Doigtée - histoire érotique

Béatrice se retrouvait une fois de plus avec son compagnon dans leur club libertin préféré. Vêtue d'une robe Catanzaro qui mettait en évidence ses seins (qui étaient généreux) et dont les fentes de la jupe remontaient si haut qu'on pouvait savoir au premier coup d'oeil qu'elle ne portait pas de culotte.
Ils avaient établi une sorte de rituel qui faisait qu'ils commençaient avec un cunnilingus qui conduisait Béatrice à un orgasme évident, et ensuite ils partaient à l'aventure à la rencontre du hasard qui les décevait rarement. Ce soir là donc, Béatrice était allongée sur le dos, la robe retroussée, sur le lit circulaire d'un des grands salons, son compagnon à genoux lui prodiguant un cunnilingus accompagné de deux doigts venant agacer son point G vaginal.
Comme souvent elle avait les yeux fermés, concentrée sur les sensations qui à un moment allaient la projeter dans un orgasme parfois insoutenable.
A un moment un affaissement du lit sur son côté gauche lui fit ouvrir les yeux, une femme à quatre pattes à ses côtés se faisait prendre en levrette, elle avait des seins magnifiques (certainement siliconés) et Béatrice ne put s'empêcher de les caresser et d'en triturer les tétons qui étaient durs et impressionnants par leur taille. Sous les coups de boutoir de son compagnon la femme s'était légèrement avancée; Béatrice percevait les claquements du bassin de l'homme contre les fesses de la femme, cette dernière commençait à gémir, puis d'un coup elle se laissa tomber sur ses coudes en s'écriant "il m'encule!" tout en poursuivant ses gémissements.
Béatrice sentait monter en elle le plaisir qui allait la submerger, elle ferma les yeux. La femme toute proche avait transformé ses gémissements en une succession de petits cris: "ho, ho, ho..." puis brusquement le cri se prolongea en un "hooo je jouis du cul, c'est la première fois!", sa bouche étant pratiquement posée sur les lèvres de Béatrice, à cet instant (le hasard qui n'existe pas fit que) un ou deux doigts venaient de s'introduire dans l'anus de Béatrice, la surprise lui fit ouvrir la bouche; la femme continua à crier sa jouissance tout en joignant leurs lèvres. Elle criait son orgasme à l'intérieur de la bouche de Béatrice!
Cette dernière se mit à jouir sans pouvoir discerner si c'était son clitoris, son vagin ou son anus qui avait déclenché son orgasme. La femme abandonna la bouche de Béatrice en murmurant "putain que c'est bon!"Béatrice poursuivit sa jouissance au maximum, puis repoussa la tête de son compagnon dont la langue accepta d'abandonner le clitoris et les petites lèvres noyées de cyprine.
Un instant plus tard ils étaient tous deux au comptoir, Béatrice expliquant à son compagnon qu'elle avait adoré cet instant où cette inconnue avait crié sa jouissance à l'intérieur de sa bouche.
Alors que son compagnon terminait son café elle lui dit: "j'ai un contact"Il se doutait bien que dans la demi obscurité l'inconnu qui était derrière elle devait avoir tenté un attouchement, aussi il lui proposa "on va s'embrasser et on va voir ce qui va se passer".
Ils s'offrirent un baiser profond, leurs langues se tutoyant, à un moment Béatrice interrompit leur baiser pour dire "il me doigte" avant de reprendre leur embrassade avec plus de vigueur, puis elle s'interrompit à nouveau pour préciser "il me doigte le cul et me caresse devant!" Tout en reprenant leur baiser elle entreprit de défaire le pantalon de son compagnon pour accéder à son sexe. Lorsque celui ci fut à l'air libre elle se pencha en avant pour entreprendre une fellation.

La nouvelle position adoptée fit que l'homme derrière elle retroussa sa robe sur ses reins, un instant elle crut qu'il l'avait abandonnée, puis elle se dit "il met un préservatif", et effectivement elle sentit une verge pénétrer son vagin. Appliquée à sa fellation elle pensa à l'autre qui avait crié "je jouis du cul!", en se disant "peut être va-t-il m'enculer"Toute concentrée sur le plaisir qu'elle voulait donner à son compagnon elle ne fit pas trop attention aux mouvements lents et profonds de cette verge dans son vagin. Elle fut récompensée par le sperme qui envahi sa bouche et qu'elle avala jusqu'à la dernière goutte. Elle ne fut même pas étonnée que l'inconnu derrière elle l'ait abandonnée, elle embrassa de nouveau son compagnon en lui disant "je n'ai pas joui sur ce coup, mais j'ai bien aimé".
C'était très rare qu'elle fit un commentaire sur ce qui venait de se passer, et elle rajouta "mais j'ai adoré cette femme qui a crié sa jouissance dans ma bouche".
Elle proposa un petit salon fermé où elle aurait droit à un cunni "du feu de dieu"; et c'est ainsi qu'ils terminèrent leur soirée, sur un cunnilingus accompagné de deux doigts dans le vagin et de deux doigts de la main gauche (la main du diable) dans l'anus, qui lui procura effectivement un orgasme "du feu de dieu".