Bal de campagne

- Par l'auteur HDS Poesexe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Bal de campagne Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bal de campagne
BAL DE CAMPAGNE
Cette histoire vraie, date de longtemps, mais je ne l’ai jamais oubliée, comme beaucoup de celles qui peuplent ma mémoire.
J’avais une vingtaine d’années, et , comme beaucoup de mes congénères, j’effectuais mon service militaire, loin de mon sud natal, dans une sombre garnison de l’est de la France.
Ne pouvant rentrer chez moi, à chaque permission, je passais ces week-ends, ici ou là dans de la famille, plus ou moins éloignée, que je recontactais à l’occasion.
Cette permission de trois jours, se passerait chez mon cousin Pierre, qui habitait un petit village de campagne dans l’est de la France.
Quand je dis un village, c’est vraiment très petit. Un bourg de 150 âmes, tout au plus. Une rue principale, avec des fermes, de chaque côté, qui coupe la départementale, où les autos
Traversent sans même ralentir, et dont les occupants doivent à peine se douter qu’il y a là
Une véritable commune.
Sitot débarqué, je me rends chez Pierre, ou plus précisémment, chez ses parents. Le père de Pierre est à la tête d’une grosse exploitation agricole. Rien d’extravagant, car toutes les fermes du village sont à la tête d’exploitations, dont la taille me semble énorme, comparée aux petites parcelles de terre de nos fermes du Gers.
Rapidement je salue sa mère, ma tante, une accorte femme au foyer, et nous nous retrouvons dans la chambre de Pierre. Pierre est un gars de 1, 70m, assez costaud, qui, en attendant de reprendre la ferme continue des études dans un lycée agricole.
Comme toujours, nous sommes ravis de nous revoir, mais j’ai un peu peur de m’ennuyer, car les distractions ne sont pas légions dans ce coin.
Pierre me rassure, en me disant que, ce soir, il y a un bal, dans un village à dix kilomêtres d’ici, où c’est la fête, et demain un autre village, un peu plus lointain.
Il me propose, alors, de faire le tour du village, pour rameuter, les quelques jeunes qui sont revenus pour le week-end.
Aussitôt nous voilà partis, pour une autre batisse, une cinquantaine de mêtres plus loin. Là, je fais la connaissance de Christophe, un de ses copains, qui se montre enthousiaste à l’idée de cette sortie. Son frère, plus agé de deux ans va arriver bientôt et sera sans doute de notre soirée.
-En plus, dit-il, je pourrais piquer la bagnole du papy, pour y aller.
Chemin faisant vers la prochaine halte, je signale à mon cousin que je suis également motorisé, mais il me dit que nous pourrons tous monter dans la voiture du Papy.
Quelques minutes de marche et nous entrons dans la cour d’une grosse ferme. Des batiments sur trois côtés et le quatrième est un corps d’habitation. Sans hésiter Pierre va frapper à la porte.
Nous entendons crier « j’arrive ! » et le bruit de pas dévalant un escalier de bois. La porte s’ouvre soudain sur une jeune fille qui nous sourit
- Ah, c’est toi ! fait elle à Pierre avant de lui claquer deux bises, avant de se tourner vers moi, pour en faire autant, pendant que Pierre fait les présentations.
Elle s’appelle Catherine. C’est un joli brin de fille aux cheveux chatain, aux yeux verts, de taille moyenne, je dirais 1,65m,. Elle est vétue d’un short en jean d’où sortent deux jambes fines dorées à souhait et d’un débardeur en coton sous lequel pointent les bouts de ses seins.
Tandis que Pierre parle de notre soirée, elle l’écoute, en me dévisageant, une moue boudeuse sur ses lèvres pulpeuses.
-C’est OK, dit elle enfin, Marie viendra aussi, mais on doit diner avec les parents, et on ne sort qu’après, vers 23h.
Après quoi, elle nous sourit de nouveau, avant de nous lancer
-Alors, à ce soir ! et de s’enfuir à l’intérieur.
Notre tour se termine et nous regagnons la maison de Pierre. Un problème se pose.
Il n’y a pas de chambre libre chez lui, mais il me propose de dormir dans le salon sur le canapé. Je lui réponds que les nuits sont encore douces et que je dormirais dans ma voiture.
Le soir venu, après le diner, nous sommes fin prêts. Pierre a passé un pantalon de velours et une chemise . Quand à moi, j’ai un jean propre, une chemise noire et un blouson de cuir fauve. Nous nous rendons en premier chez Christophe, ou je fais la connaissance de Michel, son frère, qui sera vraisemblablement l’ainé de notre bande, puisqu’il a 25 ans.
Après quelques verres pour nous mettre en train, nous découvrons, notre carrosse, une 403 break, qui, à mon avis, ne fera pas l’aller retour. Mais les copains me rassurent en me disant que cette vénérable tourne comme une horloge, malgré son age.
L’intérieur est à peine moins poussiéreux que l’extérieur.
Nous nous armons de chiffons et tachons de redonner un aspect plus clinquant à ces banquettes en skai disposées en trois rangées, et pouvant accueillir jusqu’à 9 personnes.
Michel prend, d’autorité le volant, et manie avec aisance la curieuse boite de vitesse au volant.
Nous passons ensuite récupérer les deux filles. Marie, l’ainée des deux sœurs, et un peu plus petite que sa sœur. C’est une brune aux longs cheveux, aux yeux noirs et à la peau mate. Elle a le même sourire que sa sœur mais est physiquement très différente.
_Je vois qu’il y a du nouveau. Dit elle en me regardant. Elle est vétue d’un pantalon de cuir noir, et d’un pull col en V assez décolleté qui laisse deviner des formes plus opulentes que Catherine. Celle-ci a opté pour une jupe mini, et un chemisier ample à rayures. Les deux filles ont opté pour des bottines à très haut talons.
Nous discutons, quelques minutes et Marie, apprenant que je n’ai pas de point de chute précis, me dit :
-Tu peux dormir ici, si tu veux.
-Chez vous
-Non pas chez nous, mais là. Dit elle en désignant un batiment sur le coté. Un escalier de bois monte le long de la façade jusqu’à une porte, à l’étage.
- Ce sont les chambres pour les saisonniers. On ne s’en sert plus, mais c’est habitable. En tout cas, ce sera mieux que ta voiture.
J’accepte la proposition, et nous embarquons tour dans la voiture, Michel au volant, Marie à sa droite, Christophe et Pierre derrière, tandis que je me faufile sur la troisième banquette juste après Cathy. En me faufilant à l’arriére je me retrouve face à elle, et, du fait du plancher surélevé, je bénéficie au passage d’une vue dégagée sur ses longues cuisses et une minimaliste culotte de dentelle blanche. Elle s’en est rendu compte, forcément, mais fait mine de rien. Je m’assieds en gardant un air détaché.
Après vingt minutes de route, nous arrivons à un petit village, visiblement en effervescence.
Nous parquons la voiture sur un talus, avant de partir déambuler dans les rues du bourg. La fête foraine bat son plein, sur la place. Nous voici embarqués dans les auto tamponneuses. Pierre est avec Marie, et Cathy monte avec moi. Christophe est seul. Son frère Michel est parti à la recherche de copains qu’il doit retrouver ici.
-Prends le volant, me dit Cathy, en se faufilant à mes côtés .L’espace est restreint, et elle se colle à moi. Nous démarrons, et nous faisons rapidement percuter, par les autres voitures. Tandis que j’essaie de répliquer au mieux, projetant violemment notre petit véhicule sur les autres, Elle passe son bras derrière moi et s’accroche pour ne pas être trop ballotée. Les secousses, la font sursauter, malgré ses jambes arc-boutées contre le fond de la caisse, et sa jupe est remontée assez largement. Je suis trop occupé pour le vérifier, mais j’imagine que tous les autres conducteurs ont une vue , maintenant dégagée sur sa culotte, ce qui expliquerait qu’ils nous tamponnent de plus en plus. Malgré tout, cela la fait rire. LÄchant, le volant d’une main, je l’entoure de mon bras droit, et passant sous le sien, je l’attire à moi pour la bloquer, le bout de mes doigts plaqué sur son sein. Lorsque le tour s’arrête, elle se dégage pour sortir, et je peux constater, que sa jupe ne couvre plus grand chose. Elle s’extrait de l’auto-scooter, et tire sur son vêtement. Les trois autres, en profitent pour la charrier :
- Quand on va sur les manèges, il faut être équipé ! rient ils, alors qu’elle hausse les épaules et leur tire la langue.
On passe au stand de tir, où Christophe et Pierre, tous deux chasseurs, font un carton et gagnent des peluches. Puis c’est un manège appelé Skylab, avec des nacelles pour deux.
Je me retrouve cette fois avec Marie, et c’est Pierre qui est seul ; Cathy est avec Christophe.
Les Nacelles commencent à tourbillonner de plus en plus vite, avant de s’élever. Je suis à droite et vu la petitesse de la nacelle, j’enlace Marie, qui a tendance à glisser sur la banquette de skai. La machine, accélère, monte et descend au rythme des cris de passagers. Nous descendons, tout ébouriffés, et nous dirigeons vers le train fantôme. Marie passe en premier et m’invite à la suivre. Le wagonnet démarre et nous sommes vite dans le noir. Au milieu des ricanement sinistres, des éclairs et des apparitions de squelettes, une main passe derrière ma nuque et une bouche chaude vient se coller sur la mienne. Cela ne fait surement pas partie de l’attraction.
Comme je suis un gars poli, je rends le baiser qui se transforme en un énorme patin, ma main partant à la découverte d’une poitrine que je trouve libre sous le pull léger. J’empoigne un sein que je malaxe, avant de m’occuper du téton qui pointe durement. Une main audacieuse parcourt mon torse et descend pour de figer sur la bosse qui déforme mon jean.
Nous émergeons, tout à coup à la sortie, et reprenons le plus rapidement possible une tenue décente. Heureusement, les autres sont derrière et n’ont rien pu voir. Quand ils émergent du manège, je me demande si Christophe n’a pas profité de l’obscurité pour opérer un rapprochement avec Cathy.
Quelques instants plus tard, nous retrouvons Michel, au bras d’une jolie fille, blonde comme les blés, et visiblement très amoureuse.
Tous ensemble, nous nous dirigeons vers la halle couverte. Les arches entre les poteaux de pierre sont , aujourd’hui fermées par d’épaisses toiles tendues, transformant l’édifice en une immense aire fermée. Une fois notre entrée payée, et nos poignets dûment tamponnés, nous pénétrons dans l’enceinte surpeuplée. A une extrémité, sur une scène un groupe joue les derniers succès, avec ses propres arrangements. Tout le pourtour de l’espace est occupé par des tables rectangulaires et des bancs. Toutes sont occupées, mais nous n’en avons cure et nous lançons vaillament sur la piste de danse. Il y a du monde. Visiblement, tous les jeunes des alentours se sont donnés rendez-vous ici. Pierre, qui s’est absenté, vient nous prévenir qu’une table s’est libérée. Je le rejoins avec Christophe, et nous installons nos affaires, pour marquer notre territoire, puis l’un de nous se charge d’aller commander les bouteilles et les verres. Ici, on est pas en boite de nuit. Les consommations se limitent à Bière, sodas, ou Champagne. Nous nous cotisons pour une bouteille. De retour à notre table, nous trinquons tous ensemble, avec les filles, avant de repartir danser. A la première série de rock, j’invite une jolie fille, rousse, au regard vert clair, assez à mon goût, mais elle s’échappe à la fin du morceau. A peine libéré, je suis invité (une fois n’est pas coutume) par une fille un peu boulotte aux cheveux chatain, à la bouche rouge et au sourire éclatant, qui ne manque pas d’entrain. Puis, une blonde, chemise et pantalon en blue jean, partage une danse avec moi, juste avant que l’orchestre lance une série de slow. Ma dernière cavalière,ne proteste pas quand je l’enlace, alors que les lumières se tamisent pour nous laisser dans une pénombre propice aux rapprochements. Les couples oscillent doucement dans la pénombre, je fais connaissance avec ma blonde, qui se nomme Stéphanie. Je la serre de près, en essayant de trouver quelques réparties qui pourraient la faire rire. Comme elle est du coin, et que presque tout le monde se connaît, mon statut d’étranger est vite démasqué.
- J’ai bien vu que tu n’es pas du coin. Que viens tu faire ici ? me dit elle
- Je viens voir si je ne pourrais pas repérer une cow-girl en Jean, pour faire du rodéo.
Elle rit, et me répond.
- Tu dis ça à cause du Jean. Ça ne te plait pas ?
- Au contraire, ça m’a l’air bien pratique, dis-je en faisant sauter un des boutons pression de sa chemise. Ouvrant son décolleté.
- Hé, là ! tu m’as l’air bien pressé ! s’exclame t’elle, sans pour autant se dégager
Je tire un peu sur l’ouverture et une autre pression cède, suivie d’une deuxième. Dans l’échancrure de la chemise, maintenant ouverte presque jusqu’au nombril, je glisse une main et m’empare d’un sein rond et ferme, libre de tout vêtement.
Je m’attends à une rebuffade, mais elle se serre contre moi, écrasant ma main sur son sein, et me murmure
-Attention, on pourrait nous voir.
Je fais rouler son téton sous mes doigts et lui demande :
-Tu veux que j’arrête ?
Elle ne me répond pas, mais colle ses lêvres sur les miennes pour un baiser, court, mais intense, sa main sur ma nuque. Je délaisse son sein pour descendre sur sa taille, dégraffant encore plus son chemisier.J’ai mes deux mains sur sa taille, à même la peau, et je descends sur ses reins pour la plaquer contre moi, et lui faire sentir mon érection.
- Oh, le vilain garçon ! me glisse t’elle à l’oreille, tout en me plaquant contre elle, démentant ainsi ses paroles.
- Par dessus son épaule, je croise le regard de Cathy, lovée contre un gars qui la serre de près, et l’embrasse dans le cou.
La série de slows s’éternise, et notre flirt devient torride.
- Allons prendre l’air me dit elle, en s’écartant pour refixer deux ou trois pressions et avoir l’air presque décente.
Nous nous faufilons parmi les danseurs et gagnons la sortie.
Dehors, nous traversons une rue et nous retrouvons dans un petit parc . Nous écartant du chemin principal, je dirige ma compagne vers les arbres, mais, sortant de la futaie, nous tombons sur Cathy, qui s’adosse à un chène et nous dévisage.
-Tu fais quoi ? me dit elle
- Ben, on est sorti prendre l’air, et toi ?
-Je fume une clope, dit elle en en allumant une. Tu en veux ?
Je refuse l’offre ,mais Stéphanie accepte.
- Tu le connais ? lui demande Cathy
- Pas vraiment. On vient de se rencontrer. ET TOI ?
- Moi non plus, répond Cathy, mais je devine ce que vous alliez faire.
Devant mes yeux étonnés elle s’approche de Stéphanie, saisit les deux pans de sa chemise, et les écarte, faisant sauter, un à un les pression, jusqu’à ce que le vêtement s’ouvre et découvre deux seins bronzés que je n’avais pas encore vus. De sa main libre elle caresse la poitrine de la blonde, puis se penche pour gober un téton, puis l’autre entre ses lèvres. La blonde Stéphanie me fixe, bouche ouverte, sensible à la caresse.
Cathy écrase sa cigarette, par terre, et plaque Stéphanie contre l’arbre. Tranquillement, elle se recule pour défaire la ceinture , et dégraffer les boutons du Jean, de haut en bas. Le pantalon s’écarte et s’entrouvre, laissant le passage à une main fureteuse qui se glisse à l’intérieur.
Au sursaut de Stéphanie, je comprends que Cathy a pris possession de sa chatte. Elle agite sa main en elle, provoquant des gémissements de plaisir. Puis elle se colle à elle et les deux femmes s’embrassent longuement, tandis que la blonde glisse ses mains sous le débardeur de la brune, pour l’étreindre.
Cathy s’écarte brusquement, et s’exclame :
-Allez ! allons danser maintenant !
Et elle s’éloigne brusquement vers le bal, me laissant face à Stéphanie, génée, qui referme hativement sa chemise avant de s’enfuir.
Je rejoins le bal et retrouve Michel et Pascale, sa blonde amie, qui se désaltèrent en flirtant un peu, à notre table. Marie nous rejoint bientôt, et une nouvelle bouteille de champagne est ouverte. Nous plaisantons en nous moquant gentiment des danseurs. Le DJ lance une seconde série de slows, et j’invite Marie à danser. Dans la pénombre, elle se serre contre moi. Mes mains, descendent le long de son dos, et caressent ses fesses moulées par le cuir.
-Ce pantalon te met superbement en valeur.
-C’est vrai. Il paraît qui me fait un joli cul, mais en contrepartie, je ne peux rien mettre dessous.
-Ah vraiment ?
-Ne me dis pas que tu ne t’en es pas rendu compte. Tu me pelotes assez.
-Il n’y a pas que ton cul qui est ravissant. Dis-je en me penchant sur elle pour prendre sa bouche.
Ses lèvres s’écrasent sur les miennes s’entrouvent et sa langue chaude cherche la mienne.
Mes mains retrouvent ses seins et nous oscillons ainsi, nous couvrant de baisers, nous caressant dans le noir au milieu des autres couples dont certains en font autant. Une main vient se plaquer sur la bosse qui déforme mon Jean et en estime la force avec un soupir d’envie. Je glisse une jambe entre les siennes, et elle se frotte sur moi comme une chatte en chaleur. Elle a ouvert ma chemise explore mon torse du bout des doigts.

La lumière revient d’un coup avec un rythme disco. Nous nous séparons à regret.
- whaou ! tu m’as mis le feu ! me lance t’elle en riant.
- Je ne réponds pas et me contente de danser.
La soirée se poursuit entre danse et de nombreux verres. Nous repartons, largement éméchés, sauf Michel qui conduit. Je m’attendais à voir Marie venir à l’arrière avec moi, mais elle s’installe à côté du chauffeur, comme à l’aller. Je me faufile sur la troisième banquette et y retrouve Cathy, la jupe toujours aussi courte, mais il me semble que sa culotte a disparu. Tandis que nous démarrons et que tout le monde somnole, plus ou moins, je pose ma main sur la cuisse de ma voisine, qui se recule dans son coin sans me repousser. Ma main remonte le long de sa cuisse. Elle est à demi allongée. Quand me doigts rampent sur sa peau vers l’intérieur de sa cuisse, ses jambes s’écartent légèrement et me laissent découvrir sa fente humide dans laquelle j’ai tôt fait d’introduire une phalange, puis deux. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier et j’imprime un doux mouvement de va et vient qu’elle accompagne de son bassin, venant s’empaler sur mes doigts. Je la sens mouiller abondamment, et son souffle devient perceptible. Heureusement le bruit envahissant du moteur couvre ses halètements. Son bassin est pris de saccades de plus en plus rapides, et elle se redresse pour venir mordre mon bras en tremblant, ses cuisses serrées spasmodiquement sur ma main.
Après cet intermède, elle se rejette à l’autre bout de la banquette.
Nous sommes déposés à l’entrée de la cour de ferme endormie. Marie allume une lampe qui éclaire la cour.
-Tu n’as qu’à monter t’installer, me dit elle, je vais t’apporter des draps .
Tandis que je monte l’escalier avec mon sac, récupéré dans l’auto, je vois les deux filles se faufiler dans la maison.
Arrivé au premier, je pousse une porte en bois et découvre une chambre, ou plutôt un dortoir, spacieux meublé de quatre lits et de deux armoires. Une table et une chaise. Le plancher est brut et sous l’unique ampoule l’ensemble paraît spartiate. J’ouvre une armoire, et y dépose mes quelques affaires. J’y prends une couverture que je jette sur un lit.
J’entends des pas sur l’escalier de bois. Marie entre portant des draps et un oreiller.
Elle me demande où je vais dormir, puis elle m’aide à faire le lit.
Les draps bordés, la couverture en place, elle se rapproche de moi pour m’embrasser. Elle me repousse sur le lit, et, sans rien dire fait passer son pull par dessus sa tête, dévoilant sa poitrine pleine et fière. Elle fait sauter deux boutons et commence à se débarrasser de son cuir. Allongé sur le dos, je contemple ce qui s’apparente plus à un épluchage. La peau noire se retrousse peu à peu, et libère un pelvis légèrement bombé sous lequel une courte toison apparaît, au dessus d’une fente bien dessinée, juste ourlée d’un bouton de plaisir à peine visible. Le dépiautage devient plus aisé et je découvre deux cuisses musclées, et, passé les genoux deux jambes toniques finies par de petits pieds charmants. Le pantalon rejoint le pull sur le lit d’à côté tandis qu’elle s’assied au bord du lit et entreprend de me déshabiller. Je l’aide à retirer ma chemise.
Elle déboucle ma ceinture, déboutonne mon jean et le tire d’un coup sec, emportant mon caleçon du même coup, mon érection naissante se développant sous ses yeux.
- Enfin… dit elle, les yeux brillants.
Elle fini d’oter mes vêtements qui finissent en tas. Elle se penche sur mon sexe qu’elle empaume. Elle caresse le gland, longe la tige, et attrape un testicule dans chaque main, qu’elle masse, souriant en voyant se dresser ma rigidité. Elle se penche alors et arrondissant les lèvres vient gober mon gland qu’elle se met à sucer. Petit à petit sa bouche descend et absorbe mon mat de plus en plus profondément ponctuant son avancée de petits coups de langue. Elle s’interromp pour sucer son majeur, et venir titiller mon anus ensuite, sans cesser de me lêcher, et de me malaxer.
Je sens un doigt chatouiller ma rosette et s’introduire dans mon cul.
Je la repousse car je ne vais pas tenir très longtemps à ce rythme.
Elle comprend vite mon souci, et remonte pour m’enfourcher. Elle met ma bite en contact avec sa chatte et s’empale dessus. Elle est brûlante, et je sens avec délices mon sexe s’enfoncer en écartant ses chairs, sans résistance.
Je m’empare de ses seins que je caresse tout autant que je les malmène, mes bras aidant le mouvement d’ascenseur opéré par tout son corps qui vient régulièrement se planter jusqu’à la garde de mon sexe, avec des claquements de peau qui s’accélèrent. Les halètements de la brunette rythment notre coït. Je ne la lâche pas des yeux pendant que le plaisir imminent déforme ses traits. Bouche grande ouverte, elle se met à gémir de plus en plus fort, en prononçant des mots inintelligibles.
Elle ajoute encore de la vitesse, comme prise d’une danse de saint Guy,se penchant en arrière. Elle saisit mes bourses, et les malaxe d’une main. Mes mains sont sur ses hanches et lui impriment des saccades de plus en plus violentes. Je sens mon plaisir irrépressible partir en jets brûlants, tandis qu’elle râle fortement à chaque élan, jusqu’à ce que la source se tarisse petit à petit. Elle s’écroule sur moi et nous restons, de longues minutes, sans bouger.
Elle reprend vie, d’un coup et se relève. Elle s’essuie avec une des serviettes qu’elle a apportée et enfile son pull et ses chaussures. Elle vient m’embrasser, et me murmure :
- Tu fais une bien meilleure affaire qu’avec ma sœur
Puis, sur un sourire elle attrape son futal en cuir, et se dirige vers la porte. Je me lève pour aller refermer derrière elle, et éteindre la lumière extérieure. J’ai juste le temps de la voir trottiner dans la cour, son cul rebondi dansant au-dessous de son pull.

Le lendemain, quand j’ouvre un œil, il fait déjà grand jour. Je m’habille et sors. La cour de la ferme est déserte, mais la porte de l’habitation est ouverte. Je descends les escaliers de bois, et m’approche du corps principal. Je toque à la porte ouverte avant d’entrer.
Marie apparaît dans le grand couloir.
-Entre, viens prendre un petit dej !
Je la suis dans une vaste cuisine assez dépouillée. Elle vient m’embrasser avant d’aller s’asseoir devant un bol de café fumant.
-Assieds toi, dit elle en désignant une chaise au bout de la grande table rectangulaire où un bol m’attend.
-Tu as du café chaud dans le thermos (elle le montre ), du pain, de la confiture maison , et même des croissants.
- Tes parents ne sont pas là ?
-Papa est aux champs, et Maman est partie faire des courses. Je les ai prévenus que tu étais là. Visiblement, mon père connaît bien le tien. Il m’a dit qu’ils ont fait les 400 coups ensemble , dans leur jeunesse.
- Je l’ignorais.
Elle finit son bol et se lève pour aller le déposer dans l’évier.
- Je dois aller nourrir les lapins. Finis tranquilement.
- Je ne vais pas m’éterniser. Puis-je prendre une douche ?
- Oui, c’est à droite au fond du couloir. Cet aprem, on va se baigner, tu veux venir ?
- Pourquoi pas.
- Pierre doit venir aussi, alors à tout à l’heure. Dit elle avant de s’enfuir, sexy en diable dans son petit short en jean et son débardeur, un peu trop large.
Je profite de cette fin de matinée, déjà chaude, et m’octroie un solide breakfast. Le pain est bon, la confiture aussi, et je déguste mon café à petites gorgées, quand Cathy arrive, vétue d’un long tee-shirt rose, les cheveux en bataille, les yeux encore collés de sommeil.
- Salut, me dit elle.
- Salut, bien dormi ?
Elle ne daigne pas me répondre, et se dirige vers les placards, sur le mur opposé. Elle ouvre une porte, et se hausse sur la pointe des pieds, pour atteindre un bol sur l’étagère du haut. Dans le mouvement, le tee-shirt remonte et me dévoile un fessier, petit mais bien rond, avant de retomber. Elle se retourne et vient s’asseoir, face à moi, pour se servir un café, qu’elle sirote en me dévisageant, par dessus son bol.
Je termine mon repas, et me lève pour aller poser, à mon tour, mon bol dans l’évier, avant de sortir, suivi des yeux par la donzelle.
Je trouve facilement la salle de bains. J’avise des serviettes sur une étagère et en prends une avant de me faufiler dans la douche.
Quand j’ouvre la porte pour sortir, je me retrouve face à Cathy, qui me lorgne de la tête aux pieds, sans se soucier de ma pudeur. J’attrape une serviette et m’enroule dedans.
- Tu as fini ? demande t’elle alors.
- Oui, je vais juste me brosser les dents.
Saisissant le bas de son tee-shirt, elle le fait passer par-dessus sa tête, et le balance à terre, m’apparaissant nue comme un ver. Elle est toute en longueur. Des attaches déliées, des seins menus mais pointus, un ventre plat et des hanches à peine marquées pour une fille, un pubis entièrement rasé qui découvre un petit abricot un peu renflé, et de longues jambes fines. Elle m’a laissé quelques secondes pour la détailler, avec l’ombre d’un sourire au coin des lèvres, avant de s’engouffrer dans la cabine, dont le verre dépoli floute ses trésors.

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