Soupçons 3
Récit érotique écrit par Poesexe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Soupçons 3
Olivia partie, je me glisse dans le couloir espérant que ce petit intermède est passé inaperçu.
Au bruit qui émane de la chambre, je comprends que Philippe et Véronique ont eu d’autres préoccupations. Je jette un coup d’œil dans la chambre. Véronique est à quatre pattes et Philippe la besogne allègrement, la faisant couiner son bonheur .
- Oh oui, n’arrête pas, baise moi bien ! ah, je viens, je vien-eeens !
Elle s’immobilise d’un coup, la bouche ouverte, dans un cri muet, et après quelques instants.
- Hmm, tu m’as bien fait jouir, mon chéri.
- Ce n’est pas fini. Lance Phil en salivant sur son anus dans lequel il a enfoncé deux
Doigts. Il sort sont sexe de son vagin et vient l’appuyer sur sa rosette.
Véronique, qui a compris, se laisse tomber, les épaules sur le matelas, tandis que ses deux mains viennent écarter ses fesses.
- Vas-y, encules moi. Dit elle en poussant son bassin vers lui.
Il pousse alors en avant et son gland pénêtre l’anus ainsi offert sans difficulté. Après une courte pause, il lance son bassin en avant et d’un trait, se fiche dans ses reins jusqu’au couilles, lui arrachant une sourde plainte de douleur.
- Ah, fais doucement quand même, se plaint elle.
- Tu as voulu que je t’encule, tu vas prendre dit il, et il se met à la défoncer d’amples
Mouvements, son ventre venant claquer contre son fessier à une cadence de métronome.
Véronique lâche des petits cris de douleur, mais très vite, elle semble y trouver son compte.
- Vas-y encore, plus fort ! allez ! défonce moi mieux ! Tu pensais me faire mal avec ta grosse queue ? Regardes comme elle coulisse bien ! humm, encore ! c’est bon !
Derrière elle, Philippe s’agite et la défonce du mieux qu’il peut, mais elle est insatiable et l’exhorte à ne pas s’économiser. La cadence augmente de plus en plus et elle se met à hululer en continu . Heureusement qu’il n’y a personne dans la maison. Son amant feule dans son dos, se cramponnant à ses hanches. Sous Véro, en appui sur ses bras, ses gros seins ballotent au rythme des secousses qu’il lui imprime. Véronique jouit bruyamment, et il la rejoint dans un râle, avant de sortir et de l’arroser de son sperme. Les deux amants s’effondrent sur le lit essouflés. Je profite de l’accalmie pour m’eclipser, de nouveau excité par le spectacle qu’ils m’ont offert.
Je traverse la maison et rejoins la terrasse, non sans avoir récupéré quelques boissons à la cuisine.
Je rejoins Samantha et Olivia, maintenant assises au bord de leurs transats, et leur offre des bières. Robert nous rejoint et s’assoit avec nous. La peau d’Olivia a légèrement rougi, mais Sam et Robert, qui ont la peau mate n’ont pas ce souci.
- Bien bronzé les filles ? je demande.
- Pas mal, répond Samantha, mais un genre de turbo-réacteur qui s’est mis en marche
Nous a empêchées de nous reposer, dit elle en regardant Robert avec un sourire ironique.
- Moi, je n’ai rien entendu, réplique celui-ci, faussement innocent. Je ne crains pas le soleil comme certains, au point d’aller faire la sieste à l’intérieur, en plein été. D’ailleurs en parlant de dormeurs…
Véronique émerge de la maison, vétue d’un paréo sur son string.
- Bien dormi, ma chérie, lui lance Robert
- On est plus au frais à l’intérieur, répond elle, mais là, j’ai chaud
(Je comprends que l’exercice l’a fait transpirer). Elle se dirige vers la douche en dénouant son paréo, et se jette sous les jets qu’elle vient d’ouvrir.
- Attends nous, lui crie Samantha, On va se débarasser de cette huile solaire
Avant de plonger. Olivia la suit et les trois femmes se succèdent sous la douche, l’eau ruisselant sur leurs corps à peine voilés par leurs slips de bain minuscules. Bientôt
Trois naiades plongent dans l’eau turquoise et Robert et moi les rejoignons.
Dans l’eau, Véronique se rapproche de son mari, et se frotte à lui.
Si il se doutait seulement de ce qui vient de se passer, pensai-je.
Philippe arrive à ce moment là, et coupe court à mes pensées. Dans le bassin un simili water-polo s’improvise, les hommes contre les filles. Evidemment c’est un peu déloyal, et nous les coulons sans vergogne, pour arriver à gagner. De leur côté, elles râlent et réclament une répartition plus équitable des équipes, que nous ne leur accordons pas. Après avoir honteusement abusé de notre force, nous finissons par rejoindre l’escalier pour sortir.
Un des premiers sortis, Philippe détaille son épouse seins nus.
- Olivia, je suis surpris de cette tenue.
- Je ne suis pas la seule, ici, à être seins nus, répond elle.
- Je veux aussi parler de ce maillot blanc, qui mouillé devient totalement transparent.
En effet, le bas de maillot d’Olivia, trempé, lui colle à la peau et nous révèle les moindres détails de son anatomie. Elle regarde son maillot et…
- Tu as raison, il ne sert finalement à rien, dit elle en délaçant les ficelles retenant la
Culotte qui tombe à ses pieds, la laissant intégralement nue.
Nous sommes tous stupéfaits, connaissant le caractère, habituellement pudique d’Olivia. Véronique, la première, réagit et se débarrasse, elle aussi de son bas de maillot.
-Tu as raison, ma grande. Après tout, nous sommes entre amis.
Je m’approche de Samantha par derrière, et lui descends sa culotte, jusqu’à ses pieds.
-Sois solidaire, toi aussi, lui dis-je.
Une main essayant de cacher son sexe, elle réagit brutalement.
-ça ne va pas non ? me regardant avec agressivité.
- Tu ne vas pas faire une histoire parce qu’on a vu ton cul. Me moquai-je
-Ce ne sont pas des manières. Rétorque t’elle en s’emparant d’une serviette pour se couvrir.
- Mes manières ne sont pas pires que les tiennes. Je sais tout Sam. Tu es moins pudique quand tu te fais sauter par Philippe !
- Eh là, intervient l’intéressé , je ne suis pas…
- Toi fermes là, coupe Olivia, toujours nue, Je t’ai vu tout à l’heure baiser Véro, et non content de ça, tu niques Samantha dans le dos de ton pote !
-C’est vrai ? demande Véronique en s’approchant de Philippe.
-Non, ne vas pas croire ça
La gifle est partie d’un coup. Véronique, sous le coup de la colère ne s’est pas rendue compte de son aveu implicite devant son mari.
Robert, silencieux jusqu’alors, la dévisage, puis va attraper son paréo qu’il tend à sa femme.
-Couvre toi, dit il tout bas. On s’expliquera plus tard.
Il ne s’est pas énervé mais on sent la menace dans sa voix.
Samantha s’enroule dans une serviette et s’enfuit dans la maison. Robert se rhabille rapidement, et entraine sa femme en paréo sans saluer personne.
Je me tourne vers Philippe
-Tu n’es plus le bienvenu, ici, casse toi.
Il récupère ses affaires et se tournant vers sa femme
-Tu viens ?
Des larmes plein les yeux, elle secoue la tête
-Samantha, Véronique, et combien d’autres encore ? Je ne repars pas avec toi.
Il prend son sac et se dirige vers la sortie. Avant de partir, il se retourne et regarde une dernière fois Olivia. Elle sanglote en lui tournant le dos.
Nous sommes seuls, tous les deux. Je viens d’entendre la voiture de Sam qui partait. Pour où, je l’ignore. Pour rejoindre Philippe ? je n’en sais rien, et je m’en fous.
Je m’approche d’Olivia, prostrée sur une chaise, et l’enveloppe de mes bras.
-Ils sont partis.
-Quel gachis , murmure t’elle, Que vais-je devenir ?
-C’est à toi de le décider. Tu devrais t’habiller maintenant et rentrer chez toi
- Tu as raison, j’ai l’air d’une folle , comme ça, à poil . Je l’ai fait exprès, pour le provoquer.Je ne peux pas rentrer chez moi et risquer d’y trouver Phil ; ça te dérange si je reste ici ?
- Je ne crois pas que Sam se risque à revenir ce soir. Tu n’as qu’à prendre une des chambres d’amis
*. *. *. *. *. *. *. *
L’histoire ne s’arrête pas là. J’ai hébergé Olivia, le temps qu’elle divorce de Philippe. Robert, lui, n’a pas eu cette peine, n’étant pas marié. Il a viré Véronique le lendemain de ce triste épisode, et a usé de ses relations pour qu’elle ne puisse trouver un job dans la région. Elle a embarqué avec un pauvre sac dans le camion d’un routier, et on ne l’a jamais revue.
Pour Olivia, ce fut long et pénible, mais elle finit par obtenir la garde de sa fille et une pension alimentaire . Elles sont toutes deux installées chez moi.
Samantha est revenue, et a tout fait pour se faire pardonner, après avoir rompu avec Philippe. C’était d’autant plus compliqué que je n’avais pu me résoudre à la laisser à la rue, et qu’elle devait cohabiter avec Olivia. Elle habitait une des chambres d’amis, ce qui fait qu’elles étaient toutes occupées. J’ai longtemps gardé mes distances avec Samantha, ayant du mal à effacer le passé, pour moi, et pour Olivia, qui aurait pu interprêter un rapprochement douloureusement, mais finalement, c’est elle qui m’a convaincu un jour en ces termes :
- Ecoute, je vois bien que tu n’es pas heureux. Tu ne peux pas vivre avec deux femmes à la maison, en les ignorant. Si tu as encore des sentiments pour Samantha, tu dois le lui faire savoir. Je la vois chaque jour, et je crois qu’elle t’aime toujours. Peut-être que ce qui s’est passé a été un révélateur et qu’elle s’est aperçue qu’elle tenait à toi plus que n’importe quel autre.
- Bien sur que je sais ça, mais toi, tu es seule aussi
- C’est différent, moi, j’ai ma fille, et je ne suis pas prête à vivre une autre relation.
- J’ai des sentiments pour Sam, bien sur, mais je me suis habitué à toi, à ta fille, et vous faites aussi partie de ma vie.
- Pas de la même façon. Et comme tu dois renouer avec Sam, je ne pourrais rester ici, au milieu de cette relation.
- Pourquoi pas ? Je ne veux pas que tu partes. Tu sais j’ai beaucoup pensé à toi, à Sam, et je ne pourrais choisir entre vous deux, aujourd’hui. Je sais que ça peut paraître bizarre, mais je veux te garder auprès de moi, sauf si tu n’y tiens pas.
- Ça voudrait dire que tu as du sentiment pour moi ?
- Evidemment, mais toi, est-ce que tu voudrais de moi ?
- Depuis ce jour, dans la salle de bains, je t’ai accordé ce plaisir pour masquer mon émotion et ma honte de ressentir ça. J’avais envie de toi et ça m’horrifiait
Je me suis penché sur elle et l’ai embrassée, pour la première fois, longuement. Nous étions dans le séjour. Elle se blottit contre moi et glissa ses mains sous mon T-shirt, me caressa en descendant vers mon pantalon, où elle dégraffa ma ceinture, le baissa, en même temps que mon boxer et se saisit de ma queue déjà bandée.
-J’en ai envie depuis la première fois me dit elle en se levant.
Elle passa ses mains sous sa robe et fit glisser sa petite culotte en dentelle avant de l’enjamber, puis elle déboutonna un à un les boutons de sa robe, qui tomba au sol, la dévoilant nue dans ses hauts talons. Je l’attirai à moi et mis mes mains sur ses hanches, embrassant ses petits seins déjà fermement pointés, puis je descendis sur son nombril, que j’agaçai de ma langue, la faisant se tortiller en riant.
Abandonnant son nombril, ma bouche glisse sur son pubis, contournant sa fente au plus près sans jamais la toucher. Elle écarta ses cuisses en un appel muet, mais je continuais à l’ignorer, léchant l’intérieur de ses cuisses, l’une après l’autre, tandis que son bassin poussait en avant ;ja saisis une de ses jambes et la posai sur mon épaule, dégageant l’accès à sa vulve déjà ouverte qui suintait légèrement. Je baisais le renflement autour de ses lèvres, et insinuai un doigt dans le haut du sillon, chatouillant le clitoris, qui s’érigea sous mon doigt. Je l’entendais haleter, et un profond soupir accompagna ma langue qui remontait le long de sa vulve. D’un doigt, je complétai ma caresse sentant son ventre pousser vers moi, et ses mains s’appuyer sur ma tête. Sa chatte largement humide laissa le passage à un second doigt, et j’imprimai à ma main un mouvement allant au devant de la houle de ses reins. Olivia, entre deux soupirs manifestait :
- Oh, n’arrête pas, vas y , encore ! hhhhm,oui, ta langue, c’est bon ! oui sur ma chatte, oh, et dedans, c’est chaud, je vais venir ! hhhhhhhm, ahh !
La cyprine se mit à couler abondamment sur ses cuisses et sur mon visage et d’un coup, elle se figea, tremblante, crispée contre moi. Elle me repoussa en arrière et vint s’emmancher sur ma queue, l’absorbant d’un coup.
Petit à petit elle se mit à remuer ses hanches, s’appuyant sur ses genoux pour mieux coulisser le long de mon chibre, s’échappant parfois, pour mieux se ré-empaler, nos corps se percutant dans un tempo saccadé. Elle jouit une deuxième fois, et continua de me chevaucher en me disant :
- Dis moi quand tu es prêt, je veux te voir jouir.
Je la soutenais sous les fesses, la pilonnant toujours, et quand je sentis le plaisir monter en moi, je me dégageai.
Aussitôt, elle s’inclina et ses lèvres vinrent engloutir ma bite, qu’elle branla de plus en plus vite de la langue, des lèvres, aspirant ou soufflant, jusqu’à ce que , vaincu je sente le point de non-retour atteint. Elle le sentit aussi et sa main remplaça sa bouche.
- Allez ! vas y crache ! lança t’elle semblant s’adresser à mon sexe.
- Cette incitation eut raison de moi et dans un râle, je lachais plusieurs jets de plaisir qui vinrent éclabousser son visage et ses seins.
Les yeux mi-clos, un léger sourire sur les lèvres, elle se laissa aller contre moi.
- Je suis bien, me dit elle. J’aimerais rester comme ça, habillée de ton plaisir
Elle étalait ma semence sur son corps.
- J’ai peur que ce ne soit pas suffisant. Répondis-je
- Ça l’est pour moi, mais tu as raison, allons nous doucher.
Elle me prit par la main, et m’entraina vers la salle de bain. Sous l’eau tiède, nous nous savonnâmes mutuellement, prétexte à de nouvelles caresses, qui me redonnèrent de la vigueur. Olivia s’en aperçut et empoignant mon sexe elle se tourna, face au mur, tendant ses
Fesses vers moi.
- On dirait que tu n’es pas complètement rassasié, plaisanta t’elle
Pour toute réponse, j’empoignai ses seins qui pointaient et en torturai les tétons.
Elle passa sa main entre ses jambes pour attraper ma queue et la loger dans sa chatte, qui ne devait pas son humidité qu’à la douche. Je n’eus qu’à m’avancer un peu pour m’enfoncer en elle. Elle avait la taille idéale pour une levrette.
Je coulissais en elle sans effort, à une rythme lent, son bassin m’accompagnant. Ses soupirs augmentaient d’intensité, et elle se fit jouir en gémissant doucement sous l’eau qui ruisselait sur nos corps. Elle m’expulsa aussitôt et me guida, un peu plus en arrière, enduisant mon gland de gel, avant de l’appuyer sur sa rosette.
- Je veux être à toi, toute entière, pas de demi-mesure, expliqua t’elle en poussant son
Cul vers moi.
Un peu surpris, j’avançai et sentis son anus s’écarter sous la pression de mon gland, qui s’y enfonçait doucement.
Elle eut une plainte de douleur, mais insista en accentuant sa cambrure
-Appuies, n’ai pas peur.
Je forçai un peu, et d’un coup, sentis que j’étais entré. D’une longue poussée je m’introduisis jusqu’à la garde, mon ventre collé à ses fesses musclées. Puis je commençai un mouvement de va-et-vient, lent, mais elle m’intima l’ordre d’accélérer.
-Allez, défonce moi le cul ! je te sens bien là.
Galvanisé, je la pilonnai de plus en plus fort, mon ventre claquent sur ses fesses, tandis qu’elle se caressait, tantôt titillant son clito, tantôt se plantant deux doigts dans la chatte et venant palper mon sexe fouisseur au travers de sa paroi intime
Avec ce tempo torride, nous explosâmes bientôt, son cri de jouissance rejoignant mon râle de délivrance.
Quelques jours plus tard, elle me confia cependant :
-J’adore faire l’amour avec toi. Physiquement cela me comble, mais on sait que ça ne peut durer. D’abord, il y a Elise, ma fille, que je dois préserver, et puis, je ne suis pas ta femme.
Tu as une femme, et à moins de divorcer, tu dois te rapprocher d’elle.
-Tu as peur qu’elle soit au courant
-Non, elle vit ici, alors elle est au courant. On a beau être discrets, elle n’est pas aveugle et sourde.
-Que devrai-je faire, selon toi ? Lui demander de partir ?
-Non, celle qui n’est pas légitime, c’est moi. Si quelqu’un doit s’en aller, je ferais mes valises.
-Mais je ne veux pas que tu partes !
-Ecoute, la décision ne m’appartient pas. Quand tu seras de nouveau avec Sam, tu décideras, ou elle le fera.
-Nous sommes encore loin d’avoir repris une relation normale.
- Si tu veux bien, je vais tâcher de lui parler. Nous ne sommes pas complètement fachées, et son histoire avec Philippe est loin derrière nous.
-Je te laisse faire, voyons ce qu’il en sort.
En réalité, je ne sais trop que penser. La situation est bizarre. Après avvoir accepté que Samantha revienne à la maison, rien ne s’est passé comme prévu. Samantha, s’est excusée, mais, nous n’avons pas pu renouer de liens. Est-ce mon attitude ? Est-ce sa culpabilité ?
Nous vivons sous le même toit, mais une gêne s’est installée entre nous. Je crains que mon rapprochement avec Olivia, n’ajoute encore à cette distance.
Peut-être n’y a-t-il plus rien entre nous.
Pourtant, Sam ne semble pas avoir d’autre relation. Elle sort peu, à part pour son travail, et rentre tôt, pour s’enfermer dans sa chambre. Je sais qu’elle échange plus facilement avec Olivia.
De son côté, Olivia, m’a annoncé qu’elle ne se sentait pas légitime, et elle risque de partir, alors que je me suis attaché à elle et à sa gamine de huit ans, Elise.
Le temps passe ainsi pendant quelques mois, sans changement, et finalement, j’ai décidé de parler à Samantha. Je m’en ouvre à Olivia, qui approuve mon idée.
Un samedi, alors qu’Elise est partie chez une amie, en fin d’après-midi, je suis dans le salon, et Olivia bouquine, non loin de moi, quand Samantha rentre. Avant qu’elle ne courre s’enfermer dans sa chambre, je l’interpelle :
-Sam ! tu peux venir, s’il te plait
Elle me regarde, un peu étonnée, mais s’approche.
D’un geste, je l’invite à s’asseoir sur le canapé.
- Je voudrais te parler.
A ces mots, Olivia se lève et s’apprête à s’éclipser discrètement.
- Non, reste Olivia, tu es concernée aussi
Elle se rassied, soudain attentive. Je dois me lancer.
- Sam, quand j’ai accepté que tu reviennes à la maison, je ne savais pas encore si j’allais te pardonner ce qui s’était passé. C’était si subit que j’avais du mal à mettre mes pensées en ordre. Petit à petit, je me suis rendu compte qu’il me serait difficile de me passer de toi, et que ce qui s’est passé ne changeait pas mes sentiments pour toi. Seulement, tu t’es isolée dans ton coin.
- Je me sentais coupable, commente t’elle
- Oui, mais aujourd’hui, nous devons évoluer ; passer un cap et avancer.
Elle me regarde interloquée
- Mais je ne suis pas aveugle. Je sais que tu es avec Olivia, maintenant !
- Je ne me suis pas caché, réponds-je. J’étais seul, et malheureux.
- C’est vrai, intervient Olivia. Je me suis installée, chez vous, et notre fréquentation quotidienne, avec Steve, nous a entrainé à partagé nos solitudes. Sans doute, la situation nous a échappé. J’avais besoin d’une épaule, de quelqu’un de rassurant.
- Mais tu couches avec lui. Intervient Sam
- C’est vrai, et ça m’a fait du bien. Je suis plus sereine, et en même temps, crois moi, je n’ai jamais voulu prendre ta place, continue Olivia. Il est temps que vous repreniez une relation normale, et que je m’éclipse.
- Tu t’en irais ? demande Sam
- Sans hésitation. Laisse moi le temps de trouver une location pour Elise et moi, et je partirais
- Non ! ne puis-je m’empêcher d’intervenir
Les deux femmes me regardent interloquées.
- Non quoi ? lance Olivia, il faut bien qu’on trouve une solution
- Oui, Que veux tu dire exactement ? relance Sam
- J’ai une question, pour chacune de vous. Sam, est-ce que tu m’aimes encore ?
- Je n’ai jamais cessé de t’aimer, même si mes actes ont pu…
- Oublions ça. Toi Olivia, pourrais tu me quitter sans remords ? Ne m’aimes tu pas du tout ?
- Je t’ai aimé comme ami, puis plus encore, mais je ne suis pas à ma place ; c’est celle de Sam, même si partir va me rendre infiniment triste.
- De mon côté, Sam, tu es la femme de ma vie. Je suis sur de ça, depuis longtemps. Mais la situation m’a fait découvrir que j’étais aussi attaché à Olivia, bien plus que je ne l’aurais imaginé. Ce que je vais vous dire va vous paraître fou, mais, ne pourrait on vivre ici, tous les trois. Après tout, il y a la place.
Là, Olivia et Sam me dévisagent ébahies. La première Olivia intervient
- Et ma fille, que va-t-elle penser ?
- Ta fille vit ici depuis plusieurs mois, sans que ça semble lui poser problême. Il suffit d’être discrets, et d’assurer son éducation à trois.
- Et il faudrait qu’on te partage ? interroge Sam
- D’un point de vue sexuel, c’est la question. Vous seules pouvez y répondre. Mais pas d’obligation de ce point de vue. On peut tout aussi bien alterner, ce qui vous laisserait plus de liberté. D’un point de vue ménager, répartir les tâches entre nous trois, serait bénéfique, sans parler des avantages financiers.
- Tu as pensé à tout. Remarque Sam.
- Presque, car un seul point est essentiel, et je ne le maitrise pas.
- Lequel ? demande Olivia
- Sommes nous capables de vivre ensemble en évitant les conflits ? Pourrons nous nous supporter ?
A ce moment, tout est dit. Nous restons silencieux, de longues minutes, puis Samantha prend la parole.
- C’est assez surprenant, je l’admets, mais je pense que je pourrais prendre mes marques dans cet arrangement. Si nous avons le bonheur que ça marche, ce qui nous est arrivé à tous pourrait être bénéfique. Olivia, je ne peux t’en vouloir d’avoir craqué pour Steve ; je sais combien on peut-être séduite, même si parfois nos pulsions nous font franchir les limites.
- Sam, tu es mon amie depuis si longtemps, que je devrais m’excuser aussi. En aucune manière, ma relation avec Steve n’est une forme de vengeance vis-à-vis de toi. Ce qu’il propose aujourd’hui est si nouveau que c’en devient une évidence.
Cette discussion a été suivie d’une période de transition, pendant laquelle nous avons dû prendre nos marques, et découvert la vie de trouple au quotidien. Et puis un soir, devant la télé Sam s’est approchée de moi.
Elle était en peignoir, après avoir pris sa douche. Dans son mouvement, les pans du peignoir se sont entrouverts, dévoilant une cuisse, sur laquelle, je posais ma main.
Elle vint poser a tête sur mon épaule. Je sentais l’odeur du shampoing sur ses cheveux mouillés. Sa bouche se tendit vers moi et nos lêvres se rejoignirent en un profond baiser. Elle glissa une main sous mon T-shirt pour me caresser. Sans interrompre mon baiser, je faufilai une main sous le peignoir, attrapant un sein au téton bien dressé.
A ce moment, je sentis une main défaire ma ceinture et ouvrir mon jean avant de s’introduire dans mon boxer, pour saisir mon sexe, qui s’eveillait doucement. Les mains de Samantha étant déjà sur moi, je réalisai qu’Olivia s’invitait auprès de nous ;
Sa main quitta ma cuisse et dénoua la sortie de bain.
J’étais tendu, mais après une hésitation, Samantha continua de me caresser, ignorant les pans de son peignoir qui s’écartaient, dévoilant son corps nu, mes mains sur ses deux seins, tandis qu’une troisième partait à la découverte de son sexe épilé qui s’entrouvrit sous les doigts longs et fins, auxquels elle facilita la tâche en écartant légèrement les jambes.
Mon T-shirt fut le premier à voler dans la pièce, mais le peignoir de Sam eut tôt fait de choir à terre, alors que les mains retrouvaient des fesses musclées.
Nue devant moi, Sam me laissa prendre ses tétons et les agacer de ma langue, les mordillant de temps en temps, soupirant au rythme des doigts qui s’agitaient en elle.
Son dos se cambra et son bassin s’arque-bouta, alors qu’un râle accompagnait son orgasme.
-Ah, que c’est bon !exhala t’elle, en s’écroulant sur moi.
Je fus aussitôt assailli par la bouche d’Olivia, qui m’embrassa goulument, et Sam,ne voulant pas être en reste lécha ma poitrine descendant petit à petit vers mon short, venant mesurer de la paume mon excitation au travers du short.
Olivia me délaissa un instant et fixa Sam, attrapant la ceinture du vêtement dans un message muet que Sam dut capter car sa main libre vint se placer de l’autre côté de ma taille, et toutes deux tirèrent simultanément le vêtement jusque mes pieds, dégageant ma queue qui , libérée, se dressa fièrement.
Olivia la saisit et entama un lent mouvement coulissant autour de mon membre, avant de se pencher pour en gober le gland entre ses lèvres, suçotant le méat, agaçant le frein,
Pour s’écarter d’un coup et laisser Samantha l’enfourner d’un coup en gorge profonde.
A tour de rôle, les deux femmes entreprirent de développer mon excitation à coups de langues, de lèvres explorant chaque parcelle de ma queue, mes boules, leurs doigts inquisiteurs chatouillant mon périnée et la corolle de mon petit trou.
J’essayais de rester concentré, mais inévitablement, j’allais être rattrapé par le plaisir, quand elles me délaissèrent d’un coup.
Samantha vint à califourchon sur moi, et Olivia guida manuellement mon sexe, à l’orée de sa chatte, avant de pousser de son bras le bassin de Sam, l’empalant sur mon vit, avec une expression de satisfaction.
- Là, c’est bien, laisse le te baiser. Il est à toi. Je sais que tu en as envie , murmura t’elle
- Oh oui, c’est bon, j’en avais envie, répond Sam
Olivia vient se placer derrière Sam, se colle à elle, et s’accrochant à ses seins, lui annonce :
-Je vais t’aider. Tu vas voir, Il va bien te remplir !
Et joignant le geste à la parole, elle suit les mouvement de balancier de Sam, la poussant toujours, un peu plus, amplifiant le rythme de notre coït jusqu’à ce que nous explosions ensemble.
Samantha s’est écroulée dans mes bras, et nous récupérons doucement, entre bisous et mots doux.
Nous sommes interrompus par Olivia, qui est allé nous concocter un remontant.
-Champagne et framboise pour vous désaltérer ! dit elle en remplissant nos flûtes.
Assis entre Sam, toujours nue et Olivia, je savoure le breuvage agrémenté de pistaches et olives.
Alors que je révassais, c’est Sam qui s’extirpa de la torpeur collective. Elle se leva, et tendant la main, fit lever Olivia.
- Il n’y a que toi qui soit encore habillée, lui lança t’elle avec un sourire énigmatique.
- Je suis en tenue d’intérieur, pas vraiment habillée, répondit Olivia en montrant un pyjama de satin chamarré.
- C’est peut-être trop. Annonça Sam en s’approchant d’elle.
- Heu, c’est votre soirée, hésita Olivia, je ne voudrais pas m’immiscer…
- Tu l’as déjà fait, murmura Sam, en tirant vers le bas le pantalon, qui glissa à terre. Tu es présente depuis le début. Tu ne peux plus te défiler
Ses doigts habiles dégraffaient, un à un, les boutons de la veste. Olivia s’était figée et laissa Sam écarter ensuite les pans du vêtement, pour contourner les épaules et le faire choir. Olivia apparut dans sa nudité et sursauta quand les mains de Sam s’emparèrent de ses seins. Leurs lèvres se soudèrent dans un baiser, d’abord timide, puis de plus en plus langoureux. Les mains de Sam partirent à la rencontre du corps de son amie, d’abord le dos, puis les fesses, les hanches, les cuisses, pour revenir sur la poitrine, le ventre et la fourche de ses jambes qui l’accueillit en s’ouvrant.
Olivia, gagnée par l’ambiance érotique du moment, explorait les formes généreuses de Sam.
Les deux femmes ne s’arrêtaient que pour se contempler en lâchant de petits soupirs, toujours debout devant moi.
Le spectacle me redonna de l’énergie et une nouvelle érection de développait lentement mais surement.
Sam contourna Olivia, passant derrière elle et vint se coller à son corps, ses bras l’entourant, en la tournant face à moi. Olivia, la tête tournée sur le côté embrassait Sam.
Une main sur son sein au téton érigé, en excitait la pointe, et l’autre pianotait sur sa fente
Ouverte, deux doigts s’y engouffrant impudiquement.
Sam lâcha les lèvres d’Olivia, et la poussant vers moi :
- J’ai joui devant toi. C’est à toi maintenant.
- Mais, je..
- Si nous devons vivre ensemble il faut tout partager, ajouta Sam
Olivia, s’approcha alors de moi, et vint, à califourchon, s’empaler sur ma queue, l’engloutissant d’un coup.
- C’est bien, commenta Samantha, Baise là bien mon amour, ajouta t’elle en captant mon regard
Encouragé par ma femme, j’entamai un long mouvement coulissant, soulevant Olivia pour ensuite la laisser retomber. Ce tempo lent prit peu à peu de l’intensité et elle se campa sur ses pieds imprimant un rythme de plus en plus éfrenné, nos peaux claquant l’une contre l’autre. Olivia poussait de petits cris de plaisir, et Sam lui torturait les seins, amplifiant le plaisir qui montait en elle. La bouche ouverte, haletant dans sa course, les yeux grands ouvert, elle s’immobilisa en criant, son bassin agité de petits soubresauts incontrolables.
Sam contournant le canapé la guida pour la mettre, à genoux, en appui sur le dossier, pendant que je passai derrière Olivia et la prenait en levrette. Je m’introduisis en elle et la pilonnait de nouveau, réactivant son plaisir qui humidifiait tout mon bas-ventre.
Sans cesser mes va et vient, je cueillis la cyprine à la source pour longer le périnée et venir
Agrandir doucement son anus avant d’y introduire un doigt.
Olivia, pilonnée par ma queue, la bouche prise par Samantha qui s’occupait aussi de ses seins, eut un léger mouvement de recul, mais Sam la rassura
- Oui, il va t’enculer, ma belle. Je sais que vous l’avez déjà fait ; il adore ça. Je l’ai fait aussi, et j’y ai pris goût. Détends toi.
Je posai mon sexe sur l’anneau froncé, légèrement entrouvert, et m’appuyait pour forcer le passage. Après une petite résistance, mon gland entra en elle, et je stoppai.
C’est Olivia qui poussa son cul en arrière jusqu’à ce que je sois calé contre ses fesses.
-Vas y maintenant. Me dit elle.
Doucement au début, puis de plus en plus fermement, j’entrepris de forer son cul, Sam titillait son clito, et je sentais de temps en temps ses doigts, au travers de la paroi intérieure d’Olivia. Les plaintes et gémissements s’accentuaient et elle accompagnait mes mouvement de manière saccadée, cherchant à pousser son cul de plus en plus fort, de plus en plus profond en elle.
Elle se mit à crier son plaisir de plus en plus fort, achevant dans un long râle, alors que mon plaisir l’inondait de plusieurs jets brûlants.
Quelque temps après, Olivia me dit :
-J’adore faire l’amour avec vous, mais nous devons être prudents. Ma fille Elise n’a que huit ans. Il n’est pas question de lui imposer ça.
Dix ans ont passé.
C’est la début de l’été et Je fais paisiblement la sieste sur un lit d’extérieur, au bord de la piscine. A quelques mêtres de moi, Samantha, et Olivia somnolent, chacune sur un transat, aussi nues que moi.
J’entends claquer la porte d’entrée. Ce doit être Elise, qui arrive pour le week-end. Elle suit des cours en fac de médecine, et, logeant dans un studio, ne rentre que les week-ends.
- Salut la compagnie ! s’écrie t’elle en arrivant sur la terrasse.
Elle va embrasser sa mère, et Samantha, avant de venir me faire une bise.
En se penchant sur moi, elle empoigne mon sexe d’une main.
-Dis donc Tonton, tu m’as l’air un peu ramolli ! Il va falloir que je m’occupe de çà !
-Ho, Elise ! s’exclame sa mère. Tu n’as pas honte ?
-Pas du tout, commente la jeune fille, regarde, il n’a pas l’air en forme.
Evidemment je ne peux pas lui dire que, peu de temps avant, je viens d’honorer les deux charmantes quadragénaires qui sont à mes côtés.
Ne s’occupant pas davantage de nous, elle fait voler son tee-shit et sa jupe en jean, se défait de son tanga noir, et plonge nue dans la piscine.
Alors que je l’observe sortir de l’eau, ses petits seins haut plantés, sa silhouette longiligne et juvénile, et sa fente glabre, la peau dorée par le soleil, je surprends Sam et Olivia qui, derrière leurs lunettes de soleil, l’admirent aussi.
Il y a six mois maintenant, avant qu’elle n’ait son propre appartement qu’Olivia est venue me trouver. Ayant eu une première expérience désastreuse qui l’avait laissée démoralisée, elle m’a demandé de déflorer Elise, avec douceur pour que sa première expérience soit un
Moment de bonheur et de plaisir.
Ladite Elise m’avait surpris quand j’entrepris de parler avec elle :
-Ne tourne pas autour du pot Tonton. Je sais très bien, malgré les précautions que vous prenez, que tu baises aussi bien ma mère que Sam.
-Depuis longtemps ?
-Assez oui. Et malgré les avertissements de ma mère, tu te doutes bien que j’ai déjà connu des garçons.
-Tu n’es plus vierge ?
-Si, mais en restant vierge, je ne suis pas une oie blanche, non plus. J’ai testé plein de trucs avec mes copains, mais je me suis réservée pour toi. Je me suis dit que si tu arrives à contenter deux femmes, je devrais commencer par toi.
-Hmm, c’est flatteur, mais tu sais que c’est juste pour la première fois, et ça devra rester entre nous.
Evidemment, ce n’est pas ce qui s’est passé, et Sam comme Olivia ont été au courant de ce qui devait être une expérience. Elise les a mis face à leur situation, en leur disant qu’elles n’avaient rien à lui imposer.
Je me demande si nous n’allons pas au-devant des ennuis.
Au bruit qui émane de la chambre, je comprends que Philippe et Véronique ont eu d’autres préoccupations. Je jette un coup d’œil dans la chambre. Véronique est à quatre pattes et Philippe la besogne allègrement, la faisant couiner son bonheur .
- Oh oui, n’arrête pas, baise moi bien ! ah, je viens, je vien-eeens !
Elle s’immobilise d’un coup, la bouche ouverte, dans un cri muet, et après quelques instants.
- Hmm, tu m’as bien fait jouir, mon chéri.
- Ce n’est pas fini. Lance Phil en salivant sur son anus dans lequel il a enfoncé deux
Doigts. Il sort sont sexe de son vagin et vient l’appuyer sur sa rosette.
Véronique, qui a compris, se laisse tomber, les épaules sur le matelas, tandis que ses deux mains viennent écarter ses fesses.
- Vas-y, encules moi. Dit elle en poussant son bassin vers lui.
Il pousse alors en avant et son gland pénêtre l’anus ainsi offert sans difficulté. Après une courte pause, il lance son bassin en avant et d’un trait, se fiche dans ses reins jusqu’au couilles, lui arrachant une sourde plainte de douleur.
- Ah, fais doucement quand même, se plaint elle.
- Tu as voulu que je t’encule, tu vas prendre dit il, et il se met à la défoncer d’amples
Mouvements, son ventre venant claquer contre son fessier à une cadence de métronome.
Véronique lâche des petits cris de douleur, mais très vite, elle semble y trouver son compte.
- Vas-y encore, plus fort ! allez ! défonce moi mieux ! Tu pensais me faire mal avec ta grosse queue ? Regardes comme elle coulisse bien ! humm, encore ! c’est bon !
Derrière elle, Philippe s’agite et la défonce du mieux qu’il peut, mais elle est insatiable et l’exhorte à ne pas s’économiser. La cadence augmente de plus en plus et elle se met à hululer en continu . Heureusement qu’il n’y a personne dans la maison. Son amant feule dans son dos, se cramponnant à ses hanches. Sous Véro, en appui sur ses bras, ses gros seins ballotent au rythme des secousses qu’il lui imprime. Véronique jouit bruyamment, et il la rejoint dans un râle, avant de sortir et de l’arroser de son sperme. Les deux amants s’effondrent sur le lit essouflés. Je profite de l’accalmie pour m’eclipser, de nouveau excité par le spectacle qu’ils m’ont offert.
Je traverse la maison et rejoins la terrasse, non sans avoir récupéré quelques boissons à la cuisine.
Je rejoins Samantha et Olivia, maintenant assises au bord de leurs transats, et leur offre des bières. Robert nous rejoint et s’assoit avec nous. La peau d’Olivia a légèrement rougi, mais Sam et Robert, qui ont la peau mate n’ont pas ce souci.
- Bien bronzé les filles ? je demande.
- Pas mal, répond Samantha, mais un genre de turbo-réacteur qui s’est mis en marche
Nous a empêchées de nous reposer, dit elle en regardant Robert avec un sourire ironique.
- Moi, je n’ai rien entendu, réplique celui-ci, faussement innocent. Je ne crains pas le soleil comme certains, au point d’aller faire la sieste à l’intérieur, en plein été. D’ailleurs en parlant de dormeurs…
Véronique émerge de la maison, vétue d’un paréo sur son string.
- Bien dormi, ma chérie, lui lance Robert
- On est plus au frais à l’intérieur, répond elle, mais là, j’ai chaud
(Je comprends que l’exercice l’a fait transpirer). Elle se dirige vers la douche en dénouant son paréo, et se jette sous les jets qu’elle vient d’ouvrir.
- Attends nous, lui crie Samantha, On va se débarasser de cette huile solaire
Avant de plonger. Olivia la suit et les trois femmes se succèdent sous la douche, l’eau ruisselant sur leurs corps à peine voilés par leurs slips de bain minuscules. Bientôt
Trois naiades plongent dans l’eau turquoise et Robert et moi les rejoignons.
Dans l’eau, Véronique se rapproche de son mari, et se frotte à lui.
Si il se doutait seulement de ce qui vient de se passer, pensai-je.
Philippe arrive à ce moment là, et coupe court à mes pensées. Dans le bassin un simili water-polo s’improvise, les hommes contre les filles. Evidemment c’est un peu déloyal, et nous les coulons sans vergogne, pour arriver à gagner. De leur côté, elles râlent et réclament une répartition plus équitable des équipes, que nous ne leur accordons pas. Après avoir honteusement abusé de notre force, nous finissons par rejoindre l’escalier pour sortir.
Un des premiers sortis, Philippe détaille son épouse seins nus.
- Olivia, je suis surpris de cette tenue.
- Je ne suis pas la seule, ici, à être seins nus, répond elle.
- Je veux aussi parler de ce maillot blanc, qui mouillé devient totalement transparent.
En effet, le bas de maillot d’Olivia, trempé, lui colle à la peau et nous révèle les moindres détails de son anatomie. Elle regarde son maillot et…
- Tu as raison, il ne sert finalement à rien, dit elle en délaçant les ficelles retenant la
Culotte qui tombe à ses pieds, la laissant intégralement nue.
Nous sommes tous stupéfaits, connaissant le caractère, habituellement pudique d’Olivia. Véronique, la première, réagit et se débarrasse, elle aussi de son bas de maillot.
-Tu as raison, ma grande. Après tout, nous sommes entre amis.
Je m’approche de Samantha par derrière, et lui descends sa culotte, jusqu’à ses pieds.
-Sois solidaire, toi aussi, lui dis-je.
Une main essayant de cacher son sexe, elle réagit brutalement.
-ça ne va pas non ? me regardant avec agressivité.
- Tu ne vas pas faire une histoire parce qu’on a vu ton cul. Me moquai-je
-Ce ne sont pas des manières. Rétorque t’elle en s’emparant d’une serviette pour se couvrir.
- Mes manières ne sont pas pires que les tiennes. Je sais tout Sam. Tu es moins pudique quand tu te fais sauter par Philippe !
- Eh là, intervient l’intéressé , je ne suis pas…
- Toi fermes là, coupe Olivia, toujours nue, Je t’ai vu tout à l’heure baiser Véro, et non content de ça, tu niques Samantha dans le dos de ton pote !
-C’est vrai ? demande Véronique en s’approchant de Philippe.
-Non, ne vas pas croire ça
La gifle est partie d’un coup. Véronique, sous le coup de la colère ne s’est pas rendue compte de son aveu implicite devant son mari.
Robert, silencieux jusqu’alors, la dévisage, puis va attraper son paréo qu’il tend à sa femme.
-Couvre toi, dit il tout bas. On s’expliquera plus tard.
Il ne s’est pas énervé mais on sent la menace dans sa voix.
Samantha s’enroule dans une serviette et s’enfuit dans la maison. Robert se rhabille rapidement, et entraine sa femme en paréo sans saluer personne.
Je me tourne vers Philippe
-Tu n’es plus le bienvenu, ici, casse toi.
Il récupère ses affaires et se tournant vers sa femme
-Tu viens ?
Des larmes plein les yeux, elle secoue la tête
-Samantha, Véronique, et combien d’autres encore ? Je ne repars pas avec toi.
Il prend son sac et se dirige vers la sortie. Avant de partir, il se retourne et regarde une dernière fois Olivia. Elle sanglote en lui tournant le dos.
Nous sommes seuls, tous les deux. Je viens d’entendre la voiture de Sam qui partait. Pour où, je l’ignore. Pour rejoindre Philippe ? je n’en sais rien, et je m’en fous.
Je m’approche d’Olivia, prostrée sur une chaise, et l’enveloppe de mes bras.
-Ils sont partis.
-Quel gachis , murmure t’elle, Que vais-je devenir ?
-C’est à toi de le décider. Tu devrais t’habiller maintenant et rentrer chez toi
- Tu as raison, j’ai l’air d’une folle , comme ça, à poil . Je l’ai fait exprès, pour le provoquer.Je ne peux pas rentrer chez moi et risquer d’y trouver Phil ; ça te dérange si je reste ici ?
- Je ne crois pas que Sam se risque à revenir ce soir. Tu n’as qu’à prendre une des chambres d’amis
*. *. *. *. *. *. *. *
L’histoire ne s’arrête pas là. J’ai hébergé Olivia, le temps qu’elle divorce de Philippe. Robert, lui, n’a pas eu cette peine, n’étant pas marié. Il a viré Véronique le lendemain de ce triste épisode, et a usé de ses relations pour qu’elle ne puisse trouver un job dans la région. Elle a embarqué avec un pauvre sac dans le camion d’un routier, et on ne l’a jamais revue.
Pour Olivia, ce fut long et pénible, mais elle finit par obtenir la garde de sa fille et une pension alimentaire . Elles sont toutes deux installées chez moi.
Samantha est revenue, et a tout fait pour se faire pardonner, après avoir rompu avec Philippe. C’était d’autant plus compliqué que je n’avais pu me résoudre à la laisser à la rue, et qu’elle devait cohabiter avec Olivia. Elle habitait une des chambres d’amis, ce qui fait qu’elles étaient toutes occupées. J’ai longtemps gardé mes distances avec Samantha, ayant du mal à effacer le passé, pour moi, et pour Olivia, qui aurait pu interprêter un rapprochement douloureusement, mais finalement, c’est elle qui m’a convaincu un jour en ces termes :
- Ecoute, je vois bien que tu n’es pas heureux. Tu ne peux pas vivre avec deux femmes à la maison, en les ignorant. Si tu as encore des sentiments pour Samantha, tu dois le lui faire savoir. Je la vois chaque jour, et je crois qu’elle t’aime toujours. Peut-être que ce qui s’est passé a été un révélateur et qu’elle s’est aperçue qu’elle tenait à toi plus que n’importe quel autre.
- Bien sur que je sais ça, mais toi, tu es seule aussi
- C’est différent, moi, j’ai ma fille, et je ne suis pas prête à vivre une autre relation.
- J’ai des sentiments pour Sam, bien sur, mais je me suis habitué à toi, à ta fille, et vous faites aussi partie de ma vie.
- Pas de la même façon. Et comme tu dois renouer avec Sam, je ne pourrais rester ici, au milieu de cette relation.
- Pourquoi pas ? Je ne veux pas que tu partes. Tu sais j’ai beaucoup pensé à toi, à Sam, et je ne pourrais choisir entre vous deux, aujourd’hui. Je sais que ça peut paraître bizarre, mais je veux te garder auprès de moi, sauf si tu n’y tiens pas.
- Ça voudrait dire que tu as du sentiment pour moi ?
- Evidemment, mais toi, est-ce que tu voudrais de moi ?
- Depuis ce jour, dans la salle de bains, je t’ai accordé ce plaisir pour masquer mon émotion et ma honte de ressentir ça. J’avais envie de toi et ça m’horrifiait
Je me suis penché sur elle et l’ai embrassée, pour la première fois, longuement. Nous étions dans le séjour. Elle se blottit contre moi et glissa ses mains sous mon T-shirt, me caressa en descendant vers mon pantalon, où elle dégraffa ma ceinture, le baissa, en même temps que mon boxer et se saisit de ma queue déjà bandée.
-J’en ai envie depuis la première fois me dit elle en se levant.
Elle passa ses mains sous sa robe et fit glisser sa petite culotte en dentelle avant de l’enjamber, puis elle déboutonna un à un les boutons de sa robe, qui tomba au sol, la dévoilant nue dans ses hauts talons. Je l’attirai à moi et mis mes mains sur ses hanches, embrassant ses petits seins déjà fermement pointés, puis je descendis sur son nombril, que j’agaçai de ma langue, la faisant se tortiller en riant.
Abandonnant son nombril, ma bouche glisse sur son pubis, contournant sa fente au plus près sans jamais la toucher. Elle écarta ses cuisses en un appel muet, mais je continuais à l’ignorer, léchant l’intérieur de ses cuisses, l’une après l’autre, tandis que son bassin poussait en avant ;ja saisis une de ses jambes et la posai sur mon épaule, dégageant l’accès à sa vulve déjà ouverte qui suintait légèrement. Je baisais le renflement autour de ses lèvres, et insinuai un doigt dans le haut du sillon, chatouillant le clitoris, qui s’érigea sous mon doigt. Je l’entendais haleter, et un profond soupir accompagna ma langue qui remontait le long de sa vulve. D’un doigt, je complétai ma caresse sentant son ventre pousser vers moi, et ses mains s’appuyer sur ma tête. Sa chatte largement humide laissa le passage à un second doigt, et j’imprimai à ma main un mouvement allant au devant de la houle de ses reins. Olivia, entre deux soupirs manifestait :
- Oh, n’arrête pas, vas y , encore ! hhhhm,oui, ta langue, c’est bon ! oui sur ma chatte, oh, et dedans, c’est chaud, je vais venir ! hhhhhhhm, ahh !
La cyprine se mit à couler abondamment sur ses cuisses et sur mon visage et d’un coup, elle se figea, tremblante, crispée contre moi. Elle me repoussa en arrière et vint s’emmancher sur ma queue, l’absorbant d’un coup.
Petit à petit elle se mit à remuer ses hanches, s’appuyant sur ses genoux pour mieux coulisser le long de mon chibre, s’échappant parfois, pour mieux se ré-empaler, nos corps se percutant dans un tempo saccadé. Elle jouit une deuxième fois, et continua de me chevaucher en me disant :
- Dis moi quand tu es prêt, je veux te voir jouir.
Je la soutenais sous les fesses, la pilonnant toujours, et quand je sentis le plaisir monter en moi, je me dégageai.
Aussitôt, elle s’inclina et ses lèvres vinrent engloutir ma bite, qu’elle branla de plus en plus vite de la langue, des lèvres, aspirant ou soufflant, jusqu’à ce que , vaincu je sente le point de non-retour atteint. Elle le sentit aussi et sa main remplaça sa bouche.
- Allez ! vas y crache ! lança t’elle semblant s’adresser à mon sexe.
- Cette incitation eut raison de moi et dans un râle, je lachais plusieurs jets de plaisir qui vinrent éclabousser son visage et ses seins.
Les yeux mi-clos, un léger sourire sur les lèvres, elle se laissa aller contre moi.
- Je suis bien, me dit elle. J’aimerais rester comme ça, habillée de ton plaisir
Elle étalait ma semence sur son corps.
- J’ai peur que ce ne soit pas suffisant. Répondis-je
- Ça l’est pour moi, mais tu as raison, allons nous doucher.
Elle me prit par la main, et m’entraina vers la salle de bain. Sous l’eau tiède, nous nous savonnâmes mutuellement, prétexte à de nouvelles caresses, qui me redonnèrent de la vigueur. Olivia s’en aperçut et empoignant mon sexe elle se tourna, face au mur, tendant ses
Fesses vers moi.
- On dirait que tu n’es pas complètement rassasié, plaisanta t’elle
Pour toute réponse, j’empoignai ses seins qui pointaient et en torturai les tétons.
Elle passa sa main entre ses jambes pour attraper ma queue et la loger dans sa chatte, qui ne devait pas son humidité qu’à la douche. Je n’eus qu’à m’avancer un peu pour m’enfoncer en elle. Elle avait la taille idéale pour une levrette.
Je coulissais en elle sans effort, à une rythme lent, son bassin m’accompagnant. Ses soupirs augmentaient d’intensité, et elle se fit jouir en gémissant doucement sous l’eau qui ruisselait sur nos corps. Elle m’expulsa aussitôt et me guida, un peu plus en arrière, enduisant mon gland de gel, avant de l’appuyer sur sa rosette.
- Je veux être à toi, toute entière, pas de demi-mesure, expliqua t’elle en poussant son
Cul vers moi.
Un peu surpris, j’avançai et sentis son anus s’écarter sous la pression de mon gland, qui s’y enfonçait doucement.
Elle eut une plainte de douleur, mais insista en accentuant sa cambrure
-Appuies, n’ai pas peur.
Je forçai un peu, et d’un coup, sentis que j’étais entré. D’une longue poussée je m’introduisis jusqu’à la garde, mon ventre collé à ses fesses musclées. Puis je commençai un mouvement de va-et-vient, lent, mais elle m’intima l’ordre d’accélérer.
-Allez, défonce moi le cul ! je te sens bien là.
Galvanisé, je la pilonnai de plus en plus fort, mon ventre claquent sur ses fesses, tandis qu’elle se caressait, tantôt titillant son clito, tantôt se plantant deux doigts dans la chatte et venant palper mon sexe fouisseur au travers de sa paroi intime
Avec ce tempo torride, nous explosâmes bientôt, son cri de jouissance rejoignant mon râle de délivrance.
Quelques jours plus tard, elle me confia cependant :
-J’adore faire l’amour avec toi. Physiquement cela me comble, mais on sait que ça ne peut durer. D’abord, il y a Elise, ma fille, que je dois préserver, et puis, je ne suis pas ta femme.
Tu as une femme, et à moins de divorcer, tu dois te rapprocher d’elle.
-Tu as peur qu’elle soit au courant
-Non, elle vit ici, alors elle est au courant. On a beau être discrets, elle n’est pas aveugle et sourde.
-Que devrai-je faire, selon toi ? Lui demander de partir ?
-Non, celle qui n’est pas légitime, c’est moi. Si quelqu’un doit s’en aller, je ferais mes valises.
-Mais je ne veux pas que tu partes !
-Ecoute, la décision ne m’appartient pas. Quand tu seras de nouveau avec Sam, tu décideras, ou elle le fera.
-Nous sommes encore loin d’avoir repris une relation normale.
- Si tu veux bien, je vais tâcher de lui parler. Nous ne sommes pas complètement fachées, et son histoire avec Philippe est loin derrière nous.
-Je te laisse faire, voyons ce qu’il en sort.
En réalité, je ne sais trop que penser. La situation est bizarre. Après avvoir accepté que Samantha revienne à la maison, rien ne s’est passé comme prévu. Samantha, s’est excusée, mais, nous n’avons pas pu renouer de liens. Est-ce mon attitude ? Est-ce sa culpabilité ?
Nous vivons sous le même toit, mais une gêne s’est installée entre nous. Je crains que mon rapprochement avec Olivia, n’ajoute encore à cette distance.
Peut-être n’y a-t-il plus rien entre nous.
Pourtant, Sam ne semble pas avoir d’autre relation. Elle sort peu, à part pour son travail, et rentre tôt, pour s’enfermer dans sa chambre. Je sais qu’elle échange plus facilement avec Olivia.
De son côté, Olivia, m’a annoncé qu’elle ne se sentait pas légitime, et elle risque de partir, alors que je me suis attaché à elle et à sa gamine de huit ans, Elise.
Le temps passe ainsi pendant quelques mois, sans changement, et finalement, j’ai décidé de parler à Samantha. Je m’en ouvre à Olivia, qui approuve mon idée.
Un samedi, alors qu’Elise est partie chez une amie, en fin d’après-midi, je suis dans le salon, et Olivia bouquine, non loin de moi, quand Samantha rentre. Avant qu’elle ne courre s’enfermer dans sa chambre, je l’interpelle :
-Sam ! tu peux venir, s’il te plait
Elle me regarde, un peu étonnée, mais s’approche.
D’un geste, je l’invite à s’asseoir sur le canapé.
- Je voudrais te parler.
A ces mots, Olivia se lève et s’apprête à s’éclipser discrètement.
- Non, reste Olivia, tu es concernée aussi
Elle se rassied, soudain attentive. Je dois me lancer.
- Sam, quand j’ai accepté que tu reviennes à la maison, je ne savais pas encore si j’allais te pardonner ce qui s’était passé. C’était si subit que j’avais du mal à mettre mes pensées en ordre. Petit à petit, je me suis rendu compte qu’il me serait difficile de me passer de toi, et que ce qui s’est passé ne changeait pas mes sentiments pour toi. Seulement, tu t’es isolée dans ton coin.
- Je me sentais coupable, commente t’elle
- Oui, mais aujourd’hui, nous devons évoluer ; passer un cap et avancer.
Elle me regarde interloquée
- Mais je ne suis pas aveugle. Je sais que tu es avec Olivia, maintenant !
- Je ne me suis pas caché, réponds-je. J’étais seul, et malheureux.
- C’est vrai, intervient Olivia. Je me suis installée, chez vous, et notre fréquentation quotidienne, avec Steve, nous a entrainé à partagé nos solitudes. Sans doute, la situation nous a échappé. J’avais besoin d’une épaule, de quelqu’un de rassurant.
- Mais tu couches avec lui. Intervient Sam
- C’est vrai, et ça m’a fait du bien. Je suis plus sereine, et en même temps, crois moi, je n’ai jamais voulu prendre ta place, continue Olivia. Il est temps que vous repreniez une relation normale, et que je m’éclipse.
- Tu t’en irais ? demande Sam
- Sans hésitation. Laisse moi le temps de trouver une location pour Elise et moi, et je partirais
- Non ! ne puis-je m’empêcher d’intervenir
Les deux femmes me regardent interloquées.
- Non quoi ? lance Olivia, il faut bien qu’on trouve une solution
- Oui, Que veux tu dire exactement ? relance Sam
- J’ai une question, pour chacune de vous. Sam, est-ce que tu m’aimes encore ?
- Je n’ai jamais cessé de t’aimer, même si mes actes ont pu…
- Oublions ça. Toi Olivia, pourrais tu me quitter sans remords ? Ne m’aimes tu pas du tout ?
- Je t’ai aimé comme ami, puis plus encore, mais je ne suis pas à ma place ; c’est celle de Sam, même si partir va me rendre infiniment triste.
- De mon côté, Sam, tu es la femme de ma vie. Je suis sur de ça, depuis longtemps. Mais la situation m’a fait découvrir que j’étais aussi attaché à Olivia, bien plus que je ne l’aurais imaginé. Ce que je vais vous dire va vous paraître fou, mais, ne pourrait on vivre ici, tous les trois. Après tout, il y a la place.
Là, Olivia et Sam me dévisagent ébahies. La première Olivia intervient
- Et ma fille, que va-t-elle penser ?
- Ta fille vit ici depuis plusieurs mois, sans que ça semble lui poser problême. Il suffit d’être discrets, et d’assurer son éducation à trois.
- Et il faudrait qu’on te partage ? interroge Sam
- D’un point de vue sexuel, c’est la question. Vous seules pouvez y répondre. Mais pas d’obligation de ce point de vue. On peut tout aussi bien alterner, ce qui vous laisserait plus de liberté. D’un point de vue ménager, répartir les tâches entre nous trois, serait bénéfique, sans parler des avantages financiers.
- Tu as pensé à tout. Remarque Sam.
- Presque, car un seul point est essentiel, et je ne le maitrise pas.
- Lequel ? demande Olivia
- Sommes nous capables de vivre ensemble en évitant les conflits ? Pourrons nous nous supporter ?
A ce moment, tout est dit. Nous restons silencieux, de longues minutes, puis Samantha prend la parole.
- C’est assez surprenant, je l’admets, mais je pense que je pourrais prendre mes marques dans cet arrangement. Si nous avons le bonheur que ça marche, ce qui nous est arrivé à tous pourrait être bénéfique. Olivia, je ne peux t’en vouloir d’avoir craqué pour Steve ; je sais combien on peut-être séduite, même si parfois nos pulsions nous font franchir les limites.
- Sam, tu es mon amie depuis si longtemps, que je devrais m’excuser aussi. En aucune manière, ma relation avec Steve n’est une forme de vengeance vis-à-vis de toi. Ce qu’il propose aujourd’hui est si nouveau que c’en devient une évidence.
Cette discussion a été suivie d’une période de transition, pendant laquelle nous avons dû prendre nos marques, et découvert la vie de trouple au quotidien. Et puis un soir, devant la télé Sam s’est approchée de moi.
Elle était en peignoir, après avoir pris sa douche. Dans son mouvement, les pans du peignoir se sont entrouverts, dévoilant une cuisse, sur laquelle, je posais ma main.
Elle vint poser a tête sur mon épaule. Je sentais l’odeur du shampoing sur ses cheveux mouillés. Sa bouche se tendit vers moi et nos lêvres se rejoignirent en un profond baiser. Elle glissa une main sous mon T-shirt pour me caresser. Sans interrompre mon baiser, je faufilai une main sous le peignoir, attrapant un sein au téton bien dressé.
A ce moment, je sentis une main défaire ma ceinture et ouvrir mon jean avant de s’introduire dans mon boxer, pour saisir mon sexe, qui s’eveillait doucement. Les mains de Samantha étant déjà sur moi, je réalisai qu’Olivia s’invitait auprès de nous ;
Sa main quitta ma cuisse et dénoua la sortie de bain.
J’étais tendu, mais après une hésitation, Samantha continua de me caresser, ignorant les pans de son peignoir qui s’écartaient, dévoilant son corps nu, mes mains sur ses deux seins, tandis qu’une troisième partait à la découverte de son sexe épilé qui s’entrouvrit sous les doigts longs et fins, auxquels elle facilita la tâche en écartant légèrement les jambes.
Mon T-shirt fut le premier à voler dans la pièce, mais le peignoir de Sam eut tôt fait de choir à terre, alors que les mains retrouvaient des fesses musclées.
Nue devant moi, Sam me laissa prendre ses tétons et les agacer de ma langue, les mordillant de temps en temps, soupirant au rythme des doigts qui s’agitaient en elle.
Son dos se cambra et son bassin s’arque-bouta, alors qu’un râle accompagnait son orgasme.
-Ah, que c’est bon !exhala t’elle, en s’écroulant sur moi.
Je fus aussitôt assailli par la bouche d’Olivia, qui m’embrassa goulument, et Sam,ne voulant pas être en reste lécha ma poitrine descendant petit à petit vers mon short, venant mesurer de la paume mon excitation au travers du short.
Olivia me délaissa un instant et fixa Sam, attrapant la ceinture du vêtement dans un message muet que Sam dut capter car sa main libre vint se placer de l’autre côté de ma taille, et toutes deux tirèrent simultanément le vêtement jusque mes pieds, dégageant ma queue qui , libérée, se dressa fièrement.
Olivia la saisit et entama un lent mouvement coulissant autour de mon membre, avant de se pencher pour en gober le gland entre ses lèvres, suçotant le méat, agaçant le frein,
Pour s’écarter d’un coup et laisser Samantha l’enfourner d’un coup en gorge profonde.
A tour de rôle, les deux femmes entreprirent de développer mon excitation à coups de langues, de lèvres explorant chaque parcelle de ma queue, mes boules, leurs doigts inquisiteurs chatouillant mon périnée et la corolle de mon petit trou.
J’essayais de rester concentré, mais inévitablement, j’allais être rattrapé par le plaisir, quand elles me délaissèrent d’un coup.
Samantha vint à califourchon sur moi, et Olivia guida manuellement mon sexe, à l’orée de sa chatte, avant de pousser de son bras le bassin de Sam, l’empalant sur mon vit, avec une expression de satisfaction.
- Là, c’est bien, laisse le te baiser. Il est à toi. Je sais que tu en as envie , murmura t’elle
- Oh oui, c’est bon, j’en avais envie, répond Sam
Olivia vient se placer derrière Sam, se colle à elle, et s’accrochant à ses seins, lui annonce :
-Je vais t’aider. Tu vas voir, Il va bien te remplir !
Et joignant le geste à la parole, elle suit les mouvement de balancier de Sam, la poussant toujours, un peu plus, amplifiant le rythme de notre coït jusqu’à ce que nous explosions ensemble.
Samantha s’est écroulée dans mes bras, et nous récupérons doucement, entre bisous et mots doux.
Nous sommes interrompus par Olivia, qui est allé nous concocter un remontant.
-Champagne et framboise pour vous désaltérer ! dit elle en remplissant nos flûtes.
Assis entre Sam, toujours nue et Olivia, je savoure le breuvage agrémenté de pistaches et olives.
Alors que je révassais, c’est Sam qui s’extirpa de la torpeur collective. Elle se leva, et tendant la main, fit lever Olivia.
- Il n’y a que toi qui soit encore habillée, lui lança t’elle avec un sourire énigmatique.
- Je suis en tenue d’intérieur, pas vraiment habillée, répondit Olivia en montrant un pyjama de satin chamarré.
- C’est peut-être trop. Annonça Sam en s’approchant d’elle.
- Heu, c’est votre soirée, hésita Olivia, je ne voudrais pas m’immiscer…
- Tu l’as déjà fait, murmura Sam, en tirant vers le bas le pantalon, qui glissa à terre. Tu es présente depuis le début. Tu ne peux plus te défiler
Ses doigts habiles dégraffaient, un à un, les boutons de la veste. Olivia s’était figée et laissa Sam écarter ensuite les pans du vêtement, pour contourner les épaules et le faire choir. Olivia apparut dans sa nudité et sursauta quand les mains de Sam s’emparèrent de ses seins. Leurs lèvres se soudèrent dans un baiser, d’abord timide, puis de plus en plus langoureux. Les mains de Sam partirent à la rencontre du corps de son amie, d’abord le dos, puis les fesses, les hanches, les cuisses, pour revenir sur la poitrine, le ventre et la fourche de ses jambes qui l’accueillit en s’ouvrant.
Olivia, gagnée par l’ambiance érotique du moment, explorait les formes généreuses de Sam.
Les deux femmes ne s’arrêtaient que pour se contempler en lâchant de petits soupirs, toujours debout devant moi.
Le spectacle me redonna de l’énergie et une nouvelle érection de développait lentement mais surement.
Sam contourna Olivia, passant derrière elle et vint se coller à son corps, ses bras l’entourant, en la tournant face à moi. Olivia, la tête tournée sur le côté embrassait Sam.
Une main sur son sein au téton érigé, en excitait la pointe, et l’autre pianotait sur sa fente
Ouverte, deux doigts s’y engouffrant impudiquement.
Sam lâcha les lèvres d’Olivia, et la poussant vers moi :
- J’ai joui devant toi. C’est à toi maintenant.
- Mais, je..
- Si nous devons vivre ensemble il faut tout partager, ajouta Sam
Olivia, s’approcha alors de moi, et vint, à califourchon, s’empaler sur ma queue, l’engloutissant d’un coup.
- C’est bien, commenta Samantha, Baise là bien mon amour, ajouta t’elle en captant mon regard
Encouragé par ma femme, j’entamai un long mouvement coulissant, soulevant Olivia pour ensuite la laisser retomber. Ce tempo lent prit peu à peu de l’intensité et elle se campa sur ses pieds imprimant un rythme de plus en plus éfrenné, nos peaux claquant l’une contre l’autre. Olivia poussait de petits cris de plaisir, et Sam lui torturait les seins, amplifiant le plaisir qui montait en elle. La bouche ouverte, haletant dans sa course, les yeux grands ouvert, elle s’immobilisa en criant, son bassin agité de petits soubresauts incontrolables.
Sam contournant le canapé la guida pour la mettre, à genoux, en appui sur le dossier, pendant que je passai derrière Olivia et la prenait en levrette. Je m’introduisis en elle et la pilonnait de nouveau, réactivant son plaisir qui humidifiait tout mon bas-ventre.
Sans cesser mes va et vient, je cueillis la cyprine à la source pour longer le périnée et venir
Agrandir doucement son anus avant d’y introduire un doigt.
Olivia, pilonnée par ma queue, la bouche prise par Samantha qui s’occupait aussi de ses seins, eut un léger mouvement de recul, mais Sam la rassura
- Oui, il va t’enculer, ma belle. Je sais que vous l’avez déjà fait ; il adore ça. Je l’ai fait aussi, et j’y ai pris goût. Détends toi.
Je posai mon sexe sur l’anneau froncé, légèrement entrouvert, et m’appuyait pour forcer le passage. Après une petite résistance, mon gland entra en elle, et je stoppai.
C’est Olivia qui poussa son cul en arrière jusqu’à ce que je sois calé contre ses fesses.
-Vas y maintenant. Me dit elle.
Doucement au début, puis de plus en plus fermement, j’entrepris de forer son cul, Sam titillait son clito, et je sentais de temps en temps ses doigts, au travers de la paroi intérieure d’Olivia. Les plaintes et gémissements s’accentuaient et elle accompagnait mes mouvement de manière saccadée, cherchant à pousser son cul de plus en plus fort, de plus en plus profond en elle.
Elle se mit à crier son plaisir de plus en plus fort, achevant dans un long râle, alors que mon plaisir l’inondait de plusieurs jets brûlants.
Quelque temps après, Olivia me dit :
-J’adore faire l’amour avec vous, mais nous devons être prudents. Ma fille Elise n’a que huit ans. Il n’est pas question de lui imposer ça.
Dix ans ont passé.
C’est la début de l’été et Je fais paisiblement la sieste sur un lit d’extérieur, au bord de la piscine. A quelques mêtres de moi, Samantha, et Olivia somnolent, chacune sur un transat, aussi nues que moi.
J’entends claquer la porte d’entrée. Ce doit être Elise, qui arrive pour le week-end. Elle suit des cours en fac de médecine, et, logeant dans un studio, ne rentre que les week-ends.
- Salut la compagnie ! s’écrie t’elle en arrivant sur la terrasse.
Elle va embrasser sa mère, et Samantha, avant de venir me faire une bise.
En se penchant sur moi, elle empoigne mon sexe d’une main.
-Dis donc Tonton, tu m’as l’air un peu ramolli ! Il va falloir que je m’occupe de çà !
-Ho, Elise ! s’exclame sa mère. Tu n’as pas honte ?
-Pas du tout, commente la jeune fille, regarde, il n’a pas l’air en forme.
Evidemment je ne peux pas lui dire que, peu de temps avant, je viens d’honorer les deux charmantes quadragénaires qui sont à mes côtés.
Ne s’occupant pas davantage de nous, elle fait voler son tee-shit et sa jupe en jean, se défait de son tanga noir, et plonge nue dans la piscine.
Alors que je l’observe sortir de l’eau, ses petits seins haut plantés, sa silhouette longiligne et juvénile, et sa fente glabre, la peau dorée par le soleil, je surprends Sam et Olivia qui, derrière leurs lunettes de soleil, l’admirent aussi.
Il y a six mois maintenant, avant qu’elle n’ait son propre appartement qu’Olivia est venue me trouver. Ayant eu une première expérience désastreuse qui l’avait laissée démoralisée, elle m’a demandé de déflorer Elise, avec douceur pour que sa première expérience soit un
Moment de bonheur et de plaisir.
Ladite Elise m’avait surpris quand j’entrepris de parler avec elle :
-Ne tourne pas autour du pot Tonton. Je sais très bien, malgré les précautions que vous prenez, que tu baises aussi bien ma mère que Sam.
-Depuis longtemps ?
-Assez oui. Et malgré les avertissements de ma mère, tu te doutes bien que j’ai déjà connu des garçons.
-Tu n’es plus vierge ?
-Si, mais en restant vierge, je ne suis pas une oie blanche, non plus. J’ai testé plein de trucs avec mes copains, mais je me suis réservée pour toi. Je me suis dit que si tu arrives à contenter deux femmes, je devrais commencer par toi.
-Hmm, c’est flatteur, mais tu sais que c’est juste pour la première fois, et ça devra rester entre nous.
Evidemment, ce n’est pas ce qui s’est passé, et Sam comme Olivia ont été au courant de ce qui devait être une expérience. Elise les a mis face à leur situation, en leur disant qu’elles n’avaient rien à lui imposer.
Je me demande si nous n’allons pas au-devant des ennuis.
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12 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et voilà la queue de poisson que j avais prédit car la décision la plus appropriée était le divorce après bien sûr les preuves légales les explications de son adultère devant tous les intéressés cette fin est irréaliste en plus nous n avons pas sût qu’elle femme lui avait souffler au téléphone que sa femme est une dévergonder
Idem, le chapitre 3 n’est plus dans le ton pour moi; cela aurait mérité une fin un peu moins partouze ! De vrai explica, un vrais développements
Idem que pour d’autres, la fin n’est pas a la hauteur ;) et meriterais une re-écriture! Patrick ????
les critiques des lecteurs sont justifiées à mes yeux, je pense pareil. Mais cela peut se rattraper en écrivant une suite: le vécu de sam.
Quant à la conclusion l'auteur fantasme sur un harem, ce n'est pas réaliste mais bon une histoire érotique doit-elle forcément l'être?
Quant à la conclusion l'auteur fantasme sur un harem, ce n'est pas réaliste mais bon une histoire érotique doit-elle forcément l'être?
L'idée était bonne, la fin trop belle, mais pourquoi pas.
Mais cette dernière partie m'a un peu déçu.
J'ai confondu les personnages : Qui est Steve ? Le mari s'appelle bien Lucas au début ...
La révélation de l'infidélité est bâclée, noyée dans des parties de jambes en l'air où je me suis un peu perdu.
Des questions sans réponse : où va Sam après la soirée ? Que se passe-t-il à son retour ? Qui a téléphoné à Lucas au début de la première partie ?...
Je suis resté sur ma faim.
Mais cette dernière partie m'a un peu déçu.
J'ai confondu les personnages : Qui est Steve ? Le mari s'appelle bien Lucas au début ...
La révélation de l'infidélité est bâclée, noyée dans des parties de jambes en l'air où je me suis un peu perdu.
Des questions sans réponse : où va Sam après la soirée ? Que se passe-t-il à son retour ? Qui a téléphoné à Lucas au début de la première partie ?...
Je suis resté sur ma faim.
série avec un gros potentiel inexploité, trop vite conclue, psychologie des acteurs a développer, notamment celle de sam, elle s'en va ou? elle dit l'aimer (gros doute) mais lui refuse son corps et le trompe. Qui est celle qui averti lucas?
J'ai presque aimé cette série sauf la fin irréaliste, sauf le côté candaule
J'ai presque aimé cette série sauf la fin irréaliste, sauf le côté candaule
Comme Jacques du Canada pas d explications sur l adultère de sa femme il la garde à la maison ne s en occupe plus . Comportement irrationnel et à la fin il garde les deux femmes cette fin ne tiens pas la route désolé .
Il est certain que Patrick (PP06) aurait traité ce récit différemment. Cet auteur-ci voit les choses sous un autre œil.
J’ai aimé ce texte qui par contre me laisse sur ma fin.
J’ai aimé ce texte qui par contre me laisse sur ma fin.
Moi aussi j’aime bien les happy ends. Celle-ci on peut dire qu’elle est joyeuse pour tous.
J’aurais aimé lire les explications de Samantha concernant son adultère. Tout est revenu presque comme avant sans savoir qu’est-ce qui a provoqué cette trahison.
J’aurais aimé lire les explications de Samantha concernant son adultère. Tout est revenu presque comme avant sans savoir qu’est-ce qui a provoqué cette trahison.
Tres bon début jusqu’à la belle engeulade ou tout secret saute … ensuite le retour de sam qui devient invisible pas de réelle explication, puis l’auteur retourne pr moi dans le travers de bcp d’auteur, le caudalisme et la fille qui se fait Steve …. On voit qu’il manque la patte de qq’un comme patrice dit Pp06 qui aurait bien plus insister sur le retour de Sam qui se serait fait dégager par Steve, qui aurait tout essayé pour le reconquérir alors que la quid des dires ee sam qui dédaignait et dénigrait un max son mari qui d’un coup passe cela a la trappe …. Dommage c est la ou j’attendais l’auteur
Ah ah ah ! Que j'aime cette suite !
Waouh! Le mari trompé est le grand bénéficiaire, devenu un véritable coq! Après le trio, jusqu'où va-t-il aller?