Apprendre à plonger
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Apprendre à plonger
APPRENDRE A PLONGER
Cette histoire se passe l’année du BAC. Nous avions le sport en Option, avec duex choix possible : Athlétisme, ou Natation. J’étais pluôt nul en athlé, mais, heureusement, je pratiquais la natation en club, depuis 5 ans. Oh, pas de quoi devenir un champion, mais j’étais suffisamment entrainé pour le niveau demandé au Bac, et je pouvais glaner, ainsi quelques points supplémentaires.
Nous étions, ce jour là, à la piscine, avec notre prof de sport, qui devait nous chronométrer, pour voir si l’option choisie était judicieuse, et si nous avions des chances de bien figurer.
Le groupe était restreint, car, beaucoup d’étudiants avaient choisi l’athlétisme. Seul une douzaine avec une majorité de filles, sans doute peu à l’aise avec l’athlé, avaient choisi la natation.
Une fois en maillot de bain, nous commençons par plonger et nager un peu pour nous acclimater à la température de l’eau. Le prof nous rassemble ensuite pour nous indiquer le temps à faire sur 50 metres : en nage libre, c’est le crawl, il faut atteindre 29,3 secondes au 50m, pour obtenir la note maxi. En brasse, moins rapide, le temps est fixé à 36 secondes. Puis, un par un, nous devons faire notre longueur de bassin chronométré. Les filles passent en premier, et il faut bien dire que les temps sont catastrophiques, à l’exception d’une fille : Jeane, que je connais un peu, et qui est bien entrainée car elle fait de la natation synchronisée.
Mon tour arrive bientôt, et je choisis le crawl. Au top, je suis parti. Comme à l’entrainement, je déroule, et arrive avec un temps de 29,1secondes. Pas exceptionnel, mais suffisant pour avoir la note maxi. Le prof de sport me demande alors si je peux faire une longueur en plus, mais en brasse, cette fois-ci. Je m’élance avec un peu plus de détermination, car je sais que ce sera plus difficile. Très vite, je suis rassuré, j’ai un bon rythme, ma coulée est limpide, et je boucle mes 50m en 35 secondes.
Mon prof de sport a hoché la tête d’approbation en regardant son chrono.
Alors que je sors du bassin pour laisser ma place, il me fait signe d’aller le voir.
« Tes temps sont nickel, me dit il, mais il faut que je fasse travailler les autres. Ce qui serait bien , c’est de prendre avec toi un groupe de filles pour leur apprendre à plonger. »
Effectivement, le plongeon n’est visiblement pas leur action favorite, et j’ai assisté, un peu plus tôt à un festival de « plats », et certaines sautaient même en se bouchant le nez, tout en essayant de ne pas se mouiller les cheveux. A part quelques unes, il y avait vraiment de quoi progresser.
« C’est que… on part de loin là. Il y en a une ou deux qui n’ont jamais plongé. »
« Oui, je sais,je sais, » me repond le prof. « mais si déjà elles arrivent à un semblant de plongeon, au moins elle gagneront du temps. On essaiera ensuite de les faire nager un peu plus vite. »
Sur ce il rameute tout le monde, et forme un petit groupe de filles, qui vont apprendre à plonger, avec moi, pendant que lui entrainera, le reste du groupe à améliorer ses temps. En fait, elles sont quatre qui n’ont que de vague notions du plongeaon, et qui viennent avec moi à la ligne d’eau 8, qui m’a été réservée pour cet exercice. Je les connais déjà. Il y a Sophie, grande brune, vétue d’un maillot une pièce, Nathalie, une jolie fille aux cheveux courts et bouclés, qui porte un maillot deux pièces Orange qui tranche sur sa peau mate, Virginie, Cheveux chatain, mi-longs, et maillot deux pièces, assez sport, et enfin Léa, qui a partagé quelques unes de nos aventures pendant notre voyage de fin d’études.
Les quatre donzelles, m’écoutèrent , pendant que, au bord du bassin, je leur expliquai, avec force mouvements, ce que devait être un plongeon.
Elles n’avaient pas de questions, mais je sentais qu’elles avaient une appréhension. Je montais donc sur un plot, et exécutai un plongeon, le plus fluide possible, avant de remonter sur le bord :
« Le plongeon doit vous aider à entrer dans l’eau, et à lancer votre nage, sans heurts, et sans vous ralentir, à défaut de vous faire gagner du temps. »
« Tout à l’heure, il y a vait un type qui nageait super vite. » lança Virginie
« oh, ouais, il speedait, c’était terrible. » ajouta Sophie
Léa, me regardait, les yeux plissés, mais je ne disais rien. Les deux autres, réalisant que nous faisions partie du même groupe :
« ah, mais, c’était toi ? «
Je ne commentai pas cette déduction, mais proposais à Sophie de s’approcher du bord.
« Je monte sur le plot ? » demanda t’elle en s’avançant.
« Non, c’est inutile, on va partir au ras de l’eau, au début. Avances jusqu’au bord.Maintenant tu fléchis les jambes, tu penches la tête en avant, entre tes bras, et tu vises le fonds, en biais, et tu détends tes jambes, vers l’avant, en enroulant ton corps, comme autour d’un axe. »
S’ensuivit un plat phénoménal.
Alors qu’elle barbotait en tentant de revenir, je fis avancer Nathalie, et vins me placer derrière elle. Je l’entourais de mon bras, et vint appliquer ma main sur son ventre.puis je l’obligeais à plier les jambes er accompagnais son mouvement. Je sentais son corps chaud, contre le mien. J’avançais mon buste, pour la faire se pencher vers l’avant, guidant ses bras, en pointe au dessus de sa tête.
« tu vas basculer autour de ma main. Laisse toi aller, ne te tends pas. Il faut que ta tête soit ton entrée dans l’eau, et que tout ton corps passe par ce point d’entrée. »
« je vais te pousser légèrement, tu laisses aller, et tu tends ton corps seulement quand ta tête est déjà dans l’eau..
Une après l’autre, les jeunes filles passaient entre mes bras, avant de rejoindre le bassin. A chaque fois, leur joli postérieurs venaient se frotter contre moi, et j’avais de plus en plus de mal à rester concentré sur ma tâche. Le problème apparut avec celles qui avaient opté pour un maillot deux pièces. Quand elles plongeaient, le bas du maillot glissait, dévoilant leur postérieur. Aussitôt, elles cessaient de nager pour remettre en place le bout de tissu, mais, que de temps perdu.8
Afin de leur éviter des plats douloureux, je m’immergeais dans la piscine, et , nageant sur place, leur indiquait où entrer dans l’eau. Trop près du bord, c’était inefficace, et trop loin, c’était un peu dangereux pour elles. Bien entendu, je me tenais sur le côté, les priant de ne pas s’élancer sur moi, mais de considérer ma position comme une ligne à ne pas franchir hors de l’eau. Les résultats s’amélioraient doucement, mais arrivé au tour de Léa, celle-ci effectua devant mes yeux, un plongeon correct, avec un seul défaut : le bas de son bikini descendit presque à ses genoux. Se rendant compte du soucis, l’élan fut interrompu, les deux mains destinées à nager, remettant illico, le bout de tissu en place.
Sur le bord de la piscine, ses consoeurs pouffaient de rire, et je ne pus m’empêcher de sourire également. Elle nagea vers moi en manifestant son irritation.
« Inutile de se moquer, on est là pour apprendre. »me lança t’elle.
« Je pense que le bikini n’est pas adapté à cet exercice. Vous devriez , en vue de l’examen,
vous équiper avec un maillot d’une seule pièce. Vous êtes trois à être mieux vétues pour bronzer que pour nager. »
Léa, qui me connaissait, un peu mieux que les autres, était devant moi, et s’apprétait à monter à l’échelle. Alors que j’arrivais derrière elle, elle recula légèrement, et je sentis une main, me frôler sous l’eau.
« Ce genre de maillot ne t’a pas toujours déplu » railla t’elle
Une fois sur le bord, je proposais aux filles qui avaient les maillots les plus sports, Sophie, et Virginie, d’enchainer le plongeon avec une longueur de bassin, pendant que les autres essaieront d’améliorer leur technique d’entrée dans l’eau. Léa me dit alors qu’elle avait peut-être un maillot, plus sport, qui pourrait convenir.
« OK, va donc le passer » lui dis-je
« Ce n’est pas vraiment un maillot de natation » compléta t’elle « tu pourrais le voir et me dire, si à ton avis, ce serait OK ? »
J’acquiesçai et laissai mon chrono à une des filles, suivant Léa qui m’entraina vers les vestiaires. Pour les cours de sport, nous utilisions des vestiaires collectifs, l’occasion, pour moi de vérifier que celui des filles était, en tous points, semblable au nôtre. Un grand espace muni de bancs en bois, et de porte-manteaux, où s’entassaient, ça et là les affaires des filles. L’espace était precé d’un côté d’un accès, donnant sur les douches collectives.
Léa se dirigea, immédiatement vers un coin, et fouilla dans un sac de sport. Avec un « le voilà » de triomphe, elle en ressorti un maillot de bain, une pièce, noir, qui me sembla ridiculement petit.
« C’est petit, non ? » constatai-je
« attends, il faut le voir sur moi. » répondit Léa.
Sans attendre, elle détache son soutien-gorge, qui échoue sur un banc, puis, tirant sur les ficelles de sa culotte, défait les nœuds sur ses hanches. Le tissu tombe à terre, dévoilant sa toison de rouquine, taillée en triangle, autour de sa fente. Nue, elle se saisit du maillot noir et l’enfile rapidement. Le résultat est impressionnant, mais pas vraiment côté natation. Le bout de tissu est tendu sur son corps, largement échancré sur les hanches, dégageant les fesses assez largement. Les bretelles posées sur les épaules, s’évasent lentement en triangle, en un profond décolleté qui descend jusqu’au nombril, laissant une large vallée découverte, entre les deux seins dont les rotondités débordent sur les côtés, le tissu faisant ressortir leurs pointes érigées.
Je suis bouche bée devant ce spectacle.
« ça ira, tu crois ? » demande t’elle presque innocemment
« Avec un tel maillot, tu n’auras pas besoin de nager pour avoir la note maxi. » ne puis-je qu’ironiser.
« En attendant, j’en connais un qui ne peut pas retourner à la piscine dans cet état. » me dit elle en regardant mon slip de bain déformé par une érection indiscrète.
« Viens prendre une douche, ça calmera tes ardeurs » me dit elle, en se dirigeant vers les douches. »
Heureusement, nous sommes en pleine matinée, et les lieux son inoccupés. Suivant son conseil, je me positionne sous un jet. Léa vient alors se doucher, juste à côté, et sous l’eau tiède qui ruisselle sur son corps, entreprend de se frictionner, en me dévisageant. Inutile de dire que l’effet de la douche est , quelque peu anéanti par le spectacle, et, au lieu de se calmer, mon excitation grandit.
« On dirait que la douche ne suffit pas » murmure Léa « il va falloir trouver autre chose. »
Abandonnant sa douche, elle vient me rejoindre sous la mienne. Elle passe rapidement ses mains le long de mon corps, et faufile ses doigts sous mon maillot, libérant ma queue, qu’elle empoigne aussitôt. S’agenouillant, elle saisit les bords de mon slip et le tire vers le bas, sur mes pieds, puis, ses mains remontent le long de mes jambes, et passent derrière, pour se saisir de mes fesses. Sa bouche vient alors gober mon sexe, qu’elle engloutit, de plus en plus profondément, se servant de ses mains pour tirer à elle mon bassin, et me sucer de plus en plus vite. Je sens le plaisir monter en moi, mais à ce moment, j’ai soudain envie d’autre chose.
Je me dégage et la remets debout. Elle me regarde avec étonnement, mais lache un soupir d’aise quand je fais glisser les bretelles de son maillot. Je tire de chaque côté, délivrant ses seins, que je tête avidement. Mes mains ne restent pas inoccupées, et je continue à la dépiauter, jusqu’à lui oter complètement cette seconde peau. Accroupi devant elle, ma bouche trouve naturellement sa chatte , qui est déjà prête. Ma tête au creux de son triangle d’or, je lèche, je tête, je mordille, je suce, je pointe ma langue le plus profondément possible.
La belle est sensible à mes caresses. Elle passe une jambe par dessus mon épaule, pour me donner un accès, encore plus facile à son intimité. Les doigts fourrageant dans mes cheveux, elle m’encourage de la voix, sans retenue. J’introduis mes doigts, d’abord dans son sexe, puis dans son cul, et la ramone manuellement.
L’intensité de nos caresses, se fait plus chaudes, mais elle y met fin, tout à coup. Se relevant, elle se tourne contre le mur, et se met en appui, ambes légèrement ouvertes, son cul ferme tendu.
« Viens maintenant ! » me dit elle fiévreuse.
Je viens me coller à elle, et guidant ma verge, pénètre d’un coup cette cavité qui n’attendait que ça. La douche ruisselant sur nous, je la pistonne de plus en plus fort. Ses gémissements et mes râles résonnent dans l’espace carrelé, tandis que le claquement de mon bassin sur ses fesses cadence nos élans. Elle se cambre de plus en plus, presque à 90 degrés. Je sens monter le plaisir qui va bientôt me déborder. Léa gémit de plus en plus. Je profite de l’environnement humide pour venir chatouiller son anus. Elle continue d’osciller sans marquer de réticence. J’enfonce alors un doigt jusqu’à la garde dans son petit trou. La vision de ce doigt, déclenche mon plaisir et j’explose dans un cri rauque. Un instant plus tard, c’est elle qui avec des cris de bonheur vient à son tour.
Il nous faut quelques instants pour reprendre nos esprits, avant de nous séparer, pour nous rincer abondamment.
A ce moment j’entends quelques petits rires étouffés. Je remets mon maillot et découvres les autres filles planquées derrière le mur des douches.
« ça ira les filles ? »
« Voilà un cours avec tous les détails, et les travaux pratiques » me lance Viginie, tandis que ses amies pouffent de rire.
« En tout cas, le professeur s’investit pleinement » ajoute Sophie
Elles ont toutes les joues rouges, et je ne serais pas surpris qu’elles aient profité du spectacle, pour leur plaisir personnel. Je ne dois pas me laisser submerger, donc :
« La semaine prochaine, c’est, maillot de natation, une pièce, pour chacune ! La punition sera la même qu’aujourd’hui pour celle qui ne sera pas bien équipée ! » lançai-je avant de quitter les lieux.
Une fois dans le couloir, je me dis que j’avais peut-être joué avec l
Cette histoire se passe l’année du BAC. Nous avions le sport en Option, avec duex choix possible : Athlétisme, ou Natation. J’étais pluôt nul en athlé, mais, heureusement, je pratiquais la natation en club, depuis 5 ans. Oh, pas de quoi devenir un champion, mais j’étais suffisamment entrainé pour le niveau demandé au Bac, et je pouvais glaner, ainsi quelques points supplémentaires.
Nous étions, ce jour là, à la piscine, avec notre prof de sport, qui devait nous chronométrer, pour voir si l’option choisie était judicieuse, et si nous avions des chances de bien figurer.
Le groupe était restreint, car, beaucoup d’étudiants avaient choisi l’athlétisme. Seul une douzaine avec une majorité de filles, sans doute peu à l’aise avec l’athlé, avaient choisi la natation.
Une fois en maillot de bain, nous commençons par plonger et nager un peu pour nous acclimater à la température de l’eau. Le prof nous rassemble ensuite pour nous indiquer le temps à faire sur 50 metres : en nage libre, c’est le crawl, il faut atteindre 29,3 secondes au 50m, pour obtenir la note maxi. En brasse, moins rapide, le temps est fixé à 36 secondes. Puis, un par un, nous devons faire notre longueur de bassin chronométré. Les filles passent en premier, et il faut bien dire que les temps sont catastrophiques, à l’exception d’une fille : Jeane, que je connais un peu, et qui est bien entrainée car elle fait de la natation synchronisée.
Mon tour arrive bientôt, et je choisis le crawl. Au top, je suis parti. Comme à l’entrainement, je déroule, et arrive avec un temps de 29,1secondes. Pas exceptionnel, mais suffisant pour avoir la note maxi. Le prof de sport me demande alors si je peux faire une longueur en plus, mais en brasse, cette fois-ci. Je m’élance avec un peu plus de détermination, car je sais que ce sera plus difficile. Très vite, je suis rassuré, j’ai un bon rythme, ma coulée est limpide, et je boucle mes 50m en 35 secondes.
Mon prof de sport a hoché la tête d’approbation en regardant son chrono.
Alors que je sors du bassin pour laisser ma place, il me fait signe d’aller le voir.
« Tes temps sont nickel, me dit il, mais il faut que je fasse travailler les autres. Ce qui serait bien , c’est de prendre avec toi un groupe de filles pour leur apprendre à plonger. »
Effectivement, le plongeon n’est visiblement pas leur action favorite, et j’ai assisté, un peu plus tôt à un festival de « plats », et certaines sautaient même en se bouchant le nez, tout en essayant de ne pas se mouiller les cheveux. A part quelques unes, il y avait vraiment de quoi progresser.
« C’est que… on part de loin là. Il y en a une ou deux qui n’ont jamais plongé. »
« Oui, je sais,je sais, » me repond le prof. « mais si déjà elles arrivent à un semblant de plongeon, au moins elle gagneront du temps. On essaiera ensuite de les faire nager un peu plus vite. »
Sur ce il rameute tout le monde, et forme un petit groupe de filles, qui vont apprendre à plonger, avec moi, pendant que lui entrainera, le reste du groupe à améliorer ses temps. En fait, elles sont quatre qui n’ont que de vague notions du plongeaon, et qui viennent avec moi à la ligne d’eau 8, qui m’a été réservée pour cet exercice. Je les connais déjà. Il y a Sophie, grande brune, vétue d’un maillot une pièce, Nathalie, une jolie fille aux cheveux courts et bouclés, qui porte un maillot deux pièces Orange qui tranche sur sa peau mate, Virginie, Cheveux chatain, mi-longs, et maillot deux pièces, assez sport, et enfin Léa, qui a partagé quelques unes de nos aventures pendant notre voyage de fin d’études.
Les quatre donzelles, m’écoutèrent , pendant que, au bord du bassin, je leur expliquai, avec force mouvements, ce que devait être un plongeon.
Elles n’avaient pas de questions, mais je sentais qu’elles avaient une appréhension. Je montais donc sur un plot, et exécutai un plongeon, le plus fluide possible, avant de remonter sur le bord :
« Le plongeon doit vous aider à entrer dans l’eau, et à lancer votre nage, sans heurts, et sans vous ralentir, à défaut de vous faire gagner du temps. »
« Tout à l’heure, il y a vait un type qui nageait super vite. » lança Virginie
« oh, ouais, il speedait, c’était terrible. » ajouta Sophie
Léa, me regardait, les yeux plissés, mais je ne disais rien. Les deux autres, réalisant que nous faisions partie du même groupe :
« ah, mais, c’était toi ? «
Je ne commentai pas cette déduction, mais proposais à Sophie de s’approcher du bord.
« Je monte sur le plot ? » demanda t’elle en s’avançant.
« Non, c’est inutile, on va partir au ras de l’eau, au début. Avances jusqu’au bord.Maintenant tu fléchis les jambes, tu penches la tête en avant, entre tes bras, et tu vises le fonds, en biais, et tu détends tes jambes, vers l’avant, en enroulant ton corps, comme autour d’un axe. »
S’ensuivit un plat phénoménal.
Alors qu’elle barbotait en tentant de revenir, je fis avancer Nathalie, et vins me placer derrière elle. Je l’entourais de mon bras, et vint appliquer ma main sur son ventre.puis je l’obligeais à plier les jambes er accompagnais son mouvement. Je sentais son corps chaud, contre le mien. J’avançais mon buste, pour la faire se pencher vers l’avant, guidant ses bras, en pointe au dessus de sa tête.
« tu vas basculer autour de ma main. Laisse toi aller, ne te tends pas. Il faut que ta tête soit ton entrée dans l’eau, et que tout ton corps passe par ce point d’entrée. »
« je vais te pousser légèrement, tu laisses aller, et tu tends ton corps seulement quand ta tête est déjà dans l’eau..
Une après l’autre, les jeunes filles passaient entre mes bras, avant de rejoindre le bassin. A chaque fois, leur joli postérieurs venaient se frotter contre moi, et j’avais de plus en plus de mal à rester concentré sur ma tâche. Le problème apparut avec celles qui avaient opté pour un maillot deux pièces. Quand elles plongeaient, le bas du maillot glissait, dévoilant leur postérieur. Aussitôt, elles cessaient de nager pour remettre en place le bout de tissu, mais, que de temps perdu.8
Afin de leur éviter des plats douloureux, je m’immergeais dans la piscine, et , nageant sur place, leur indiquait où entrer dans l’eau. Trop près du bord, c’était inefficace, et trop loin, c’était un peu dangereux pour elles. Bien entendu, je me tenais sur le côté, les priant de ne pas s’élancer sur moi, mais de considérer ma position comme une ligne à ne pas franchir hors de l’eau. Les résultats s’amélioraient doucement, mais arrivé au tour de Léa, celle-ci effectua devant mes yeux, un plongeon correct, avec un seul défaut : le bas de son bikini descendit presque à ses genoux. Se rendant compte du soucis, l’élan fut interrompu, les deux mains destinées à nager, remettant illico, le bout de tissu en place.
Sur le bord de la piscine, ses consoeurs pouffaient de rire, et je ne pus m’empêcher de sourire également. Elle nagea vers moi en manifestant son irritation.
« Inutile de se moquer, on est là pour apprendre. »me lança t’elle.
« Je pense que le bikini n’est pas adapté à cet exercice. Vous devriez , en vue de l’examen,
vous équiper avec un maillot d’une seule pièce. Vous êtes trois à être mieux vétues pour bronzer que pour nager. »
Léa, qui me connaissait, un peu mieux que les autres, était devant moi, et s’apprétait à monter à l’échelle. Alors que j’arrivais derrière elle, elle recula légèrement, et je sentis une main, me frôler sous l’eau.
« Ce genre de maillot ne t’a pas toujours déplu » railla t’elle
Une fois sur le bord, je proposais aux filles qui avaient les maillots les plus sports, Sophie, et Virginie, d’enchainer le plongeon avec une longueur de bassin, pendant que les autres essaieront d’améliorer leur technique d’entrée dans l’eau. Léa me dit alors qu’elle avait peut-être un maillot, plus sport, qui pourrait convenir.
« OK, va donc le passer » lui dis-je
« Ce n’est pas vraiment un maillot de natation » compléta t’elle « tu pourrais le voir et me dire, si à ton avis, ce serait OK ? »
J’acquiesçai et laissai mon chrono à une des filles, suivant Léa qui m’entraina vers les vestiaires. Pour les cours de sport, nous utilisions des vestiaires collectifs, l’occasion, pour moi de vérifier que celui des filles était, en tous points, semblable au nôtre. Un grand espace muni de bancs en bois, et de porte-manteaux, où s’entassaient, ça et là les affaires des filles. L’espace était precé d’un côté d’un accès, donnant sur les douches collectives.
Léa se dirigea, immédiatement vers un coin, et fouilla dans un sac de sport. Avec un « le voilà » de triomphe, elle en ressorti un maillot de bain, une pièce, noir, qui me sembla ridiculement petit.
« C’est petit, non ? » constatai-je
« attends, il faut le voir sur moi. » répondit Léa.
Sans attendre, elle détache son soutien-gorge, qui échoue sur un banc, puis, tirant sur les ficelles de sa culotte, défait les nœuds sur ses hanches. Le tissu tombe à terre, dévoilant sa toison de rouquine, taillée en triangle, autour de sa fente. Nue, elle se saisit du maillot noir et l’enfile rapidement. Le résultat est impressionnant, mais pas vraiment côté natation. Le bout de tissu est tendu sur son corps, largement échancré sur les hanches, dégageant les fesses assez largement. Les bretelles posées sur les épaules, s’évasent lentement en triangle, en un profond décolleté qui descend jusqu’au nombril, laissant une large vallée découverte, entre les deux seins dont les rotondités débordent sur les côtés, le tissu faisant ressortir leurs pointes érigées.
Je suis bouche bée devant ce spectacle.
« ça ira, tu crois ? » demande t’elle presque innocemment
« Avec un tel maillot, tu n’auras pas besoin de nager pour avoir la note maxi. » ne puis-je qu’ironiser.
« En attendant, j’en connais un qui ne peut pas retourner à la piscine dans cet état. » me dit elle en regardant mon slip de bain déformé par une érection indiscrète.
« Viens prendre une douche, ça calmera tes ardeurs » me dit elle, en se dirigeant vers les douches. »
Heureusement, nous sommes en pleine matinée, et les lieux son inoccupés. Suivant son conseil, je me positionne sous un jet. Léa vient alors se doucher, juste à côté, et sous l’eau tiède qui ruisselle sur son corps, entreprend de se frictionner, en me dévisageant. Inutile de dire que l’effet de la douche est , quelque peu anéanti par le spectacle, et, au lieu de se calmer, mon excitation grandit.
« On dirait que la douche ne suffit pas » murmure Léa « il va falloir trouver autre chose. »
Abandonnant sa douche, elle vient me rejoindre sous la mienne. Elle passe rapidement ses mains le long de mon corps, et faufile ses doigts sous mon maillot, libérant ma queue, qu’elle empoigne aussitôt. S’agenouillant, elle saisit les bords de mon slip et le tire vers le bas, sur mes pieds, puis, ses mains remontent le long de mes jambes, et passent derrière, pour se saisir de mes fesses. Sa bouche vient alors gober mon sexe, qu’elle engloutit, de plus en plus profondément, se servant de ses mains pour tirer à elle mon bassin, et me sucer de plus en plus vite. Je sens le plaisir monter en moi, mais à ce moment, j’ai soudain envie d’autre chose.
Je me dégage et la remets debout. Elle me regarde avec étonnement, mais lache un soupir d’aise quand je fais glisser les bretelles de son maillot. Je tire de chaque côté, délivrant ses seins, que je tête avidement. Mes mains ne restent pas inoccupées, et je continue à la dépiauter, jusqu’à lui oter complètement cette seconde peau. Accroupi devant elle, ma bouche trouve naturellement sa chatte , qui est déjà prête. Ma tête au creux de son triangle d’or, je lèche, je tête, je mordille, je suce, je pointe ma langue le plus profondément possible.
La belle est sensible à mes caresses. Elle passe une jambe par dessus mon épaule, pour me donner un accès, encore plus facile à son intimité. Les doigts fourrageant dans mes cheveux, elle m’encourage de la voix, sans retenue. J’introduis mes doigts, d’abord dans son sexe, puis dans son cul, et la ramone manuellement.
L’intensité de nos caresses, se fait plus chaudes, mais elle y met fin, tout à coup. Se relevant, elle se tourne contre le mur, et se met en appui, ambes légèrement ouvertes, son cul ferme tendu.
« Viens maintenant ! » me dit elle fiévreuse.
Je viens me coller à elle, et guidant ma verge, pénètre d’un coup cette cavité qui n’attendait que ça. La douche ruisselant sur nous, je la pistonne de plus en plus fort. Ses gémissements et mes râles résonnent dans l’espace carrelé, tandis que le claquement de mon bassin sur ses fesses cadence nos élans. Elle se cambre de plus en plus, presque à 90 degrés. Je sens monter le plaisir qui va bientôt me déborder. Léa gémit de plus en plus. Je profite de l’environnement humide pour venir chatouiller son anus. Elle continue d’osciller sans marquer de réticence. J’enfonce alors un doigt jusqu’à la garde dans son petit trou. La vision de ce doigt, déclenche mon plaisir et j’explose dans un cri rauque. Un instant plus tard, c’est elle qui avec des cris de bonheur vient à son tour.
Il nous faut quelques instants pour reprendre nos esprits, avant de nous séparer, pour nous rincer abondamment.
A ce moment j’entends quelques petits rires étouffés. Je remets mon maillot et découvres les autres filles planquées derrière le mur des douches.
« ça ira les filles ? »
« Voilà un cours avec tous les détails, et les travaux pratiques » me lance Viginie, tandis que ses amies pouffent de rire.
« En tout cas, le professeur s’investit pleinement » ajoute Sophie
Elles ont toutes les joues rouges, et je ne serais pas surpris qu’elles aient profité du spectacle, pour leur plaisir personnel. Je ne dois pas me laisser submerger, donc :
« La semaine prochaine, c’est, maillot de natation, une pièce, pour chacune ! La punition sera la même qu’aujourd’hui pour celle qui ne sera pas bien équipée ! » lançai-je avant de quitter les lieux.
Une fois dans le couloir, je me dis que j’avais peut-être joué avec l
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