses bien".
Véro se retourna pour voir à quoi il ressemblait, mais leur proximité était telle qu'elle se retrouva avec une bouche contre la sienne; sans réfléchir elle l'embrassa avec ardeur.
Le mouvement de rotation avait fait sortir le doigt de son anus; mais très vite elle se retrouva avec un, puis deux doigts dans son vagin. Elle l'embrassait goulûment tout en se disant "fais moi jouir toi"Elle passa sa jambe autour de la cuisse de son partenaire, offrant plus facilement son entre jambe à la main qui la masturbait.
L'homme était très habile puisque tout en répondant à ses baisers et en la masturbant avec deux doigts, il venait de sortir son sexe en érection de son pantalon, avec une adresse diabolique, il venait de sortir ses deux doigts du vagin de Véronique et de les remplacer par son phallus en érection.
Elle sentit bien la substitution, mais le phallus pénétrait plus profondément et la remplissait mieux, elle se mit à gémir tout en continuant à l'embrasser.
Les doigts qui venaient de quitter son vagin se retrouvèrent rapidement dans son anus, sans cesser leur embrassade elle s'écria "putain je jouis!"Elle se cramponnait à son cou, debout sur une seule jambe, elle jouissait comme une folle; "une bite dans la chatte et deux doigts dans le cul, je suis une vraie salope!" se dit elle avant de partir dans un second orgasme dévastateur.
L'homme était très résistant, il n'avait pas encore éjaculé, il la fit se retourner et prendre appui contre le mur et il la pénétra en levrette, tout en lui malaxant les seins entièrement sortis du soutien-gorge, le chemisier totalement ouvert.
Elle venait de jouir une troisième fois.
Le sexe de l'homme sortit de son vagin et d'une seule et brutale poussée pénétra son anus, elle poussa un cri (couvert par la musique qui était forte) et se mit à crier "oui, bien au fond, encules moi bien au fond!"Elle ne pouvait compter ses orgasmes, mais se senti comblée lorsqu'il éjacula dans son conduit anal.
Lorsqu'elle reprit ses esprits, Jacques la regardait en souriant, appuyé sur sa canne anglaise, et lui dit en lui tendant son sac à main "je vous raccompagne?"
Dans la voiture, reprenant toute sa conscience elle dit "et c'est comment le samedi soir?"
Pour cette rencontre elle s'était habillée de façon un peu neutre; arrivée la première dans le restaurant elle s'installa devant un apéritif et fut fort surprise de le voir arriver appuyé sur une canne anglaise (résultat d'un accident de moto).
Durant le repas alors qu'elle exprimait sa solitude et son ennui, il lui proposa de "sortir"; elle refusait, arguant que ce n'était plus de son âge. Il lui citait une discothèque pas très éloignée dont la clientèle avait une moyenne d'âge élevée, et qu'elle, avec sa fin de quarantaine y serait une des plus jeunes, et que d'ailleurs, la preuve de l'adaptation des lieux, que c'était un endroit où la musique était celle des années 80 et qu'on y dansait encore des slows!
En dernier argument de résistance, en désignant du regard la canne anglaise, elle dit "Mais vous, vous ne dansez plus!"Et pour emporter son acceptation il avança "Non, je ne danse pas, mais vous voir vous éclater me suffit, et dans le pire des cas si vous vous faites chier on pourra toujours flirter! Elle finit par accepter d'y aller "juste pour voir", un mardi après midi, une séance en après-midi de semaine lui semblait moins impliquante.
Rentrés chez eux ils préparèrent cette sortie par échange de mails; il parvint à lui faire accepter d'acheter à "la redoute" des collants ouverts et des soutien-gorge "demi-seins" qui la rendraient "plus jeune dans sa tête".
Le jour dit, il passa la chercher en voiture, la discothèque en question était à Châteauneuf-les- Martigues; elle s'était réfugiée dans un tailleur, mais effectivement elle avait été excitée en se voyant en collant ouvert et soutien-gorge demi-seins dans le miroir de sa penderie.
Pendant le voyage elle lui confia:- j'ai l'impression d'être habillée comme une salope.
- mais c'est le but du jeu, nous sommes dans un jeu de rôle, ce n'est pas vous qui allez en boite, vous jouez le rôle d'une salope qui va en boite, et c'est le personnage que vous jouez qui est en première ligne et vous protège- mais vous dans tout ça?
- moi je prends du plaisir à vous voir jouer un rôle de salope, et à sortir avec un canon qui n'a pas froid aux yeux, d'ailleurs montrez moi à quoi ressemble votre collant-là, comme ça, dans la voiture?
-vous préférez le faire une fois arrivée?
Haussant les épaules elle retroussa sa jupe pour montrer un superbe collant ouvert qui imitait parfaitement des bas soutenus par des porte-jarretelles.
-c'est parfait, avec ça vous feriez bander un mort!
-pourquoi, cela vous fait bander?
-vous voulez vérifier?
Elle croisa les bras comme si elle se mettait à bouder.
Ils arrivèrent sur le parking de la discothèque où une affiche annonçait "thé dansant tous les mardi, samedi et dimanche".
Ils s'installèrent à une petite table ronde, genre "bistrot", dans un coin, la plupart des autres tables étant occupées, souvent par des petits groupes de femmes, presque toutes frôlaient manifestement la cinquantaine. La majorité des hommes restaient debout à proximité du comptoir. Visiblement les couples déjà constitués étaient minoritaires.
Ils se firent servir du thé, il demanda à Véronique de quitter sa veste, elle allait avoir rapidement chaud après la première série de rock and roll. Elle posa sa veste sur le dossier de sa chaise en précisant "si personne ne vient m'inviter je ne risque pas d'avoir chaud en dansant!"Dès les premières notes de musique la lumière baissa d'intensité tandis que des rayons lumineux de couleurs balayaient l'espace, cela faisait vraiment "rétro". Assez rapidement les hommes debout se dirigèrent vers les femmes qu'ils avaient repérées pour les inviter, et bien sûr, Véronique vit venir vers elle un homme d'une cinquantaine d'années qui s'inclina devant elle.
Véro jeta un regard vers Jacques en lui disant "je vous laisse mon sac à main" et sur ce elle prit la main que son premier cavalier venait de lui tendre.
Dès qu'ils furent sur la piste de danse elle put constater que son cavalier dansait bien, et qu'il la serrait de très près, il savait bien glisser sa jambe entre celles de sa cavalière tout en la tenant fermement par le creux des reins.
Elle sentit assez vite une excroissance contre son pubis, mais elle savait que pas mal d'hommes glissaient parfois un objet (ou parfois un légume cru) dans la poche du pantalon pour laisser croire à une érection à leur partenaire de danse. Elle se persuada que ce devait être le cas, car elle estimait qu'il ne pouvait pas s'être excité aussi vite à son contact. Il y eut toute une série de tango pendant lesquels l'homme continua à se frotter contre le pubis de Véronique, la main posée au creux des reins glissant progressivement vers les fesses.
Véronique qui aimait danser, appréciait la technique de son partenaire, elle aimait bien cette sensation d'intimité avec cette jambe qui s'insinuait entre ses cuisses suivant les pas de danse prévus.
A la fin de la série de tango ils étaient blottis l'un contre l'autre, la main était descendue sur le haut des fesses qu'elle caressait ouvertement.
Ce fut des passes-doble qui succédèrent aux tango. L'homme la raccompagna à sa place.
Elle était radieuse et tout sourire à son retour "alors, c'était bien?" lui demanda Jacques en lui restituant son sac à main; -oui, il dansait bien et on s'entendait bien sur la piste-c'est ce qu'il m'a semblé!
Lui dit il avec un sourire grivois. Un autre homme s'approcha pour inviter Véro pour le passes-doble, flattée d'être ainsi sollicitée elle accepta. Mais le passes-doble étant une danse beaucoup moins de "proximité" que le tango, elle n'eut pas à "sentir" la proximité physique de son cavalier qu'elle considéra comme "quelconque". Mais les pas de cette danse étant plus "dynamiques" et plus expansifs que ceux du tango, firent que la jupe moulante qu'elle portait se retroussa légèrement, mais régulièrement tout au cours de la danse.
Véronique ne s'en aperçut qu'au moment où le bas de sa jupe atteignit la lisière des ouvertures du collant. "on va voir mes cuisses" se dit elle, et effectivement, le nombre de couples à danser étant plus réduit, elle était plus "visible", et le contraste entre la jupe foncée et sa peau blanche évident. Mais préoccupée à suivre le rythme de la musique elle oublia ce détail.
A son retour à sa table elle dit-je préfère le tango!
Elle n'eut pas le loisir de rester assise bien longtemps. C'est un rock and roll qui suivait et trois individus se dirigèrent vers elle, elle était plus que flattée, elle accepta la main du premier qui se présenta devant elle, le second, dépité, lui dit au passage "vous me réservez le suivant!"Dès le début du premier rock, Véro dut se séparer de ses chaussures à talon-aiguille, peu adaptées à ce type de danse.
Et effectivement il y eut une succession de rock endiablés au cours desquels un bouton de son chemisier céda, elle ne s'en rendit pas compte, et comme entre chaque rock elle se retrouvait à changer de cavalier elle n'eut pas l'occasion de songer à sa jupe qui était remontée à ras de ses fesses. Elle ne se rendait pas compte, mais une bonne dizaine de mâles ne la quittait plus des yeux.
A la fin de la série de rock elle songea d'abord à récupérer ses chaussures en bord de piste, elle revint s'assoir ses chaussures à la main, son décolleté rendu plus généreux par le bouton défaillant.
Elle s'assit pour remettre ses chaussures, et l'ensemble des mouvements furent d'un érotisme absolu: le fait de croiser les jambes, la cheville sur le genoux opposé pour remettre ses chaussures, qui offrit une vue directe sur son entre-jambe à la dizaine d'individus qui ne la quittait plus du regard, et le décolleté qui permit à ceux qui étaient dans le bon angle de vue de constater qu'elle portait un soutien-gorge "demi-sein" très généreux.
Il y eut presque une bousculade entre les hommes qui se précipitèrent vers elle au début du premier slow, elle accepta la main du premier qui se présenta devant elle, laissant les autres sur leur déception.
D'emblée son cavalier lui posa les deux mains sur les hanches, ce faisant elle dut se contenter de poser ses mains sur les épaules de l'homme.
Le slow est le type même de danse très intime. D'entrée elle sentit la protubérance contre son pubis, rapidement les mains de l'individu descendirent sur ses fesses, l'attirant dans un contact plus étroit, bassin contre bassin. Ils dansaient joue à joue, il lui murmurait des trucs qu'elle n'écoutait pas vraiment, elle se disait "je me comporte comme une salope de dix huit ans, et j'aime ça!"A un moment son cavalier l'embrassa sous l'oreille, le contact de la langue de l'homme sur sa peau la fit frémir. Puis tout comme les mains qui avaient fait la conquête de ses fesses, la bouche se déplaça, le baiser suivant fut dans le cou, la langue très active sur sa peau; "il va me laisser une marque" se dit elle, puis il arriva à ses lèvres.
Plutôt que de se livrer à une résistance inutile au point où ils en étaient arrivés, elle ouvrit la bouche et leurs langues se mêlèrent.
Profitant de son consentement apparent il se mit à lui caresser un sein, en lui pinçant parfois le téton qui s'érigeait sous le fin tissu du chemisier.
Ils étaient arrivés dans un coin où ils ne dansaient plus, ils s'embrassaient goulûment. Sa jupe était retroussée et ressemblait plus à une ceinture qu'à une jupe.
Deux doigts venaient de bousculer sa culotte et sa protection contre les fuites urinaires et de s'introduire dans son vagin. Elle était en train de se laisser branler!
Emportée par la situation elle l'embrassait presque avec fureur.
Les deux doigts étaient très efficaces, elle sentait monter le plaisir. En plus une autre main venait d'écarter sa culotte côté dos et un doigt venait de s'introduire dans son anus. Elle sentait bien les pressions des deux mains distinctes à travers les parois vaginale et anale; elle se mit à penser "je suis une vraie salope et je vais jouir".
Mais son partenaire côté face interrompit leur baiser pour lui dire "j'ai des préservatifs dans la voiture"; d'un coup son excitation retomba, elle n'allait pas baiser avec n'importe qui, et elle répondit "je ne sort pas, je suis accompagnée!"Il lui appuya sur les épaules pour qu'elle s'agenouille, mais étant totalement refroidit elle lui dit: "je ne suce pas!"L'homme la repoussa brutalement en lui disant " tu ne baises pas, tu ne suces pas, casses toi salope!" et il s'éloigna.
Le fait d'être repoussée fit qu'elle se retrouvait tout contre l'homme qui lui doigtait l'anus. Celui ci venait de s'emparer d'un sein tout en continuant sa sodomie, il lui murmura à l'oreille "mais il me semble que tu embrasses bien".
Véro se retourna pour voir à quoi il ressemblait, mais leur proximité était telle qu'elle se retrouva avec une bouche contre la sienne; sans réfléchir elle l'embrassa avec ardeur.
Le mouvement de rotation avait fait sortir le doigt de son anus; mais très vite elle se retrouva avec un, puis deux doigts dans son vagin. Elle l'embrassait goulûment tout en se disant "fais moi jouir toi"Elle passa sa jambe autour de la cuisse de son partenaire, offrant plus facilement son entre jambe à la main qui la masturbait.
L'homme était très habile puisque tout en répondant à ses baisers et en la masturbant avec deux doigts, il venait de sortir son sexe en érection de son pantalon, avec une adresse diabolique, il venait de sortir ses deux doigts du vagin de Véronique et de les remplacer par son phallus en érection.
Elle sentit bien la substitution, mais le phallus pénétrait plus profondément et la remplissait mieux, elle se mit à gémir tout en continuant à l'embrasser.
Les doigts qui venaient de quitter son vagin se retrouvèrent rapidement dans son anus, sans cesser leur embrassade elle s'écria "putain je jouis!"Elle se cramponnait à son cou, debout sur une seule jambe, elle jouissait comme une folle; "une bite dans la chatte et deux doigts dans le cul, je suis une vraie salope!" se dit elle avant de partir dans un second orgasme dévastateur.
L'homme était très résistant, il n'avait pas encore éjaculé, il la fit se retourner et prendre appui contre le mur et il la pénétra en levrette, tout en lui malaxant les seins entièrement sortis du soutien-gorge, le chemisier totalement ouvert.
Elle venait de jouir une troisième fois.
Le sexe de l'homme sortit de son vagin et d'une seule et brutale poussée pénétra son anus, elle poussa un cri (couvert par la musique qui était forte) et se mit à crier "oui, bien au fond, encules moi bien au fond!"Elle ne pouvait compter ses orgasmes, mais se senti comblée lorsqu'il éjacula dans son conduit anal.
Lorsqu'elle reprit ses esprits, Jacques la regardait en souriant, appuyé sur sa canne anglaise, et lui dit en lui tendant son sac à main "je vous raccompagne?"
Dans la voiture, reprenant toute sa conscience elle dit "et c'est comment le samedi soir?"
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Davidson
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...